Quelles sont les particularités de ce cas par rapport autres études de cas vues en cours précédemment ?
Réponse proposée :
Multi expositions, implication des acteurs locaux, rapprochement avec les outils et concepts des sciences sociales, collaboration inédite entre agences, implication politique, des protocoles innovants pour les études environnementales (exposition individuelle par capteurs), régularité des informations avec les populations et mairie..
Mais Atypique :
ne vas pas se reproduire (par rapport à l’implication de l’élu)
Pas d’implication des services de l’Etat (préfecture, ddass, drire)
Quelles sont les particularités de ce cas par rapport autres études de cas vues en cours précédemment ?
on peut distinguer deux particularités de ce cas par rapport aux cas de CMMP et de St-Cyr l’école :
- le cas de Champlan est une multi-exposition alors qu’à Saint-Cyr l’école et à CMMP il s’agissait d’une exposition à une source connue ou suspectée
- Pour le cas de Champlan, il s’agit d’une alerte environnementale alors que pour les autres cas, il s’agissait d’une alerte sanitaire
defiscalisation donation la défiscaliser Deslois de défiscalisation fois defiscalisation scellier !defiscalisation borloo neuf personnes defiscalisation frais kilometrique ...Aussi le defiscalisation kilometrique nous défiscaliser dans l’ancien .
defiscalisation programme immobilier scellier trop Depuis ce loi duflot avis moins defiscalisation meublé ...loi duflot investissement ton defiscaliser en belgique !
devis maison en ligne peu construction maison prix .Chaque devis maison a construire aussi devis construction habitation !
Plusieurs particularités sont à noter pour le cas de Champlan : l’exposition provient de plusieurs sources (voitures, avions, usines de plusieurs types, hautes tension, etc)
les types d’expositions sont variées (bruits, odeurs, radiations, poussières, etc)
Il s’agit en conclusion d’une multiexposition Champlan a connu sur ces questions une mobilisation qui a duré longtemps avec chaque fois l’ajout d’une situation (installation d’équipements) qui soutient implicitement la mobilisation ;
la prise en compte du problème par les élus qui le prennent au sérieu ;
le soupçon d’un effet cocktail,
la variabilité des études commanditées qui fait suite à ce défit scientifique d’essai de mesure des effets cocktail
La particularité de ces études :
-Elle a fait du village un laboratoire.
-La mobilisation de plusieurs acteurs multi disciplinaires (AFSSET, Airparif, IsVS, CIRE, ADEME, mairie, cabinet de sociologie, comite de défense et la population).
-Etude sociologique, alors qu’aucune autre étude n’a abordé ce volet.
Exposition volontaire
Effort psychique comme mesure de protection
Multi expositions (air, bruit, CEM...).
Signal sanitaire émanant de la population via le Comité de défense (et non d’une famille comme pour CMPP par exemple )
Quelques Données existantes (cadastre des émissions idf,..) et campagne de mesures extensives.
Bons protocoles d’études, validés et éprouvés.
Etude sociologique.
Bonne implication et communication avec les habitants (les demandeurs de l’étude)
Incertitudes scientifiques quant à l’effet cocktail ou même sur des nuisances individuelles comme les seuils pour les CEM
ce cas est particulier car presque toutes dispositions ont été mis en oeuvre pour une investigation reussi mais après les résultats les populations ne sont pas satisfaites. par exemple l’approche sociologique a tét prise en compte ce qui n’a pas été le cas dans les autres études.
On a voulu mener à Champlan une étude de grande envergure sur la multi-exposition à différents polluants et nuisances, sur la base d’un signal environnemental et en l’absence de signal sanitaire clairement défini, par une approche multi-disciplinaire novatrice incluant notamment un volet sociologique. L’orinalité de ce cas réside aussi dans l’ampleur des moyens déployés pour une population concernée de faible effectif (ce qui avait contribué à la décision de ne pas mener d’enquête épidémiologique), l’idée étant d’en faire une étude pilote pouvant servir de référence ; on peut aussi souligner le souci constant d’impliquer la population tant dans la participation aux études de terrain que dans la restitution des résultats.
L’étude de Champlan n’est pas née de la présence d’un signal sanitaire fort mais plutôt des préoccupations croissantes des populations. Elle est pluridisciplinaire et fait intervenir une approche sociologique. La validation du signal environnemental fut immédiate et les habitants ont été associés à l’étude. Les résultats ont fait l’objet de réunions publiques, de lettre d’information émanant des organisateurs et de site internet de la commune. Même si les résultats n’ont pas répondu à la question d’effet cocktail des riverains, ces derniers ont eu une bonne compréhension de l’étude, des résultats et des limites.
Pour le cas de Champlan, le village a été victime d’une multi-exposition (nuisance, pollution athmosphérique, champs magnétique).La population a été très impliquer dans le processus au point d’avoir un impact sur le pouvoir public, causant ainsi le déployement de quatres agences (ADEME, InVS, Afsset et Airparif) pour des études scientifiques au sein d’une commune de 2 500habitants. En plus des études scientifiques, une étude sociologique a été mener afin d’exposer publiquement la démarche et les résultats scientifiques. Ces études scientifiques ne seront cependant pas répéter, laissant plusieurs questions sans réponses.
l étude de plusieurs polluants au même temps .mesure permanentes directe et la modelisation
Dans le cas de Champlan, les études ont démarrées suite à l’inquiétude due à l’installation d’une nuisance supplémentaire et non à la présence d’une pathologie déclarée. Les études ont été menées en amont de la déclaration de problème de santé.
les particularités de ce cas de champlan est que la commune est beaucoup intéressé par les décideurs qui veulent faire de cette commune une ville moderne limitant les nuisances. il en ressort que le probleme de santé serait récurrent compte tenu son environnement.
Ce cas de Champlan est différent des autres cas comme ceux de Saint-Cyr l’école et du CMMP dans le sens où :
1- Le signalement du cas de Champlan résulte de l’anxiété de la population vis-à-vis de l’accumulation d’équipements lourds considérés comme source potentiel de cancers tandis que dans les autres cas, des maladies avérées ont été constatées et la population qui les considèrent comme inhabituel, les associe à des installations qu’elle considère comme potentiellement pouvant être à l’origine de ces cas qu’on considère à priori comme des clusters. Les objectfs et les méthodologies ont été donc différentes.
2- Du fait de l’existence de cas avérés, une étude épidémiologique a été possible dans le cas de Saint-Cyr l’école et du CMMP mais ce qui a été difficile dans le cas de Champlan où une étude sociologique a dû être conduite d’où une plus forte implication de la population de Champlan dans les études.
3- Dans le cas de Champlan, il existe des signaux environmentaux clairs, ce qui n’est pas le cas pour Saint-Cyr l’école par exemple où il a fallu se référer à toutes les sources potentielles possibles.
Les particularités de ce cas : la multi-exposition flagrante, les nuisances sont diverses, importantes et multiples
le point de départ de l’étude est la multiplication des sources d’exposition et non un signal sanitaire comme on a pu le voir par ailleurs.
la prise en compte importante de l’aspect sociologique
les études sont des études mesurant les expositions et non des études épidémiologiques
la particularité c’est la prise de conscience
Les autres cas étudiés avaient une entrée sanitaire (suspicion d’agrégat de St Cyr, mésothéliome pour le CMMP). Pour Champlan, c’est juste une inquiétude environnementale qui a permis à ce village de servir de "laboratoire" pour le développement d’outils nouveaux et l’étude de l’effet cocktail. Ainsi, la cire n’a pas produit d’étude quantitative du risque sanitaire comme pour les 2 autres cas, mais a privilégié une approche qualitative sociologique.
la particularité de champlan reside sur le fait que c’est un village avec de lourds équipements c’est pourquoi la validation du signal fut immédiate car toutb un chacun pouvait constater le cumul d’équipements et l’étude d’Airparif de 2003 montrait déjà une pollution sur l’air de la commune
Ce cas est particulier dans la mesure où le territoire lui-même est exposé à plusieurs éléments pollueurs. Les études menées sont pluridisciplinaire permettant d’insister sur les détails de chaque risque. Et devant ces actions, les réactions de la population tendent plus vers une coopération facilitant le travail des experts dans leur domaine consécutifs.
La particularité du cas étudié à Champlan par rapport au cas étudié à St Cyr l’école et à celui étudié autours de l’usine CMMP à Aulnay sous Bois (Seine Saint Denis), c’est qu’il s’agit ici d’une multi exposition à plusieurs facteurs de risques, susceptible d’entraîner ce qu’on appel un effet cocktail.
la problématique est venue de la base par la mobilisation d’une partie des habitants et leur regroupement en association
Les particularités suivantes émanent du présent rapport : Le caractère unique de Champlan qui offre plusieurs opportunités d’investiguer la question d’exposition aux sources de nuisances
Les études ont été conduites sous la coordination de grandes structures en charge de la santé et la sécurité des personnes (Ademe, Afsset, InVS, Airparif).
Première étude réalisée ayant envisagée l’évaluation de la faisabilité d’une étude épidémiologique)
Utilisation de la communication pour disséminer les résultats de la recherche.
Domaine d’étude très vaste (une première) avec plus de 42200habitants.
Implication de la population et intérêt quant à l’investigation des effets potentiels de diverses sources de pollution
Etude des effets cocktail potentiels avec des sources de pollution diverses.
Les particularités de cas sont les suivantes
A St Cyr, la source suspectée par les riverains était les antennes relais autrement dit les champs magnétiques dont l’effet sur la santé est toujours controversé, alors que le signal sanitaire était les cancers pédiatriques, une pathologie rare.
Le CMMP : la source du problème fut une usine ayant broyé de l’amiante pendant plusieurs décennies, sachant que l’amiante est la cause d’un cancer bien connu et très spécifique. Le riverain décédé n’avait pas travaillé dans cette usine. Le seul contact qu’il ait eut avec celle-ci fut d’habiter à proximité.
Dans la commune de Champlan, il s’agit d’un contexte relativement, issu des préoccupations croissantes de la population vis-à-vis des risques environnementaux. La configuration locale (multiples sources d’exposition et de nuisances) a été aussi un élément déterminant.
Les particularités du cas de Champlan par rapport aux autres études de cas vues en cours précédemment sont :
• Le signal est parti d’un comité de défense qui s’est inquiété des effets potentiels sur la santé dus la présence des nombreuses sources de pollutions
• Le circuit du signalement à la saisine a été assez court de sorte que la validation du signalement a été immédiate
• Le cas de Champlan contrairement aux autres études a fait appel à un groupe de travail
• Plusieurs sources de pollutions ont été concernées par le signal émis
• Problématique nouvelle
Les particularités de ce rapport sont les suivantes :
• Etudes ménées sous la coordination de grande structure en charge de la santé et la sécurité des personnes ( ademe, afsset, INVs, Airparif).
• Une des premières études réalisée jusqu’au niveau 3( évaluation de la faisabilité d’une étude épidémiologique) du protocole d’investigation des clusters(INVs).
• Maitrise de la communication.
• Domaine d’étude très vaste ( une prémière) avec plus de 42 200habitants.
• Cas sensible avec études réalisées sous diverses pressions de la part de la population, du pouvoir public, des élus locaux, qui exige une plus grande indépendance et un professionalisme sans faille de la part des experts.
• Etude des effets cocktail avec des sources de pollution diverses.
la démarche entreprise par les populations pour aboutir à leur fins.
le rôle souvent pas très agréable des médias (amplificateur) dans un problème relativement acceptable. Les différents comportement des populations face à un problème. La démarche scientifique entreprise pour répondre à leur préoccupations !
L’expérience de Champlan est particulière dans la mesure où :
-la problématique a émergé localement, par la mobilisation d’une partie des habitants ;
-un retour sur tout le travail a été effectué ;
-des remarques ont été émises sur les protocoles et sur les résultats d’études.
le cas de champlan a ceci de particulier qu’il fait référence à un cas de principe de précaution , car ici les champlanais n’ont pas de preuve tangible de la dangerosité des différentes installations entourant le village. c’est un village multiexposé et par conséquent, il est difficile de déterminer avec certitude la provenance de la pollution qui entraine la maladie.
contrairement aux autres études qui ont été déclenchées soit par un signal sanitaire soit par un signal environnemental cette étude s’est faite après un signal social
Dans cette étude il y a eu une enquête sociologique pour essayer de comprendre la relation environnement-santé auprès des populations de Champlan
C’est une étude sur la multi-exposition environnementale véritable cocktail qui a servi de laboratoire.
La première particularité est que l’ampleur du cas de Champlan a été plus grand dû au fait que dans cette localité existait dejà une organisation ancienne et forte de lutte pour les interêts de la localité.
Ensuite, l’étude à Champlan a été plus complète que les autres cas et a de ce fait mobilisé plus d’intervenant dans les études.
La particularité du cas étudié à Champlan par rapport au cas étudié à St Cyr l’école et à celui étudié autours de l’usine CMMP à Aulnay sous Bois (Seine Saint Denis) peut être apprécié à partir : le type de signal,
la circulation du signal
le mode de saisine des parties prenantes impliquées,
la durée entre la saisine et l’investigation,
la durée de l’investigation,
la méthodologie des investigations
et des résultats obtenus.
Le signal
Saint Cyr : Des plaintes de riverains à la mairie sur des pathologies divers qu’ils relient à des antennes relais sur le toit de l’école
Champlan : Un comité de défense se bat contre les pollutions de son village et interpelle les autorités
Usine CMMP : Une famille porte plainte auprès du procureur de la république après la mort d’un proche, suite à un mésothéliom
Le type de signal Saint Cyr : Sanitaire
Champlan : Environnemental
Usine CMMP:Sanitaire et environnemental.
Le circuit du signal à la saisine
Saint Cyr : Le maire informe la DGS qui saisit l’InvS et ce dernier propose l’intervention de la Cire et de DDASS
Champlan : Un élu fait une réunion avec plusieurs organismes dont l’InvS/la Cire pour discuter du cas du village
Usine CMMP : La DGS est saisie, elle renvoie vers la DDASS qui fait un premier rapport et demande l’intervention de l’InvS en 2001. Le dossier est finalement repris par la Cire à sa création en 2002, qui conclut à la nécessité d’embaucher un expert.
La durée entre le signale et la saisine
Saint Cyr < 1an
Champlan < 1an
Usine CMMP < 4ans
Les parties prenantes
Saint Cyr : La mairie, DGS, InVS, la Cire, la DDASS, les riverains et les associations et la préfecture
Champlan : ADEME, AFSSET, InVS/Cire, Airparif, mairie, un cabinet de sociologie et un cabinet de communication, le comité de défense et les riverains
Usine CMMP : La préfecture, la mairie, les associations et les riverains, l’InVS/Cire.
La durée entre la saisine et la validation
Saint Cyr : A peine 6 mois
Champlan : immédiate
Usine CMMP < 4 mois
Durée de l’investigation
Saint Cyr : 2 ans (1 an d’étude + 1 an pour la rédaction du rapport final)
Champlan : 2ans (d’étude)
Usine CMMP : 5 ans (incluant la publication du rapport final).
Les attentes des riverains
Saint Cyr : Les riverains voulaient via une enquête qu’on fasse le lien entre les pathologies et les antennes relais
Champlan : Arrêter l’encerclement du village par les équipements lourds, crainte des problèmes de santé et connaître l’effet cocktail sur la santé
Usine CMMP : Rechercher systématiquement les autres cas de pathologies liées à l’amiante parmi les riverains.
Méthode de l’investigation
Saint Cyr : Cluster : protocole à étapes décisionnelles, portant sur les données environnementales et médicales
Champlan : Groupe de travail : études des différentes pollutions environnementales et une étude sociologique
Usine CMMP : -monographie historique
études épidémiologiques (cliniques)
modélisation
Les résultats
Saint Cyr : L’augmentation de pathologies n’est pas significative statistiquement
Champlan : -on enregistre certaines mesures au dessus des normes environnementales
-l’étude sociologique éclaire des aspects jusque là peu appréhendés
Usine CMMP : On recense parmi les riverains, des pathologies dues à une exposition strictement environnementale
Les résultats ont-ils apporté la réponse attendue par les riverains ?
Saint cyr : Non
Champlan : -oui : bon bilan environnemental
- non : pas de réponse sur l’effet cocktail, pas de mesures de gestion à la suite pour l’instant
Usine CMMP : -Non vis-à-vis de la demande initiale
- oui après que les objectifs de l’investigation aient été rediscutés entre l’Etat, l’InVS/Cire et les associations
etude saint cyr
ici les experts avaient a faire à plusieurs sources de pollutions le tout dans un petit espace et ils devaient arrivés à determiner non seulement la part de chacune mais aussi leurs combinés sur les habitants et sur l’environnement
La particularité, ce qu’elle a adopté une démarche participative avec des experts pluridisciplinaires, un protocole de recherche bien élaboré.
Le fait que se soit un élu qui porte le signal. Il ya eu aussi acceptation des résultats de l’étude, malgré qu’elle ne réponde pas totalement à leur attente.
1/ la mise en œuvre d’une étude sociologique pour tenir compte des inquiétudes et des représentations des habitants
2/ la saisine par les élus locaux, et non par la population elle-même
3/ la validation du signal immédiate, la commune étant objectivement encerclée par des sources polluantes potentielles
4/ implication des parties prenantes dans les études qui ont été menées
5/ habitants très régulièrement informés tout au long du processus (réunions publiques, lettres d’information, site internet dédié)
Supposé "effet cocktail", implication des populations locales, intervention des autorités politiques, implication des agences scientifiques de référence.
les particularités de Champlan par rapport à d’autres cas peuvent être du fait que nous sommes en présence d’un site exposé à plusieurs nuisances et dont aucune épidémie ne s’est déclarée. Aucune étude épidémiologique n’a pas été effectuée sur les populations.
Ce cas est bien particulier, parce que les habitants sont soumis aux risques variees en meme temps, un effet mediathique bien presente, une politique a pu faire bouger les gens sur des questions environmentales, et une analyse sur terre n’a pas donne des impactes sanitaires reeles.
ce cas est particulier car Champlin fait face a plusieurs pollutions et nuisances mais il a fallu l’action de la population pourque des actions soient engagées.
Ce cas traite bien de la pollution admospherique contrairement des cas de pollutions des sols ou de l’eau.
L’expérience de Champlan est unique. Dans la mesure où la problématique a émergé localement, par la mobilisation d’une partie des habitant. Les protocoles d’étude souligne la complexité des facteurs concourant à l’expression de la santé, de la qualité de vie et au lien vécu entre environnement et état de santé des habitants soumis à des expositions environnementales multiples. La communication autour du programme d’études a été continue et fréquente entre les organismes et les habitants.
Particularités : Pas de signalement sanitaire à l’origine de la demande d’investigation
Expositions multiples et "évidentes" (qui n’ont pas nécessité de phase de validation)
réponse à la demande par une investigation large
pas d’étude épidémiologique de part l’absence de signalement sanitaire
une étude sociologique a complété les études environnementales
bonne participation des habitants, bonne communication
L’expérience de Champlan est unique. Dans la mesure où la problématique a émergé localement, par la mobilisation d’une partie des habitants, qui n’ont pas attendus un signal sanitaire quelconque avant de sonner l’arlerte sur la multiexposition de leur village. Ce qui n’est pas le cas chez les autres cas étudier où tout part d’un signal sanitaire. en plus, les études faites dans la commune de Champlan ont porte sur la préventiondes expositions aux polluants.
Ce rapport présente diverses particularités : la complexité des facteurs concourant à l’expression de la santé, de la qualité de vie et au lien vécu entre environnement
et état de santé des habitants soumis à des expositions environnementales multiples.
on peut distinguer deux particularités de ce cas par rapport aux cas de CMMP et de St-Cyr l’école : - le cas de Champlan est une multi-exposition alors qu’à Saint-Cyr l’école et à CMMP il s’agissait d’une exposition à une source connue ou suspectée - Pour le cas de Champlan, il s’agit d’une alerte environnementale alors que pour les autres cas, il s’agissait d’une alerte sanitaire
la particularité de ce cas c’est l’association du public à toutes les étapes de l’étude contrairement à d’autres études vues au cours
Ce cas est particulier car il correspond à une commune rurale en milieu périurbain, il est très représentatif d’une multi-exposition à différentes sources de pollution. Il a fait l’objet d’une étude pluridisciplinaire et notamment d’une étude sociologique et réunit les parties prenantes (élus, association, etc.) autour du projet.
ce qui est remarquable c’est la forte implication des habitants pour la sauvegarde de leur cadre de vie.c’est une population avertie aux risques sanitaires et environnementaux.
Les particularités de ca cas par rapport aux autres études précédemment réalisées vues au cours sont : Mise en évidence du principe du "consentement à payer" ou du "pollueur- payeur" et du "coût- bénéfice" sur les activités ou les exploitations des sites industriels et gène- pollution.
Recherche de l’identité du village
Mise en œuvre de la complexité des facteurs courants à l’expression de la santé, de la qualité de vie et lien vécu entre environnement et l’état de santé des habitants.
la prise en compte du problème a émergé localement (par la population) ;
la préoccupation est ici la pollution environnementale et ne s’est pas intéressée aux impacts sanitaires ;
beaucoup de communication sur les études à chaque étape
La particularité de ce cas est qu’il n’y a pas eu possibilité de faire une étude épidémiologique, en raison, des limites de la méthode
ce qui est remarquable c’est la forte implication des habitants pour la sauvegarde de leur cadre de vie.c’est une population avertie aux risques sanitaires et environnementaux
Particularités du cas de Champlan :
• Il s’agit d’une étude de cas dont l’origine est un signalement environnemental (et non sanitaire)
• La problématique a émergé à partir d’un comité de défense organisé par les habitants et dont le message a été porté par une personnalité politique influente
• La demande sociale a émergé à partir d’une situation de multi exposition géographique (« encerclement de la commune par les différentes sources de pollution et nuisances ») bien qu’il s’agisse d’une étude locale, sur un petit périmètre
• De fortes inégalités d’exposition existent du fait de la concentration des multiples sources de nuisances
• La multi exposition se décline en différentes sources de nuisances générant des atteintes sanitaires de nature multiple (physiologiques, psychologiques et sociales)
Les particularités :
1. l’exposition provient de plusieurs sources (voitures, avions, usines de plusieurs types, hautes tension, etc)
2. les types d’expositions sont variées (bruits, odeurs, radiations, poussières, etc) Il s’agit en conclusion d’une multiexposition
3. la prise en compte du problème par les élus qui le prennent au sérieu ;
4. le soupçon d’un effet cocktail
Les particularités de ce cas
Champlan est un cas de multiexposition
Signalement du cas par les populations concernées
Collaboration exceptionnelle entre les différents acteurs impliqués dans la gestion de la crise
Une des particularité est que pour ce cas, différement des autres cas vues, les sources de pollution et nuisance ne sont pas installées sur le territoire, mais le traverse.
- malgré tout, les champlanais ont beaucoup de considération pour leur terroir
Les particularités de ce cas par rapport à d’autres études de cas vues précedemment sont : L’éclairage sociologique,
La bonne communication en amont et en aval entre les parties impliquées,
L’implication de la population dans les différentes phases des études.
Il s’agit d’un signal environnemental (et non sanitaire) lié à de multi expositions, donc une situation très complexe.
Les particularités de ce cas par rapport aux autres études de cas vues en cours sont : Une forte implication de la population et des différentes parties prenantes dans les processus d’investigation
Une bonne communication des informations avec le public
Une forte implication de la part des politiques.
1. La mobilisation et la participation de la popoulation
2. La multi-exposition
3. L’etude sociologique
3. La participation de plusieurs organisations et instituts
Les particularités de ce cas sont :
dans le cas de Champlan il s’agit de différentes nuisances auxquelles sont exposées les populations, contrairement au cas de st Cyr ou de st Denis ( antennes relais et amiante)pour lesquelles seule une nuisance fait l’objet d’une analyse.
Dans le cas de Champlan, il n’y a pas de lien entre pathologies et nuisances, alors qu’il en faut absolument pour faire une étude épidémiologique.
Enfin c’est surtout la réponse du cumul des nuisances qui est à la base de la demarche sociale.
Les particularités de ce cas par rapport aux autres sont la transparence où les autorités divulguent toutes les informations en leur possession, la participation des habitants dans l’élaboration des études.
Ce cas est spécifique car il y a eu une étude de plusieurs sources simultanés, associé à une approche sociologique.
La communication entre les différents acteurs a été très fort (lettres, réunions, site internet..)
L’implication de la population a été très forte.
1- L’interaction avec les parties prenantes en particulier avec le public comme, reunion publique, lettre d’information et le site d’internet de la commune, partcipation des habitants comme volontaires pour mesurer les expositions individuelles.cela explique que l’investigation pourra apporter mais aussi leurs limites et informer les resultats tout au long au public
2- l’implication precoce de la population tout au long du processus d’investigation est un facteur clé qui permet d’augmenter la chance que les resultats des études repondent aux mieux aux attentes.
3- L’intérêt d’une approche multidisciplinaire ;pour une réponse de qualité
pas de signalement sanitaire
multiple exposition de la population
étude participative avec une bonne communication
Le nombre important d’agences et d’organismes ayant pris part à l’ensemble des études rappelant l’exception de ce type d’intervention publique
C’est une démarche entreprise préventivement en l’absence de cas pathologique déclaré contrairement aux 2 autres études.
Implication de plusieurs acteurs (la population, scientifique, les élus) et l’approche multisectorielle,
Les particularités ici sont :
Le cas précédent parlait d’un groupe exposé à une pathologie non infectieuse alors que dans ce cas, on a à faire à une multi-exposition. On ne connait pas s’il y’a ou pas de pathologies (questions qui persiste encore car pas de réponse sur l’impact sanitaire), mais ce qui est sûre, on essaye de connaitre les champlanais ou futur patients (qui sera un grand pas pour le médecin).
1. Le signal qui est envoyé par un Comité de défense
2. La concentration dans la région de plusieurs équipements lourds et la multiexposition des habitants
3. La forte médiatisation
4. La multidisciplinarité de l’ étude réalisée (comprenant une étude sociologique)
5. La bonne communication et la participation de la population.
Particularités du cas de Champlan : Signal environnemental (les nuisances des équipements lourds encadrant la commune) et absence de signal sanitaire
Conduite de plusieurs études relatives à la pollution environnementale retrouvée dans la commune
Conduite d’une étude sociologique
Communication entre les investigateurs et la population concernée
Les particularités de ce cas par rapport autres études de cas vues en cours précédemment sont les suivantes :
La complexité des facteurs concourant à l’expression de la santé, de la qualité de vie et au lien vécu entre environnement et état de santé des habitants soumis à des expositions environnementales multiples.
La notion de multi exposition environnementale,
L’implication des acteurs locaux,
Utilisation des outils et concepts des sciences sociales,
Communication des résultats aux populations ;
Implications d’autres agences (AFSSET, ADEME…) ;
Utilisation des méthodes expérimentale (Exemple calcul des deux nouveaux indicateurs uniques européens le Lden (Level day evening night) et le Ln
(Level night)).
Dans cette étude il s’agissait seulement de recueillir le point de vue de la population. il n’a pas été question d’effectuer des prelèvements ou de prendre des mesures objectives.
Les deux caractéristiques principales sont la multi-exposition et l’utilisation d’outils et de concepts des sciences sociales. On peut aussi noter une forte implication politique dans ce dossier, et une excellente communication avec la population et les élus locaux.
Dans ce cas un grand nombre des organismes intervient et il y a aussi intervention d’etude sociale.
Les particularités identifiées peuvent se résumer comme suit : la forte mobilisation de la population soutenue par un élu local.
prise en compte immédiate du signal émis par le comité de défense ;
organisation de réunions avec plusieurs organismes ;
durée des études et investigations relativement courte (2ans)
L’implication effective de la population.
La diversité des etudes realisées sur le terrain.
Les particularités de ce cas :
mobilisation des habitants,
participation des habitants aux études,
communication sur l’évolution des études,
conduite d’une étude sociale.
Les particularités de ce cas par rapport aux autres est que tout d’abord à Champlan on assiste à un contexte relativement nouveau (cumul de nuisance sur un territoire restreint(multiexposition) : pollution de l’air, le bruit, l’exposition aux champs électromagnétiques) issu des préoccupations de la population.
La validation du signal fut immédiate car tout un chacun pouvait constater le cumul d’équipement alors que pour St Cyr et CMMP il a fallut respectivement 2-3mois et 6mois
on peut aussi noter l’existence de synthèse scientifique disponible(étude de Airparif de 2003 objectivait déjà une pollution de l’air sur la commune) alors que pour celle de St Cyr et CMMP il fallait faire des recherches
Il y a plusieurs différences : la multi exposition
Engouement médiatique et politique
le travail conjoint de plusieurs organismes de veille sanitaire
la déception des principaux interessés / le manque de réponse claire sur les effets sanitaires
Les particularités de ce cas sont constituées par le fait qu’il y a une mobilisation générale pour l’acquisition des avantages sociaux, et non pour la réduction réelle des sources de nuisances, et le laxisme dans l’attitude des pouvoirs publics
ici, il y a differentes etudes par de grands organismes competents
Plusieurs particularités sont à noter pour le cas de Champlan :
• Exposition des habitants (expositions environnementales multiples) ;
• mobilisation des citoyens contre les nuisances collectives ;
• La prise en charge du signal par la députée de la circonscription (implication politique) ;
• La communication autour du programme d’études a été continue et fréquente entre les organismes et les habitants ;
• Etudes innovantes (mesures d’exposition individuelle)
• Des études complémentaires (étude écologique, étude sociologique,…)
• Etudes menées par plusieurs agences (collaboration des agences).
le fait d’impliquer les polulations quant à la realisation du protocole. Aussi le fait que cet aborde une multi exposition
La particularité de Champlain par apport aux autres cas étudie est manifeste essentiellement dans le type de pollution en question. Il est environnemental plus que sanitaire et présente sous forme de multi-facteur (effet cocktail). Le rôle des riverains et leurs implications dans les investigations. La coopération de différentes institutions environnementales dans l’investigation. Et en fin on peut site implication des medias et leurs rôle indirects dans la mobilisation des autorités.
Les particularités de ce cas par rapport au autres études, est qu’il y a un effet cocktail d’exposition. D’autre part, contrairement au idée reçu, les habitants d’un petit village peuvent être exposés à la pollution atmosphérique de la même manière que les habitants des grandes villes.
c’est un cas qui represente qui unit plusieurs sorte de pollution en meme temps et c’est un appel sanitaire et de l’environnement a la meme fois
Particularité de ce cas de Champlan :
La validation du signal environnemental a été immediate
La demande sociale est élevée.
La concertation avec les riverains est d’un niveau acceptable ( réunion, site internet, explication des résultats) et a débuté tôt.
Les particularités du cas de la commune de Champlan sont : le cas d’une multi-expositions aux nuisances environnementales,
implication des politiques,
étude sociologique,
implication de la population,
Les particularités de ce cas sont premièrement la perception des habitants de cette localité qui ne reflète pas cette hiérarchie de la situation réelle vécue contrairement aux habitants des autres localités où ce sont eux qui sont les premiers à être sensibles aux riques auxquels ils sont soumis. Les habitant qui ont un projet de vie à Champlan minimisent fortement l’ampleur du danger et trouvent même que la localité est la meilleure à habiter comparativement aux autres localités. Deuxièmement je trouve que, face à cette complexité, les décisions des uns et des autres risquent d’être contradictoires dans la mesure où les intérêts sont partagés
la nature de l’exposition:Une multi-exposition à différents polluants et nuisances, sur la base d’un signal environnemental la population est l’origine du signalement
les études réalisés : la réalisation d’une étude sociologique qui confirme l’engagement de la population dans létudes et enquetes réalisés .
L’initiative et la mobilsation des villageois ; la multiplicité des études par rapport à la multi-exposotion ;....
Dans ce cas, il n’y a pas eu de signalement de pathologies aux autorités. Il y avait plusieurs sources d’exposition étudiés, alors que dans les autres cas, il n’y en avait qu’une (antennes de téléphonie mobile pour Saint-Cyr, et amiante pour CMMP).
La similitude entre les études de cas, est l’inquiétude de la population, des effets sanitaires de ces expositions.
Dans le cas de Champlan, la nature du signal est d’ordre social (inquiétude et prise de conscience de l part de la population constituée en association). Nous avons pu voir d’autres études où il s’agissait plutot d’un signal sanitaire, (cas de Saint-Cyr avec la suspicion d’un nombre élevé de cancers) ou
signal environnemental (cas du quartier Seine Saint-Denis avec une contamination des sols).
Par ailleurs la particularité principale sur le cas Champlan réside dans la nature multi-impact de l’étude qui a été menée, là où d’autres cas se sont concentrés sur un seul type de polluant ou type d’exposition.
De ce que je connais des quelques autres cas étudiés, il semble que le cas de Champlan ait été particulièrement stigmatisé dans les médias, du fait justement de la nature de l’étude et que Champlan "cumule plusieurs pollutions"
Quelques particularités sont que l’elément déclencheur de la mobilisation dans le cas de Champlan est le projet d’installation d’une nouvelle station d’épuration alors que dans les cas de St Cyr l’école et du CMMP, une exposition potentielle est suspectée en relation avec un évènement sanitaire.D’autres parts, la mobilisation n’a pas été d’envergure dans les autres cas comme dans celui de Champlan.
Les particularités par rapport aux études : il s’agit des évaluations environnementales de diverses sources, c’est une multiexposition environnementale,
implication de plusieurs acteurs notamment les populations, des cabinets de communication et de sociologie,
implication de la population et réunions régulières avec celle ci,
pour la méthode de travail, il s’agit d’un groupe de travail contrairement aux cas de Cyr (cluster ) et de CMMP (monographie historique, étude épidémiologique, modélisation),
implication de la politique dans le processus (à proscrire) ce qui a amené la durée entre la saisine et la validation du signal immédiate.
absence des services de l’état comme la préfecture et la DDAS.
les particularités qu’on peut souligner sont : ce cas a été développé autour d’une suspicion environnementale, par contre les autres ont été déclenché à partir de clusters il y’avait des pathologies soupçonnées être relié à un facteur.
la communication était bien établit entre les différentes partis.
mobilisation sociale
intervention des médias
batterie d’études mise en oruvre
Cette étude de cas se distingue des autres (Cas Saint Cyr et cas de CMMP à Aulnay –Sous -Bois) par le fait qu’on se trouve dans le cadre d’une multi exposition dont il est question de quantifier, type par type pour se faire une idée des risques encourues par les populations. Dans les autres cas il s’est agit de mener des investigations pour voir s’il y’a une corrélation entre des pathologies notées et l’exposition a des champs magnétiques ou l’amiante. Les niveaux de mobilisation des populations et de la réponse des pouvoirs publics notés dans le cas de Champlan sont sans commune mesure comparés aux autres cas.
dans le cours précédent, il s’agit d’étude rétrospective et transversale, alors que dans le cas de champlain il s’agit d’étude prospective. Dans le cours précédent, un lien de causalité est recherché (mis en évidence) entre une la pathologie spécifique et l’élément causal ; tandis que dans le cas de champlain une recherche sur les conséquences de la nuisance à la santé est faite. Dans le premier cas (cluster), on peut élaborer des stratégies préventives alors dans le second on parle de précautions à prendre.
Communication efficaces tout au long de la période d’étude et jusqu’à la communication du résulta final entre les services sanitaires et les autres partie prenantes.
L’incorporation de l’approche qualitative de type sociologique
Protocoles innovateur par rapport aux autres protocoles
Effet de cocktail
Implication de toutes les parties prenantes dans la démarche de l’étude
Les particularités suivantes émanent du présent rapport : Le caractère unique de Champlan qui offre plusieurs opportunités d’investiguer la question d’exposition aux sources de nuisances
Les études ont été conduites sous la coordination de grandes structures en charge de la santé et la sécurité des personnes (Ademe, Afsset, InVS, Airparif).
Première étude réalisée ayant envisagée l’évaluation de la faisabilité d’une étude épidémiologique)
Utilisation de la communication pour disséminer les résultats de la recherche.
Domaine d’étude très vaste (une première) avec plus de 42200habitants.
Implication de la population et intérêt quant à l’investigation des effets potentiels de diverses sources de pollution
Etude des effets cocktail potentiels avec des sources de pollution diverses
Par rapport aux études précédentes on a une implication des acteurs et pouvoirs publics, collaboration entre services concernés, études environnementales prise au sérieux, précision des informations entre les différents services et la population.
L’insuffisance de données sanitaires afin de mener une étude épidémiologique fiable.
Etude menée sur une zone d’exposition de différentes sources.
L’étude qui intègre la partie quantitative et qualitative du problème.
nous donnons ici quelque particulatés constatées.
Les acteurs locaux ont été impliqués. Dans les études environnementales, les protocoles ont été conçus avec l’implication des parties prenantes (comité de défense). Nous notons également de multiples expositions dans ces études(voir carte des installations). L’information continue des populations sur les démarches entreprises. Nous sommes également frappés par la bonne collaboration inter agences.
ce cas est particulier par le fait que c’est la population qui en est l’élément déclencheur et en même temps elles y participe
La particularité du cas de Champlan réside dans le fait que le signal était depuis le début épaulé par les élus locaux, également, plusieurs instances ont pris part dans cette investigation pour traiter les différents types de pollution soulevées par la population, et la principale particularité de ce cas réside dans la participation de la population tout au long du processus d’investigation. Ainsi, une stratégie de communication entre les acteurs et avec la population a été mise en œuvre en plus d’une étude sociologique pour comprendre les attentes de la population et savoir présenter les résultats scientifiques qui ne correspondent pas toujours aux prévisions de la population.
L’une des particularités de cette étude réside dans le fait que c’était sous la pression des Champlanais, à travers une pétition massivement signée par la population, que les élus étaient obligés de réagir et d’essayer de trouver des solutions aux problèmes posés par les nuisances et pollutions.
Ces particularités sont que cette étude a pour objectif de comprendre le contexte social de l’émergence de la mobilisation des Champlanais et expliciter pourquoi, comment et par qui cette inquiétude sanitaire a été prise en charge.
Quant aux études de cas précédents, elles portaient entre autres sur l’exposition au bruit, aux champs magnétiques, à la pollution atmospérique
Nous sommes en présence ici de multi exposition, des polluants : ligne THT ; STEP ; avions ; routes… Il y a une bonne implication des acteurs locaux, une collaboration entre les différentes agences (AFSSET, AirParif, ADEME…) ce qui est assez inédit ou tout du moins trop rare. Une implication politique avec l’action du député, et des protocoles de mesures permettant de déterminer les expositions individuelles. Il y a aussi une régulière information entre la population, la maire, le collectif …
Le cas de Champlan par son origine et le mode de traitement représente une différence avec les cas de Saint Cyr de CMMP. En effet la dimension environnementale et la forte présence de la population confèrent une approche pouvant relever de la santé publique ou communautaire. Le manque d’éléments épidémiologiques et d’étude de l’impact sanitaire donne lieu à une dynamique qui peut être qualifiée d’expérimentale :
• approche multifactorielle, la notion de cocktail qui en ressort
• action conjointe d’experts et élaboration de méthodes et indicateurs de qualité nouveaux ou peu utilisés (cartographie cadastrale et couverture extrême des points de relevé des nivaux de pollutions, capteurs individuels, indicateurs européens de classification pour le bruit)
• consultation publique impulsé de comité d’habitants à l’origine et suivi et implication d’une députée pour un cas relativement isolé (2500 personnes exposées)
Les particularité du cas de Champlan : Une approche multidisciplinaire
Etudes des différents pollutions environnementales,
Etudes sociologique pour la déterminations des attentes des riverains,
L’implication de la population tout au long du processus d’investigation,
Dans ce cas, l’étude a commencé à cause de la crainte des habitants vers une ultérieure source de nuisances et non à un ou plusieurs cas d’une pathologie dans la zone. On ne connait pas les répercussions de ces multi-expositions sur la santé.
On peut aussi remarquer une implication politique et une réaction très rapide de la part des pouvoir publics, avec un bon soutien des citoyens et une bonne communication tout au long du parcours.
Les protocoles innovants : capteurs qui permettent d’évaluer l’exposition individuelle.
Une étude sociologique conduite en parallèle.
Ce cas traite du cumul d’exposition, soit l’effet cocktail. De plus, l’étude a pris en compte le paramètre psychologique pour voir si la gène occasionnée étant amplifiée par des contextes personnels (rupture : licenciement, divorce...)
La particularité de cette étude est le fait qu’elle émane de la grogne de la population et non de la volonté des pouvoirs publics.
particularité du cas Champlan : implication et participation des populations locales à l’étude ;
la multi-exposition flagrante, les nuisances sont diverses, importantes et multiples ;
exposition individuelle aux sources de nuisance ;
pas d’implication des pouvoirs publiques ;
l’ étude revêt une approche sociale (demande sociale).
La communication entre les différentes parties prenantes, l’étude sociologique et l’implication d’experts de plusieurs domaines.
La saisine a été immédiate.
Comité de défense.
Démarche visant à étudier l’impact des pollutions qui affectent à des dégrés divers les populations et d’identifier le cumul de ces pollutions "effet cocktail"
Quelques particularités :
1) Champlan est ceinturé par de nombreux équipements collectifs lourds. Ceux-ci sont à l’origine d’émissions de polluants et de nuisances diverses (multi-exposition),
2) le signal est issu d’un comité de défense qui se bat contre les pollutions de son village, lequel interpelle les autorités,
3) le type de signal est environnemental et le délai entre la saisine et la validation est immédiat,
4) de nombreuses parties prenantes sont impliquées (collaboration étroite entre différents organismes) : ADEME, AFSSET, InVS/CIRE, Airparif, la mairie, un cabinet de sociologie et de communication, un comité de défense et les riverains,
5) les réponses attendues par les riverains sont OK pour le bilan environnemental mais pas en ce qui concerne l’effet "cocktail".
Ce cas se distingues des autres par la mobilisations des riverains face aux risques environnementaux. La configuration locale (multiples sources d’exposition et de nuisances) a été aussi un élément déterminant entrainant ainsi une prise en charge immédiate du signal.
multi-exposition aux nuisances ;implication des acteurs locaux ;collaboration entre les agences comme AFSSET, Airparif ;implication politique ;protocoles pour les études environnementales ;les informations régulières au niveau de population,maire.
Particularité dans la qualité d’étude pilote en France ; la transparence dans le déroulement des études ; la synergie d’action entre populations victimes, les mairie, les élus locaux, les syndicats, les recherches scientifiques.
Il s’agit du premier cas, en France, de réalisation d’études multicritères permettant de connaître l’existence d’un effet « cocktail » des nuisances.
La particularité de ce cas est que les sources d’expositions sont connues alors que pour d’autre, les sources (ou la source) peuvent constituées la problématique.
Multi expositions, implication des acteurs locaux, rapprochement avec les outils et concepts des sciences sociales, collaboration inédite entre agences, implication politique, des protocoles innovants pour les études environnementales (exposition individuelle par capteurs), régularité des informations avec les populations et mairie.
Mais atypique : ne vas pas se reproduire (par rapport à l’implication de l’élu). Pas d’implication des services de l’Etat (préfecture, DDASS, DRIRE). Mais Champlan subit aussi beaucoup de pressions. Le rôle du Comité de défense dans la mobilisation
On note que le niveau des inquiétudes est fortement lié au projet de vie et à la satisfaction résidentielle à Champlan (en proportion inverse). D’une manière plus inattendue, l’intensité des craintes sanitaires est très peu liée aux nombre d’expositions ou de nuisances objectivement subies par les familles, et non liée aux critères qui avaient été utilisées pour réaliser l’échantillon.
Multi expositions (air, bruit, CEM...). Signal sanitaire émanant de la population via le Comité de défense (et non d’une famille comme pour CMPP par exemple ) Quelques Données existantes (cadastre des émissions idf,..) et campagne de mesures extensives. Bons protocoles d’études, validés et éprouvés. Etude sociologique. Bonne implication et communication avec les habitants (les demandeurs de l’étude) Incertitudes scientifiques quant à l’effet cocktail ou même sur des nuisances individuelles comme les seuils pour les CEM
Les études sociologiques menées ont permis de savoir la transaction implicite entre la gène acceptée et les bénéfices trouvés pour le cas de Champlan. Une part importante de la sociologie explique les comportements des habitants face aux nuisances.
Il s’agit d’une étude innovante dans le sens où elle est multifactorielle au niveau des expositions et des facteurs sociologiques, qu’elle implique fortement la population qui est informée régulièrement et qu’elle s’appuie sur une collaboration large entre scientifiques, élus, population et agences.
Mais il s’agit également d’un cas particulier du fait des interlocuteurs spécifiques tel que le comité de défense très engagé et la député proactive sur ces questions. Le contexte Champlan est également une particularité au niveau du développement successifs des projets polluants.
Il est à noter également l’absence curieuse de certaines instances telles que la préfecture, la DREAL ou la DDASS
le cas de champlan est unique et une partie de la population a été mobilisée.le signal était environnemental donc nécessitait une étude analyse approfondie avant étude.
La particularité de ce cas est que seulement une partie des champlanais se plaignent et les enquêtes ne se sont pas effectuées après un cluster. Des directives pour améliorer l’environnement et le cadre de vie des champlanais n’ont pas été prises à la suite de l’étude.
Les particularités du cas de Champlan par rapport aux autres cas vues en cours précédemment sont l’exposition et les études. En fait, l’exposition environnementale multiple de Champlan le distingue des autres cas qui sont déclenchés par une source d’émissions. Cette situation d’exposition a engendré des études exceptionnelles car plusieurs types ont été réalisé. L’étude cas-témoins ont été utilisé pour quelques substances, la modélisation pour l’étude de bruit et l’utilisation d’appareil de mesure portatif pour l’exposition aux champs magnétique. Mais la considération du contexte social à travers l’étude sociologique est un point de plus pour le cas de Champlan.
a particuliraté de ce cas par rapport aux autres est qu’il ya une mobilisation collective a champlan par rapport aux autres.
Les particularités de ce cas par rapport aux autres études de cas sont : L’étude n’a pas été déclenchée suite à une catastrophe environnementale, mais suite à un mouvement social
Les sources d’exposition sont multiples
L’adoption d’une approche participative dans les études
L’existence d’une synergie d’action entre des experts de plusieurs disciplines
absence de signal sanitaire ; non réalisation d’une étude épidémiologique ; la problématique a émergé localement, par la mobilisation d’une partie des habitants ; La communication autour du programme d’études ; l’étude sociologique ; implication de plusieurs acteurs : l’ADEME, Airparif, l’Afsset et l’InVS.
Les particularités de ce cas par rapport aux autres études de cas sont les suivantes : Mobilisation des habitants via le Comité de défense
Réalisation d’une étude sociologique
Délai immédiat pour la validation suite à la saisine
Information,communication et participation des riverains très développées
Les particularité du cas sont : une commune multiexposée
la proximité de Paris et de l’aéroport Orly
l’amplification du mouvement susceptible d’être entendu par les autorités
les formes de mobilisation
les inquiétudes de la population
la complexité de la situation
les particularités sont : mutiti expositions aux polluants
l’implication des habitants dans les protocoles de recherche ( informations, attentes des résultats, réunion)
intervention politique
Diverses agences d’expertise comme l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Afsset), l’Institut national de veilles sanitaire (InVS) et le réseau de surveillance de la qualité de l’air en Ile-de-France AirParif ont été réunis par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) pour établir un diagnostic environnemental de Champlan.
l’étude de différents facteurs de risque (pollution atmosphérique, bruit, ondes électro-magnétiques).
exposition individuelle par capteurs.
la mobilisation d’une partie des habitants, il est important d’obtenir un retour sur tout le travail effec
NB : dans les autres cas : A St Cyr (les cancers pédiatriques) et Le CMMP (l’amiante cause d’un cancer bien connu )
la considération du savoir local ;
Implication de l’autorité locale ;
On peut noter le cadre communautaire important dans le village et l’ampleur de l’étude par rapport à la population. Le caractère novateur de l’étude a permis de déployer des moyens importants pour réaliser une étude relativement complète en allant jusqu’au niveau individuel pour certaines études.
Le cas particulier est la notion d’apport financier ( baisse taxe foncière) de l’Etat pour les habitants Champlan à combler le risque sanitaire donc ils acceptent .
Le cas de Champlan est très différent des autres cas exposés dans le cours. En effet, au niveau de l’étude en elle-même, il a été réalisé une étude sociétale qui a permis d’éclaircir de nombreux points. Cette étude sociétale a mis en avant les différents ressentis des Champlanais et donc l’influence des sources de nuisances. Après, il y a eu un excellent suivi avec une bonne diffusion de l’avancement de l’étude et de l’information auprès de la population (réunion organisé régulièrement), contrairement au cas de St Cyr l’école. Il y a eu une réelle écoute de la population et même si des questions sont restées sans réponse, globalement les habitants sont satisfaits de cette étude (le terme « globalement » est important car tous les habitants n’ont pas été satisfaits).
La particularité est du fait que la ville est multiexposee.
La problématique est la préoccupation croissante de la population vis à vis aux risques environnementaux, par contre pour les autres cas, il y a l’impact sanitaire ( exemple : cas de St Cyr avec le cancer pédiatrique)
La particularité : la détermination des exposition au niveau individuel ;
L’une des particularité de ce cas c’est que les habitants se mobilisent ensembles contre l’arrivé de nouvelles infrastructures. Le comité de défense a été fondé par l’initiative des habitants. De plus le cas de Champlan est très particulier car les nuisances sont multiples, la ville si cette station s’installe serait encerclée.
les particularités du cas de Champlan : nous avons plusieurs nuisances à la fois
l’ampleur des études
L’ampleur des études mises en place
Ce cas n’est pas lié à la survenance d’un cluster. C’est un projet qui a suscité des inquiétudes qui ont abouti à tous ces travaux. Ce cas a également la particularité d’avoir nécessité une approche multidisciplinaire avec même l’utilisation d’une étude sociologique liée à la particularité de la multiexposition.
La particularité de ce cas est la présence d’un signal sanitaire( plus ou moins la présence nuisance) et baser sur des volets, par rapport aux autres cas d’études marquées par l’absence de signal sanitaire( études épidémiologiques).
Ici les poplations ont été impliqué dans l’étude avec la collaboration des autorités locales qui s’y sont investi. Alors que pour le cas de St Cyr il y’a eu simplement information sur les résultats de l’étude.
Les particularités de ce cas par rapport aux autres et des de cas vues en cours précédant.
L’étude de champlan donne des conclusions qui mis en œuvre pourront atténuées les impacts identifiés (enfouissement de câbles de courant dans le sol, isolement de bâtiments d contre les bruits des avions ; réalisation des déviations routières….
Par contre dans les études précédentes nous n’avons vu que les généralités et , il n’est pas encore possible de faire des comparaisons et de tirer des conclusions définitives.
La particularité de ce cas est qu’ici,lapopulation riveraine est consciente de la pollution de son environnement qu’il n’ose pas quitter malgré diverses revelations.L’implication des décideurs ,des associations et des élus locaux a été vivement remarquée bien que n’ayant pas trouvé des conclusions éfficaces
c’est un cas d’une commune rurale comparativement à celui de de Versailles(Saint-Cyr) et de Aulnay-sous-Bois commune urbaine.la particularité est que pour Champlan les sources de polluants sont énormes(bruits,HTH, polluants atmosphérique...) tandis que les polluants pour Saint-Cyr sont des fréquences (basses ou hautes) et pour Aulnay-sous-Bois de l’amiante, d’une source chacun et connue.
La particularité de cas par rapport à d’autres études est qu’elle est demandée par la population, appuyé par les élus locaux qui par la suite à fait intervenir les institutions spécialisées, les scientifiques pour étude. Or dans d’autres cas, l’initiative des études ou analyse d’impact sanitaire vient des scientifiques, des établissement universitaires ou industriels voire des individu. L’étude à Champlan est particulière car elle a pris en compte l’ensemble du terroir du village et d’autres lieux afin d’estimer avec précision les impacts comparés de la pollution environnement sur la santé humaine.
Le besoin de réaliser les études est venu de la population : Demande sociale
Pas de signal sanitaire.
Les autres cas représentent des maladies transmissent par l’infection, contamination,..etc. Et d’autre pathologies non infectieuses d’un groupement (cluster). Mais dans tous les cas y a une inquiétude de société, ce qui fait leurs grands efforts pour réduire ces pathologies. Mais dans ce cas y a une particularité se représente dans la source du risque (infrastructure lourde), et aussi l’impression de certains habitants qui sont préférés cette situation ; et leur adaptation avec la nuisance.
Les particularités de ce cas par rapport aux autres études de cas sont : le comportement de la population vis-à-vis du risque sanitaire, majoritairement, elle fait l’adaptation
site multiexposé mais sans effet sanitaire déjà approuvé
existence d’une association villageoise solide
existence de mesure environnementale prise par l’entreprise pour "payer" sa pollution
Le cas de Champlan porte la particularité d’être exemplaire par rapport aux autres études de cas. La communication entre les différentes parties impliquées dans cette étude est exceptionnelle et porte en elle les graines de la réussite de l’étude dans son ensemble. Les enquêtes cartographiques des sources de nuisances par l’association en tant que preuve, la mobilisation des Champlanais et la réaction prompte de la députée (élu) sont des particularités exceptionnelles à souligner dans le cas de Champlan.
l’implication du publique ainsi les autorités politiques et étatiques et le protocole pour les etudes environnementales sont entre autres des particularités dans ce rapport
Une bonne partie de la communauté souhaiterai que ces études soient suivies d’action concrète
Quatre particularités ont retenues mon attention :
1. L’influence de l’implication des représentants du peuple dans la prise en compte des réclamations et dans toute la démarche d’évaluation du risque ;
2. Le degré de multi-exposition (bruit, CEM, pollution atmosphérique) ;
3. La très louable contribution des sciences sociales dans la tentative d’explication du bilan gain-nuisance.
4. L’organisation, par la population, de la chaîne de communication (information).
Les particularités de ce cas sont à mon avis : La forte implication des acteurs locaux dans le processus d’investigation
La notion de multi-exposition et une étude par conséquent de grande ampleur avec la collaboration de plusieurs agences
L’approche sociologique avec information, implication et participation de la population tout au long de l’investigation
L’étude porte sur plusieurs expositions différentes expertisés simultanément.
La demande a été initiée par un collectif d’habitant puis relayée par un maire très engagée.
Les études ont été portées par plusieurs institutions dans une logique globale.
Une étude sociologique a complété les conclusions épidémiologiques.
Le cas de Champlan est un contexte realtivement inédit né des préoccupations d’une population vis à vis des risques liés à l’environnement ; la multiplicité des sources d’exposition et des nuisances est ici déterminant, notamment l’effet cocktail dont l’importance a été évoqué dès le début de l’enquête. Le signal (environnemental) vient d’un comité local de défense soutenu par un élu qui suscite l’implication des structures de l’Etat (InVS, CRE,ADEME, AFSSET, AIRPARIF...) et des cabinet privés (exemple de collaboration tripartite dénotant la transparence). La durée entre le signal et la saisine est inférieur à 1 an, la validation est immédiate, l’investigation dure à peine 2 ans. les résultats montrent un bon bilan sur le plan environnemental mais pas de réponse à l’effet cocktail et pas de proposition de mesure de gestion. Une bonne preuve de transparence quand même.
La particularité de ce cas résultent du fait que les habitants ont choisis d’habiter sur ce territoire en sachant que les bénéfices sociales sont supérieurs aux éventuels dommages qu’ils pourraient subir du fait de la présence de certaines nuisances. La particularité de cas c’est aussi la présence de plusieurs facteurs d’exposition ainsi que la présence d’une forte mobilisation des acteurs locaux associatifs et des élus, ce qui a permis par ailleurs de déclencher la réalisation de ces évaluations quantitatives et qualitatives par les autorités sanitaires et environnementales.
Les particularités de ce cas : L’étude se rapporte à des sources de pollution multiples, qui fait appel à plusieurs compétences
Il n’y a pas eu d’étude d’impact sur la santé
Les particularités de ce cas par rapport aux autres études de cas vues en cours précédemment sont:Une mobilisation des élus ,des agences d’expertises ,de l’association locale et des populations autour du cas de Champlan et même le dossier a été évoqué par une élue devenue Ministre de l’Écologie au moment des faits qui a defendu le dossier Champlan devant les députés.
On a constaté un cas de plusieurs expositions dans une même ville qui inquiète les habitants
La prise en charge des inquiétudes de la population par un membre important du pouvoir publique c’est-a-dire la député
Ce cas présente plusieurs particularités :
Tout d’abord la multi-exposition des habitants : le bruit des avions et du trafic routier, la pollution liée à la circulation, les lignes haute-tension.
Ensuite, la mobilisation importante et unifiée des habitants qui se sont constitués en comité de défense et sont parvenus à faire remonter le problème à la député locale.
Enfin, la réaction des autorités a été importante : plusieurs organismes sont mobilisés pour mener les différentes études, qui incluent également une étude sociologique. Certaines études sont pionnières, notamment celle portant sur l’exposition aux basses fréquences, pour laquelle il existe peu de données.
La particularité de Champlan : ville revendiquant son caractère champêtre
Absence de polluant chimique
Pas d’accident avéré
mobilisation communautaire pour leur propre cause
absence de contamination alimentaire directe
implication des élus
Particularité : multi-exposition, participation des acteurs locaux, rapprochement avec des outils et concepts des sciences sociales ; collaboration entres les différents Agences et implication des politiques. information entre le maire et la population.
Le cas de l’étude réalisée à Champlan est unique : un grand nombre de facteurs de risque a été étudiés pour évaluer de façon globale l’ensemble de tous les impacts potentiels d’équipements lourds et les effets d’une multi exposition sur l’étendue d’une commune péri-urbaine. De nombreuses instances environnementales ont participé à l’étude en étroite collaboration. De plus le protocole participatif et la communication intégrant les habitants à l’étude ont été particulièrement bien mis en œuvre.
Cette étude a été réalisée de cette façon quasi-exhaustive en partie en raison de l’implication de la députée qui s’est saisi du signal envoyé par le comité de défense et les champlanais.
Champlan à la particularité d’être un village multi exposé.
Il s’agit ici d’une situation d’une zone multi exposée où l’on note une très grande implication des acteurs au niveau local.
La particularité de ce cas réside aussi dans ce qu’il constitue un modèle de collaboration entre acteurs (populations, acteurs locaux, agences de recherche)
Particularité que je trouve pour cette étude est cette frustration de la part des investigateurs car même s’ils ont réussi en terme relationnel,leurs résultats n’ont pas répondu à la question que posait les riverains à savoir les effets des différentes sources de pollution sur la santé de la population riveraine de champlan
LE cas Champlan est l’un des cas où, malgré le caractère dangereux de la vie, les population manifestent une adaptabilité pour y demeurer.
Les particularites de ce cas par rapport aux autres vus precedemment est que devant l’evolution de leur environnement ,les habitants ne reagissent pas de la meme facon.Par exemple l’histoire personnelle et la vulnerabilite socio-economique ont une influence sur les habitants de champlan ce qui n’etait pas le cas pour les habitants de dandora.
particularités de ce cas : ce cas présente une situation de multi exposition (bruit, champ électromagnétique, pollution atmosphérique) ;
les investigations faites ont été particulièrement bonnes pouvant servir d’exemples aux autres cas
il y a eu une approche multidisciplinaire
il y a eu une bonne interaction des parties prenantes et surtout une bonne implication de la population
Dans le cas de Champlan on trouve des particularités telles qu’une multitude d’expositions émanant de l’automobile, des avions, des usines émettrices de polluants, de lignes à haute tension...ce qui engendre différents types d’exposition (bruits, odeurs). Il y a aussi la mobilisation de l’ensemble du village et son investissement auprès de cette étude. Leur but est ainsi de préserver leur environnement et leur santé. Les habitants veulent avoir une corrélation entre les différentes études et continuer à les étudier s’il le faut pour déterminer « l’effet cocktail ».
Les élus prennent aux sérieux les inquiétudes qui émanent de la population, cependant les services de l’état ne vont émettre aucune recommandation ou prise en charge de l’environnement pour apaiser ou améliorer la qualité de vie face à des risques éventuels.
Lors de l’étude, il y a une intégration de la sociologie avec des outils et concepts émanant des sciences sociales, un travail multidisciplinaire, une communication qui permet de tenir au courant la population sur les résultats de la recherche
Ce cas est intéressant dans la mesure où il met en avant le facteur humain (en tant qu’individu et en tant que population) dans l’équation de la santé environnementale. Pour moi, on ne peut pas parler de santé et d’environnement sans parler de l’homme. Ce cas nous montre ainsi l’aspect psychologique (notion de ressource mentale, de stress perçu, d’adaptation psychologique) mais aussi social (effet de groupe, jeu d’acteur, communication) de la santé environnementale.
Les particularites du cas de Champlan est constitue par le rapport benefice/cout des habitants du village, par le contexte des multi/expositions, par l-etude sociologique qui a permis de relever des elements interessants.
La communication a ete importante avec le public et celui/ci a pu participer aux etudes, le site Web de la mairie a distribue des informations regulierement, le public a ete informe des etudes des le depart, de gros moyens ont ete pris pour des modelisations specifiques et croisees qui ont amene des donnees environnementales completes, et les differentes etudes ont ete coordonnees et distribuees a differents organismes competents
/ Quant au cas de la commune de Champlan, il s’agit d’un contexte relativement nouveau, issu des préoccupations croissantes de la population vis-à-vis des risques environnementaux. La configuration locale (multiples sources d’exposition et de nuisances) a été aussi un élément déterminant.
L’intégration de Champlan en 1975 dans le Plan d’Exposition au Bruit de l’aéroport a rendu inconstructible près de la moitié du village et favorisé, en contrepartie, un coût immobilier avantageux et le maintien de terrains boisés, parcs, jardins attenant aux maisons, terres agricoles… Pour que la commune reste compétitive par rapport à ces voisines, les maires successifs ont incité les entreprises à s’installer dans les ZAC qui, elles, pouvaient se développer. Les recettes fiscales qui en découlent sont redistribuées sous forme d’équipements collectifs dont bénéficient tous les riverains (écoles, logements sociaux, équipements sportifs et culturels). Les relations sociales sont importantes (marché, entraide, …). Les nuisances de l’aéroport sont donc contrebalancées par des avantages et une certaine qualité de vie. Aujourd’hui encore, Champlan attire notamment des familles à revenus modestes des villes voisines qui souhaitent quitter leur logement collectif .Un village préservé, avec une identité propre… grâce à Orly ; Champlan c’est un village naturel qui n’a pas subi des modifications et conserve aujourd’hui encore un caractère champêtre du fait de la proportion importante de terrains non constructibles et des maisons villageoises qui constituent le cœur du village ; aussi c’est une commune qui attire une population qui veut échapper à la capitale mais souhaite garder les avantages de l’agglomération Parisienne .
Les différences entre Champlan et saint-Cyr :
Il n’y a pas de cas de maladies rare déclarées a champlan pouvant être en lien avec l’environnement ; autre différence la source des différentes pollutions a saint cyr elle est unique (les antennes relais de la téléphonie) alors que champlan est un champ de source a pollutions.
La population de Champlan a une perception majoritairement positive sur leur village en dépit des pollutions et de la stigmatisation par la presse et les visiteurs. Avec certains avantages sociaux, économiques, les cadres sociaux, les habitants ont une méconnaissance des dangers réels et potentiels qui pendent sur leur tête.
La particularité de ces études c’est l’implication de la population dans la collecte des informations.
Mesure de plusieurs nuisances avec l’apport de méthodes et techniques modernes de l’époque, la mobilisation associative citoyenne de défense de l’environnement, l’action des élus, l’évaluation qualitative de l’enquête sociologique ;
L’étude effectuée à Champlan regorge plusieurs particularités par rapport autres études de cas vues en cours précédemment : L’étude traite le cas d’une commune multiexposée : Champlan se trouve encerclée de plusieurs sources de pollution.
Implication des acteurs locaux (comité de défense créé depuis 1973) dans mobilisation citoyenne et dans la participation aux différentes études ;
Collaboration et implication entre agences (Afsset, Ademe, R&I, Cire ...) ;
Implication politique inédite (député de la 4 ème circonscription de l’Essonne) ;
Des protocoles assez spéciaux pour les études environnementales : des études individualisées par capteurs (tubes spécifiques pour la pollution atmosphérique, appareil portatif pour les champs magnétiques).
la particularité de ce cas est l’émérgence de la problèmatique de la population elle même, et l’impliquation qu’a eu cette dérniere dans le but de trouver des réponses et des solution à sa situation,
une autre particularité est la concentration de différents types de pollution dans un périmètre assez réduit.
La particularité est du surtout à la multi expositions et l’implication des acteurs locaux et régionaux. La création de nouveaux protocoles innovants pour les études environnementales (capteurs) et la transmission des informations aux populations.
les etudes de champlan nous montrent que la population doit etre au centre des preocupations qui n’est pas aussi vraiment pour l’etude a Fos-Sur-Mer. les etudes prennent en comptes les differentes nuisances mais ne font pas de liens avec la sante. pourtant le cas a fait ce lien.
elle fait un catalogue des problèmes d’un micro espace. elle aide a saisir les enjeux des territoires
on note une situation d’exposition à plusieurs polluants, participation des habitants, des acteurs locaux,mise en situation des études sociologiques,
les particularités de ce cas par rapport autres études sont régularité des informations avec les populations et mairie et Multi-expositions
Une étude qui oublie le fond du problème : comment resoudre le problème sur le long termes.
Le cas de Champlan est particulier,
C’est un village qui est situé proche de l’agglomération parisienne,
ceinturé par des axes routiers
avec les installations lourdes
proches des l’aéroport d’Orly
toutes les conditions sont réunies pour mieux apprécier les impacts sanitaires sur les populations
Conclusion 1 une commune multiexposée , La cristallisation des inquiétudes de la population, les formes de mobilisation, l’amplification du mouvement susceptible d’être entendu par les autorités, la complexité de la situation, les efforts déployés à Champlan ont été exceptionnels.
Les particularités de ce cas rapport aux autres études de cas vues en cours précédemment sont tout d’abord la participation des acteurs locaux, ensuite, le relai d’informations, enfin la mise en place de capteurs, et l’effet cocktail dans les expositions.
Parmi les particularité de ce cas, on peut noter l’implication des communautés et des autorités locales, la création d’n outil tel que le protocole. Surtout l’approche inclusive qui est largement mise en exergue.
Les particularités sont : La Multi-exposition (l’exposition provient de plusieurs sources et des types variés), participation et collaboration entre acteurs (populations, acteurs locaux, agences de recherche), l’implication des politiques.
• La validation du signal fut « immédiate » car tout un chacun pouvait constater le cumul d’équipements,
• L’implication de la population au sein des études, en assurant un échange permanent d’informations entre la population ou ses représentants et les services en charge de l’investigation.
• Une bonne compréhension du déroulement des études et la restitution des résultats de la part des riverains car les objectifs et les limites de ce travail leur ont été expliqués dès le début.
• Une approche multidisciplinaire pour une réponse de qualité
• Investigation qui combinait différents experts comme l’ADEME (spécialiste dans la protection de l’environnement et l’énergie), ou l’Afsset et, plus inhabituel un expert du domaine social.
• L’approche sociologique a permis de mieux comprendre les attentes de la population et de recueillir des informations utiles pour l’investigation.
la particularité de ce cas réside tout d’abord dans l’initiative de la demande qui est portée par les citoyens. Ensuite elle donne lui à une mobilisation politique en faveur de cette demande.
Sur un plan environnemental, l’étude porte sur une multitude de facteurs polluants l’environnement et non sur un thème précis.
L’étude est aussi menée sur un volet scientifique et sociologique.
Souvent les demandes de populations concernent l’apparition d’une pathologie ou une augmentation de l’incidence d’une pathologie que les citoyens associent à une nouvelle exposition. Pour le cas de Champlan, les expositions sont multiples et engendrent des nuisances/gênes multiples.
De plus, dans le cas de Champlan, l’implication de la population a été très importante pendant très longtemps. L’implication de la député est également un fait relativement inédit.
Les particularités de ce cas par rapport aux autres études de cas vues en cours précédemment sont : une multi exposition (les lignes électriques à très haute tension 400 000 V, plusieurs échangeurs, axes routiers et autoroutiers (A6, A10, N20…), l’incinérateur, une station de traitement de mâchefers, un centre de concassage d’infrastructures routière, une ligne RER, aéroport Orly) des champlanais ;
un signal environnemental car le village est entouré d’infrastructures lourdes créant des nuisances ;
une exposition involontaire (au départ, Champlan n’était qu’un village champêtre et au fur et à mesure les équipements collectifs lourds sont apparus sur le site) ;
une mobilisation exceptionnelle des habitants en vue de répondre aux inquiétudes ou aux attentes ;
une grande médiatisation autour du cas de Champlan car relayé par de nombreux articles de presse ;
l’implication de nombreux acteurs dont acteurs locaux, de l’évaluation et de la gestion des risques environnementaux, chargés des investigations, responsables de la prise des décisions et de leur mise en œuvre : Le collectif de défense, le conseil municipal, AIRPARIF (diagnostic de la qualité de l’air), AFSSET (l’exposition aux polluants), ADEME (IMPEDANCE) (l’exposition de la population au bruit de l’environnement), AFSSET (SUPELEC) (caractérisation de l’exposition aux champs magnétiques) ;
communication ou échanges entre les populations concernées et les autorités locales…
La particularité de ce cas est que
Les Champlanais pour leur majorité ont un projet de vie positif dans cette commun, ils sont attaché à l’identité de leurs village,
ainsi que Implicite les habitants dans les divers résultats, exemplaires « papier » des rapports d’étude ont été envoyés à la commune pour une mise à la disposition du public.
La satisfaction partiel des habitants qui jugent que les résultats sont désangoissant.
les particularités sont : la forte mobilisations des associations, l’implication des élus locaux, une commune multi-exposée ( pollution atmosphérique, nuisances, bruits), plusieurs études de différentes disciples ont été mené,
La solidarité des acteurs, la mobilisation des outils en sciences sociales et la participation de la député.
ce cas rencontre de différants types de pollutions ( de l’aire, sonore, et magnétique) aux effets cocktail
On travaille dans une village locale par la mobilisation d’une partie des habitants, il est important d’obtenir un retour sur tout le travail effectué, les remarques qu’il a pu suscité et in fine s’il a répondu aux attentes.Les protocoles des études ont fait l’objet de commentaires de la part des Champlanais, concernant les échantillons et la méthode de mesure . Une problématique de santé publique locale.Les protocoles des études ont fait l’objet de commentaires de la part des Champlanais, concernant les échantillons et la méthode de mesure .
Les particularités de ce cas par rapport autres études de cas vues en cours précédemment sont :
- l’exposition est élevée et implique plusieurs sources de pollution a la fois ;
- Les acteurs locaux sont impliqués et gèrent en connivence avec les habitants et les experts en utilisant les approches participatives. la mobilisation et la bonne organisation de la population
La démarche participative c’est à dire l’implication des populations locale dans les prises décisions, collaboration parfaite entre les chercheurs et les autorités publiques, avis communs en ce qui concerne les nuisances. ce problème est particulier a cause de la multitude des polluants appel" effet cocktail.
On peut noter la démarche de l’association, l’implication des autorités politiques comme la députée, la coordination entre les acteurs comme la présence d"un membre de l’association au conseil municipal, les différents niveaux de recherche (atmosphérique, individuel, social etc) et la qualité (diversité) et la quantité des agences impliquées dans les recherches. il y a aussi la restitution des informations auprès des populations et leur implication dans la recherche.
Par rapport aux autres cas de figure comme Salindres ou Fos-Sur-Mer, Champlan n’est pas une ville industrielle mais il rencontre les mêmes problèmes de pollution ( nuisances sonores, bruit, pollution de l’air ) qu’une ville industrielle.
D’abord c’est un cas avéré de multi-expositions sur un territoire délimité. Ensuite, c’est un cas typique de recherche en matière de santé environnementale localisée puisque c’est suite à un signal environnemental que l’on déclenche une enquête multicritère afin d’essayer d’estimer un éventuel impact de l’environnement sur la santé. Au niveau méthodologique, il est également assez singulier par l’intervention de différents acteurs (Ademe, INVS, AFSSET).
Dans ce cas, l’étude est général prise en compte de la santé, l’environnement avec une explication détaillée des études effectuées.
Dans ce cas, l’étude est général prise en compte de la santé, l’environnement avec une explication détaillée des études effectuées.
Il s’agit d’une évaluation d’impact en santé très complète et poussée, ayant évaluée toutes les expositions identifiées. Champlan a représenté un vrai « laboratoire » d’expérimentation pour les acteurs de l’EIS. Elle a inclue également une étude sociologique afin de mieux comprendre les perceptions et le vécu des riverains.
Pour finir, la communication autour du programme d’études a été continue et fréquente entre les organismes et les habitants.
Plusieurs sources d’exposition (les axes routiers, lignes THT, aéroport d’orly)
participation des citoyens, associations, les elus....
Champlan présente : une Multi exposition par rapport aux autres cas d’étude, un rapprochement avec les outils et concepts des sciences sociales, des points de divergences par rapport aux études effectués et la satisfaction de chaque individu.
Les particularités de ce cas par rapport autres études portent sur les questions liées à l’implication des acteurs locaux, également le cas de Champlan est une multi-exposition, et notamment le soupçon de l’effet cocktail.
La particularité de cette commune renvoie au fait du comportement paradoxale des populations. Paradoxale parce qu’elles acceptent des faits différents des normes préétablies. Ce qui donne l’impression qu’elles vivent dans un environnement pollué et autres. Du coup les conditions d’acceptation d’une telle situation suscite tout un intérêt.
Une étude multi-exposition pour bien cerner le cas
La participation des citoyens en assurant un échange avec les acteurs en charge de l’étude.
Traitement du coté social pour bien comprendre les besoins et les conditions de vie des habitants.
Implication des experts et des acteurs politiques
l’étude se différencie des autres par son caractère de multi-exposition, combine plusieurs experts dans différents domaines d’études. ainsi qu’une combinaison avec une approche sociologique qui permet de recueillir les craintes et attentes des populations.
études environnementales innovante et individuelles
implications des acteurs locaux, de la population, en assurant les échanges permanents la population ou ses représentants.
Les particularités de ce cas par rapport aux autres : l’exposition multiple.
Collaboration de plusieurs acteurs locales (AFSSET, Airparif, IsVS, CIRE, ADEME, mairie, cabinet de sociologie, comité de défense et la population) et implication de politicien sensible aux problématiques environnementales ce qui a idée à la prise en considération de la quête des villageois.
L’utilisation d’études sociologique pour étudier l’effet que produit ces polluants (la sensation de gène,satisfaction résidentiel..)à sur les habitant.
Partage de l’information
c’est un cas appart car :
_Divers dispositions ont été mise en oeuvre pour une investigation et expertise réussi mais après les résultats les populations ne sont pas satisfaites.
les types d’expositions sont variées ;
Il s’agit en conclusion d’une multiexposition
_les préoccupations croissantes des populations de champlan à induit à létude. Elle est pluridisciplinaire et fait intervenir une approche sociologique. La validation du signal environnemental, les habitants ont été associés à l’étude. Les résultats ont fait l’objet de réunions publiques. Même si les résultats n’ont pas répondu à la question d’effet cocktail des riverains, ces derniers ont eu une bonne compréhension de l’étude, des résultats et des limites.
la variabilité des études commanditées qui fait suite à ce défit scientifique d’essai de mesure des effets cocktail
Les particularités de ce cas par rapport aux études de cas sont les suivantes : la mise en lumière de la multi-exposition, l’implication des acteurs locaux, la mobilisation des outils et concepts en sciences sociale, mobilisation de plusieurs parties prenantes (agences d’expertise et implication de politique).
Les particularités de ce cas par rapport aux autres études de cas sont les suivants :
La prise en compte des aspects sociologique dans le cas de Champlan
Les multiples expositions très claires.
La particularité de ce cas d’étude relève du fait que ceux sont les populations qui ont été à l’origine du projet en comparaison avec l’étude de cas de la décharge de Dandora en Nairobi où l’étude à été porté par le Programme des Nations Unis pour l’Environnement.
La diversité des expositions ,la mobilisation de la communauté champlin ,les études menées et le portage du projet par une diversité d’acteur font la particularité de cette étude.
La particularité de ce cas par rapport aux autres études de cas vus en cours est que celui-ci émane d’une initiative locale. C’est les habitants et les mouvements associatifs qui ont décidé de se mobiliser autours de cette problématique environnementale avec l’appui de députés spécialistes dans les questions environnementales.
L’approche participative des citoyens : ceux-ci ont été impliqué aux études et ont été informé du déroulement de celles-ci tout au long de leur réalisation, à travers des réunions publiques, des lettres d’informations, et de communication via réseaux sociaux et site internet. Les citoyens ont aussi donné leur avis sur les résultats des études, en exprimant les insuffisances de celles-ci et en formalisant leurs attentes à la suite de ces études.
Les études ont été le fruit d’une collaboration entre plusieurs agences et expriment donc mieux la complexité vu par des prismes différents.
Utilisation de méthode innovante dans la mesure de la pollution (capteurs..)
La diversité des facteurs d’exposition, car Champlan est en effet très entouré par des engins lourds, l’implication de la député qui est passionnée par les questions environnementales.
il y’a l’implication des acteurs locaux ,implication politique, une innovation d’études environnementales
mais une absence de participation des services déconcentrés
les particularités de ce cas par rapport autres études de cas vues en cours précédemment
(1) protocoles innovants pour les études environnementales (exposition individuelle par capteurs), régularité des informations avec les populations et mairie, (2) approche participatives des acteurs locaux(3)Multi expositions (3)rapprochement avec les outils et concepts des sciences sociales
Ce cas d’études est caractérisée par :
- la multi-exposition a différents polluants, nuisances sont diverses, importantes et multiples
- le déclenchement de l’étude est du a la multiplication des sources d’exposition et les craintes dues à un effet cocktail et non a un signal sanitaire.
- la prise en compte importante de l’aspect sociologique.
- les études effectuées pour mesurer les expositions et non des études épidémiologiques.
Les particularités de ce cas par rapport au autre vues au cours sont : la problématique de multiexpositions aux pollutions d’origine divers, l’implication des élus dans la gestion des risques de ces pollutions, l’implication des populations dans les prises des décisions.
Dans cette situation, on note une évaluation effectuée après l’alerte des habitants et surtout leur implication ainsi que toutes les parties prenante tout au long du processus de planification jusqu’à l’évaluation des expositions. le partage des résultats avec toutes les parties prenantes est aussi un élément particulier. On constate aussi l’usage des outils adéquats et innovants utilisés pour la mesure de la pollution de l’air.
La particularité de ce cas est que l’étude est plus générale, elle prend en compte la santé, l’environnement avec une explication détaillée des études effectuées.
Les particularités dans ce cas par rapport aux autres études sont : Implications des acteurs locaux et les multi-expositions
Le village de Champlan subit de nombreux équipements collectifs lourds à la fois. Il constitue un cas particulier d’une commune multiexposée. plusieurs études ont été menées par des organismes différents sur des mêmes expositions ou d’autres distinctifs ( l’étude Airparif , Ademe, Afsset, l’étude sociologique), la mise en place d’un comité collectif qui a déclenché le signalement en partenriat avec les élus, les citoyens, les média…etc.
Les particularités sont : la multi exposition.
la prise en compte de la part des élus.
l’effet cocktail.
Les particularités de ce cas par rapport autres études de cas vues en cours précédemment son : La multi-exposition flagrante, les nuisances sont diverses, importantes et multiples, le point de départ de l’étude est la multiplication des sources d’exposition et non un signal sanitaire comme on a pu le voir par ailleurs.La prise en compte importante de l’aspect sociologiqueet que es études sont des études mesurant les expositions.
la particularité de ce cas , c’est la multi-exposition a plusieurs facteurs dont il est difficile d’établir les interrelations et mesurer le risque.
Le cas de Champlan présentait de nombreuses particularités : le fort historique d’implication des populations dans les questions environnementales, la multi-exposition des habitants ou la prise en compte des aspects sociaux de la gêne ressentie.
Les particularités de ce cas par rapport aux autres études sont : Enquête épidémiologique classique car il existait des synthèses déjà reconnues dans le milieu scientifique mais à quand même voulu vérifier cette excès de pathologie non infectieuse.
Validation du signal immédiate
Information : la concertation et la participation des riverains dans les mesures ont été largement exploitées : réunions publiques, lettre d’information, site internet de la commune…
la particularité de ce cas , c’est la multi-exposition a plusieurs facteurs dont il est difficile d’établir les interrelations et mesurer le risque.
Ce cas a été investigué notamment grâce à la population locale qui s’est beaucoup mobilisée. C’est en grande partie grâce aux Champlanais que le village a pu faire l’objet de nombreuses études. Par rapport aux autres cas vus en cours précédemment, celui de Champlan a montré une certaine pluralité de type d’études permettant d’obtenir des données et établir des constats sur un grand nombre d’éléments. Une multitude de données de tous types a pu être examinée (deux études Afsset, ademe, airparif).
dans un premier lieu le mouvement des habitants et la réaction face à la menace de village par différents nuisances.
Deuxième point attirant c’est la réponse de la députée « un élu humain avant d’être responsable »
Puis les différents paramètres de la multi-exposition, la collaboration entres les agences pour réalisation des études avec des protocoles sophistiqués(capteurs),implication de la population dans la collecte des données
La participation citoyenne et sa prise en compte dans l’étude est remarquable.
La participation de la population dans l’étude
particularités de ce cas par rapport a autres études et impliqué tous les acteurs (participation citoyenne ,,,)
particularités de ce cas par rapport a autres études et impliqué tous les acteurs (participation citoyenne ,,,)
Contrairement à beaucoup d’autres cas, l’alerte dans ce cas a été rapidement pris en considération, des études ont été rapidement mises en place, les mesures sont à la fois collectives et individuelles, toutes les nuisances ont été prises en compte et mesurées (multi-exposition), étude sociologique, les habitants sont impliqués (Comité de défense), les élus locaux sont impliqués mais pas de mesures de gestion des pouvoirs publics par la suite (assez similaires à d’autres cas)
Les particularités de ce cas par rapport les autres études ( l’école Saint-Cyr , CMMP) :
- La source de l’exposition est non connue on n’est dans un cas de multi-exposition ;
- Mobilisation des politiques publique ( élus / maire)
- Diversité des nuisances ( bruit, THT, pollution atmosphérique)
La particularité de ce cas , c’est la multi-exposition aux pollutions par les habitants, ainsi que la mobilisation et l’implications des acteurs loceaux et des politiques.
Deux particularités distingues dans ce cas par rapport aux cas de CMMP et de St-Cyr l’école
Première particularité est le cas de Champlan ou il y a une multi-exposition alors qu’à Saint-Cyr l’école et à CMMP il s’agissait d’une exposition à une source connue ou suspectée
Et, Pour le cas de Champlan, il s’agit d’une alerte environnementale alors que pour les autres cas, il s’agissait d’une alerte sanitaire
Champlan est un peu une sorte de "laboratoire" d’études idéal du fait de la multi-exposition à divers sources de nuisance, ceci à par conséquent donner lieu à la réalisation d’études inédites, avec des protocoles originaux permettant de collecter des données "précieuses".
multi expositions
demande d’études émanant des citoyens
études multiples : mesures physiques, considération sociale
les particularités de ce cas par rapport autres études de cas vues en cours précédemment :
L’étude traite le cas d’une commune multiexposée : Champlan se trouve encerclée de plusieurs sources de pollution.
Implication des acteurs locaux (comité de défense créé depuis 1973) dans mobilisation citoyenne et dans la participation aux différentes études ;
Implication politique inédite (député de la 4 ème circonscription de l’Essonne) ;
Des protocoles assez spéciaux pour les études environnementales : des études individualisées par capteurs (tubes spécifiques pour la pollution atmosphérique, appareil portatif pour les champs magnétiques).
L’implication des acteurs locaux, en particulier d’une élue, et des agences
Les dialogues avec la population et des aller-retour entre la mairie et les habitants
La réalisation d’une étude sociologique
Il y a eu plusieurs facteurs clés , y compris la présence de multiples sources d’exposition, la participation active des acteurs locaux, l’utilisation de méthodes issues des sciences sociales, une collaboration sans précédent entre les agences, l’implication politique, des études environnementales innovantes qui mesurent l’exposition individuelle grâce à des capteurs, et une communication régulière avec les habitants et les autorités locales.
La particularité de Champlan fut ici le cas de la multi-exposition, dans les exemples précédents ce fut un signal sanitaire ou environnementale précis qui déclencha l’enquête. Ici il y avait tout de même un signal environnementale initiale, avec l’étude montrant la forte pollution atmosphérique mais c’est principalement la réalisation de "l’enclavement" du village par des équipements polluants et la thématique de la multi-exposition qui fait l’une des particularité de Champlan.
Ensuite, le fait que les craintes des habitants soient portées par des acteurs locaux très impliqués et une élue qui à permis une mise en mouvement importante, avec cette ambition de faire de Champlan : "un laboratoire d’une démarche exemplaire". Permettant la mobilisation de plusieurs agences : l’ADEME, Airparif, l’Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail) et l’InVS (Institut de veille sanitaire) pour répondre au mieux aux inquiétudes de la population champlanaise.
Ainsi qu’un véritable échange avec les habitants et une considération sociale de la problématique et non seulement technique.
les particularités de ce cas par rapport autres études de cas vues en cours précédemment sont l’implication des acteurs locaux et des politiques, l’utilisation des outils des sciences sociales ; la multi-exposition ; le partage d’information
Exposition à plusieurs facteurs tels que l’air, le bruit, et les champs électromagnétiques.
Signalement sanitaire émanant de la communauté via le Comité de défense.
Des données existent déjà, telles que le cadastre des émissions dans la région Île-de-France et des campagnes de mesures exhaustives.
De bons protocoles d’études, validés et éprouvés.
Une étude sociologique a également été effectuée.
Une bonne implication et communication avec les habitants (les demandeurs de l’étude).
Des incertitudes scientifiques subsistent quant aux effets-cocktail et même sur les nuisances individuelles telles que les seuils pour les champs électromagnétiques.
En comparant le cas de Champlan avec les cas de CMMP et de St-Cyr l’école, deux particularités distinctes se dégagent. Tout d’abord, le cas de Champlan est une multi-exposition, ce qui signifie que les habitants ont été exposés à plusieurs sources potentielles de pollution environnementale, tandis que dans les cas de CMMP et de St-Cyr l’école, il s’agissait d’une exposition à une source unique ou suspectée. En outre, l’alerte à Champlan est principalement environnementale, alors que les alertes à CMMP et St-Cyr l’école étaient principalement sanitaires, c’est-à-dire liées à des risques pour la santé.
"La validation du signal fut « immédiate » car tout un chacun pouvait constater le cumul d’équipements, et l’étude d’Airparif de 2003 objectivait déjà une pollution de l’air sur la commune."
Il y’a eu la participation de plusieurs acteurs.
En effet, le cas de Champlan présente quelques particularités par rapport aux autres études de cas vues dans le cours précédent. Voici quelques éléments :
Il semble que le cas de Champlan soit lié à une série de problèmes liés à la qualité de vie et à l’environnement dans la ville, notamment la pollution sonore et la pollution de l’air. Cependant, contrairement à certains des cas précédemment étudiés, le cas de Champlan semble mettre en évidence différents niveaux d’exposition selon la géographie et les personnes.
1. Exposition hétérogène aux nuisances :
Comme vous l’avez souligné, l’exposition aux nuisances telles que le bruit et la pollution n’est pas uniforme à Champlan. Cela peut compliquer la gestion de ces nuisances, car les mesures prises pour protéger la santé des habitants peuvent varier d’un département à l’autre.
2. Divers facteurs de vulnérabilité :
Les résidents de Champlan ne sont pas tous sensibles aux nuisances environnementales. Certains peuvent être plus sensibles au bruit et aux polluants en raison de leur âge, de leur état de santé ou d’autres facteurs de vulnérabilité. Par conséquent, il peut être nécessaire d’ajuster les politiques de protection de la santé pour tenir compte de ces différences. 3. L’exposition change avec le temps :
L’exposition aux risques environnementaux peut varier selon les activités et l’horaire de la personne. Par exemple, les niveaux de bruit peuvent être plus élevés aux heures de pointe ou à proximité des aéroports lors du décollage et de l’atterrissage. Par conséquent, il est important de tenir compte de ces changements au fil du temps dans l’évaluation des risques pour la santé.
Globalement, le cas de Champlan met en lumière la complexité de la gestion des enjeux environnementaux en contexte urbain et souligne l’importance de la prise en compte des particularités locales pour élaborer des politiques de protection efficace de la santé.
Dans ce cas, on parle d’une exposition multiples aux plusieurs nuisances ,beaucoup d’acteurs sont impliqués, implication politique ( la députée a pris en charge le signal des habitants), collaboration entre les agences, l’emploi des protocoles innovants...Mais les services de l’état n’ont pas participé dans ce cas.
Il a plusieurs caractéristiques. Le cas de Champlain semble lié à plusieurs enjeux liés à la qualité de vie urbaine et à l’environnement, notamment le bruit et la pollution de l’air. Cependant, contrairement à certains cas précédemment examinés, le cas de Champlain semble mettre en évidence des niveaux d’exposition variables selon les régions et les personnes.
1. Exposition hétérogène aux nuisances : Comme vous le soulignez, l’exposition aux nuisances telles que le bruit et les polluants n’est pas uniforme dans le champagne. Cela peut rendre difficile la gestion de ces nuisances car les mesures prises pour protéger la santé des habitants peuvent varier d’un département à l’autre.
2. Facteurs de vulnérabilité : Tous les résidents de Champlain ne sont pas sensibles aux pressions environnementales. Certaines personnes sont plus sensibles au bruit et aux polluants en raison de leur âge, de leur état de santé ou d’autres facteurs de vulnérabilité.
3. Changements au fil du temps d’exposition : L’exposition aux risques environnementaux varie en fonction des activités et des horaires individuels. Par exemple, aux heures de pointe au décollage et à l’atterrissage, ou à proximité des aéroports, les niveaux de bruit peuvent être élevés.
L’étude souligne la complexité des facteurs influant sur la santé, la qualité de vie et le lien entre l’environnement et l’état de santé des habitants exposés à des multiples expositions environnementales. La notion de multi-exposition, encore mal appréhendée, s’associe à des facteurs individuels liés aux projets de vie et aux ressources personnelles, ainsi qu’à des facteurs collectifs tels que la qualité des liens sociaux.
Les points à noter sont : la présence de multiples sources d’exposition, la participation active des acteurs locaux, l’utilisation de méthodes de sciences sociales, une coopération sans précédent entre les autorités, l’implication politique et un environnement innovant pour mesurer l’exposition individuelle à l’aide de capteurs. Il existe descommunications régulières sous la forme de la collaboration avec les habitants et les communautés. Cependant, ces études ne se reproduiront pas et il n’y a pas d’implication des services de l’État.
Champlain est victime à de multi-expositions (nuisance sonore, pollution atmosphérique, champs magnétique) ;
Forte implication des Champlanais dans l’étude, du maire également ;
L’usage de méthode innovante dans cette étude en santé environnementale (exposition individuelle par capteurs) ;
La prise en compte importante de l’aspect sociologique.
Comparativement aux autres études de cas abordées en cours, ce cas présente des caractéristiques distinctives, telles que l’implication significative de la population et des différents acteurs dans les procédures d’investigation, une communication efficace des informations avec le public, ainsi qu’une participation marquée de la part des acteurs politiques.
Les particularités de ce cas par rapport autres études de cas vues précédemment est liée à la demande émanant d’un collectif appuyé par un élu qui demande d’emblée une étude de grande envergure. Celle-ci intègre des études quantitatives, des multi-expositions et quantitatives avec l’enquête sociologique
1. Multitude de Facteurs d’Exposition
2. Proximité avec une Métropole et Coexistence avec une Infrastructure Majeure AEROPORT ORLY
3. La mobilisation des élus et des habitants
4. Études pluridisciplinaires de la sociologie à la santé publique en passant par l’environnement ce qui offre une vision holistique du problématique
ce cas ; c’est des etudes de l’exposition au multiples polluants de différentes nature,
Le cas d’étude de Champlan présente plusieurs particularités par rapport aux autres études de cas vues précédemment :
1. Implication Politique : La mobilisation sociale à Champlan implique une participation politique locale, avec une remise en cause des règles politiques partagées jusque-là. Cela se manifeste par la tension entre la municipalité et les instances extérieures.
2. Prédominance des Acteurs Locaux : Les acteurs locaux, tels que l’association locale, jouent un rôle central dans la mobilisation. Cette dynamique locale est mise en avant dans l’analyse sociologique.
3. Étude Sociologique Préalable : Avant toute démarche épidémiologique, une approche sociologique a été entreprise pour comprendre les raisons de la mobilisation. C’est une particularité par rapport aux autres cas, où l’approche sociologique pourrait être moins prédominante.
4. Coexistence de Nuisances et Avantages : Champlan se distingue par la coexistence apparente de nuisances importantes, comme le bruit des avions, avec des avantages perçus, tels que le coût immobilier avantageux et les équipements collectifs.
5. Équilibre Fragile des Habitants : L’étude met en évidence l’équilibre fragile entre les inconvénients des nuisances et les avantages perçus de vivre à Champlan. Cet équilibre peut varier en fonction des événements individuels et collectifs.
6. Communication Régulière : La communication avec la population locale est soulignée, avec des réunions publiques régulières, des lettres d’information et un site Internet dédié. Cette transparence dans la communication pourrait différer d’autres cas.
7. Absence d’Implication des Services de l’État : Contrairement à d’autres études de cas, les services de l’État, tels que la préfecture, ne semblent pas jouer un rôle majeur dans le processus, soulignant l’implication principale des acteurs locaux.
Ces particularités font de Champlan un cas complexe et nuancé, où les dynamiques locales et les facteurs sociologiques jouent un rôle crucial dans la mobilisation sociale.
la multi-exposition flagrante, les nuisances sont diverses, importantes et multiples
le point de départ de l’étude est la multiplication des sources d’exposition et non un signal sanitaire comme on a pu le voir par ailleurs.
la prise en compte importante de l’aspect sociologique
Cette étude se démarque par une forte concentration d’infrastructures lourdes, une longue histoire de mobilisation communautaire depuis 1973, la proximité avec Paris, et des études mettant en évidence des préoccupations sanitaires. Les divergences d’opinions entre la population locale, l’association, les élus et les agences d’expertise ajoutent une touche unique à la dynamique de ce cas.
Comparé à d’autres exemples dont on a parlé en classe, ce cas à Champlan est spécial pour quelques raisons. Il y a beaucoup d’infrastructures importantes ici, comme les lignes électriques et l’aéroport d’Orly tout près. En plus, les habitants sont mobilisés depuis 1973, montrant un engagement à long terme. La proximité avec Paris et les préoccupations pour la santé rendent ce cas unique. Les différentes opinions entre les habitants, l’association, les élus et les experts ajoutent aussi une touche particulière à la situation. C’est un peu comme une histoire avec des ingrédients spéciaux qui la rendent différente des autres.
Les particularité de cas par rapport autres études sont :
Bonne implication et communication avec les habitants (les demandeurs de l’étude)
Objectif de l’étude
Etude sociologique
Multi expositions (air, bruit, CEM...).
Etude sociologique
le cas de ce village est particulier parce que la source de l’exposition est multiple et le genre d’exposition est nombreux
Dans le cas de champlan les habitants se sont révoltés face aux expositions multiples sur leur petit territoire et non devant des maladies ou décès mis en évidence par l’épidémiologie. C’est une façon plus préventive d’agir.
pour voir la réponses type
Ce cas est particulièrement remarquable en raison de la présence de divers polluants sur le territoire. Les études menées sont multidisciplinaires afin de mettre l’accent sur les détails de chaque risque. En réponse à ces actions, la population tend davantage à collaborer afin de faciliter le travail des spécialistes dans leur domaine.
Les particularités de ce cas par rapport à d’autres études résident dans la combinaison de nuisances multiples (bruit, CEM, pollution de l’air), une exposition généralisée mais des perceptions divergentes, une mobilisation citoyenne forte autour de la défense de l’environnement et l’importance des ressources sociales et économiques des habitants dans leur capacité à supporter les nuisances et un conflit spécifique entre développement économique et préservation de l’espace naturel.
Champlan, en raison de sa proximité avec Paris, subit une accumulation d’équipements collectifs lourds (lignes électriques, axes routiers, incinérateur, RER, survols d’Orly) provoquant des niveaux de pollution élevés, supérieurs à ceux du centre de Paris selon Airparif. Face à ces nuisances, le Comité de défense, créé en 1973, a mobilisé les habitants, la mairie et les institutions, dénonçant l’impact sanitaire et environnemental d’un tel encerclement. En 2005, une pétition signée par un tiers des habitants a mis en lumière le problème de l’effet « cocktail » des émissions, soulignant la singularité de ce cas périurbain.
le cas de Champlan se distingue par : une forte mobilisation locale face à des nuisances environnementales,
les multiples expositions (sonores, aériennes et routières, et électromagnétique) .
une interaction étroite avec les élus, notamment grâce à l’implication de la députée locale, et par une communication continue avec les habitants.
protocoles performants
Ce cas se distingue par rapport aux autres études du fait de l’implication des différents acteurs et l’intégration de l’expérience des citoyens ce qui a permis une évaluation individuelle, un aspect tout de même innovant.
1- Les champlanais sont exposées à un cocktail de polluants ( multi expositions).
2-Le village champlan est un contexte spécifique ; il est déja habité et aménagé ( les nouvelles infrastructures , projets vont détruire le cadre de vie optimal des villageois ( la plupart des projets dans les autres zones sont réalisés sur des régions rurales moins habitées ( la préservation du cadre de vie est mise en question) .
3-La diversité des acteurs intervenant dans cette problématique : les riverains , les champlanais , les élus , les associations les agences d’expertistes ( souvent ces acteurs ont des opinions et préoccupations différentes ce qui peut générer des tensions énormes et amplifier le problème .
4-les champlanais ont montré un intérêt fort pour leur territoire qui veulent garder son identité et préserver ce cadre de vie agréable ( satisfaction ) .
Les particularités de ce cas par rapport aux autres études de cas vues en cours sont :
Une multi-exposition aux nuisances (pollution de l’air, bruit, champs magnétiques, trafic routier, industries…) unique en raison de l’encerclement du village par les infrastructures avec un futur projet de station d’épuration au sud.
Une mobilisation locale forte, initiée par les habitants et structurée autour d’un comité de défense actif.
Une prise en charge politique avec l’intervention directe d’une députée qui a permis le lancement des études.
Contrairement au cas de Saint Cyr l’école pour l’antenne relais ou encore la CMMP
Dans ce cas, Champlan fait face à une exposition multiple (pollution de l’air, bruit, champs électromagnétiques) et les gens s’inquiètent des effets cumulatifs, tandis que dans le cas de Saint Cyr l’École et le cas d’amiante, ils se concentrent sur question unique. D’ailleurs, la mobilisation citoyenne est plus forte à Champlan grâce à un comité de défense actif, contrairement à d’autres cas où les autorités locales ont initié les démarches.
A Champlan, la validation du signal fut « immédiate » car tout un chacun pouvait constater le cumul d’équipements, et l’étude d’Airparif de 2003 objectivait déjà une pollution de l’air sur la commune.
Les populations ont été impliquées dans les études. Le comité de défense a joué un rôle important dans la réalisation des études pour faire entendre leurs voix ou arguments.
Le cas de Champlan montre un exemple, plus constructif où l’information, la concertation et la participation des riverains dans les mesures ont été largement exploitées, les réunions publiques, la lettre d’information, Le site Internet de la commune et certains habitants ont participé à des mesures d’expositions individuelles
Les particularités de ce cas, par rapport aux autres études de cas abordées précédemment, résident notamment dans l’absence de mesures d’exposition aux risques multiples, ce qui limite la compréhension de l’impact sanitaire global et de l’effet cocktail des différentes expositions. De plus, les protocoles de mesure de l’exposition ne sont pas toujours adaptés pour évaluer précisément les risques encourus par les populations concernées. Ces lacunes méthodologiques peuvent entraîner des divergences d’opinions entre les populations, les associations locales, les élus et les agences d’expertise, chacun interprétant les résultats selon ses propres perspectives et préoccupations.
Pour ce cas d’études , il existe des cas de rapports divergents entre des habitants aux avis différents, certains sont catégoriques et ne veulent pas de nouveaux équipements et d’autres qui regardent seulement les points avantageux de la situation . Les autorités publiques minimisent les impacts sanitaires et prévoient des solutions à long terme. Les associations combattent la situation