Que nous révèle le cas particulier des SDHI des enjeux de toxicologie générale, de toxicologie réglementaire, d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires, et de gestion des risques liés aux pesticides ?
Avec le cas des SDHI, on se trouve en présence du mythe de la sélectivité d’action des pesticides. À l’origine, les SDHI (inhibiteurs de la succinate désydrogénase) appartiennent à la famille des fongicides, une catégorie particulière de pesticides. Leur fonction principale est de bloquer la respiration des champignons et moisissures, mais des études ont montré qu’elles pouvaient également être toxiques pour d’autres organismes vivants. En effet, le mécanisme d’action des SDHI visent l’inhibition de l’enzyme impliquée dans la respiration cellulaire. Des effets ont également été observés sur les cellules des abeilles, de verre de terre… et humaines. Les études récentes (INSERM et CNRS) montrent que les molécules n’ont aucune spécificité et peuvent potentiellement tout tuer.
Sur le plan de l’expertise et de la toxicologie réglementaire, le cas révèle également les limites et insuffisances. En effet, à ce jour, l’ANSES conclue à l’absence de risque sanitaire avéré en raison de la nature des dangers qui sont étudiés. Mais l’expertise collective ne semble pas avoir pris en considération les enjeux liés à la respiration cellulaire. Ceci interroge en profondeur les autorisations de mises sur le marché et les tests qui sont réalisés : on ne voit que ce que l’on mesure, or les enjeux mis en évidence par les équipes de l’INSERM et du CNRS ne font pas partie des sujets recherchés au titre de l’évaluation toxicologique de la substance. Les scientifiques ayant alerté sur ce risque majeur, en appellent au principe de précaution en attendant une nouvelle expertise de l’ANSES.
Que nous révèle le cas particulier des SDHI des enjeux de toxicologie générale, de toxicologie réglementaire, d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires, et de gestion des risques liés aux pesticides ?
Depuis les années 70, l’utilisation des pesticides provoque une montée rapide d’impacts sanitaires comme environnementaux. Cela a conduit à une réglementation stricte avant leur mise sur le marché. Cependant, le cas des SDHI a remis en cause la politique de réglementation notamment le passage aux tests scientifiques.
Les chercheurs ont démontré que le SDHI est un inhibiteur et source de maladie neurologique aux enfants et causant des hématomes et cancers chez l’adulte. Cependant, l’ANSSET a prétendu n’avoir aucune preuve sur la dangerosité du fongicide malgré la pression des chercheurs.
La position de L’ANSSET face aux preuves tangibles des scientifiques sur le risque que présente le SDHI montre d’une part le problème sur la réglementation des substances toxiques et d’autres part la pression des industries qui empêche l’évaluation correcte des risques.
Ces éléments rendent difficile l’évaluation du risque et empêche une politique de gestion.
Le cas particulier des SDHI, me révèle que : la toxicologie réglementaire, d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires, représentent des bas-côtés et des barrières, vis-à-vis de la gestion des risques liés aux pesticides. Ce qui remet en cause les autorisations (syndrome de l’autruche : le décalage entre ce que nous savons avec des placements du CNRS sur les SDHI "on observe, on quantifie, mais on ne décide pas", et les gestes que nous sommes prêts à poser est immense. Le cas particulier des SDHI, des enjeux de toxicologie générale, confirme cet effet d’autruche et me révèle aussi ; la coexistante d’une idéalisation de la dénasalisation de la vertu des pesticides inhibiteurs de la Succinate Désydrogénase (un fongicide singulier). Toutefois, un fongicide singulier, ayant pour fonction : la limitation de respiration de certaines moisissures, et parfois des champignons. Pour autant aussi, la capacité de toxicité (son activité visant l’inhibition des substances protéiniques nécessaire dans la respiration d’une cellule) . Néanmoins, Le volet prospectif récent, des études du Centre National de Recherches Scientifique, montre que la substance est mortifère ; une substance mortifère, non interdite ! En clair, le cas particulier des SDHI révèle une absence de conscience collective (commune et solidaire) dans la santé publique par : l’absence de synergie, de corrélations et de concordance rationnelle dans chacune des parts impliquées, même s’agissant d’une risque hautement identifie " la mort".
Les SDHI font parti de la famille des pesticides, ils inhibent la respiration cellulaire. Il a été montré que les SDHI pouvaient provoquer des maladies neurologiques chez les enfants et des cancers chez l’adulte. Mais l’ANSES estime qu’il n’y a aucun risque à la commercialisation et à l’utilisation de ce pesticide malgré les alertes scientifiques. On remarque donc un problème au niveau de la règlementation, de l’évaluation des risques et de la gestion sûrement dû à une pression des fabricants.Cela montre que les enjeux ne sont pas toujours sanitaires mais peuvent être économiques, politiques… D’autres facteurs entrent en jeu.
SDHI est un sigle qui désigne les inhibiteurs de la succinate déshydrogénase, c’est des fongicides, une sous-classe de pesticides, utilisés dans l’agriculture, ils bloquent la respiration des cellules de champignons affectant les cultures cependant la succinate déshydrogénase n’existe pas seulement chez les champignons. Il s’agit aussi d’une enzyme clef pour la chaîne respiratoire des cellules des organismes. Les fongicides SDHI ne se contentent pas d’inhiber l’activité de la SDH des champignons, mais sont aussi capables de bloquer celle du ver de terre, de l’abeille et de cellules humaines, des études récentes montrent que les molécules n’ont aucune spécificité et peuvent tout ravager.
La position prise par L’ANSSET face aux preuves réelles des scientifiques sur le risque que présente le SDHI montre d’une part le problème sur la réglementation des substances toxiques et d’autres part la pression des industries qui empêche l’évaluation correcte des risques.
Le cas particulier des SDHI inhibiteurs de la succinate désydrogénase nous révèlent la non sélectivité ni la spécificité de ce produit fongicide qui est principalement cense d’agir en bloquant la respiration des champignons et moisissure mais il est également selon les études toxicologiques toxiques pour d’autres organismes vivants. Selon la toxicologie réglementaire les SDHI présentes des limites et insuffisances mais vu que les autorités sanitaires ont conclu l’absence de risque sanitaire d’après les dangers étudie sur ces produits alors que les dangers que représente le mécanisme d’action de ces pesticides n’est pas bien évalué du point de vue de la respiration cellulaire, ce qui nous pousse en faire une réflexion sur les conditions de la mise sur le marché et les procédures et expérimentations qui sont réalises pour aboutir a ces autorisations.
Le cas particulier des SDHI des enjeux de toxicologie générale, de toxicologie réglementaire, d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires, et de gestion des risques liés aux pesticides révèle la dangerosité des pesticides, et plus particulièrement les "SDHI.
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Les SDHI sont des fongicides inhibiteurs de la respiration des champignons et moisissures, cependant des études prouvent que les SDHI peuvent potentiellement être toxiques pour d’autres organismes vivants et tout tuer.
Au vu de la toxicologie réglementaire et de l’expertise, les SDHI présentent plusieurs insuffisances. Son autorisation de mise en marché est décriée du fait que les risques sanitaires sont écartés par l’ANSES sans une prise en compte des enjeux de la respiration cellulaire.
Les SDHI qui sont très toxique et parmi les fongicides, qui sont démontrés par des études être toxiques pour l’organisme vivants. Ils pourraient avoir des effets sur l’homme et sur les abeilles. Le cas des SDHI nous relève les enjeux de l’expertise et de la toxicologie générale. L’autorisation sur le marché d’un tel produit qui aura des conséquences sur la santé. Mais on trouve des positions contre des scientifiques qui a mis la population en alerte contre ce produit, l’ANSES par exemple qui a demandé une autre études par des autres experts.
En effet, ces dernières années ont été marquées par la montée des polémiques liées à l’impact des pesticides sur la santé et l’environnement. Une étude récente d’INRAE met d’ailleurs en avant l’effet cocktail des pesticides sur des rats. Les procédures d’autorisation de leur mise sur le marché posent également question : comment améliorer la prise en compte des effets des pesticides sur la santé et l’environnement dans les procédures réglementaires. Un groupe de huit chercheurs de CNRS, de l’Iserm et de l’INRA ont soupçonnés les fongicides SDHI d’avoir des effets néfastes sur la biodiversité et sur la santé humaine. Selon eux entrainer des effets potentiels chez l’homme. Cependant, selon l’ANSES, les données que les chercheurs à l’origine de l’alerte leur ont confiées n’apportent pas d’éléments en faveur d’une alerte sanitaire pour la santé humaine et pour l’environnement en lien avec l’usage agricole de ces fongicides, qui pourrait justifier la modification ou le retrait des autorisations de mise sur le marché.
le cas des Le cas des SDHI , nous révèle une communauté scientifique divisé autour du sujet de son effet toxique.
A l’origine cette molécule est conçu pour lutter contre les champignons et moississures a intérêt agricole, par l’action de bloquer la respiration des cellules, mais il a été remarqué que son action n’est pas spécifique a ces espèces vivantes.
Le point centrale qui divise la communauté scientifique c’est l’effet toxique de la molécule, et tout l’enjeu est la car faut il redéfinir la toxicité ?.
Mais en attendant les réponses tranchées de la toxicologie, la règlementation devait intervenir et agir par son rôle de régulation chose qu’elle na pas fait.
Les SDHI restent très toxiques notamment pour l’homme et les abeilles. Sa spécificité relève des enjeux de l’expertise et de la toxicologie générale. Parmi les fongicides, les SDHI demeurent les fongicides les plus toxiques pour l’organisme vivant selon certaines études. Sa commercialisation provoque de graves conséquences sur la santé.
Sur le plan de la toxicologie générale, les SDHI représente un réel enjeu. En effet, elles s’attaquent aussi aux voies respiratoires des cellules de vers de terre, d’abeilles et des êtres humains. Ce sont des substances chimiques hautement nocives et sont rependues dans nos champs et sur nos terrains de sport.
Sur le plan réglementaire, les organismes et institutions de protection ne semble pas prendre au sérieux les enjeux liés à cette substance et aux conséquences sur la respiration cellulaire. Ce cas nous questionne donc sur les mesures d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires.
Les SDHI font parti de la famille des fongicides, capables d’agir sur le développement de champignons et moisissures affectant les cultures par le blocage d’une enzyme impliquée dans la respiration cellulaire, la succinate déshydrogénase (SDH).
Un groupe de scientifique a été alerté sur les risques potentiels pour la santé de l’usage en agriculture des SDHI.
Selon l’ANSES les informations et hypothèses évoquées par les scientifiques n’apportent pas d’éléments en faveur d’une alerte sanitaire pour la santé humaine et l’environnement en lien avec l’usage agricole de ces fongicides qui pourrait justifier la modification ou le retrait des autorisations de mise sur le marché. Au vu alors de la toxicologie réglementaire et de l’expertise, les SDHI présentent plusieurs limites.
le cas des Le cas des SDHI , nous révèle une communauté scientifique divisé autour du sujet de son effet toxique. A l’origine cette molécule est conçu pour lutter contre les champignons et moississures a intérêt agricole, par l’action de bloquer la respiration des cellules, mais il a été remarqué que son action n’est pas spécifique a ces espèces vivantes.
Les scientifiques ont découvert que les SDHI, répandus depuis plusieurs années, étaient nocifs pour les organismes vivants. L’enzyme de la SDH était inhibée et cela créait des dysfonctionnements empêchant la respiration cellulaire. Ces fongicides empêchent donc la respiration des champignons, néfastes pour l’agriculture, mais aussi de tous les organismes vivants y compris les hommes.
La mise sur le marché de ce fongicide était utile et justifiée il y a plusieurs années lors de l’essor nécessaire de l’agriculture et de l’ignorance de l’impact mais aujourd’hui, et après les preuves de leur toxicité, ces derniers devraient être retirés du marché et interdits.
Les autorités sanitaires, notamment l’ANSES, ont contredit les dires des scientifiques en affirmant que ce produit ne représentait aucunement une menace. Le directeur général du pôle science de l’ANSES annonçait que les évaluations effectuées sur les SDHI ne concluaient pas à des risques inacceptables justifiant leur interdiction.
Cette volonté de maintenir l’utilisation de ces fongicides va à l’encontre du principe de précaution, malgré la relance des scientifiques faite au siège de l’ANSES.
Cela laisse se poser la question de la réalisation suffisante de tests en amont permettant d’autoriser en toute conscience la mise sur le marché de ces produits. Les tests demandés en aval de la découverte des scientifiques étaient voulus pour confirmer le risque. Pourtant, l’ANSES n’était prête qu’à effectuer des tests simples et bon marché.
Ce cas des fongicides montrent qu’il est pertinent et même indispensable d’effectuer de nombreux tests afin d’évaluer la totalité de l’impact d’une substance sur l’entièreté de l’organisme. Si certains tests spécifiques ne démontrent pas de danger, les autres expérimentations autour de la recherche d’un autre risque pour le même produit peuvent s’avérer utiles.
Pour que les découvertes de toxicologie soient appliquées, il faut une certaine reconnaissance dans la publication des résultats. Malgré des résultats probants, les découvertes scientifiques peuvent être contestées ou ignorées et ne pas aboutir à des mesures de prévention efficaces.
Finalement la gestion des risques liés aux pesticides et la mise sur le marché des produits phytosanitaires doit être réfléchi en amont, faire l’objet d’une multitude de tests. Aussi, les instances scientifiques, administratives etc doivent être en accord afin d’assurer une prévention efficace de la santé des écosystèmes et des hommes.
SHDI produit fongicide nocifs pour la faune est malgré leur danger il circule librement, il a été distribué depuis 2013 mais on découvrir leurs existence qu’au 2017 grâce à 2 chercheurs Français. à un effet sur l’inhibition de la SDH.
mais pourquoi il est autorisé sans demander de faire des tests ?
les chercheurs CNRS INSERM INRAS se réunissent pour faire une contribution dans une presse le quotidien écrite , les SDHI bloque une enzyme clé de la respiration des champignons et touts les êtres vivants, et transférés via les aliments. donc un appel pour la suspension à été lancé et l’ANSES conclue à l’absence de risque sanitaire et le manque des données d’un risque réel .le danger circule , les chercheurs ayant alerté ,dans l’attente d’une réaction de l’ANSES.
Le cas des inhibiteurs de la succinate désydrogénase SDHI et fabriquer pour bloquer la respiration des champignons et moisissures, mais des études ont montré qu’elles peuvent être toxiques pour d’autres organismes vivants en inhibant de l’enzyme impliquée dans la respiration cellulaire. Des effets récents ont été observés sur les cellules des différents organismes comme les abeilles, les vers de terre et humains. Du coup, les molécules n’ont aucune spécificité et peuvent potentiellement tout tuer. Sur le plan de l’expertise et de la toxicologie réglementaire, le cas révèle également les limites et insuffisances. Malgré ses effets, l’ANSES estime qu’il n’y a aucun risque à la commercialisation et à l’utilisation de ce pesticide malgré les alertes scientifiques. Cela montre que les enjeux ne sont pas toujours sanitaires mais peuvent être économiques, politiques
Les SDHI ou inhibiteurs de la succinate déshydrogénase sont utilisés comme fongicide. Or cette enzyme est ubiquitaire car présente dans les mitochondries des eucaryotes. Ainsi, il est illusoire d’imaginer que les SDHI puissent avoir une action dirigée exlusivement contre les champignons.
Des études récentes ont même démontré leur toxicité envers les vers de terre, les pollinisateurs, les grenouilles et les humains.
Néanmoins, cette famille de « pesticides » est tjrs commercialisée. En 2019, l ‘ANSES a conclue à l’absence de risque sanitaire pouvant conclure au retrait des pesticides tout en lançant à un appel a la vigilance sur le plan européen et international.
La toxicologie réglementaire atteint la ses limites.
L’ANSES s’est, par ailleurs, de nouveau saisie du sujet fin 2019 et les résultats auraient du être dévoilés fin 2021. Il aurait peut etre été opportun de suspendre leur autorisation « le temps de », par précaution.
Il apparait légitime de se questionner sur les évaluations qui précèdent les autorisations de mise sur le marché et sur les conclusions parfois opposées de différents groupes d’experts.
Le cas de l’alerte SDHI révèle à la fois la controverse entre toxicologie générale et toxicologie règlementaire et les difficultés de mise en œuvre du principe de précaution dans des situations d’incertitudes.
Les scientifiques, sur la base de leurs recherches, alertent sur la toxicité des SDHI. L’ANSES, sur la base de la littérature et des tests règlementaires exigés des industries dans le cadre de la mise sur le marché de ces produits, affirment qu’il n’y a pas de preuves de la toxicité des produits.
La controverse entre scientifiques et experts règlementaires démontrent une différence de référentiels et de pratiques entre connaissances scientifiques et preuves règlementaires.
Et notamment une différence d’objectifs, au regard des missions institutionnelles de l’ANSES.
La question de la méthode d’évaluation des risques pour les pesticides se pose alors d’une part. Et de l’autre celle du niveau de preuves nécessaires à l’application du principe de précaution.
Avec en toile de fond, celle des enjeux économiques des industries agrochimiques et agro-alimentaires.
Les SDHI sont des fongicides dont le mode d’action est l’inhibition de l’enzyme succinate déshydrogénase, bloquant ainsi le processus respiratoire des cellules des champignons.
Les fabricants de SDHI assurent que ces fongicides inhibent spécifiquement l’activité de cette enzyme dans les moisissures.
Mais les chercheurs de l’INSERM et du CNRS et de l’INRA sonnent l’alarme car selon leurs travaux ces fongicides SDHI bloquent également l’enzyme humaine et celle des verres de terre. Selon eux cela peut avoir comme conséquence l’apparition d’encéphalopathies sévères et même de certains cancers du rein ou du système digestif, ce qui incite à revoir la toxicologie réglementaire de ce produit phytosanitaire en termes de VTR en se référant aux connaissances récentes sur la dangerosité prouvée de ce produit toxique malgré que l’ANSES concluait en 2019 à l’absence d’alerte sanitaire conduisant au retrait des autorisations de mise sur marché de ces fongicides.
Ces fongicides ont passé les tests d’évaluation règlementaire avant leur mise sur le marché – tests censés garantir que ces produits ne poseront pas de risques majeurs, ce qui n’est pas le cas avec les nouvelles connaissances sur ces produits phytosanitaires, donc l’autorisation de mise sur le marché doit être réévaluer en prenant en compte les nouvelles révélations des experts sur les SDHI et de ce fait établir le niveau de dangerosité correcte.
En attendant que des mesures réglementaires seront prises à nouveau et selon un nouvel ongle de vue, des précautions doivent être prises en compte par la limitation de ces pesticides par les agriculteurs afin de minimiser les dégâts sanitaires (alimentation bio) et environnementaux.
(SDHi) se sont des fongicides inhibiteurs de la succinate déshydrogénase (enzyme clé de la respiration cellulaire SDH ) utilisé contre les champignons ils inhibent le complexe 2 de la chaine respiratoire pour que ses champignons ne se multiplie pas , le problème c’est que le même enzyme existe chez les différents cellules donc le SDHI ne fait pas une différence entre la cellule cible(champignon) et non cible (abeilles , verre de terre et l’enzyme humaine) selon les études il y’a des graves conséquences de ce fongicides sur la sante humaine et même sur l’environnement ,
sur le plan réglementaire ANSES conclut « l’absence d’éléments en faveur de l’existence d’une alerte sanitaire » , les chercheurs conclut que les risques potentiels constitués par les SDHI sont potentiellement « graves et irréversibles , et proposent l’interdiction de ce pesticide par précaution. ceci mis un point d’interrogation sur l’autorisation de mise sur le marché des ses produits phytosanitaires .
L’inhibiteur de la succinate déshydrogénase (SDHI) est une molécule active utilisé notamment dans les produits fongicides pour lutter contre certains champignons et moisissures qui attaquent les cultures. SDHI empêche leur développement en bloquant l’enzyme succinate déshydrogénase (SDH), qui joue le rôle clé de la respiration cellulaire. 11 actifs de cette famille entrent dans la composition des produits phytosanitaires agréés en France.
Plusieurs scientifiques de l’INSERM et du CNRS alertaient sur les risques potentiels de ces substances pour la santé humaine et pour l’environnement et qu’ils sont plus toxique pour des organisme non cible que pour les moisissures contre lesquelles ils sont censés agir, d’ailleurs ils inhibent la respiration des cellules du ver de terre, de l’abeille, et de l’être humain. Or chez ce dernier, un tel dysfonctionnement est associé à de graves pathologies.
En 2019, l’ANSES ont contredit les déclarations des scientifiques en affirmant que ces molécules n’ont aucun effet dangereux pour la santé humaine et que les tests d’évaluation effectués sur ces substances ne pourraient justifier la modification ou le retrait des autorisations de mise sur le marché.
Les SDHI sont des pesticides, qui étaient utilisés à la base comme fongicides, mais avec l’avancée de la science, ils se trouvent qu’ils ont pratiquement les mêmes sur différents êtres vivants dont les insectes pollinisateurs, et n’ont donc pas cette sélectivité dont se vanter les industriels des produits phyto, et donc toutes les études toxicologiques et les tests menés lors de l’accréditation du produit et sa mise sur le marché sont jugés insuffisants, car l’effet des SDHI devait être découvert en amont.
Les SDHI sont des fongicides inhibiteurs de la respiration des champignons et moisissures, certaines études prouvent études qu’ils peuvent être très toxiques potentiellement pour d’autres organismes vivants et de les détruire tous.
Au vu de la toxicologie réglementaire et de l’expertise, les SDHI présentent plusieurs insuffisances. Son autorisation de mise en marché est décriée du fait que les risques sanitaires sont écartés par l’ANSES sans une prise en compte des enjeux de la respiration cellulaire.
la discordance entre l’avis de l’opinion publique et des autorites sanitaires
Ce que cela nous apprends c’est que même si le principe de précaution est sensé être au centre de la gestion du risque, il n’en est rien et que la mise sur le marché est autorisé pratiquement par défaut et que c’est à postériori aux scientifiques, ONG et associations de démontrer la dangerosité de la substance alors que cela devrait être l’inverse : par défaut une substance est dangereuse et avant mise sur le marché il devrait être de la responsabilité de l’entreprise fabricante de démontrer la non-dangerosité.
l’évaluation des risques liés aux pesticides reste un système défaillant parce que même après toutes les études qui ont montré la toxicité des SDHI sur les cellules vivantes (bloquer la respiration cellulaire et provoquer la mort cellulaire),ces pesticides sont toujours commercialisé paracerque selon les décideurs il n’ya pas assez de preuve sur l’exactitude du concept et du danger et selon eux les études restent non concluantes en ce sujet ce qui nous amène à penser que la science n’est pas libre mais elle est sous la dépendance des politiques des décideurs .
La famille des SDHI comprend 11 substances fongicides qui agissent en empêchant le développement de champignons et moisissures affectant les cultures par le blocage d’une enzyme impliquée dans la respiration cellulaire, la succinate déshydrogénase (SDH), certaines études prouvent qu’ils peuvent être très toxiques potentiellement pour d’autres organismes vivants et de les détruire tous.
Au vu de la toxicologie réglementaire et de l’expertise, les SDHI présentent plusieurs insuffisances. Son autorisation de mise en marché est décriée du fait que les risques sanitaires sont écartés par l’ANSES sans une prise en compte des enjeux de la respiration cellulaire. Les scientifiques ayant alerté sur ce risque majeur, en appellent au principe de précaution en attendant une nouvelle expertise de l’ANSES.
SDHI appartient à la famille des insecticides et inhibe la respiration cellulaire. Il a été démontré que les SDHI provoquent une neuropathie chez les enfants et un cancer chez les adultes. Cependant, l’Anses estime que la commercialisation et l’utilisation de ce pesticide ne présentent aucun risque, malgré les mises en garde scientifiques. Donc on constate qu’il y a des problèmes en termes de réglementation, d’évaluation et de gestion des risques, et c’est certainement dû à la pression des industriels, cela indique qu’il y a une possibilité que ce soit politique ou politique.
Les SDHI sont des fongicides qui bloquent la respiration des cellulaire des champignons, mais pas uniquement : des études ont montré aussi une inhibition de la respiration cellulaire, et donc une toxicité pour des organismes non ciblés, via l’inhibition de l’enzyme responsable de la respiration cellulaire.
Cependant, l’ANSES ne prend visiblement pas assez en compte ces études parce qu’il affirme l’absence de risque sanitaire pour ces molécules. Cela montre une différence de paramètres pris en compte entre les recherches qui montrent la toxicité et les recherches de l’ANSES, et interroge le processus d’autorisation de mise en marché des pesticides/fongicides : si on mesure partiellement (en prenant en compte seulement certains paramètres) alors les conclusions sont forcément limitées. On peut s’interroger sur la présence de pressions et lobbying industriel qui justifierait la partialité de ces études
Les fabricants de SDHI assurent que ces fongicides inhibent spécifiquement l’activité de l’enzyme succinate déshydrogénase dans les moisissures, tandis que les chercheurs ont découvert que le mode d’action de ces fongicides bloque le processus respiratoire des cellules des champignons en agissant sur cet enzyme.
C’est pourquoi les chercheurs de l’INSERM et du CNRS et de l’INRA tirent la sonnette d’alarme car selon leurs travaux ces fongicides SDHI bloquent également l’enzyme humaine, ce qui peut avoir comme conséquence l’apparition d’encéphalopathies sévères et même de certains cancers du rein ou du système digestif, cela incite à revoir la toxicologie réglementaire de ce produit phytosanitaire en termes de VTR en se référant aux connaissances récentes sur la dangerosité prouvée de ce produit toxique malgré que l’ANSES concluait en 2019 à l’absence d’alerte sanitaire conduisant au retrait des autorisations de mise sur marché de ces fongicides.
Des tests d’évaluation règlementaire ont été faits sur ces fongicides avant leur mise sur le marché pour garantir que ces produits ne poseront pas de risques majeurs, ce qui n’est pas le cas avec les nouvelles connaissances sur ces produits phytosanitaires. Donc ; l’autorisation de mise sur le marché doit être réévaluée en prenant en compte les nouvelles révélations des experts sur les SDHI et de ce fait établir le niveau de dangerosité correcte.
En attendant qu’une nouvelle perspective remis en place les mesures de gestion, il est nécessaire de prendre en compte des mesures préventives en limitant ces pesticides par les agriculteurs afin de minimiser les dommages pour la santé (alimentation biologique) et l’environnement.
Les SDHI ou inhibiteurs de la succinate déshydrogénase sont utilisés comme fongicides. Or, cette enzyme est omniprésente car on la trouve dans les mitochondries des eucaryotes. Par conséquent, il est irréaliste d’imaginer que SDHI pourrait avoir des effets spécifiques aux champignons. Des études récentes ont même démontré leur toxicité pour les vers de terre, les pollinisateurs, les grenouilles et les humains.
Malgré cela, cette famille d’« insecticides » est toujours sur le marché.Ces fongicides ont passé les tests d’évaluation règlementaire avant leur mise sur le marché – tests censés garantir que ces produits ne poseront pas de risques majeurs, ce qui n’est pas le cas avec les nouvelles connaissances sur ces produits phytosanitaires, donc l’autorisation de mise sur le marché doit être réévaluer en prenant en compte les nouvelles révélations des experts sur les SDHI et de ce fait établir le niveau de dangerosité correcte.
En attendant que des mesures réglementaires seront prises à nouveau et selon un nouvel ongle de vue, des précautions doivent être prises en compte par la limitation de ces pesticides par les agriculteurs afin de minimiser les dégâts sanitaires (alimentation bio) et environnementaux.
Les inhibiteurs de la succinate déshydrogénase (SDHI) sont effectivement une sous-classe de pesticides utilisés dans l’agriculture pour contrôler les champignons qui affectent les cultures. Cependant, il est important de souligner que la succinate déshydrogénase est une enzyme présente non seulement chez les champignons, mais aussi chez de nombreux autres organismes, y compris les ver de terre, les abeilles et les cellules humaines. Les fongicides SDHI peuvent donc avoir des effets sur ces organismes en inhibant l’activité de cette enzyme.
Il est important de tenir compte de tous les risques potentiels lors de l’évaluation de l’utilisation de substances toxiques comme les pesticides. Il est également crucial de veiller à ce que les réglementations en matière de substances toxiques soient basées sur des données scientifiques solides et évaluent correctement les risques pour la santé humaine et l’environnement. Cela nécessite une évaluation indépendante et transparente des preuves scientifiques, sans pression de la part des industries.
Le cas particulier des SDHI, me révèle que : la toxicologie réglementaire, d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires, représentent des les inconvénients et des barrières, vis-à-vis de la gestion des risques liés aux pesticides. Le cas particulier des SDHI, des enjeux de toxicologie générale, confirme l’effet d’autruche et révèle aussi la coexistante d’une idéalisation de la dénasalisation de la vertu des pesticides inhibiteurs de la Succinate Désydrogénase (un fongicide singulier). Toutefois, un fongicide singulier, ayant pour fonction : la limitation de respiration de certaines moisissures et des champignons.
Néanmoins, les recherches du Centre national de la recherche scientifique, désormais une future section, montrent que la substance est mortelle mais qui n’est pas interdites. En effet, le cas particulier de SDHI démontre clairement le manque de prise de conscience collective en matière de santé publique.
Les SDHI ou inhibiteurs de la succinate déshydrogénase sont utilisés comme fongicides. Or, cette enzyme est omniprésente car on la trouve dans les mitochondries des eucaryotes. Par conséquent, il est irréaliste d’imaginer que SDHI pourrait avoir des effets spécifiques aux champignons. Des études récentes ont même démontré leur toxicité pour les vers de terre, les pollinisateurs, les grenouilles et les humains. Néanmoins, cette série "d’insecticides" est toujours sur le marché. Contrairement aux nouvelles connaissances de ces produits phytosanitaires, l’autorisation de mise sur le marché doit donc être réévaluée en fonction des nouvelles révélations des experts à SDHI afin que la bonne classe de risque soit établie.
En attendant que des mesures réglementaires seront prises à nouveau et selon un nouvel ongle de vue, des précautions doivent être prises en compte par la limitation de ces pesticides par les agriculteurs afin de minimiser les dégâts sanitaires (alimentation bio) et environnementaux.
le cas particulier des SDHI (inhibiteur de la succinate déshydrogénase ) montre l’importance de la toxicologie générale dans l’évaluation des risques pour la santé humaine et l’environnement. toutefois, malgré les études du CNRS qui indiquent la non-spécificité des molécules des SDHI et la toxicité sanitaire et environnementale, l’ANSES soutient l’absence de risque sanitaire environnemental.
Pourtant, en principe, au plan de la toxicologie réglementaire, au nom du principe de précaution du risque sanitaire environnemental, les SDHI ne devraient aucunement bénéficier d’une mise sur le marché.
Les SDHI (inhibiteurs de la succinate déshydrogénase), appartenant à la famille des fongicides, sont des enzymes jouant un rôle clé dans le processus respiratoire des champignons et des moisissures. Des études ont montré l’effet toxique des SDHI sur d’autres organismes vivants tels que les vers de terre, les Hommes, etc. ; Des cas de cancer chez les adultes et de neuropathie chez les enfants ont même été démontrés. Cependant, l’ANSES ne tient pas compte des ces études et affirme l’absence de risque sanitaire de ce pesticide. Nous assistons à des conclusions divergentes et donc à des problèmes d’évaluation et de gestion des risques. Néanmoins en prenant en compte le principe de précaution , ce pesticide devrait être retirer ou reconsidérer. Mais cela n’est pas le cas ce qui amène à s’interroger sur la présence de pressions politique, économique ou industriel qui justifierait cette divergence de résultats.
les SDHI qui ont pour effet de bloquer la respiration des champignons et moisissures, peuvent aussi être toxique pour d’autres espèces dans l’environnement. alors la notion de spécificité des pesticide est mise en doute . Au niveau de la toxicité réglementaire nous voyons bien les limites et insuffisances
Le cas particulier des SDHI révèle plusieurs enjeux importants dans le domaine de la toxicologie et de la gestion des risques liés aux pesticides, pour préciser :
Toxicologie générale : Les SDHI soulèvent des préoccupations en matière de toxicologie générale en raison de leur mode d’action spécifique sur la succinate déshydrogénase (SDH), une enzyme essentielle dans le métabolisme cellulaire. La connaissance des effets potentiels des SDHI sur la santé humaine et l’environnement a été trouvé par l’INSERM et le CNRS.
Toxicologie réglementaire et l’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires : L’évaluation réglementaire des SDHI met en lumière l’importance de disposer de protocoles d’évaluation toxicologique robustes pour évaluer les risques potentiels pour la santé humaine et l’environnement. En ce moment, ce qui pose des controverses est la décision favorable de l’utilisation commerciale de ces substances, approvée par l’ANSES.
Gestion des risques liés aux pesticides : Les SDHI soulignent l’importance de mettre en œuvre des stratégies de gestion des risques efficaces pour limiter l’exposition humaine et environnementale à ces substances. Cela peut inclure des mesures de protection des travailleurs agricoles, des restrictions d’utilisation, des pratiques de surveillance et de suivi, ainsi que des programmes de gestion intégrée des pesticides pour réduire la dépendance à long terme à ces produits.
Le cas des SDHI remet en question le mythe de la sélectivité des pesticides, car bien que destinés initialement à bloquer la respiration des champignons, des études ont démontré leur toxicité pour divers organismes, y compris les abeilles, les vers de terre et même les humains, remettant ainsi en cause les évaluations réglementaires et soulignant l’absence de prise en compte des risques liés à la respiration cellulaire, incitant les scientifiques à réclamer une réévaluation basée sur le principe de précaution.
En toxicologie réglementaire, le cas des SDHI souligne l’importance de la prise en compte des risques potentiels des substances toxiques, même si ces risques ne sont pas encore pleinement compris
Le cas des SDHI (fongicides) révèle des défis dans l’évaluation des risques chimiques, la régulation des produits, et la gestion des dangers liés aux pesticides et bien prendre en consédération les consequences pathologiques de ces substances (SDHI) qui inhibent la SDH qui est une enzyme clé de respirations de tout les organismes vivants. Cela souligne la nécessité d’adopter une approche approfondie de recherche scientifique pour garantir l’efficacité des produits tout en minimisant les risques pour la santé humaine et l’environnement(La faune ) .
Ce que révèle le contexte des inhibiteurs de la succinate déshydrogénase (SDHI) est le fossé qu’il y a entre la connaissance des dangers avérés, présumés ou suspectés et l’absence de certitude d’absence de dangers pour le reste.
Les SDHI sont des substances actives appartenant à la famille des pesticides fongicides. Ils sont utilisés pour leur capacité à bloquer la respiration des moisissures et champignons par l’inhibition de l’enzyme impliquée dans la respiration cellulaire.
Des études ont montré qu’ils n’avaient en fait pas de spécificité et pouvaient également être toxiques pour d’autres organismes vivants.
Jusqu’à maintenant, l’ANSES conclut à l’absence de risque sanitaire avéré en raison de la nature des dangers qui sont étudiés. Absence de preuves démontrées par une agence ne signifie pas absence de risques. Ce cas démontre les limites de la réglementation actuelle et le temps long de la recherche et de l’alignement des politiques de prévention.
Ce que révèle le contexte des inhibiteurs de la succinate déshydrogénase (SDHI) est le fossé qu’il y a entre la connaissance des dangers avérés, présumés ou suspectés et l’absence de certitude d’absence de dangers pour le reste.
Les SDHI sont des substances actives appartenant à la famille des pesticides fongicides. Ils sont utilisés pour leur capacité à bloquer la respiration des moisissures et champignons par l’inhibition de l’enzyme impliquée dans la respiration cellulaire.
Des études ont montré qu’ils n’avaient en fait pas de spécificité et pouvaient également être toxiques pour d’autres organismes vivants.
Jusqu’à maintenant, l’ANSES conclut à l’absence de risque sanitaire avéré en raison de la nature des dangers qui sont étudiés. Absence de preuves démontrées par une agence ne signifie pas absence de risques. Ce cas démontre les limites de la réglementation actuelle et le temps long de la recherche et de l’alignement des politiques de prévention.
Ce que révèle le contexte des inhibiteurs de la succinate déshydrogénase (SDHI) est le fossé qu’il y a entre la connaissance des dangers avérés, présumés ou suspectés et l’absence de certitude d’absence de dangers pour le reste.
Les SDHI sont des substances actives appartenant à la famille des pesticides fongicides. Ils sont utilisés pour leur capacité à bloquer la respiration des moisissures et champignons par l’inhibition de l’enzyme impliquée dans la respiration cellulaire.
Des études ont montré qu’ils n’avaient en fait pas de spécificité et pouvaient également être toxiques pour d’autres organismes vivants.
Jusqu’à maintenant, l’ANSES conclut à l’absence de risque sanitaire avéré en raison de la nature des dangers qui sont étudiés. Absence de preuves démontrées par une agence ne signifie pas absence de risques. Ce cas démontre les limites de la réglementation actuelle et le temps long de la recherche et de l’alignement des politiques de prévention.
Le cas particulier des SDHI inhibiteurs de la succinate déshydrogénase nous révèle la non sélectivité de ce produit censé agir sur les champignons en bloquant la respiration de leurs cellules et les éliminer ; car à l’instar des organismes cibles que sont les champignons, les SDHI tuent d’autres vivants et ont un effet sanitaire délétère chez l’homme.
Malgré une alerte lancée par des chercheurs issus d’instituts aussi sérieux que l’INSERM et le CNRS, l’ANSES considère que les substances SDHI ne représentent pas de risque pour l’environnement, les animaux et la santé humaine et continue de maintenir les autorisations de mise sur le marché de ces produits. Il y’a donc un hiatus entre l’avis de l’ANSES qui se base sur un comité d’experts non spécialistes des questions mitochondriales et de la respiration cellulaire, et les chercheurs spécialistes en la matière. Il y’a donc un problème au niveau de la toxicologie règlementation qui émet des avis sur la base de protocoles qui ne prennent pas en compte tous les paramètres qui devaient conclure à un risque à l’issu de l’évaluation.
Il y’a aussi la puissance des lobbys de l’industrie phytopharmaceutique qui manœuvrent pour maintenir leur activité qui répond à une logique purement économique, ce qui fait que finalement le processus d’évaluation des risques et la gestion des risques sont pris en sandwich entre une logique de sécurité sanitaire d’une part, et de l’autre part une logique économique et productiviste
Les SDHI font partie de la famille des fongicides, capables d’agir sur le développement de champignons et moisissures par le blocage d’une enzyme impliquée dans la respiration cellulaire, la succinate déshydrogénase (SDH). Ces fongicides sont également utilisés pour traiter les vers blancs qui jaunissent les pelouses donc utilisés dans les stades de foot, les terrains de golf. L’autorisation de mise sur le marché de ces fongicides relève d’une étude réalisée par les firmes qui démontre une innocuité de ces substances chez l’homme et l’environnement. Mais en 2018, une étude des chercheurs de l’INSERM et Pierre Rustin remettent en cause les premières études réalisées. A l’instar de la SDH des champignons, les SDHI inhibent aussi la SDH d’autres vivants comme les verres de terres les abeilles et même l’homme, impactant de ce fait négativement la santé humaine et l’environnement. Les études récentes (INSERM et CNRS) montrent que les molécules n’ont aucune spécificité et peuvent potentiellement tout tuer. Suite à cette alerte, l’ANSES à déclarer suite à l’étude de ses experts qu’il n’y a pas de toxicité. Cet avis est très controversé d’autant plus que le groupe de scientifiques et des organisations de la société civile maintiennent leur alerte et évoquent le principe de précaution en vue du retrait pur et simple des substances SDHI du marché. Des scientifiques reprochent à l’ANSES le fait qu’aucun des experts mandatés par l’agence n’avait une expertise spécifique dans le domaine des maladies mitochondriales, qui est le sujet traité. De plus, le mécanisme d’action très distinct des SDHI sur les cellules n’a pas été pris en considération lors de l’évaluation du dossier. Le point de vue de l’ANSES laisse à croire quelle est sous l’influence des lobbys de l’industrie.
Face à cette situation qui oppose deux parties prenantes du processus d’évaluation des risques sanitaires : Anses et scientifiques, il se pose le problème de la légitimité des études d’évaluations visant l’autorisation de mise sur le marché des substances chimiques et celui de l’évaluation et de la gestion des risques.
L’évaluation des risques liés aux pesticides est critiquée pour ses lacunes, notamment dans le cas des SDHI. Malgré des études démontrant la toxicité de ces substances en bloquant la respiration cellulaire et induisant la mort cellulaire, les pesticides continuent d’être commercialisés. Les décideurs justifient cela en arguant qu’il n’y a pas suffisamment de preuves concluantes sur la précision du concept et du danger. Cette situation suscite des inquiétudes quant à l’indépendance de la science, suggérant qu’elle peut être influencée par les orientations politiques des décideurs.
Les SDHI (inhibiteurs de la succinate déshydrogénase) sont une classe de fongicides largement utilisés dans l’agriculture pour lutter contre les maladies fongiques chez les plantes. Leur cas particulier révèle plusieurs enjeux dans les domaines de la toxicologie générale, de la toxicologie réglementaire, de l’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires et de la gestion des risques liés aux pesticides.
Le cas des SDHI souligne l’importance d’une approche holistique en toxicologie et en réglementation pour garantir l’efficacité des pesticides tout en minimisant les risques pour la santé et l’environnement. Il met en évidence la nécessité d’une évaluation continue à mesure que de nouvelles informations émergent et que de nouveaux produits sont développés. La transparence et la communication entre les autorités réglementaires, les scientifiques et l’industrie sont cruciales pour une gestion efficace des risques liés aux pesticides.
1. Toxicologie générale :
Les SDHI, initialement conçus pour cibler spécifiquement les moisissures et champignons, soulèvent des préoccupations en raison de leurs effets potentiellement néfastes sur un large éventail d’espèces, y compris des espèces non ciblées. Comprendre les interactions complexes entre les SDHI et les différentes espèces ainsi que les mécanismes de toxicité associés constitue un défi pour la toxicologie générale.
2.Toxicologie Réglementaire :
L’évaluation des risques associés aux SDHI nécessite une compréhension approfondie de leurs effets sur la santé humaine et environnementale. Cela souligne l’importance de disposer de données toxicologiques fiables et complètes. Or les méthodes actuelles d’évaluation des risques ne prennent pas suffisamment en compte la possibilité d’effets non intentionnels sur des espèces non ciblées et évaluer la probabilité de ces effets, en l’occurrence, leurs effets sur la respiration cellulaire des mitochondries.
3. Autorisation de Mise sur le Marché des Produits Phytosanitaires :
Le cas des SDHI souligne la nécessité d’une évaluation approfondie avant l’autorisation de mise sur le marché de nouveaux produits phytosanitaires. Cela inclut l’évaluation de la toxicité potentielle sur les espèces non ciblées. Aussi, Il faudra met en évidence l’importance d’une communication transparente entre les organismes de réglementation, les fabricants de pesticides et le public pour assurer une compréhension mutuelle des risques associés.
4. Gestion des Risques Liés aux Pesticides :
La gestion des risques liés aux pesticides nécessite une surveillance continue des effets potentiels sur la santé humaine et l’environnement, avec la possibilité d’ajuster les réglementations en fonction des nouvelles informations. Les connaissances évoluent, et la gestion des risques doit être flexible pour s’adapter à de nouvelles découvertes et évaluations.
En résumé, le cas des SDHI souligne la complexité de l’évaluation des risques liés aux pesticides, la nécessité d’une réglementation robuste et d’une gestion proactive des risques pour protéger la santé humaine et l’environnement. Il met également en évidence l’importance d’une collaboration entre les chercheurs, les organismes de réglementation et l’industrie pour garantir des pratiques agricoles durables et sécuritaires.
L’exemple des SDHI montre l’incapacité d’autorités sanitaires comme l’ANSES à évaluer les produits phytosanitaires et à s’emparer d’alertes. Les SDHI sont des inhibiteurs d’une enzyme de la respiration mitochondriale commune aux champignons et à de nombreuses espèces dont les humains. Leur utilisation est massive en agriculture ainsi que sur les terrains de sport. La population est donc très exposée et la toxicité est avérée même à faible dose, c’est à dire en dessous des seuils arbitraires réglementaires. Des scientifiques ont lancé l’alerte en 2018 auprès de l’ANSES mais celle ci n’a pas été à la hauteur de l’enjeu en ne voulant pas reconnaitre le risque, en commanditant un rapport par des experts non compétents et n’ont pas appliqué le principe de précaution.
L’exemple des SDHI montre l’incapacité d’autorités sanitaires comme l’ANSES à évaluer les produits phytosanitaires et à s’emparer d’alertes. Les SDHI sont des inhibiteurs d’une enzyme de la respiration mitochondriale commune aux champignons et à de nombreuses espèces dont les humains. Leur utilisation est massive en agriculture ainsi que sur les terrains de sport. La population est donc très exposée et la toxicité est avérée même à faible dose, c’est à dire en dessous des seuils arbitraires réglementaires. Des scientifiques ont lancé l’alerte en 2018 auprès de l’ANSES mais celle ci n’a pas été à la hauteur de l’enjeu en ne voulant pas reconnaitre le risque, en commanditant un rapport par des experts non compétents et n’ont pas appliqué le principe de précaution.
Les SDHI sont des fongicides largement utilisés en agriculture. La toxicologie générale examine les effets de ces substances sur la santé humaine et environnementale. Cela inclut l’évaluation des mécanismes d’action, des voies d’exposition, des effets à court et à long terme, ainsi que la potentialité d’effets cumulatifs avec d’autres substances chimiques.
Dans le cadre de l’évaluation réglementaire, les autorités sanitaires examinent les données toxicologiques pour déterminer la sécurité des SDHI. Cela inclut l’établissement de doses sans effet toxique observé (NOAEL), l’identification des effets adverses potentiels, et l’application de facteurs d’incertitude pour protéger la santé humaine et l’environnement.
L’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires implique une évaluation complète des risques et des avantages. Les autorités réglementaires examinent les données toxicologiques pour déterminer la sécurité des SDHI pour les utilisateurs, les consommateurs et l’environnement. Cela inclut également l’évaluation de l’efficacité des SDHI dans le contrôle des maladies fongiques des cultures.
La gestion des risques liés aux pesticides nécessite une approche holistique. Cela comprend la mise en place de pratiques d’utilisation sûres, la surveillance de la résistance des champignons aux SDHI, la mise en œuvre de limites maximales de résidus (LMR) pour garantir la sécurité alimentaire, et la promotion de méthodes de lutte intégrée pour réduire la dépendance aux pesticides.
Les SDHI (inhibiteurs de la succinate désydrogénase) sont des fongicides inhibiteurs de la respiration des champignons et moisissures, ayant des effets toxiques sur divers organismes, y compris la flore, les abeilles, les vers de terre et même les humains.
Les études de la toxicologie réglementaire soulignent des limites dans l’expertise réglementaire.
Actuellement, l’ANSES conclut à l’absence de risque sanitaire avéré, mais des scientifiques appellent à appliquer le principe de précaution, soulignant des lacunes dans les évaluations actuelles qui ne tiennent pas compte des impacts potentiels sur la respiration cellulaire.
Les SDHI (inhibiteurs de la succinate déshydrogénase) sont une classe de fongicides utilisés en agriculture pour lutter contre les champignons pathogènes des cultures. Leur cas particulier met en lumière plusieurs enjeux dans les domaines de la toxicologie générale, de la toxicologie réglementaire, de l’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires et de la gestion des risques liés aux pesticides.
Toxicologie générale :
Effets sur la santé humaine : Les SDHI peuvent poser des préoccupations en termes de toxicité humaine, notamment s’ils sont utilisés de manière inappropriée ou si les travailleurs agricoles sont exposés de manière excessive. Les études toxicologiques sont nécessaires pour évaluer les risques pour la santé humaine, y compris les effets aigus et chroniques.
Effets sur les organismes non ciblés : Outre la toxicité pour l’homme, les SDHI peuvent avoir des effets sur d’autres organismes non ciblés, tels que la faune sauvage, les insectes pollinisateurs, etc. Ces effets doivent être évalués pour minimiser les impacts sur l’écosystème.
Toxicologie réglementaire :
Évaluation des risques : Les autorités réglementaires exigent des études toxicologiques pour évaluer les risques associés à l’utilisation des SDHI. Cela implique une évaluation approfondie de la toxicité aiguë et chronique, des effets sur la reproduction, des effets sur le développement, etc.
Fixation des limites maximales de résidus (LMR) : Les LMR sont établies pour réglementer la quantité maximale de résidus de pesticides autorisée dans les aliments. Les données toxicologiques sont essentielles pour déterminer des LMR qui assurent la sécurité alimentaire.
Autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires :
Évaluation des bénéfices par rapport aux risques : Les autorités chargées de l’autorisation doivent évaluer les avantages des SDHI en termes de protection des cultures par rapport aux risques potentiels pour la santé humaine et l’environnement.
Réévaluation périodique : Une fois qu’un pesticide, y compris les SDHI, est autorisé, une réévaluation périodique est généralement effectuée en tenant compte des nouvelles données scientifiques et des avancées dans la compréhension des risques.
Gestion des risques liés aux pesticides :
Stratégies de réduction des risques : La gestion des risques implique la mise en place de stratégies pour réduire l’impact des SDHI sur la santé humaine et l’environnement, notamment par le biais de bonnes pratiques agricoles et de restrictions d’utilisation.
Surveillance environnementale : La surveillance des résidus de pesticides dans l’environnement est cruciale pour évaluer l’efficacité des mesures de gestion des risques et identifier tout impact potentiel.
Le cas des SDHI souligne l’importance d’une approche intégrée dans l’évaluation des risques liés aux pesticides, impliquant des études toxicologiques approfondies, une réglementation efficace, une surveillance continue et une gestion proactive des risques pour protéger la santé humaine et l’environnement.
l’évaluation des risques liés aux pesticides reste un système intransparent malgré tous les études qui ont montré la toxicité des SDHI sur les organisme non ciblé ,ces pesticides sont toujours commercialisé paracerque selon l’ANSSES il n’y a pas assez de preuve sur la toxicité du SDHI ce qui nous amène à penser que la science n’est pas libre on peux même la commercialiser pour servir les intérêt des loubies de SDHI au terme de conflit d’intérêt on a le doute qui nous pousse a demander LANSSES protégé qui avec ce aveuglement sur les alertes des scientifiques
Le cas des fongicides SDHI montre des défis importants dans les domaines de la toxicologie générale, de la toxicologie réglementaire, de l’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires et de la gestion des risques liés aux pesticides. Ces défis comprennent l’évaluation des effets sur la santé humaine et l’environnement, la nécessité d’approbations réglementaires fondées sur des données solides, la gestion des risques potentiels pour la santé et l’écosystème, ainsi que l’équilibre entre l’efficacité agricole et la sécurité.
Toxicologie Générale : Les SDHI agissent en inhibant une enzyme essentielle aux champignons, mais leur impact sur l’environnement et la santé humaine est également un problème. L’objectif de la toxicologie générale est d’évaluer les effets potentiels sur la santé humaine, y compris les risques d’exposition par la chaîne alimentaire.
Toxicologie réglementaire : Avant d’autoriser l’utilisation des SDHI, les autorités réglementaires exigent des évaluations approfondies de leur toxicité. Cela comprend des études pour établir des limites de sécurité sur les effets aigus et chroniques, la cancérogénicité, la génotoxicité et d’autres aspects.
Gestion des risques : Une fois que les SDHI sont autorisés, ils nécessitent une gestion des risques efficace. Cela peut inclure des limites d’utilisation, des temps d’attente après l’application avant la récolte et des conseils sur la protection des travailleurs agricoles.
Pour aborder cette question, on se base sur le texte ci-dessus. Ainsi, des chercheurs de l’INSERM ont alerté les pouvoirs publics sur les dangers potentiels de cette famille de substances en raison notamment des risques qu’ils présentent pour l’ensemble des espèces qui se trouvent exposées, alors que le fongicide n’est sensé agir que sur les moisissures et champignons. À ce jour, l’autorité sanitaire compétente (ANSES) considère que les preuves en matière de risques pour la santé sont insuffisantes. Cet exemple permet de réfléchir à de nombreux enjeux autour de l’évaluation des risques, et plus particulièrement en matière d’autorisation de mises sur le marché de certains produits dangereux. Le cas des SDHI met en exergue les défis d’une toxicologie intégrative et préventive, de réglementations adaptées et de la mise en place de stratégies prudentes de gestion des risques.
Le cas des SDHI révèle les limites de la toxicologie et des autorisations des pesticides. Conçus comme fongicides, ces substances inhibent une enzyme clé de la respiration cellulaire, affectant non seulement les champignons, mais aussi les abeilles, les vers de terre et les cellules humaines, mettant en cause leur prétendue sélectivité.
Sur le plan réglementaire, les tests standards ignorent des effets cruciaux comme ceux sur la respiration cellulaire. Cette lacune dans les critères d’évaluation questionne la fiabilité des processus d’autorisation et expose des risques sous-estimés.
Des experts appellent à appliquer le principe de précaution et à réviser les protocoles d’évaluation pour mieux protéger la santé humaine et l’environnement face aux impacts potentiels des SDHI.
Les SDHI sont des fongicides conçus pour lutter contre les champignons en bloquant le processus respiratoire de ces derniers qui sont nocifs et qui contaminent les cultures . ces fongicides bien qu’ils soient efficaces pour le rendement selon leur fabricants. s’attaquent aussi à d’autres espèces tels que les abeilles , les vers de terre et l’être humain ce qui prouve leur non spécificité ou sélectivité. déjà un point pour la toxicologie réglementaire , les modèles animaux utilisés pour les tests ne sont pas conformes avec la physiologie humaine , les études effectuées par les producteurs sont falsifié et on en passe . ce qui prouve la non transparence et la légitimité des études et des contrôles. il faut se mobiliser en extrême urgence pour prendre ce sujet au sérieux et développer des études bien avancées et convaincantes à fin de convaincre et changer l’avis des autorités et de l’ANSES .
Le cas des fongicides SDHI révèle les défis de l’évaluation des risques en toxicologie réglementaire, soulignant l’incertitude scientifique sur leurs effets à long terme. Il met en lumière les enjeux de gestion des risques, notamment la difficulté d’autoriser la mise sur le marché de produits phytosanitaires potentiellement toxiques, et la nécessité d’une surveillance continue et d’une réévaluation des risques pour protéger la santé publique et l’environnement.
Les SDHI (inhibiteurs de la succinate déshydrogénase) sont initialement conçus comme des fongicides, c’est-à-dire des molécules destinées à bloquer la respiration des champignons et moisissures. Le cas particulier des SDHI souligne à quel point une substance ciblant une enzyme (la succinate déshydrogénase) peut avoir des effets potentiels sur des organismes non ciblés, y compris l’être humain. Cela met en évidence un problème majeur : la « sélectivité » de ces pesticides est remise en cause, leur mécanisme d’action (l’inhibition d’une enzyme essentielle à la respiration cellulaire) étant partagé par un grand nombre d’espèces vivantes.
Les protocoles d’autorisation de mise sur le marché ne testent pas toujours tous les mécanismes d’action possibles (ici, l’impact précis sur la respiration cellulaire). Résultat : l’ANSES, en s’appuyant sur les critères habituels, n’a pas identifié de « risque sanitaire avéré » parce que les tests officiels ne cherchaient pas forcément à mesurer ces effets spécifiques.
Le cas des fongicides SDHI met les relations complexes entre la toxicologie, la réglementation, l’autorisation de commercialisation et la gestion des risques. L’évaluation des risques des SDHI est rendue complexe par le manque de données sur leurs effets à long terme et sur les populations sensibles (enfants, femmes enceintes, personnes âgées).
Le cas particulier des SDHI nous révèle des enjeux importants de toxicité générale et réglementaire. Le problème majeur de ces substances réside dans leur manque de spécificité bien qu’elles soient censées cibler principalement les champignons, des études menées par des scientifiques du CNRS et de l’INSERM ont montré qu’elles ne sont pas spécifiques à ces organismes. Elles affectent également les vers de terre, les abeilles, et potentiellement tous les êtres vivants. Ces substances agissent en bloquant une enzyme essentielle, la SDH une enzyme respiratoire présente chez tous les organismes vivants.
En ce qui concerne leur mise sur le marché les SDHI mettent en évidence de graves failles réglementaires. Malgré des alertes scientifiques concernant les risques de ces substances, les processus réglementaires restent lents à réagir, reflétant une tension persistante entre les impératifs économiques et les priorités sanitaires et environnementales. L’ANSES continue de fermer les yeux sur ces substances invoquant une insuffisance de données pour justifier l’absence d’une interdiction immédiate.
La famille des SDHI comprend 11 substances fongicides qui agissent en empêchant le développement de champignons et moisissures affectant les cultures par le blocage d’une enzyme impliquée dans la respiration cellulaire, (la succinate déshydrogénase (SDH)).
En 2018, des travaux démontrent que les SDHI peuvent affecter la respiration des cellules des êtres humains et des vers de terre, et pose le problème de la prise en compte de ses résultats par la toxicologie réglementaire. Pourtant l’Anses concluait à l’absence d’alerte sanitaire pouvant conduire au retrait des autorisations de mise sur le marché de ces fongicides. Ceci vient encore confirmer la controverse autour des tests toxicologiques de mise sur le marché. Les tests effectués dans les travaux précédents (toxicité pour les humain et les vers de terre) ne font pas partie des teste de l’évaluation toxicologiques de la substances, et vient remettre en cause l’intégralité du processus de l’évaluation toxicologiques de toutes les substances phytosanitaires.
Les SDHI sont utilisé comme fongicides dans l’agriculture mais ils peuvent affecter des organismes non-cibles y compris les humains et les animaux.
Dans la réglementation des produits phytosanitaires , les SDHI ont l’objet d’évaluation toxicologiques rigoureuses .
Le processus d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires inclut l’évaluation des demandes d’autorisation avec des critères d’acceptation , les SDHI qui ne respectent pas les seuils de sécurité sont rejetés .Pour la gestion des risques liés aux pesticides doivent être former à utiliser les SDHI en toute sécurité , des programmes de surveillance doivent être mis en place pour suivre les niveaux des résidus de SDHI dans l’eau . Une réévaluation des risques doit être faite régulièrement.
Le cas des SDHI révèle plusieurs enjeux en toxicologie et en gestion des risques environnementaux :
Toxicologie générale : Il illustre les limites des évaluations actuelles, qui peuvent sous-estimer les effets chroniques et à faibles doses, notamment sur des cibles biologiques non envisagées (impact sur d’autres espèces que les champignons).
Toxicologie réglementaire : Il met en évidence la difficulté d’adapter les cadres réglementaires aux nouvelles découvertes scientifiques et les controverses entourant l’évaluation des preuves de toxicologie
Le cas des fongicides SDHI révèle des enjeux complexes en toxicologie et gestion des risques. Ces produits, qui ciblent une enzyme commune à plusieurs espèces, posent des risques pour la santé humaine (toxicité mitochondriale, effets cancérogènes), mal capturés par les protocoles standards d’évaluation. Les divergences entre agences réglementaires (EFSA, EPA) et la prédominance des études industrielles dans les AMM soulignent les limites des systèmes actuels. Par ailleurs, l’exposition cumulative aux pesticides amplifie les risques pour la santé et l’environnement, appelant à une approche précautionnaire renforcée. Enfin, ce cas met en lumière la nécessité de développer des tests toxicologiques plus ciblés, de promouvoir des alternatives durables comme le biocontrôle et d’améliorer la transparence et la communication des risques aux parties prenantes.
Le cas des fongicides SDHI révèle des enjeux complexes en toxicologie et gestion des risques. Ces produits, qui ciblent une enzyme commune à plusieurs espèces, posent des risques pour la santé humaine (toxicité mitochondriale, effets cancérogènes), mal capturés par les protocoles standards d’évaluation. Les divergences entre agences réglementaires (EFSA, EPA) et la prédominance des études industrielles dans les AMM soulignent les limites des systèmes actuels. Par ailleurs, l’exposition cumulative des pesticides amplifie les risques pour la santé et l’environnement, appelant à une approche précautionnaire renforcée. Enfin, ce cas met en lumière la nécessité de développer des tests toxicologiques plus ciblés, de promouvoir des alternatives durables comme le biocontrôle, et d’améliorer la transparence et la communication des risques aux parties prenantes.
De plus, le cas des fongicides SDHI illustre les défis majeurs de la toxicologie moderne et réglementaire : la prise en compte des effets non spécifiques, l’adaptation des protocoles aux avancées scientifiques, et la gestion des tensions entre intérêts économiques, preuves scientifiques, et attentes sociales. Il souligne l’importance d’un dialogue renforcé entre chercheurs, autorités, agriculteurs et citoyens pour construire un cadre réglementaire plus réactif et durable face aux risques liés aux pesticides.
Le cas des fongicides SDHI révèle des enjeux complexes en toxicologie et gestion des risques. Ces produits, qui ciblent une enzyme commune à plusieurs espèces, posent des risques pour la santé humaine (toxicité mitochondriale, effets cancérogènes), mal capturés par les protocoles standards d’évaluation. Les divergences entre agences réglementaires (EFSA, EPA) et la prédominance des études industrielles dans les AMM soulignent les limites des systèmes actuels. Par ailleurs, l’exposition cumulative des pesticides amplifie les risques pour la santé et l’environnement, appelant à une approche précautionnaire renforcée. Enfin, ce cas met en lumière la nécessité de développer des tests toxicologiques plus ciblés, de promouvoir des alternatives durables comme le biocontrôle, et d’améliorer la transparence et la communication des risques aux parties prenantes.
De plus, le cas des fongicides SDHI illustre les défis majeurs de la toxicologie moderne et réglementaire : la prise en compte des effets non spécifiques, l’adaptation des protocoles aux avancées scientifiques, et la gestion des tensions entre intérêts économiques, preuves scientifiques, et attentes sociales. Il souligne l’importance d’un dialogue renforcé entre chercheurs, autorités, agriculteurs et citoyens pour construire un cadre réglementaire plus réactif et durable face aux risques liés aux pesticides.
Le cas SDHI montre le décalage entre science et réglementation. On valorise souvent les intérêts économiques.
Le cas des SDHI est l’un des défi majeur posé par la toxicologie générale, la toxicologie réglementaire, le processus d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires, et la gestion des risques liés aux pesticides. il met l’accent sur les déficits de la sécurité sanitaire.
les limites de la toxicologie générale : les testes sont contrôlés réalisés sur des animaux et qui ne reflètent pas souvent les conditions réelle.
les interactions avec d’autre pesticides sont peu étudié
l’effets à faible dose sont peu étudié
manque de renseignement sur les effets chroniques et transgénérationnels.
les limites de la toxicologie régimentaire : les méthodes d’évaluation et les tests régimentaires utilisés actuellement sont insuffisants car elles ne permettent pas d’étudier les effets sur le métabolisme mitochondrial chez l’humain.
Les études réglementaires ne prennent pas suffisamment en compte les effets délétères sur le métabolisme.
l’évaluation des risques est basée sur des expositions à forte dose alors que dans le cas des pesticide des effets toxiques chroniques sont observés.
La toxicologie réglementaire est souvent en retard par rapport les nouvelles données scientifiques.
L’autorisation d’un pesticide repose sur une évaluation du rapport bénéfice-risque menée par les autorités sanitaires. Cependant de multitudes problèmes rencontrés dans le processus d’autorisation à savoir : Absence de tests spécifiques sur les effets mitochondriaux chez l’humain, les tests d’évaluation sont réalisés les industriels et les études n’ont prends pas en compte les populations vulnérable.
Limites du système d’autorisation : Une fois un pesticide mis sur le marché, il est difficile de le retirer, même si des études indépendantes suggèrent des risques.
autorisation est souvent par défaut si des effets toxiques immédiates sont pas démontré
Rôle central des industriels dans l’évaluation des risques( conflit d’intérêt).
La gestion des risques repose sur des décisions politiques et sanitaires qui doivent arbitrer entre les bénéfices économiques et la protection de la santé publique.
plusieurs problématiques posé par la gestion des risques tels que : non application de principe de précaution malgré les alertes scientifiques, l’incertitude scientifiques et manque de données sur les effets à long terme et manque de surveillance post-commercialisation.
ces problématiques rendent les décisions difficiles à prendre.
Ce cas souligne la nécessité de réformer l’évaluation des pesticides, en intégrant mieux les avancées de la science et en renforçant l’indépendance des experts en charge de leur régulation.