Quelles sont les limites principales de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude ?
L’évaluation de l’exposition à l’arsenic des bébés nés avant l’été 1955 est une approximation. On considère (par défaut) que tous les bébés sont des cas exposés par défaut, car il est difficile de savoir précisément si tous ces bébés ont été effectivement alimentés avec le lait contaminé.
Quelles sont les limites principales de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude ?
Les Limites d’une telle étude peuvent être liées à la sélection des sujets. La preuve d’une exposition réelle des sujets nés entre 1950 et 1960 à l’arsenic n’est pas parfaitement établie.
Aucune donnée sur la valeur toxicologique de référence (VTR) n’est établie dans cette étude. De plus les conséquences de l’exposition à l’Arsenic au stade développemental ne sont pas bien connues.
Les résultats obtenus ne montrent pas une réelle causalité entre exposition à l’arsenic et la survenue d’un cancer ou une pathologie bien définie cela relevait plutôt d’une corrélation en se basant sur le temps.
les limites principales de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans une consultation médicale comprenant un nouveau dosage de ΣAsi-MMA-DMA et un rappel des mesures de prévention est recommandée chez la personne tous les 1 à 3 mois, tant que l’exposition à l’arsenic inorganique est excessive (ΣAsi-MMA-DMA > 10 µg/g de créatinine, et > 11 µg/L pour les enfants de moins de 6 ans.
L’essence de l’interpellation qui avait marqué mon raisonnement, dans cette question sur les limites principales de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude est : (1) la méconnaissance des conséquences de l’exposition à l’arsenic au stade développemental.(2) La dilution lié aux données cohortes.
Une des limites principales de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude est la nature variée des cancers ayant causés la mort de la cohorte exposée ; en effet, il n’est pas à écarter que d’autres facteurs à part l’inhalation de l’arsenic ait été susceptible de générer les cancers divers.
Il y a également le faible incident du cancer de poumon qui a été principalement énoncé comme principal effet de l’exposition à l’arsenic ; la causalité et l’association par rapport aux données disponibles ne permet pas de se fier à la conclusion que l’arsenic ait été à lui seul responsable de la mortalité de la cohorte exposée.
Les limites principales de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude sont : le fait qu’on est pas sûr que tous les bébés inclus dans l’étude ont été alimentés par le lait contaminé par l’arsenic vu que les bébés nés entre septembre1950 et l’été 1955 ont pu être alimentés avec ce lait contaminé.
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L’évaluation intègre par défaut une exposition au lait contaminé sur toute la population de bébés, elle est purement approximative.
Les principales limites de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic cette études sont :
La méconnaissance des conséquences d’une exposition à l’arsenic au stade développemental. Celles-ci restent peu connus.
Aussi, cette étude s’est simplement attachée à étudier l’augmentation des risques de cancers chez des bébés nés dans ce secteur ce qui à mon sens pareil insuffisant.
Les limites principales de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude sont les manques de précisions et le caractère approximatif.
si la distribution du lait infantile contaminé est quelque chose d’accidentelle , l’année de sa mise sur le marché na pas été indiqué pour déterminer une cohorte de bébés bien précise a savoir des bébés nés juste avant la date de distribution.
Les données de cette étude sont insuffisants pour déterminer la cohorte de bébé, car il ne signale pas si la distribution de ce lait contaminé est un accidentelle ou répétés dans une période donné..
Il est difficile de savoir précisément si tous les bébés sont alimentés avec le lait contaminé, la principale limite de l’évaluation est l’approximation des données.
On évalue ici l’impact de l’exposition à l’arsenic dans l’apparition de cancer causant la mort des personnes exposées, sur une période s’étalant de janvier 1969 à mars 2008. Il est clair que dans un cas pareil, les situations individuelles sont extrêmement diverses et que de très nombreux autres facteurs ont pu influer sur l’apparition des facteurs. C’est donc une limitation majeure de cette étude.
Il s’agit d’une étude cohorte ou l’objectif des auteurs est de comparer le risque de mortalité entre les bébés exposées et non exposés a l’arsenic ( dans le lait infantile).
La limites principale de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude est qu’on est pas sûr que tous les bébés inclus dans cette étude ont été alimentés par le lait contaminé par l’arsenic vu que les bébés nés entre septembre1950 et l’été 1955 ont pu être aussi alimentés avec le lait infantile contaminé.
si la distribution du lait infantile contaminé est quelque chose d’accidentelle , l’année de sa mise sur le marché na pas été indiqué pour déterminer une cohorte de bébés bien précise a savoir des bébés nés juste avant la date de distribution. Les données de cette étude sont insuffisants pour déterminer la cohorte de bébé, car il ne signale pas si la distribution de ce lait contaminé est un accidentelle ou répétés dans une période donné..
Les limites principales de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude sont dues aux effets de dilutions liés aux données.
Par exemple, certaines personnes ont pu avoir été davantage exposées par rapport à d’autres. On ne connaît pas le réel degré d’exposition. Finalement, ce degré d’exposition reste évalué de façon approximative et il est fait abstraction de nombreux éléments l’influençant.
On ne sait pas réellement si les bébés nés entre septembre 1950 et l’été 1955 ont été alimentés avec ce lait contaminé ou s’ils ont bu un autre lait et n’ont donc pas été exposés.
S’agissant d’une cohorte, il est difficile d’affirmer à 100% que les exposés l’ont été réellement. Il n’y a pas de certitude sur l’utilisation de CE lait en poudre. Il a donc été choisi de considérer tous les bébés allaités artificiellement dans la période, comme des bébés exposés
Les limites principales de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude est le fait qu’on n’est pas sûr que tous les bébés inclus dans l’étude ont été alimentés par le lait contaminé par l’arsenic vu que les bébés nés en 1955 ont pu être alimentés avec ce lait contaminé. Du coup l’évaluation de l’exposition à l’arsenic des bébés nés avant l’été 1955 est une estimation.
l’étude a supposé que tous les bébés nés entre 1950 -1960 sont des cas exposés sans avoir s’ils ont été réellement consommés le lait contaminés par l’arsenic ou non
Dans cette cohorte qui étudie la corrélation entre la contamination des nouveaux nés par l’arsenic retrouvé dans le lait et l’apparition de certaines formes de cancers, les limites principales qui peuvent biaiser l’évaluation du risque est la considération que tout les nouveaux nés avant la contamination comme des exposés, alors qu’il y’a une possibilité de non exposition.
On peut pas évaluer l’exposition des bébés nés avant l’eté 1955 à l’arsenic, car
On n’ai pas sur que la totalité des bébés ont consommé ce lait contaminé.
on ne sait pas que tous les bébés inclus dans l’étude ont été alimentés par le lait contaminé par l’arsenic ou non
les principales limites de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic est que, cette exposition est une approximation. Et, on considère que tous les bébés sont des cas exposés par défaut, car il est difficile de savoir précisément si tous ces bébés ont été effectivement alimentés avec le lait contaminé.
il s’agit d’une cohorte retrospective, possibles biais d’information
Ici l’étude c’est limité au bébés morts dans le secteur d’Okyama, les familles ayant déménagés ne sont donc pas comptabilisées, aussi les bébés survivants mais malades ne sont pas comptabilisés. De plus seul la date de naissance semble être un facteur discriminant alors que l’exposition est critique (nombre de biberons fait à partir de ce lait en poudre).
Les enfants nés avant 1955 ont pu rentrer en contact avec le lait en poudre contaminé, mais cela n’est pas une affirmation certaine.
Le très jeune age des enfants étudiés agit en tant que facteur de vulnérabilité, qui devrait etre mis en relation avec d’autres possibles facteurs de vulnérabilité
Il s’agissait d’une étude de cohorte dont l’objectif des auteurs était de comparer le risque de décès entre nourrissons exposés et non exposés à l’arsenic (dans le lait infantile).
L’étude consiste à comparer la mortalité par cancer (total, foie, pancréas, vessie/reins, héamotopoïetiques) entre deux groupes de cette cohorte : les peronnes nées avant la contamination (exposés) , et après la contamination (non exposés).
La limite principale de cette étude est que tous les enfants nés avant 1955 sont considérés comme étant exposés à l’arsenic alors qu’on peut-être certains de ça, est-ce-que vraiment tous ces enfants ont été alimentés par du lait en poudre contenant de l’arsenic ?.
Les principales limites de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude étaient :
Ignorance des conséquences d’une exposition progressive à l’arsenic. Ceux-ci sont encore relativement méconnus.
De plus, bien que cette étude se concentre uniquement sur l’examen du risque accru de cancer chez les bébés nés dans ce département, nous pensons donc que cela ne suffit pas.
Une limitation majeure de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude est le manque de certitude que tous les nourrissons de septembre1950 à l’été 1955 inclus dans cette étude ont été nourris avec du lait contaminé par l’arsenic.
Donc l’évaluation de l’exposition à l’arsenic des bébés nés avant l’été 1955 approximative.
Il faut prendre en compte le temps de latence ; le temps de latence du cancer peut atteindre 20 à 40 ans.
les limites principales c’est que c’est une étude approximative on est pas sur a 100* que tous les enfants ont consommé un lait contaminé
pour moi la principale limite de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude est la difficulté d’identifier les bébés qui ont effectivement été alimentés par du lait contenant de l’arsenic.