Apprendre à calculer une MRL (niveau de risque minimum)

Pour convertir en dose journalière admissible il faut tenir compte des facteurs d’incertitude. Donc la DSENO de 0,1 μg sera divisée par 3 pour le passage à l’homme, puis par 10 pour la variabilité humaine. Une première valeur de référence pourrait être 0,0033 μ/kg/j, arrondie à 3.10-6. Il est possible d’appliquer un facteur de correction supplémentaire pour tenir compte de la biodisponibilité alimentaire usuelle car la TCDD est délivrée aux animaux dans un liquide huileux (biodisponibilité supérieure).

Si la courbe dose - réponse est facile à interpréter, il n’est pas préciser si l’expérience s’apparente à une exposition aiguë ou chronique.

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Le graphique ci-contre représente les résultats d’une expérience de toxicité animale. Peu importe les symptomes observés ou le type de toxicité, la courbe dose - réponse permet de déduire une DSENO (dose sans effet nocif observable) ou NOAEL. Aidez-vous de la valeur obtenu à partir du graphique (dose journalière délivrée dans l’alimentation) pour calculer une valeur de référence chez l’homme, en justifiant vos choix.
Pour bien situer le problème, il manque un élément important dans l’énoncé. Lequel ?

136 Messages de forum

  • l’élément important qui manque dans cet énoncé est la facteur d’incertitude.
    d’après cette courbe, on peut conclure que la DSENO est de l’ordre de 0,001µg/kg/j. Pour déduire la VTR chez l’homme, on va suivre les deux étapes suivantes :
    1- Modification de la dose critique-facteurs d’ajustement :
    - différence homme animal on applique le facteur 3
    - Ajustement des conditions d’exposition (expérimentale et humain) : 6/24 x 5/7

    DSNO corrigé : 0.00054µg/kg/j

    2- Application des facteurs d’incertitude
    - Extrapolation inter espèces : 17.5
    - Variabilité intra espèce : 10
    - Transposition de durée d’exposition:1
    -relation dose reponse : 1
    - Qualité de donnée : 1

    VTR = 3,06x10-6 µg/kg/j

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  • - Détermination de la DSENO d’après le graphique : 0,1 µg/kg/j (dose sans augmentation de la fréquence d’effet nocif par rapport aux témoins).
    - Facteurs d’incertitude : 10 pour la transposition homme-animal, 10 pour la variabilité intra-espèce ; compte tenu de l’absence de précisions sur le déroulement de l’étude de toxicité (espèce testée, durée de l’expérimentation, nombre d’animaux), il semble justifié d’appliquer un UF supplémentaire de 10.
    On aboutit donc à une VTR orale de 0,0001 µg/kg/j, la précision manquante concernant, outre le type d’effet toxique, le caractère aigu ou chronique de l’exposition.

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  • Il manque le facteur temps : pendant combien de temps la dose a-t-elle été donnée ?
    Je déduis du graphique une DSENO à 0,01µg/kg/j. J’applique des facteurs de sécurité :
    - extrapolation homme animal : 3
    - variablité inter humaine : 10

    D’où une VTR à seuil de 3.10-4µg/kg/j

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  • D’après la courbe la NOAEL se situe à 0,1 microgramme/kg/j pour l’animal et dans les conditions fixées par l’étude. Pour l’extrapolation à l’homme il nous manque le facteurs d’incertitude à appliquer à cette valeur, liée à la variabilité inter-espèce, inter-individus...de plus on ne sait pas si cette expérience se base sur une exposition chronique ou aiguë.

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  • Pour établir une VTR, nous ne savons pas si il s’agit d’un effet à seuil ou sans seuil.
    Si il s’agit d’un effet à seuil, il faut diviser la NOAEL de 0,1 µg/kg/j par les facteurs de sécurité, 10 pour le passage à l’homme, 10 encore si il s’agit d’une population sensible.

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  • LA VALEUR DE RÉFÉRENCE CHEZ L’HOMME :
    Poids de l’homme : 80kg
    DSENO animale affichée : 0,001µ/KG/J

    DSENO chez l’Homme : 0,001µ/Kg/j x 80 Kg = 0,08 µ/Kg/j

    L’élément important qui manque dans l’énoncé est le facteur d’incertitude

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  • L’élément qui manque dans l’énoncé est : facteurs d’incertitudes qui permettent le passage de données toxicologique sur animal à l’homme.

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  • Selon le tableau, le NOAEL ou DESNO est de 0,1 µg/kg/j. Cependant, l’étude ne prend pas en compte le facteur d’incertitude et le type d’exposition (aigüe ou chronique).
    - on divise en premier lieu le NOAEL, pour la différence homme-animal, par 3
    - puir, on le divise pas la variabilité intra-espèce:10

    NOAEL corrigé= 0,1/3/10= 0,0033 µg/kg/j

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  • il manque un element essentiel qui est le coefficient d’incertitude applique a la DSENO parmet d’obtenir la DJA (MRL)
    il est important car a pour but de tenir compte des incertitudes entre differentes especes et aussi de l’hétérogénéité de la population

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  • Les 2 courbes devraient être les courbes de 2 toxiques différents mais on ne sait pas lesquels. L’un est la dioxine 2-3-7-8 TCDD mais l’autre qui est nettement moins toxique, le PCDD ?
    Il manque aussi le facteur d’incertitude à appliquer pour calculer une valeur de référence mais on peut le prendre dans le tableau de la question précédente.

    D’après le cours de toxicologie, la DSENO doit être un point expérimental, à partir de laquelle on peut estimer une norme d’exposition ou valeur de référence.

    On n’a pas 100% des animaux indemnes mais 95% sont indemnes d’après la courbe noire (TCDD) pour une dose de 0,01 µg/kg/j.
    On va donc plutôt calculer une DJA basée sur une LOAEL.

    La dose journalière admissible est pour l’homme la quantité d’un additif ou xénobiotique dans l’alimentation qui peut être intégré par l’organisme en un jour, et pendant toute une vie, sans que cela présente le moindre risque pour la santé du dit-organisme.
    Elle s’exprime en milligramme par kilogramme (mg/kg) de poids corporel.

    DJA = LOAEL/ facteur d’incertitude pour passage animal à l’homme
    Considérons le facteur d’incertitude max, 90 dans le tableau précédent (effet chronique pour l’ingestion)
    DJA = (0.01 µg/kg )/ 90 = 1.11 10 EXP -4 µg/kg =1.11 10 EXP -7 mg/kg

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  • Il manque des éléments de corrélation entre le degré de toxicité chez les animaux et chez l’homme.

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  • le calcul de la valeur de référence chez l’homme dit tenir compte la conversion et du facteur d’incertitude correspondant. l’élément manquant dans l’énoncé est la précision de la nature de l’exposition, c’est à dire si l’exposition est aiguë ou chronique.

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  • la donnée qui manque est le coefficient correctif pour tenir compte de la variabilité inter espèce.
    si on pose l’hypothèse que ce coefficient est égal à 900, la DSENO du TCDD chez l’homme suite à une exposition alimentaire est de 0,9 µg/kg/j

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  • La valeur de référence qu’on peut retenir chez l’homme à partir du graphique est 0,001 ug/kg/jr puisque c’est à ce niveau que 95 % des animaux exposés sont toujours indemnes.

    Pour bien situer le problème, il manque le facteur d’ajustement permettant de transposer les valeurs à l’homme.

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  • la courbe dose-réponse est constante jusqu’à la dose 0,1ug/kg/j. Au-delà, elle décroit. Ce qui veut dire que les effets sur animaux sont observés à partir de la concentration 0,1ug/kg/j : Donc la DSENO est égale à 0,1ug/kg/j. Ainsi nous devrions utiliser la DSENO pour calculer ici une DJA puisque nous sommes dans un cas de toxicité avec effet à seuil. Or la DJA est le rapport de la DSENO sur le facteur correctif ( DJA = DSENO : Facteur correctif ) car il s’agit de transposer des résultats d’une expérimentation animal sur des Hommes. Il manque à cet effet le facteur correctif qui est d’ailleurs un élément important de l’énoncé.

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  • L’élément important qui n’est pas mentionné dans l’énoncé est la dose minimale à effet observable (DMEO) ou LOAEL. On voit qu’à partir de 1µg/kg/j les effets sur les rats sont distincts. Ce niveau représente donc la LOAEL.
    La valeur de référence chez l’homme s’obtient par la formule : 1/10=0,1

    Le risque serait dont de 0,1

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  • - La DSENO chez l’animal étant 0,1µg/kg/j, on calcule la valeur de référence chez l’homme en multipliant la DSENO par un facteur d’incertitude égal à 10. Soit donc une valeur de référence de 1µg/kg/j.
    - L’élément manquant dans l’énoncé est que la courbe en rouge correspond au lot témoin, nourri normalement avec une dose de TCDD égale à 0,001µg/kg/j.

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  • Avec une admission de 0,001 ug/Kg/j de TCDD, on a encore 100% des animaux qui survivent. Pour l’homme, en admettant une protection maximale, on en déduit une DSENO (dose sans effet nocif observable) de 0,001 ug/Kg/j

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  • l’élément qui manque c’est le type d’exposition : aiguë ou chronique.
    1) Etape a : Au regard de la courbe, la DSENO est de 0,1µg/kg/jr. C’est la valeur à partir de laquelle la courbe est stable, c’est à dire le pourcentage des animaux indemnes reste intact.
    2) Etape b : Modification de la dose critique : facteurs d’ajustements : par la suite on doit utiliser les facteurs d’ajustement pour arriver à l’espèce humaine. Par la suite, en se basant sur le tableau REACH proposé dans le cours, la différence d’absorption animal/homme est de 3, donc la valeur ci-dessus sera divisée par 3. Etape c : Ce qui nous donne : 0,1/3 = 0.3333333µg/kg/jr.
    3) Etape c : Application des facteurs d’incertitude : le seul paramètre connu ici est la variabilité (10), car la durée d’exposition,la transposition de durée...n’ont pas été mentionnées ; alors en divisant la valeur ci-dessus par 10, i.e 0.3333333/10= 0,0033µg/kg/jr.

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  • l’élément qui manque est le facteur d’incertitude ou d’ajustement pour la transposition de l’animal àt l’homme.

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  • L’élément important qui manque est la forme de l’exposition qui peut etre aigue ou chronique.
    La dose sans effet nocif DSENO 0,1 sera divisée par 3
    puis par 10 pour la variabilité humaine
    puis par 10 pour la biodisponibilité almentaire
    soit 3.10 puissance moins 6.

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  • Une DSENO de 0.1 µg /kg/j/30 pour le passage à l’homme ceci donne une valeur de 0.00333µg/kg/j.
    L’element important qui manque dans l’enoncé est :L’exposition

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  • Réponse : Pour le TCDD, la valeur de référence chez l’homme est de 2,33 pg TEQ/kg p.c./j. Le choix de cette valeur est déterminée en fonction de la dose minimale ayant un effet nocif sur l’animal de laboratoire divisée par un coefficient de sécurité de 10.
    Elément manquant : la DL50

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  • L’élément important qui manque dans l’énoncé est l’Excès du Risque Unitaire (ERU) par la dose effectivement reçue par individu, le risque se trouve au niveau de la faible dose.

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  • 1° les substances chimiques , 2) la Source 3) la Voie d’exposition 4) Facteur d’incertitude 5) Valeur de
    référence

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  • La valeur à partir de laquelle la courbe noire s’infléchit (c’est-à-dire que le pourcentage d’animaux indemnes diminue de façon significative) est 0,1 μg/kg/j.
    On peut donc a priori prendre cette valeur comme référence pour l’homme
    Par contre, l’énoncé n’indique pas quel est le modèle animal utilisé pour obtenir ces valeurs expérimentales. Aussi, ne sait-on pas quels facteurs d’incertitude utilisé pour l’extrapolation à l’homme.

    Par ailleurs, il n’est pas indiqué à quoi correspondent les 2 courbes : noire (que l’on peut utiliser pour identifier la valeur de référence) et la courbe rouge qui ne s’infléchit pas du tout.

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  • D’après la courbe, on déduit que NOAEL = 0.1µg/kg/j.
    On peut en déduire le MRL en divisant par le facteur de sécurité : 3 pour le passage de l’animal à l’homme et 10 pour la variabilité individuelle = 30.

    => MRL = 0.003 µg/kg/j.

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  • La VTR = dose administrée X le pourcentage de deces
    VTR=0,1*10= 1µg/kg/j
    Les voies (inhalation, ingestion, cutané) d’expositions ne sont pas definies

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  • La dose sans effets nocifs observables(DSENO) est 0,1 car c’est à ce niveau que la courbe fléchit
    Il manque le facteur d’incertitude

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  • Dose journalière admissible (DJA) =quantité que l’on peut gérer par voie orale durant une vie entière sans craindre d’effets préoccupants sur la santé humaine.

    DJA= DSENO/ Facteur d’incertitude(100 minimum)

    DSENO= D.J.A. x 100

    Sur cette courbe , cette DJA= 0.1 ug/kg/j car c’est la valeur à partir de laquelle on observe une décroissance importante de la courbe donc la DSENO= 0.1 ug/kg/j x 100= 10 ug/kg/j

    DSENO = 10 ug/kg/j

    Pour bien situer , le problème il manque le nom du produit ou étiquette.

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  • L’élément important qui manque dans cet énoncé est la facteur d’incertitude. d’après cette courbe, on peut conclure que la DSENO est de l’ordre de 0,1µg/kg/j sera divisé par 3 pour le passage de l’homme ensuite par 10 pour la variabilité humaine. Une première valeur de référence pourrait être 0,0033. Il est possible d’appliquer un facteur de correction supplémentaire pour tenir compte de la biodisponibilité alimentaire usuelle.

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  • De graphique, on voie que la concentration 0,1 micrg/kg/jour est la NOAEL pour l’animal, on peut estimer une valeur 1 microgramme/kg/jour une NOAEL pour l’homme en supposant un facteur d’incertitude de passage de l’animal a l’homme. Un autre facteur d’incertitude c’est la variabilite interhumaine manque.

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  • Dans l’énoncé, il manque notamment des informations sur l’effet critique recherché.
    Sachant que l’énoncé parle de DSENO, on se place dans la perspective d’une toxicité avec seuil.
    Le graphe permet de déduire une DSENO de 0.1µg/kg/j.
    A cette valeur expérimentale, nous allons appliquer une série de facteurs d’incertitudes :
    - 10 pour la variabilité inter-espèces
    - 10 pour la variabilité intra-espèces
    - 10 au titre de l’insuffisance de données quantitatives
    - 10 au titre du manque d’informations sur le protocole de recueil des résultats
    - 10 au titre du manque d’information sur l’effet critique étudié (notamment aigu ou chronique) et de la voie d’exposition

    J’applique donc ce facteur 100 000 à la DSENO et je déduis une valeur de référence de 10 puissance moins 6 pour l’homme.

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  • L’élément manquant dans l’énoncé est la valeur donnée aux facteurs correctifs (facteurs d’incertitudes) qui devrait nous permettre de calculer la valeur de référence chez l’homme car ces résultats sont ceux d’une expérience de toxicité animale. La DSENO de cette substance est égale à 0,1 µg/kg/j car c’est la valeur qu’on trouve en traçant la droite entre la limite supérieure de l’intervalle de confiance de la plus faible dose causant un effet et l’origine.

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  • L’élément manquant pour effectuer le calcul est celui point expérimental pouvant nous permettre de déterminer une DESNO. Dans ce cas il sera possible de possible d’utiliser la dose pour laquelle on observe la manifestation toxique la plus faible. Dans notre cas de figure, la valeur obtenue par extrapolation est 75% pour un ajustement fait à l’aide d’une QD =1.
    Par projection sur la courbe on obtient pour la DL50, la valeur correspondante qui est de 10 μg/kg/j. Elle correspond à la valeur de référence chez l’homme. A cette valeur, on applique un facteur de conversion animal-homme de 10.
    La valeur de la dose la plus faible n’a pas été exprimée sur cette courbe bien situer le problème.

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  • c’est la dose toxique pour 50% des individus

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  • La DSENO correspond à 0.01 µg/kg/jour qui est le seuil défini expérimentalement. Pour obtenir une VTR, il faut diviser cette valeur par des facteurs de sécurité prenant en compte les incertitudes : ici, il s’agit d’une expérience sur l’animal, donc on peut appliquer un facteur 10 (variabilité inter-espèces) et un autre facteur 10 pour les enfants (vulnérabilité) :
    La MRL serait donc de 1. 10-4 µg/kg/jour

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  • De l’exploitation du graphique, il ressort que pour une valeur de 0,001 ug/kg/j on ne détecte pas d’effet nocif chez les 100% d’ animaux. Aussi, cette valeur peut être considérée comme une NOAEL.
    Par ailleurs, le cacul de la MRL necessite que l’on fixe un facteur d’incertitude , qui est manquant sur le graphique.

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  • - lorsque l’on trace la tangente entre la limite supérieure de l’intervalle de confiance de la plus faible dose causant un effet et l’origine, on se trouve la valeur 0,1µ/kg/j : c’est donc la valeur recherchée
    - l’élément manquant c’est le facteur de confusion

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  • l’élément manquant est le facteur d’incertitude

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  • Le poids de l’animal testé est manquant. Aussi, il n’ est pas montrÉ ce que la ligne rouge represente.
    Le valeur de reference peut etre 0,1 μg/kg/j parce que dès ce point au graphique la mort des animaux commence À augmenter.

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  • on voit dans cette courbe par comparaison avec les non exposés (rouge) que la DSENO est 0,1 car c’est à partir de cette dose qu’un effet est observé. On pourrait calculer la DJA si on connaissait le facteur d’incertitude

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  • Si l’ont se base sur la dose de 0.01microgramme par kilogramme et par jour, elle produit chez 3% des animaux des nuisances et cela en se référent sur la partie basse de l’intervalle de confiance. Pour une transposition sur l’homme, on doit connaitre les facteurs de sécurités ce qui n’est pas le cas ici. Donc la VTR chez l’homme est égale à (0.01yg/kg/j)/facteurs de sécurités.

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  • le valeur DESNO est 0.1 ug/kg/j et pour calculer et passer de valeur desno a valeur de reference , il faut diviser par 3 puis diviser par 10 un facteur de securite ca sera 0,0033 μ/kg/j.

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  • Il manque le type d’animal (rat ou souris, ou cobaye ?) afin de pouvoir appliquer le facteur d’incertitude correspondant.

    sur le graphe ont peu retenir comme valeur de DSENO égale à 0,1 là ou la pente s’infléchit.
    DSENO= 0,1 µg/kg/j je choisis d’appliquer un facteur 3 pour l’extrapolation de l’animal à l’homme et un facteur 10 pour la variabilité humaine. Soit un facteur 30.
    D’où MRL= DSENO x 1/3 x 1/10= 0,1 x 1/3 x 1/10= 3,33 10-5 µg/kg/j

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  • Pour calculer la Valeur de référence chez l’homme, nous devons diviser la DSENO par le produit de facteurs correctifs, introduits au titre des différentes sources d’incertitude. La DSENO = 2x0,001 En ce qui concerne les facteurs correctifs, pour la transposition à l’homme nous donnons un facteur 100 et un facteur 10 de sécurité expérimentale. La VTR=2x0,001/1000=2x10-6.

    Dans le graphique nous voyons deux courbes dose-réponse de deux substances différentes, chose qui n’est pas mentionnée dans le texte.

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  • D’après la courbe, on peut déduite une DSENO (dose sans effet nocif observable) : 0,1 µg/kg/j.

    Pour calculer une valeur de référence chez l’homme, il faut ensuite intégrer les facteurs d’incertitude soit 30 pour une exposition aiguë par voie orale selon l’ATSDR, ou 90 pour une exposition chronique par voie orale toujours selon l’ATSDR.

    Pour bien situer le problème, il manque la voie et la durée d’exposition.

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  • D’après le graphique, la dose sans effet nocif observable DSENO/NOAEL correspond à 0,1µg/kg/j de TCDD car c’est la dose testée immédiatement inférieure à la dose minimale à effet observable DMEO/LOAEL correspondant à 1µg/kg/j de TCDD. La valeur de référence chez l’homme ne pourrait pas être extrapolée à partir de la dose critique DESNO/NOAEL à partir de cette expérimentation animale sans précision des données relatives à la détermination des facteurs d’incertitude (UF) à appliquer pour le calcul.

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  • Les valeurs en abscisses correspondent aux doses journalières délivrées par voie orale. La dose de 0,1 µg/kg/ j entraîne des effets observables. Nous allons alors considérer la dose en dessous 0,01 µg / kg / j comme NOAEL. dans l’étude.

    La MRL se calcule à partir d’une LOAEL ; aussi devons nous prendre en compte le facteur de conversion d’une NOAEL à UNE LOAEL ; facteur 3

    Les facteurs d’extrapolation de l’animal à l’homme (facteur 3) et la variabilité humaine (facteur 10) sont à considérer.
    En fait l’énoncé de fait pas état du facteur d’incertitude à appliquer.

    Calcul de la MRL :

    0,01 x 1/3 x 1/3 x 1/10 = 1,1. 10¨4 µg / kg / j arrondi à 10¨5 µg / kg / j

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  • Selon le graphique, la DSENO est 0,1ug/kg/j. Il manque dans le texte le Facteur d’incertitude pour calculer la valeur de reference (VTR).

    Nous allons appliqué le Facteur d’incertitude10 pour extrapoler les resultats experimentaux sur l’homme.

    VTR = DSENO/ facteurs d’incertitude

    VTR= 0,1/10 = 0,01ug/kg/j.

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  • Tout en sachant que ce graphique présenté ici correspond à une expérience sur des animaux, la DSENO (statistiquement) ici est de 0.001 µg/kg/j. Cette valeur peut être appliquée chez l’homme en tenant toutefois des facteurs d’incertitudes et définir par après une VTR. Le premier facteur qu’on applique est 3 (animal - homme), un facteur de 10 aussi (variabilité chez l’homme), on ne rentrera pas sur la qualité de l’étude ici (non signalée, donc on considère qu’elle est très solide, donc UF = 1) mais le mode d’exposition est à prendre en compte ici. Pour l’expérience, le modèle alimentaire pouvant être plus facile à apporter le polluant dans l’organisme (qu’un individu exposé comme ça dans l’environnement) et peut-être même d’un polluant plus pure à l’organisme.
    De ce fait, une VTR pour l’homme pouvait s’échelonner à :
    0.001/3 (animal - homme) ; 310-4/10 (variabilité chez l’homme) et un facteur de 10 (fictif == pour le modèle alimentaire).
    L’élément qui manque dans cet énoncé est la durée d’exposition (aiguë ou chronique) ???

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  • DSENO =0,01µg/kg/j car c’est la dose la plus élevée pour laquelle on n’observe pas
    d’augmentation ou biologiquement significative en fréquence ou en sévérité
    d’un effet nocif, dans un groupe exposé à la substance par rapport à un groupe non exposé

    - la DSENO étant disponible, on applique un facteur 10 par défaut
    - l’extrapolation interespèces, permet d’estimer la DSENO dans la population humaine générale, à partir de données toxicologiques animales lorsque les études épidémiologiques chez l’homme sont insuffisantes,le facteur appliqué par défaut est de 10
    - facteurs d’incertitudes= 10X10=100

    la valeur de reference chez l’homme sera donc :
    - VTR=dose critique/facteurs d’incertitudes= 0,01/100=0,0001µg/kg/j
    - l’element manquant est le type d’expositions (aiguë, subchronique ou chronique).

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  • Le graphique compare le % d’animaux indemnes en fonction des doses journalières de TCDD délivrées dans l’alimentation.
    Cette courbe dose-réponse permet donc de connaître le DSENO (Dose Sans Effet Nocif Observable) qui est de 0,1µg/kg/j.
    Cependant ces résultats ne peuvent être appliqués à l’homme car ils sont issus d’expérience de toxicité animale. Pour identifier la valeur référence chez l’homme (MRL), il est nécessaire d’appliquer au DSENO des facteurs d’incertitudes.
    - facteur interspécifique UF = 3 pour prendre en compte la variabilité entre l’animal et l’homme,
    - facteur intraspécifique MF = 10 pour la variabilité entre les individus d’une même espèce.
    D’où :
    MRL = DSENO/(UF + MF) = 0,1/30 = 0,0033 µg/kg/j pour l’Homme.

    L’élément manquant dans cet énoncé est le type d’exposition aigüe ou chronique. Cette connaissance permettrait de connaître la durée d’exposition et donc d’affiner ce résultat.

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  • Il manque un titre pour la courbe rouge et un pour le courbe bleu.
    VTR=NOAEL/produits des facteurs correctifs=0,1/(10 * 10 *10)=0.0001ug/kg/jour
    notons que 0.1 ug/kg/jour represente NOAEL car à partir de ce valeur la mortalité commence à s’elever.
    10 facteurs d’incertitude introduit pour le passage d’un animal à un homme.
    10 facteur introduit pour exprimer la variation intra individu et 10 pour exprimer la variation inter individus

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  • La dose Sans Effet Nocif Observé (DSENO) désigne la dose ou la concentration la plus élevée n’ayant pas provoqué un effet nocif observé, par rapport à un groupe témoin, au cours d’une expérimentation animale ou d’une étude épidémiologique.

    NOAEL :d’après le graphe est de 0.1µg/kg/j
    Pour calculer une LMR de ce produit,
    MRL : Le minimal risk level est déduit de la NOAEL (no observed adverse effect level) en utilisant la concentration et le facteur d’incertitude
    facteur d’incertitude = 3 pour l’extrapolation de l’animal à l’homme. Et 10 pour la variabilité humaine
    MRL = 0.1 x 1/3 x 1/10= 0.0033 µg/kg/j

    Les données qui manque sont la nature de l’expérimentation (chronique, aigue,…..) et le facteur de conversion qui permet de passer d’une dose délivrée dans l’alimentation à une dose exprimé en poids corporel.

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  • L’extrapolation des résultats expérimentaux à l’homme n’est pas toujours immédiate. Plusieurs particularités physiologiques, propres à une espèce peuvent influencer les conclusions d’un modèle expérimental. le paramètre variabilité entre espèces est loin d’être maîtrisé, rendant la transposition délicate. De ce fait, l’application d’un facteur de conversion de 10 au titre de cette extrapolation à l’homme est largement justifié.

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  • Dans l’énoncé la dose qui nous est donnée est une LOAEL c’est à dire la plus faible dose par laquelle on observe la manifestation toxique la plus faible chez les animaux , elle de 0,001 microgramme par Kg par jour de TCDD.Le facteur d’incertitude pour passer de l’espèce animale à l’homme est de 10.Le facteur d’incertitude pour passer d’une LOAEL à une DSENO est de 3.

    La DSENO chez l’homme est de 0,001 divisé par 10 et divisé par 3 est égale à 0,00003 microgramme par kg par jour.
    L’énoncé qui manque est l’âge d’animaux.

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  • L’élement qui semble manquer est l’unité de temps. Il est donc impossible de savoir s’il s’agit d’expositions aigue ou chronique.
    Nous avons une DSENO de 0,1 µg, auquel il faut appliquer un facteur 3 et 10 pour prendre en compte les invertitudes lié à la variabilité (animale à l’homme puis entre Homme).
    La valeur de référence pur l’homme pourrait donc être 0,0033 μ/kg/j.

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  • Le tableau nous indique que la DSENO est 0,001µg/kg/j
    Ce qui manque dans le donné est poids

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  • Selon cette courbe, nous aurions une DSENO de environ 0.1 ug/kg/j.
    C’est la valeur d’abcisse de la courbe de dommage pour laquelle la borne de l’incertitude maximum (dans ce cas là) est équivalente à l’ordonnée de la courbe sans effet observable.
    Il faut préciser qu’il s’agit d’une toxicité avec seuil, dans le cas contraire nous utiliserions un autre type de VTR.

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  • Selon cette courbe, nous aurions une DSENO de environ 0.1 μg/kg/j. C’est la valeur d’abcisse de la courbe de dommage pour laquelle la borne de l’incertitude maximum (dans ce cas là) est équivalente à l’ordonnée de la courbe sans effet observable. Il faut préciser qu’il s’agit d’une toxicité avec seuil, dans le cas contraire nous utiliserions un autre type de VTR.

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  • 0,1 µg/kg/j étant la VTR chez l’animal, alors la VTR chez l’homme sera de 1µg/kg/j si je fais un ajustement de 10 tenant compte de la variabilité inter espèce
    Il manque une donnée relative au facteur d’ajustement ( la variabilité inter espèces)

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  • le paramètre variabilité entre espèces est loin d’être maîtrisé, rendant la transposition délicate. De ce fait, un facteur 10 doit être appliquer pour tenir compte de la sensibilité des individus sur la base de la variabilité génétique. En outre, pour obtenir les VTR il faudrait diviser les DSENO par le produit de facteurs correctifs qui est de 3 pour le passage de l’animal à l’homme ; d’où :

    VTR = DSENO / ( 3x10) <=> VTR = 0,1 μg / (30) <=> VTR = 0,0033 μ/kg/j

    A mon avis, il manque deux éléments important dans l’énoncé à savoir, un facteurs de vulnérabilité chez l’enfant car il n’a pas été précisé ; mais aussi un facteur lié à une exposition subchronique ou chronique.

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  • l’élément manquant est le facteur d’incertitude .

    le calcul de la VTR chez l’homme :
    DEFINITION DE LA DSENO SELON LE GRAPHIQUE :
    DSENO = 0,1µg/kg/j.

    application des facteurs d’ajustement :
    passage homme animal : O.1/ 3 =0.033 µg/kg/j
    variablité inter humaine : 0.033/10= 0.0033 µg/kg/j

    il a noté que la nature de l’exposition (aigu ou chronique)n’a pas été définit.

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  • En effet sur la courbe dose-réponse on peut déduire une DSENO chez l’animal(dose sans effet nocif observable). Celle-ci se déclare dés 0.1µg/kg/j.
    Cependant pour calculer la valeur de référence chez l’homme, il faut prendre en considération les facteurs d’incertitudes, données qui n’est pas mentionnée dans l’énoncé.
    Il va donc falloir prendre en compte la différence de la transposition de l’animal à l’homme qui est de 3, donc divisé la DSENO par 3 :
    0.1 / 3 = 0.03333333
    Et prendre aussi en compte la variabilité intra-espéce c’est à dire divisé encore par 10 :
    0.03333333/10 = 0.003333

    La valeur de référence chez l’homme serait donc de 0.0033µg/kg/j.

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  • La dose jusqu’à laquelle aucun effet nocif est observable est de 0,1, en effet avant cette valeur les mesures sont toujours dans les intervalles de confiance.

    On part donc de 0,1 que l’on multiplie par 10 qui est le facteur type d’extrapolation inter-espèces, sachant que nous ne connaissons pas ici le type d’animaux utilisés pour l’expérience, on ne peut être plus précis sur le facteur. Ce facteur est calculé pour un adulte de 70kg.

    Il sera aussi utile d’appliquer d’autres facteurs correctifs pour tenir compte de la sensibilité individuelle génétique (facteur 10), ou en rapport avec une certaine vulnérabilité par exemple pour les enfants (un facteur 10).

    La variation entre les espèces est dans le cas de la TCDD et de son interaction avec l’AhR doit être prise en compte. Les différences de réaction suivant les espèces utilisées peuvent très importante la souris étant par exemple 100 fois plus sensible que le hamster. L’information concernant la ou les espèces animales utilisées est donc l’élément important manquant.

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  • Dans le cas ici présent d’exposition par voie digestive chez l’annimal, on peut déduire une NOAEL de 0,1µg/kg/j. Toutefois, l’énoncé ne précise pas s’il s’agit d’une étude de toxicité aigue ou chronique.

    Pour établir une VTR chez l’homme, il convient d’affecter un certain nombre de facteurs d’incertitude, notamment :
    - un facteur 10 pour la variabilité inter-espèce (on ne connaît pas l’espèce ayant servi dans l’étude)
    - un facteur 10 pour la variabilité génétique chez l’homme

    On peut donc proposer une MRL = 0,001µg/kg/j

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  • Il manque le facteur d’incertitude, qui permet de déterminer le passage de l’animal à l’Homme. Si on procède par projection sur la courbe, on trouve la valeur 0,1 µg/kg/j qui correspond à la dose limite à laquelle on commence à observer des effets chez les animaux.

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  • D’après le graphique, on constate que c’est à partir de 0,1 µg que le pourcentage des animaux indemnes a commencé par diminuer d’où la présence progressive des animaux malades. Cette valeur peut donc être considérée comme MRL pour ces animaux, par conséquent, pour calculer la valeur de référence pour l’homme, il suffit de faire le rapport entre la MRL animal et le produit des facteurs d’incertitude.

    MRL (homme) ꞊ 0,1µg/ Facteurs d’incertitude

    Si l’on suppose une exposition chronique, le facteur d’exposition proposé par l’ATDSR à ce type d’exposition est égal à 90. On a alors, MRL homme ꞊ 0,1/90 ꞊ 0,001µg/kg/jour.

    Il manque le type de toxicité (aigue, subchronique, chronique) pour pouvoir faire le choix des facteurs d’incertitude à considérer dans le calcul du MLR.

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  • Nous sommes en présence d’une expérience visant à évaluer la dose acceptable de TCDD , connu pour ses effets cancérigène, nous sommes donc dans un contexte de toxicité à dose sans seuil. Disposant de la NOAEL(DSENO), déterminé graphiquement au point d’inflexion de la courbe, soit 0,01U et puisque nous n’avons pas les conditions d’exposition (aigue à chronique) ; nous pouvons calculer la MRL sous forme de DJA.
    MRL = DSENO / (FIA de 10) × (FIH de 10)=0,01/10X10=0,001U
    Avec FIA = facteur d’incertitude lié à la transposition de l’animal à l’homme et FIH le facteur d’incertitude lié à la variabilité entre les hommes

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  • les concentrations proches de 0,001 sont celles qui provoquent la mort d 10% des animaux, donc on peut prendre cette concentration à la quelle on appliquerait des facteurs de correction pour trouver la VTR pour l’homme.
    Dans le graphique il manque la concentration correspondant à DL50.

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  • Valeur critique : 0,01 ug/kg/j
    Ajustement allométrique : 2
    UF pour transposition inter espèce : 100
    UF pour transposition intra espèce :10
    UF pour la fiabilité des données 2
    MRL= 0.01ug/kg/jx100x10x2= 2.10-5 ug/kg/j

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  • DSENO=0,1µg/kg/j. La DSENO correspond à un point expérimental. Sur la figure, 0,1µg/kg/j correspond au dernier point où il n’y a pas d’effet (statistiquement significatif, si on tient compte des écarts types) observable. On peut calculer une DJA (dose journalière admissible) en divisant la DSENO par (10x10x10). DJA=0,0001µg/kg/j.

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  • La valeur de la DESNO à partir de la courbe est de 0,1 ug/kg/j (valeur avec seuil) or la valeur de référence est le rapport entre DESNO et facteurs correctifs introduits (ici on n’a pas les facteurs correctifs à introduire dans la mesure) on peut supposer un facteur correctif de 10 du passage de l’animal à l’homme,10 pour la variabilité individuelle et 10 pour passer de l’exposition à moyen terme au long terme d’où la VTR de 0,1/10*10*10= 0,0001 ug/kg/j.

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  • Pour convertir en dose journalière admissible il faut tenir compte des facteurs d’incertitude. Déterminer alors la DSENO d’après le graphique : 0,1 µg/kg/j (dose sans augmentation de la fréquence d’effet nocif par rapport aux témoins), sera divisée par 3 pour le passage à l’homme, puis par 10 pour la variabilité humaine. Nous trouvons une valeur de référence égale à 0,0033 μ/kg/j. La précision manquante concerne, le caractère aigu ou chronique de l’exposition.

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  • VTR=DSENO-VALEUR D’incertitutde
    l’élément manquant est la valeur d’incertitude

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  • La DSENO est la dose à laquelle on constate les première perte d’animaux c’est à dire le premier point de la courbe qui commence à diminuer. DSENO = 0,1 µg/kg/j.

    Comme la valeur de la DSENO est donnée pour les animaux il nous faut remonter a la valeur pour l’homme pour cela on applique des facteurs de correction.
    * Facteur de correction homme - animal : 3
    * Facteur de correction de variabilité inter-humaine : 10

    Donc la DJA = 0,1 x (1/3) x (1/10) = 0,0033 µg/kg/j

    Pour mieux situer le problème il nous manque une information sur la toxicité , à savoir si l’expérience s’apparente a ue exposition chronique ou aiguë.

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  • Il manque dans l’énoncer la voie de l’exposition et le Facteur d’Incertitude.
    Calcule d’une valeur de référence chez l’homme :
    Sur la courbe on obtient un DSENO =0.1µg/kg/j
    On choisit une exposition orale intermédiaire et un Facteur d’incertitude (FU) de 30.
    Calcul d’un MRL= NOAEL*1/FU=0.1*1/30=0.0033=3.3.10-3 µg/kg/j

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  • Il manque la durée : il n’est pas spécifié s’il s’agit de toxicité aigüe ou chronique.
    A partir du graphique, on peut obtenir une NOAEL de 0,1 μg ; on la divise pour les facteurs d’incertitude (3 pour le passage à l’homme et 10 pour la variabilité génétique), pour arriver à calculer la dose journalière admissible (DJA).

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  • La DSENO chez les animaux obtenue à partir de la courbe est de 0,1 µg/kg/j.
    Pour calculer la DJA chez l’Homme, on doit introduire le facteur d’incertitude (UF) du passage de l’animal à l’Homme (3) et celui de la variabilité inter-humaine (10). On a donc :
    DJA= DSENO /UF animal-Homme x UF inter-humain
    = 0,1 µg/kg/j x 1/3 x 1/10
    = 0,00333 µg/kg/j
    L’élément important qui manque dans cet énoncé est la précision sur le type d’exposition (chronique ou aiguë).

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  • Elements manquants sont le facteur d’incertitude et la dose administrée,sont utilisés pour l’établissement des normes d’exposition.Facteur d’incertitude est utilisé pour obtenir un niveau d’exposition de sécurité acceptable pour l’homme.

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  • Le MRL tient compte de la DSENO et des concentrations.
    d’après la courbe, la DSENO est de 0,1 µg/kg/j (dose sans augmentation de la fréquence d’effet nocif par rapport aux témoins).
    le calcul de la valeur de référence tient compte du facteur d’incertitude et de la variabilité humaine.
    on applique une valeur de sécurité :
    Extrapolation animale : 3 ;
    Variabilité humaine : 10 ;
    La valeur de référence = (0,1µg/kg/j)/(3X10)
    = 0,0033 µg/kg/j sensiblement égale à 3.10-6 µg/kg/j

    - la courbe ne fait pas référence au type d’exposition (aiguë ou chronique)

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  • La molécule "TCDD" est la 2,3,7,8-tétrachlorodibenzo-p-dioxine, un type de dioxine appelée aussi « dioxine de Seveso ». Selon la représentation graphique (courbe noire), la NOAEL est de 0,1 µg.
    A présent, en terme de calcul, on pourrait prendre cette valeur divisée par les facteurs d’incertitude (par exemple : 3 pour l’animal vers l’homme - ajustement allométrique - et 10 pour la variabilité inderindividuelle). Ce qui nous donne 0,1/3/10 soit 0,0033 ug/kg/jour pour une voie d’exposition orale (vu qu’on parle de ug/kg/jour). Par contre, on a aucune information quant à la durée de l’exposition.

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  • NOAEL = 0,1 µg/kg/j ---------> MRL= 0,1 /10 = 0,01 µg/kg/j (10 étant le facteur d’incertitude pour la variabilité humaine) puis on peut diviser 0,01 / 3 (trois étant le facteur d’incertitude inter-espèces) ---------------> Au final, la MRL est égale à 0,0033 µg/kg/j

    On a pas la durée d’exposition...

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  • D’après la courbe, nous pouvons déduire que la NOAEL se situe à 0,1 microgramme/kg/j pour l’animal. Afin de calculer une référence chez l’homme il faut tout d’abord :
    • Diviser la NOAEL par 3 pour prendre en considération le facteur d’incertitude homme-animal.
    • Par la suite, par 10 pour prendre en compte la variable inter-espèce.
    La NOAEL corrigé est égale à 0,003.
    L’élément important qui manque est le type d’exposition : aiguë ou chronique.

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  • Nous allons prendre la valeur 0,1, qui représente la dose-réponse la plus faible, avant la survenue de nouveaux cas. La forme de la courbe suggère qu’il s’agit d’une substance avec effet sans seuil de dose.
    Etant donné que nous n’avons aucune information concernant le type d’animaux utilisés, nous ne pouvons pas lui appliquer un facteur allométrique donné. Ainsi, nous allons prendre un facteur 175 (REACH : 17,5 inter espèce, 10 intra-espèce, soit 175) de sécurité pour la transposition des valeurs de l’animal à l’homme. Dans ce cas, la DSNEO est de 5,71*10(puissance -4) µg/kg/j. A partir de la DSNEO, on peut calculer l’ERU.

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  • Pour convertir en dose journalière admissible, il faut tenir compte des facteurs d’incertitude. Donc la DSENO de 0,1 μg sera divisée par 3 pour le passage à l’homme, puis par 10 pour la variabilité humaine. Une première valeur de référence pourrait être 0,0033 μ/kg/j, arrondie à 3.10-6. Il est possible d’appliquer un facteur de correction supplémentaire pour tenir compte de la biodisponibilité alimentaire usuelle car la TCDD est délivrée aux animaux dans un liquide huileux (biodisponibilité supérieure).
    Si la courbe dose - réponse est facile à interpréter, il n’est pas préciser si l’expérience s’apparente à une exposition aiguë ou chronique.

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  • La courbe infléchit à 0,1 µ/kg/j chez l’animal, signal que la toxicité augmente.

    En appliquant un facteur d’incertitude de 3 pour la transposition de l’animal à l’homme, puis de 10 intra- espèces, le VTR ici MRL est de 0,003 /kg/j chez l’homme

    La dose journalière délivrée dans l’alimentation semble correspondre à une exposition chronique non précisée ici ? La durée d’exposition n’est pas informée non plus.

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  • L’élément important qui manque dans l’énoncé est à notre avis la substance chimique concernée par ce calcul.

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  • En observant la courbe, on déduit que NOAEL = 0.1µg/kg/j. On peut en déduire le MRL en divisant par le facteur de sécurité : 3 pour le passage de l’animal à l’homme et 10 pour la variabilité individuelle = 30.donc le MRL = 0.003 µg/kg/j. la précision manquante concernant, outre le type d’effet toxique, le caractère aigu ou chronique de l’exposition

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  • Il manque le type d’exposition et le facteur d’incertitude

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  • La MRL est le niveau de risque minimum ce qui représente la valeur toxicologique de référenceVTR
    VTR= dose effectivement reçue /QD(quotient de danger).
    L’élement important manquant est le quotient de danger QD.

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  • pour passer de l’animal à l’homme nous choisissons un facteur d’incertitude le plus élevé qui est égal à 10.on aura une valeur de référence (RfD) de :
    Pourcentage de décès NOAEL (Ug/kg/j) RfD homme (Ug/kg/j)
    95% 0,01 0,1
    75% 1 10
    40% 10 100
    10% 100 1000

    L’élément important manquant est le facteur d’incertitude lié à l’extrapolation de l’étude de l’animal à l’homme.

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  • L’énoncé n’a pas spécifié les facteurs d’incertitudes associés. A partir du graphique, nous avons une DSENO = 0,1 µg/kg/j.
    VTR = Dose critique (DSENO) /

    UF) ×(MF

    , où MF est le « modifying factor » ou facteur modificatif et UF est l’incertitude sur la variabilité interindividuelle.
    Nous utiliserons donc les facteurs d’incertitude (UF et MF) pour obtenir un niveau d’exposition de sécurité acceptable pour l’homme.
    VTR = (0,1 µg/kg/j ) / 3 x 10 = 0,0033 µg/kg/j

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  • Le graphique ne montre pas de point expérimental qui permettrait de déduire une DSENO, d’autant plus que les éléments permettant d’appliquer les facteurs d’incertitudes ne sont pas précisés (par exemple le type d’animal).

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  • D’après le graphique, DSENO=0.1µg/kg/j. Pour les facteurs d’incertitude, il y a la transposition de l’animal chez l’homme (=10), et la non disponibilité de données sur la durée de l’étude (=10) et pas de détail sur l’étude (MF=1).
    Alors MRL=0.1 /(10x10x1)= 0.001µg/kg/j.
    L’étude n’est pas bien défini dans l’énoncé.

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  • L’élément manquant est le temps d’exposition ou la fréquence.

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  • D’après le graphique, on observe une Dose Sans Effet Nocif pour une concentration de [TCDD] ingéré d’environ 0,1 µg/kg/j.
    On peut donc en déduire : VTR = DSENO/facteur d’incertitude.
    Les différents facteurs d’incertitude sont :
    - le facteur inter-espèce = 10
    - le facteur intra-espèce = 10
    - un facteur de la mauvaise précision des données qui ne nous permet pas de définir clairement une DSENO = 10 (On choisi 10 pour prendre le moins de risque possible étant cette imprécision)
    Ainsi, on aurait une VTR de 0.1/1000 soit une VTR pour une ingestion de TCDD de 1 x 10-4 µg/kg/j.
    Dans le problème, il aurait été intéressant de noter les conditions d’expositions c’est-à-dire la durée et la concentration ingérée sur cette durée (ainsi que la légende des courbes).

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  • L’élément manquant dans l’énoncé c’est le facteur d’incertitude
    En se basant sur la courbe, la DSENO est égale à 0,01µg/kg/j
    Pour passer l’animal à l’homme il faut appliquer un facteur d’incertitude 3.
    DJA= DSEON/3 équivaut à dire que la DJA= 0,01/3 ; DJA= 0,003µg/kg/j

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  • La courbe dose-réponse reste constante jusqu’à la dose 0,1 μg/kg/j. On peut déduire que DSENO est égale 0,1 μg/kg/j.
    MRL= DSENO/ Facteur d’incertitude (Fi)
    MRL a pour source l’Agency for Toxic Substances and Disease Registry (ATSDR) qui prend respectivement 3 et 10 pour les items suivants : variabilité inter-espèces et variabilité intra-espèces
    En prenant 3 pour Fi-différences inter espèces et 10 pour Fi-variabilité inter individuelle, on a : MRL= DSENO/(3*10) = 0,1/300 = 0,00333 μg/kg/j.
    Il manque le facteur incertitude.

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  • Pour déterminer la NOAEL, on prend la valeur au niveau du point d’inflexion de la courbe noire et on divise cette valeur par 30 (un facteur 3 pour la transposition de l’animal à l’homme et un facteur 10 pour la variabilité interindividuelle) soit : 0,1/30 = 0,0033 µg/kg/j

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  • Je déduis du graphique une DSENO à 0,1µg/kg/j. J’applique des facteurs d’incertitudes :
    - je divise par 3 pour le passage à l’homme
    - ensuite par 10 pour la variablité inter humaine
    D’où une VTR=0.0033µg/kg/j.

    Il manque le facteur temps : pendant combien de temps la dose a-t-elle été donnée ? On ne sait donc pas s’il s’agit d’une exposition aiguë ou chronique.

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  • La NOAEL correspond à la dose la plus haute à laquelle aucun effet n’est observé par comparaison au cas témoin. Dans ce cas, il s’agit d’une dose (sans seuil apparent) de TCDD de 0.1 ug/kg/j. Dans le cas de la détermination d’une VTR, on appliquerait à minima un facteur d’incertitude de 10 par précaution, ainsi qu’un facteur de transposition animal, mais pour cela il faudrait connaître l’animal sur lequel a été réalisée l’expérience. D’après la question précédente, il semblerait que le facteur d’incertitude soit compris entre 10 et 90 pour cette substance. D’autre facteur de sensibilité pourraient être appliqué (génétique, vulnérabilité), mais qui ne semble pas utilisés pour cette substance. Si on suppose un facteur de 3 pour la transposition animale, cela nous donne un facteur d’incertitude de 30 et donc une VTR de 0.003 ug/kg/j.

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  • Sur le graphe la DSENO de 0,1 μg doit être divisée par 3 pour aller à l’homme 0,1/3=0,0033,ensuite diviser par 10 pour la variabilité de l’homme alors on’a:0,0033/10=0,003333μ/kg/j.
    La TCDD est pour les animaux donc il est possible de faire une correction.

    L’élément qui manque est le temps :temps court(exposition chronique) ou temps long(exposition chronique) cela nest pas préciser.

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  • DL50=1
    Il manque le facteur d’incertitude

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  • Il manque le facteur d’incertitude :

    Dose critique NOAEL = 0,1µg/kg/j
    facteur d’incertitude intra espèce=10
    facteur d’incertitude inter espèce= 3

    MRL= NOAEL/10*3= 33.10-3 µg/kg/j

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  • Il manque de savoir si ces résultats étant issus d’expériences sur les animaux sont transposables à l’espèce humaine et à quel degré.

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  • DSENO de 0,1 μg sera divisée par 3 pour le passage à l’homme, puis par 10 pour la différence entre les humains. Une première valeur de référence pourrait être 0,0033 μ/kg/j, arrondie à 3.10-6.il faut tenir compte de la biodisponibilité. il manque l’élément s’il s’agit d’une toxicité chronique durée d’exposition ou aigue

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  • Pour déduire la DSENO ou NOAEL on utilise le point de la courbe à 0,1 (c’est le point d’inflexion) on divise alors par un facteur 3 pour passer à la valeur humaine et enfin par un facteur 10 pour la variabilité au seins de l’espèce humaine. Donc on obtient 0,1/30= 0,0033μg/kg/j. L’un des élément qui manque dans cette énoncé est l’exposition on ne sait pas si dans cette expérience on expose les animaux de façon aigue ou chronique.

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  • Les valeurs de référence sont obtenues en appliquant à la dose critique des facteurs d’incertitudes ou d’ajustement (UF) et un facteur ( MF ) du jugement d’expert. Selon le graphe, nous pouvons dégager un NOAEL de 0.01 µg/kg/j.

    Comme facteur d’incertitude, on a :

    - UFA=10 car les essais sont faits sur les animaux, il existe une variabilité interspécifiques d’effet d’une espèce a une autre.

    - UFH=10 car la réaction peut varier grandement selon les facteurs génétiques des individus (variabilité intra spécifique).

    - MF=10 pour corriger les erreurs possibles lors du choix du NOAEL (jugement d’expert).

    Le MRL est alors donné par la formule :

    MRL = NOAEL / (UFA*UFH*MF)

    MRL = 0.01/(10*10*10) → MRL = 0.00001 µg/kg/j

    L’élément important qui manque est le mode d’exposition étudié (Oral ou inhalation) et type d’exposition (chronique ou subchronique ou aigu)

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  • le type d’exposition aigüe ou chronique ne manque t-il pas à l’énoncé ? comment faire pour connaitre la durée d’exposition ?

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  • Dans cet exemple, la DSENO est de 0,1 μg/kg/j. Cette valeur est déduite d l’animal (sans précision de l’espèce). Pour l’extrapoler nous devons introduire un facteur de sécurité de 30 (passage de l’animal à l’homme puis variabilité interspécifiques humaine).
    Ainsi notre MRL (humaine) = 0,0033 μ/kg/j

    L’élément clé qui manque le type d’effet chronique ou aigu. En effet, les valeur de référence dépendent également de la voie d’exposition (ici c’est la voie digestive/ par ingestion) mais aussi du type d’effet (chronique ou aigu).

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  • Il manque l’indicateur de référence

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  • Le graphe permet d’identifier une DSENO à 0,1 microgrammes/kg/jour. La valeur de référence est obtenue par application de facteurs correctifs inter espèce et de variabilité humaine. Ici, on peut en appliquer deux : un facteur de 10 concernant la transposition de la valeur de référence à l’espèce humaine, un autre de 10 à la variabilité individuelle.
    On obtient alors : 0,1 / (10*10) = 0,001 microgrammes/kg/jour.

    L’élément qui manque est le caractère aigu ou chronique de l’exposition représentée par le graphique.

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  • Sur le graphique on peut remarquer que la DSENO est 0,1 μg/Kg/j pour calculer une valeur de référence chez l’homme on va ternir compte du facteur de conversion qui est 3 et le facteur de variabilité individuel qui est 10
    En divisant le DSENO par 3 et le résultat par 10 nous obtenons 0.0033333 μg/Kg/j .En arrondissant nous obtenons 3 par 10 exposant moins 6 ( ce plateforme ne peut pas écrire ça en chiffre correctement )

    L’élément manquant est le facteur correctif qui 10 nombre choisit arbitrairement

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  • Du graphique, on peut déterminer une DSENO de 0,1 µg/kg/j (dernière valeur pour laquelle l’intervalle de confiance comprend les valeurs témoins).
    Si on applique ensuite les facteurs d’incertitude de 3 pour le passage animal-homme et 10 pour la variabilité inter-individuelle, on peut définir une DJA de 0,00333 µg/kg/j soit 3,33 10-3 µg/kg/j

    L’information manquante concerne le caractère aigu ou chronique de l’exposition traité par l’expérience.

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  • LA DSENO est estimé à 0.001. La valeur de référence chez l’homme est de

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  • D’après la courbe dose-effet, la NOAEL est à 0,1 µg/kg/j.
    La MRL est obtenue en appliquant différents facteurs à cette NOAEL : un facteur 10 pour la transposition de l’animal à l’homme, un facteur 10 pour la variabilité interindividuelle.
    MRL = 0,001 µg/kg/j
    Un facteur 3 est classiquement appliqué pour transposer des résultats expérimentaux obtenus avec une exposition aigüe en valeurs de référence pour des effets chroniques.
    Mais nous ignorons la durée de réalisation de cette étude.

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  • Puisque l’expérience a lieu sur des animaux et qu’on nous demande une valeur de référence chez l’homme, l’énoncé n’indique pas le facteur d’incertitude ; Les facteurs d’incertitude sont introduits pour tenir compte du passage de l’espèce animale utilisée à l’homme, ainsi que la variabilité humaine.
    La LOAEL est d’environ 0,001 ; La valeur de référence est pratiquement confondu à la LOAEL

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  • si on considère que les apports journaliers chez Lhomme correspondent à des charges journalières
    similaires de celles des animaux testés. Donc ici, il manque le facteur d’incertitude pour le passage animal a l’homme, mais résultats présentés sous forme de fourchette (écart des données
    entre le rat et le singe)

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  • si on considère que les apports journaliers chez Lhomme correspondent à des charges journalières
    similaires de celles des animaux testés. Donc ici, il manque le facteur d’incertitude pour le passage animal a l’homme, mais résultats présentés sous forme de fourchette (écart des données entre le rat et le singe)

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  • Pour convertir en dose journalière admissible il faut tenir compte des facteurs
    d’incertitude. Donc la DSENO de 0,1 μg sera divisée par 3 pour le passage à l’homme, puis
    par 10 pour la variabilité humaine. Une première valeur de référence pourrait être 0,0033
    μ/kg/j, arrondie a 3.10-6. Il est possible d’appliquer un facteur de correction supplémentaire pour
    tenir compte de la biodisponibilité alimentaire usuelle car la TCDD est délivrée aux animaux dans
    un liquide huileux (biodisponibilité supérieure).
    VTR = DJA/3(pass. A l’homme)/10(variabilité humaine)
    Si la courbe dose - réponse est facile a interpréter, il n’est pas préciser si l’expérience s’apparente à une exposition aigue ou chronique

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  • L’élément important manquant est le facteur d’incertitude.Pour calculer la valeur de reference chez l’homme, il faut donc prendre DSENO 0,1ug/kg/j pour le diviser par la valeur d’extrapolation homme animale qui est 3,puis de le diviser encore par la valeur de variabilité humaine, qui est 10. La valeur de reference est donc 0,00333 ug/kg/j

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  • Il faut ajuster le résultat de 0,1 µg/kg/j du passage de l’animal à l’homme ( :3) puis un rediviser par 10 pour la variabilité génétique.

    Ce qui manque comme élément est la durée d’exposition au TCDD 2, 3, 7 8 (aiguë ou chronique).

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  • l’élément qui manque c’est le type d’exposition : aiguë ou chronique. 1) Etape a : Au regard de la courbe, la DSENO est de 0,1µg/kg/jr. C’est la valeur à partir de laquelle la courbe est stable, c’est à dire le pourcentage des animaux indemnes reste intact. 2) Etape b : Modification de la dose critique : facteurs d’ajustements : par la suite on doit utiliser les facteurs d’ajustement pour arriver à l’espèce humaine. Par la suite, en se basant sur le tableau REACH proposé dans le cours, la différence d’absorption animal/homme est de 3, donc la valeur ci-dessus sera divisée par 3. Etape c : Ce qui nous donne : 0,1/3 = 0.3333333µg/kg/jr. 3) Etape c : Application des facteurs d’incertitude : le seul paramètre connu ici est la variabilité (10), car la durée d’exposition,la transposition de durée...n’ont pas été mentionnées ; alors en divisant la valeur ci-dessus par 10, i.e 0.3333333/10= 0,0033µg/kg/jr.

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  • L’element manquant est le facteur correctif :10

    Le calcul est : 3 X 10-5

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  • ici DSENO= 0,1
    pour passer de l’espèce animale à humaine nous allons diviser par 10(facteur d’incertitude) ; puis diviser encore par 10 pour la variabilité entre l’espèce humaine.Ainsi on aura 0,001.

    Ce qui manque dans l’énoncé c’est de préciser s’il s’agit d’une exposition aigu ou chronique.

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  • ici DSENO= 0,1µg
    pour passer de l’espèce animale à humaine nous allons diviser par 10(facteur d’incertitude) ; puis diviser encore par 10 pour la variabilité entre l’espèce humaine.Ainsi on aura 0,001µg/kg/j.

    Ce qui manque dans l’énoncé c’est de préciser s’il s’agit d’une exposition aigu ou chronique.

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  • Tout d’abord, afin de pouvoir calculer la dose journalière admissible, nous devons tenir compte des facteurs d’incertitude. Pour cela il faut la NOAEL ou DESNO qui est de 0,1 µg/kg/j : Dans ce cas, on ne connaît pas si l’expérience s’apparente à une exposition aiguë ou chronique. Le procédé se fera de la manière suivante (d’après le cours)
    On devra diviser :
    -  Par 3 pour l’homme, par 10 pour la variabilité humaine.
    -  Une valeur de référence sera 0,0033 μ/kg/j, soit 3.10-6.
    -  On peut mettre un facteur de correction supplémentaire afin de prendre en compte la biodisponibilité alimentaire car la TCDD est délivrée aux animaux dans un liquide huileux. L’élément manquant est ainsi le rapport de la DSENO qui est sur facteur correctif, car l’objectif est de transposer les résultats de l’expérimentation animale à l’homme.

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  • - Jusqu’à 0,1 μg/kg, il reste encore 90% d’animaux vivants, cela pourrait être la DSENO,
    - La DL50 se situe à une dose d’environ 8 μg/kg,
    - Pour calculer la VTR pour l’Homme, il faudrait le poids de l’Homme en question et la durée d’exposion. De plus, il y a sûrement des ajustements à faire car le métabolisme des animaux n’est pas le même que celui de l’Homme.

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  • La valeur de référence est obtenue par la connaissance préalable de la DSENO obtenue á partir de la dose journalière délivré ; l’observation de la courbe nous donne la valeur de DSENO égale à 0,1ug/kg/jr chez l’animal pour pouvoir transposer cette valeur chez l’homme, cette valeur sera divisée par 3 tout d’abord, puis par 10 (Approche OMS).
    L’élément manquant est la non précisions de l’approche OMS ? ou OTAN ? et bien entendu de facteurs d’incertitude.

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  • L’ATSDR propose un MRL de 1.10-6 g/kg/jour pour une exposition chronique au 2,3,7,8TCDD par voie orale (1998). Cette valeur établie en se basant sur une étude de toxicité sur la reproduction chez des singes rhésus, sur une dure de 16,2 0,4 mois. Les singes étaient nourris avec une alimentation contenant des doses de 0 - 5 ou 25 ppt de 2,3,7,8-TCDD. Un NOAEL de 5 ppt a défini ; Facteurs d’incertitude : un facteur 90 a appliqué. Un facteur 3 pour l’utilisation d’un LOAEL et non d’un NOAEL, un facteur 3 pour l’extrapolation de l’animal l’homme et un facteur 10 pour la variabilité humaine. Calcul : Facteur de conversion permettant de passer d’une dose exprime en ppt dans l’alimentation une dose exprime en g/kg de poids corporel : Les auteurs ont estimé que la dose totale intègre sur 16,2 mois (492 jours) tait de 59,6 mg/kg pour une dose de 5 ppt dans l’alimentation. La dose journalière est donc : 59,6 mg/kg / 492 jours = 0,12 mg/kg/jour = 1,2.10-4 g/kg/jour
    MRL = 1,2.10-4 x 1/3 x 1/3 x 1/10 = 1,33.10-6 g/kg/jour (arrondi 1.10-6)

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  • La DSENO est environ à 0.11 ug/kg/j d’alimentation. On ne sait pas de quels animaux il s’agit, alors que pour certains toxiques, certains animaux ont une sensibilité équivalente à l’homme, et d’autres pas. Il peut s’agir aussi d’un animal dont la génétique a été modifiée pour qu’une sensibilité ressemble le plus possible à l’homme. Dans le doute, et vu que la courbe descend brutalement après la DSENO, il faut minimum appliquer un facteur 10 pour l’adulte, plus un facteur 10 pour l’enfant. On ne sait pas pendant combien de temps ont été exposés les animaux donc si c’est une exposition aiguë ou chronique, donc un facteur 3 en plus. Comme il y a des variabilités entre les hommes selon la génétique, facteur 10 en plus. On ne peut pas appliquer un facteur allostérique de surface corporelle car c’est une ingestion et pas une inhalation de toxique.
    Il faut multiplier les facteurs d’incertitude 10x10x3x10=3000
    Puis multiplier 0.11x3000=330ug/kg et normalement pas d’effet observable pour une exposition par jour sur la vie entière de la personne.

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  • Ce graphique représente les résultats d’une expérience de toxicité animale. La valeur obtenue à partir du graphique (dose journalière délivrée dans l’alimentation) peut être calculée en tenant compte du principe d’exposition prolongée voir même chronique et d’exposition brève.
    Le minimal risk level est déduit de la NOAEL (no observed adverse effect level) en utilisant la concentration et le facteur d’incertitude
    On va procédé à l’application du principe de transposabilité à partir des essais sur animaux. Pour la conversion en dose journalière admissible, il faut tenir compte des facteurs d’incertitude. Donc la DSENO de 0,1 μg sera divisée par 3 pour le passage à l’homme, puis par 10 pour la variabilité humaine. Une première valeur de référence pourrait être 0,0033 μ/kg/j, arrondie à 3.10-6. Il est possible d’appliquer un facteur de correction supplémentaire pour tenir compte de la biodisponibilité alimentaire usuelle car la TCDD est délivrée aux animaux dans un liquide huileux (biodisponibilité supérieure).
    Si la courbe dose - réponse est facile à interpréter, il n’est pas préciser si l’expérience s’apparente à une exposition aiguë ou chronique.

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  • Pour calculer une valeur de référence chez l’homme, il faut diviser la DSNO de 0,1µg par 3, puis par 10 pour la variabilité humaine.

    L’élément important qui manque, c’est l’absence de précision par rapport aux expositions.

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