Quelle est la limite principale des deux études ExternE (95 et 98)
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Quelle est la limite principale des deux études ExternE (95 et 98)
Les résultats des deux études apparaissent très dépendants des valeurs de la vie retenues, toutefois leur objectif principal n’est pas d’émettre des valeurs brutes mais plutôt des ordres de grandeur et des comparaisons. Par contre, une limte majeure réside dans la difficulté à prendre en compte les coûts occasionnés par les évènements rares (pics de pollution par exemple) ou exceptionnels (catastrophe majeure).
Utilisant essentiellement les valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition, cette méthode néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La limite principale concerne la prise en considération de valeurs moyennes de concentration de polluants en ce qui concerne la transmission et l’exposition. Il n’y a pas de prise en compte de phénomènes d’accumulations ponctuelles ou momentanées.
la principale limite provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
Les limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. De plus, les limites de l’exercice ExternE pour le cas du nucléaire. Les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme.
l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
les limites sont principalement l’ utilisation des valeur moyennes concernant la concentration des polluants dans le modele de transmission et d’ exposition
les limites de ces deux études proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale est l’utilisation de la valeur moyenne pour la concentration des polluants.
La limite principale des deux études est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La limite principale des deux études (95-98) consiste en l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
ExternE utilise les concentrations moyennes des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Ceci néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
Les limites principales de l’étude ExternE :
Sur l’étude (95) il s’agit d’une mauvaise estimation (sous-estimation) de la valeur de la vie humaine ce qui conduit à une sous-estimation du cout externe du CO2 par la méthode des dommages
Sur l’étude (98), la limite provient de l’utilisation de valeur moyenne pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Ce faisant, on néglige les possibilités d’accumulation ponctuelles et momentanées de polluants et leur conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement.
La principale limite des 2 études est qu’elles utilisent des valeurs moyennes pour les concentrations des polluants générés par les différentes sources d’énergie considérées. Ces valeurs moyennes sont utilisées dans leurs modèles de transmission et d’exposition.
L’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition est une limite majeure. cette méthode conduit à la négligence de valeurs de la limites supérieure.
La limite principale des deux études ExternE est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition, car de ce fait l’étude ne prenait pas en compte la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
ou plutôt les valeurs minimales
la limite principale reste liée à certains parametres qui dénotent des changements des montants
exacts de coûts externes de production de l’électricité, changements qui, toutefois,
ne touchent pas les ordres grandeur.
La limite principale des 2 études tient à l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration en polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Cela néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées (ou de pics) et leurs conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement (exemple : potentiels épisodes respiratoires aïgus pour des pics de NO2 ...etc)
la principale limite des deux étude est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
elle repose sur le fait que la modification de la valeur de la vie humaine entre les deux études entraine une modification dans l’estimation des coûts externes
la limite principale pour les deux études ExternE (95 et 98) concerne le nucléaire. En effet, les estimations ne sont pas jugée fiable pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme
Le fait d’utiliser de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
les limites principale des deux études proviennent de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
la limite réside dans l’utilisation des valeurs moyennes des concentrations des polluants dans les modèles de transmission et de d’exposition ; la conséquence est que l’on néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles sur la santé de l’environnement.
Les limites sont principalement dues à l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
C’est ce qui néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles sur la santé et sur l’environnement
Cette étude est basée sur l’utilisation de valeurs moyennes pour évaluer les concentrations de polluants (notamment dans les modèles d’expositions dans les évaluations sanitaires).
Cette méthodologie néglige donc les phénomènes possibles d’accumulation (accidentelle en particulier) et les conséquences sur la santé et l’environnement.
Les valeurs extrêmes éloignent la moyenne de la vérité.
La principale limite est l’utilisation des concentrations moyennes des polluants dans les modèles de transmission et d`exposition.
La limite des deux etudes ExternE est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modeles de transmission et d’exposition.
L’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs éventuelles conséquences sur la santé et sur l’environnement.
La limite principale des 2 études réside dans le fait de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite provient principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La limite principale est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants
La limite principale est l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
la principale limite provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
les limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Il faut considérer la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix
répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
La limite principale provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La principale limite de ces études concerne l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants, qui ne permet pas de tenir compte des situations ou ces polluants sont présents à haute dose avec des effets bien différents.
La limite principale est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des études externE (95 et 98) résulterait de l’utilisation des valeur moyennes pour la concentration des polluants des modèles de transmission et d(’exposition,
Ses limites tiennent du fait que, des valeurs moyennes des concentrations des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition ont plutot été utilisées dans ces deux études.
La limite de ces deux études ExternE provient principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. En plus, ces études ExternE se caractérise par des limites générales et des limites spécifiques au nucléaire.
La limite principale des deux études ExternE (95 et 98) est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Les facteurs à considérer dans cette étude sont les suivantes : L’intervalle de confiance ( afin de consolider les résultats qui en découleraient)
La détermination des limites issues de l’utilisation de valeurs moyennes pour les concentrations dans les modèles d’exposition aux divers polluants atmosphériques de même que les modes de transmission de cette étude pour éviter les biais et les confusions. Il convient aussi d’écarter les d’accumulations ponctuelles des polluants dans l’organisme et les effets sur l’environnement.
il n’y a pas de limite particulière, la seule limite des 2 études est la présentation des résultats des études de 1995 ; une reprise de l’étude a eu lieu avec des modifications et ajustements méthodologiques
La limite principale tient du fait de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
1. C’ est que cette étude est essentiellement comparative, ayant essentiellement pour objet de comparer les coûts de plusieurs énergies. Ses limites proviennent principalement de l’ utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Ce fait néglige la possibilité d’ accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’ environnement.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Une limite spécifique liée à un défaut d’évaluation et de comparaison des risques d’accidents existe également, surtout pour l’évaluation des coûts externes de la filière nucléaire.
Les limites proviennent principalement de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux etudes reside dans l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modéles de transmission et d’exposition
Les limites pricipales des 2étapes externe (95/98) proviennent principalemnt de l’utilisation de valeur moyennes dans les models de transmission et d’exposition.
Les limites pricipales des 2étapes externe (95/98) proviennent principalemnt de l’utilisation de valeur moyennes pour les concentrations des poluants dans les models de transmission et d’exposition.
c’est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
les limites proviennent principalement de l’utisationde valeurs moyennes pour la concentation des polluants dans les modeles de transmission et d’exposition
la limite principale des deux études’ est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Limite principale des deux études ExternE : l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
ExternenE définie sur la production et le transport de l’électricité a porté sur l’utilisation de l’énergie dans l’habitat au travers des économies d’énergie
La principale limite des 2 études ExternE vient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale de l’ etude, dont derivent les autres limites, est l’ utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modeles de transmission et d’exposition.
la limite principale est l’utilisation pour l’analyse, dans les 2 études ExternE, de valeur moyenne pour chaque polluant, elles ne prennent pas en compte le fait que les polluants peuvent intéragir entre eux et comporter alors de nouveaux risques.
La limite principale est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition et qui néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées.
La limite principale de ces études est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
De ce fait les études négligent la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
L’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
la limite principale est que les deux méthodes ne prennent pas en considération l’évaluation des possible pic de pollution mais elles sont plutôt centrées sur des valeurs moyennes
c’est l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite provienne principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modelés de transmission et d’exposition.
La limite des deus études proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La limite des ces deux études ExternE (95 et 98) proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
la limite principale provient de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.ce fait néglige la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs consequences eventuelles à la fois à la santé et à l’environnement.
Il faut considerer la prudence systématique des etudes qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élévées pour les dommages.
La principale limite de ces études est que dans le cas du nucléaire on ne tient pas compte des externalités liées aux catastrophes. Le manque de prise en compte des accident place le nucléaire dans un statut privilegié par rapport à la pollution de l’environnement, poutant il suffit qu’une catastrophe arrive pour que les choses changent radicalement.
La limite principale des deux études ExternE est l’utilisation de valeur moyenne de la concentration des polluants sur le plan d’exposition et de transmission.
Les limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles.
La limite principale est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE 95 et 98 est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Cette étude présente, à mon sens, beaucoup de limites qui relativisent beaucoup l’ensemble des résultats. La limite principale est sans aucun doute la mesure de probable accident majeur dans le nucléaire. En effet, les résultats sanitaires seraient diametralement différents si une centrale nucléaire venait à exploser. LE danger du nucléaire ne vient en effet pas de sa contribution à l’effet de serre mais bien de ses conséquences mortelles en cas d’exposition massives.
Ce risque n’est pourtant pas à minimiser, Greenpeace France a recemment prouvé combien l’acces aux coeur des centrales nucléaires était facile...
L’exemple de Tchernobil ou , plus recement du Japon, montre les conséquences devastatrices sur la vie humaine, conséquences non pris en compte dans cette études.
Il eu fallu comparer les conséquences sanitaires d’explosion de chaque type d’usine de production.
La principale limite des deux études est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Sa limite principale est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans le model de transmission et d’exposition. Cette méthode ne prend pas en compte l’effet cumulatif des moyens sur l’impact de la santé humaine
La limite principale des deux études ExternE (1995 et 1998) est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmissions et d’exposition qui néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles à la fois sur la santé et l’environnement
Les limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
les limites de ces deux études proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition car cela néglige la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Comme toute méthode ExternE, présente des limites doivent être posées. Les limites de la méthode résultent principalement de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. C’est pratiquement dans le cas des événements involontaires.
Si en prenant le cas du nucléaire comme exemple la méthode d’ExternE présente ses limites dans Les estimations pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme.
La limite principale de ces deux études ExternE est qu’il y a eu utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Par conséquent, les valeurs communiquées entrainent une sous-estimation de l’impact santé de ces polluants.
La limite principale des deux études Externes E( 95 et 98) est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modéles de transmission ; Fait qui en réalité néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La limite principale de deux études provient essentiellement de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La limite principale des deux études se rapporte aux intervalles de confiance des résultats obtenus.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. En d’autres termes, ils ne tiennent pas compte des valeurs qui s’écartent trop de la moyenne en particulier les valeurs trop élevées
la principale limite réside dans l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
Les Limites des deux études ExterneE, proviennent principalement des valeurs moyennes utilisées pour la concentration des poluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Pas de phénomène d’accumulation ponctuelle ou momentanée ; D’autre part, les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activités, la prolifération nucléaire et le terrorisme.
L’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Les limites sont principalement dues à l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La limite principale des deux études ExterneE est l’approche monétaire dans l’évaluation des dommages.
La limite principale des deux études ExternE provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. En utilisant des valeurs moyennes, les études négligent la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées des polluants et les conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement.
La limite principale des deux études est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études réside dans l’utilisation des valeurs moyennes relatives à la concentration des polluants dans les modèles d’émission, de dispersion et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE est l’utilisation des valeurs moyennes de concentration dans les modèles d’expositions. En effet, si on ne considère que la moyenne, lors des évènements exceptionnels, il y aura un fort risque de sous évaluation des dommages.
La principale limite des études ExternE(95 et 98) provient de l’utilisation des valeurs moyennes de concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition dans l’évaluation des coûts.
L utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d exposition ,est la principale limite des deux etudes ExternE 95 et 98 .
La principale limite des 2 études est qu’elles utilisent des valeurs moyennes pour les concentrations des polluants générés par les différentes sources d’énergie considérées. Ces valeurs moyennes sont utilisées dans leurs modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études réside sur le fait qu’elles utilisent des moyennes, les valeurs instantanées échappant aux calculs.
La limite principale est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et de dispersion
La limite principale des deux études ExternE (95 et 98) est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études Externe est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Les limites des deux études proviennent de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux (02) études ExternE (95 et 98) réside du fait que la valeur moyenne de concentration des polluants est utilisée pour mettre en évidence l’exposition au facteur de risque (émission des polluants).
Bien que ne remettant pas en cause l’utilité ou la pertinence de l’étude (essentiellement comparative) ExternE, les limites identifiées sont liées au fait que les données associées aux expositions aiguës (accumulation ponctuelle et momentanée) ne sont pas prises en compte. En effet les valeurs comparatives sont des moyennes permettant de modéliser les résultats et parvenir à une valorisation des épisodes d’impact sur l’environnement de la production d’électricité dans se différentes phases. Par ailleurs il est aussi admis que les éléments d’analyse liés à la production et exploitation d’énergie nucléaire et des potentiels accidents ou production ou exposition / déversements anormaux de contaminants ne peuvent être agrégés dans cette étude, ceci représentant une limitation même de la valeur comparative des différentes productions d’énergie.
La limite principale de ces études est essentiellement du a l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transition et d’exposition.
Les limites des études ExternE 1995 et 1998 dérivent du fait qu’ils utilisent des valeurs moyennes pour la concentration des polluant dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE (95 et 98) est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études réside dans le fait de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition qui ne permettent pas de tenir compte des situations extrêmes où ces polluants sont présents à forte concentration avec des effets bien différents.
Elles sont surtout l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
On peut considérer "ExternE (External Costs of Energy)" comme la référence en termes de méthode et de résultats pour l’évaluation des coûts externes de l’énergie. Cependant, comme toute méthode, ses limites doivent être posées ainsi que l’intervalle de confiance de ses résultats.
La limite principale provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles/momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Le limite principale des deux études ExternE provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Les principales limites viendraient de l’utilisation de valeurs moyennes issues de l’écart entre le coût social (collectif) et le coût privé (individuel) en ce qui concerne les valeurs de base prises en compte. En effet, les deux études ExternE basées sur la comparaison des coûts des gains et des pertes des énergies sur plusieurs individus, ne retiendront davantage que les valeurs relatives. Et cette démarche peut normalement être entachée de quelques incertitudes.
Un paramètre clé des 2 études est la valeur statistique de la vie humaine.
L’étude de 1995 se limite sur l’évaluation des externalités environnementales alors que l’étude ExternE de 1998 se concentre sur l’évaluation des impacts des différentes énergies utilisées pour la production d’électricité.
Quelle est la limite principale des deux études ExternE (95 et 98) : Cette limite s’est définie par l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
NB : Cette approche néglige donc les phénomènes possibles d’accumulation (accidentelle en particulier) et les conséquences sur la santé et l’environnement.
Limite principale des deux études est l’utilisation de la valeur moyenne pour la concentration
des polluants dans les modeles de transmission et d’exposition
La limite principale provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentrations des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
la principale limite des deux Etudes externes demeure dans l’utilisation des valeurs moyennes pour les concentrations de polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La principale limite des deux études ExternE (95 et 98) provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La limite principale de l’étude concerne les valeurs choisies. En effet, les valeurs moyennes pour la concentration des polluants ont été utilisées dans les modèles de transmission et d’exposition.
Les limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition (cf page 340)
Il s’agit principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. On pourrait ajouter également, les limites liées aux estimations du coût de la vie.
La limite principale des deux études ExternE est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Les limites des deux études ExternE (95 et 98) proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
L’utilisation des valeurs moyennes
La limite principale des deux études ExternE (95 et 98) est basée sur le fait que la valeur moyenne de concentration des polluants est utilisée pour mettre en exergue la transmission et l’exposition au facteur de risque.
Les limites principales des deux études proviennent fondamentalement de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
la limite principale est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Parmi les raisons principales, l’on pourrait évoquer l’écart temporel (trois ans entre les deux études). Il est peu probable que les résultats de émissions de polluants sur ces deux périodes soient différents. De plus les méthodes d’évaluation utilisées auraient subi des modifications, ce qui pourrait dans le long terme avoir des répercussions voire des "biais" dans les résultats de l’étude.
Les valeurs utilisées dans cette étude sont des valeurs moyennes et non standardisées
Selon les auteurs de l’étude, la limite principale est liée à "l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition"
La principale limite des deux études Externe est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Les deux études ExternE (95 et 98) ont pour principale limite l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE est le fait que les valeurs moyennes soient utilisées pour la concentration des polluants auquel sont exposés les individus. Elle ne prend pas en compte les facteurs additionnels d’exposition, issu de la spécificité de l’activité.
Les limites des deux études ExterE(95 et 98) proviennent de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Néanmoins, il
faut considérer la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix
répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
Un élément renforce toutefois la crédibilité des résultats d’ExternE. C’est que
cette étude est essentiellement comparative, ayant essentiellement pour objet de
comparer les coûts de plusieurs énergies.
Ainsi les valeurs absolues sont alors moins à retenir que les valeurs relatives constituant les limites relativement importantes de ces études des ExternE..
Suite aux résultats d’externes 1998, le réglage de la méthodologie est réalisé vis-à-vis des résultats de 1995 sur les changements des montants plus précis des coûts externes de production de l’électricité.
En effet, l’emploi des valeurs moyennes de concentration des polluants sont comme limite dans les modèles de transmissions et d’expositions.
l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
la limite des deux études en 1995 et 1998 Répondre proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
c’est l’utilisation de la valeur moyenne pour la concentration des polluants
La principale limite de deux études ExternE est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études externes provient de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans le modèle de transmission et d’exposition selon qu’il n’y a pas de prise en compte de phénomènes d’accumulation ponctuelle ou momentanée.
La limite principale des études ExternE provient de l’ utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’ exposition. En écartant les effets provoqués par les pics des polluants, elle entraîne un biais dans l’analyse.
La principale limite de ces deux études consiste au fait qu’ à chaque étape, on utilise que les valeurs moyennes de concentration de polluants pour procéder aux calculs et à l’évaluation des expositions.
La limite principale des deux études ExternE (95 et 98) concerne le nucléaire. Elles relèvent les limites de l’estimation des accidents nucléaires, des déchets radioactifs, de la prolifération nucléaire mais également du terrorisme.
En rapport avec les résultats, la limite principale des deux études ExternE (95 et 98) concerne le nucléaire. Elles relèvent les limites de l’estimation des accidents nucléaires, des déchets radioactifs, de la prolifération nucléaire mais également du terrorisme.
Sur le plan méthodologique il y a l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La limite principale des 2 études provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Cette méthode néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Les limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études est au niveau de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La Réponse se trouve au point C précisément au paragraphe en rapport avec les résultats d’ExternE1998,ce passage nous fait savoir que la limite principale provient principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE provient du fait qu’elles utilisent des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Méthode qui ne permet pas d’appréhender les accumulations ponctuelles et momentanées ainsi que leurs influences sur la santé.
La limite principale des deux études ExternE (95 et 98) proviennent de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition ; ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La limite principale des deux études provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
l’absence de considération des accumulations ponctuelles et momentanées, et l’utilisation des valeurs moyennes constituent des limites pour les études externes.
Les limites entre ces deux études relèvent de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des études est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des études est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux etudes est le fait qu’il y ait des incertitudes sur les couts externes. Les economies externes ne sont pas prises en compte ce qui remettent en cause la hierarchie des couts.
la limite principale de l’étude est l’utilisation de valeur moyenne pour la concentration des polluants
La limite principale des deux études ExternE est surtout l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des poluants dans le model de transmission et d’exposition qui du coût compromet la définition des intervalles de confiance
D’une manière générale, l’étude externe présente des limites concernant l’utilisation de valeurs moyenne de la concentration des polluants au niveau des transmissions et d’exposition. Cela entraine la considération des accumulations ponctuelles et ses conséquences sur la santé et l’environnement.
,limite principale
Page 341 : "Comme toute méthode, ses limites doivent être posées ainsi que l’intervalle de confiance de ses résultats. Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Néanmoins, il faut considérer la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages."
La limite est donc liée à un manque d’objectivité/ de recul sur un phénomène temporel d’accumulation des polluants.
la limite principale des deux études Externe (95 et 98) provient de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études Externe E (95 et 98) provient de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
Pour la teneur des substances toxiques (polluants) dans les modèles d’exposition et de transmission, la limite principale des deux études réside notamment dans l’utilisation des valeurs moyennes. L’inconvénient est du à des effets délétères liés à l’accumulation des polluants qui peuvent nuire à la santé des hommes et celle des écosystèmes.
la limite principale des deux études Externe correspond à la non rétention des valeurs préconisées au niveau communautaire qui dérivent d’études anglo-saxonnes et qui sont basées sur le consentement à payer pour éviter un cas supplémentaire ou sur le cout économique de la maladie
ses limites proviennent principalement de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluant dans les modèles de transmission et d’exposition. Ce fait néglige la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
la principale limite provient principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Utilisation des valeurs moyennes pour la concentration en polluants dans les modeles de transmission et d exposition
Ses limites proviennent essentiellement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La non prise en compte dans les calculs des différents couts économiques (privés et sociaux) engendrés par les facteurs producteurs d’externalités, tel que les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme, pourrait avoir un gros impact dans le rendu des deux évaluations ExterE (1995 et 1998).
La non prise en compte dans les calculs des différents couts économiques (privés et sociaux) engendrés par les facteurs producteurs d’externalités, tel que les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme, pourrait avoir un gros impact dans le rendu des deux évaluations ExterE (1995 et 1998).
La non prise en compte dans les calculs des différents couts économiques (privés et sociaux) engendrés par les facteurs producteurs d’externalités, tel que les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme, pourrait avoir un gros impact dans le rendu des deux évaluations ExterE (1995 et 1998).
La non prise en compte dans les calculs des différents couts économiques (privés et sociaux) engendrés par les facteurs producteurs d’externalités, tel que les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme, pourrait avoir un gros impact dans le rendu des deux évaluations ExterE (1995 et 1998).
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE est qu’elles négligent la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Cette limite provient principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale de l’étude ExternE est l’utilisation de valeurs moyenne pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition, en négligeant la possibilité d’accumulations poctuelles et momentanées, ainsi que leurs conséquences.
les limites principales sont issu de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans des modèles d’exposition.
Comme toute méthode, ses limites doivent être posées ainsi que l’intervalle de confiance de ses
résultats.Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La limite principale de ces deux études ExternE de 95 et 95 réside principalement dans l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La limite principale des deux études semble s’expliquer par le fait de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Limites
L’utilisation des valeurs moyennes de concentrations de polluants dans les modèles de transmissions et d’exploitation.
Les externalités positives ou économies externes ne son pas pris en compte
Cette méthode pourrait fausser les impacts de politique de réduction des émissions des polluants.
la principale limite des deux étude est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
la limite principale est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles utilisés (exposition et transmission).
La limite principale des deux études ExternE (95 et 98) est l’usage des valeurs moyennes dans le modèle d’exposition concernant l’accumulation de polluants.
La limite principale des deux études (95-98) consiste en l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ses limites font ressortir les valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans le modèle de l’exposition et aussi le facteur de transmission lié à l’environnement..
elle réside dans l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Ainsi , ils prennent pas en compte la possibilité d’accumulation momentanées et leurs conséquences sur la santé et l’environnement.
Les deux études souffrent de deux limites majeures inhérentes à ce type d’étude. En effet elles ne prennent tout d’abord pas en compte les coûts intangibles comme par exemples ceux du au stress (anxiété) généré par la présence de ce type d’installation sur un territoire ni la globalité de la dégradation du territoire au profit d’un terrain énergétique industriel.
Deuxièmement , ces études ne prennent pas en considération les différents modèles limites que peuvent proposer les études d’impact (bien que précisées comme existantes) et leur non applicabilité à certaines sources de pollution comme l’alimentation ou encore l’eau. Ainsi nous devrions avoir des modèles proposés selon des scénarios limites fonctions de la caractérisation sanitaire des risques.
Ensuite elles reposent sur la valeur donnée à la vie humaine. Cette valeur souffre d’une subjectivité importante au contexte social.
Enfin l’impact mesuré en matière de pollution de l’air tient compte de quelques polluants sachant que plusieurs centaines de composés sont retrouvés dans la pollution atmosphérique.
En somme la limite principale de ces études pourrait être résumée sous la prise en compte partielle des risques pour faire l’évaluation des coûts
Les limites proviennent principalement de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration de polluants dans les modèles de transmission et d’exploitation
La limite principale des deux études est sa faiblesse dans " (…) l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition". De ce fait, les impacts sur la santé et sur l’environnement liés à la concentration d’accumulation pour un moment donné ne sont pas pris en compte.
L’étude ne retient pas les coûts liés à la gestion à long terme des déchets, faute d’une connaissance scientifique suffisante. Elle tient compte en revanche des coûts liés aux accidents (centrales en fonctionnement, transport des combustibles, etc.) et au stockage à court moyen terme de ces déchets. Elle privilégie les impacts sur la santé liés aux divers rejets. Ses résultats sont sans aucun doute beaucoup plus fiables pour l’électricité produite avec des combustibles fossiles que pour l’électricité d’origine nucléaire. Le problème de la gestion à long terme des déchets radioactifs est abordé de façon assez succincte.
Les limites principales des deux études ExternE sont :
1- Utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
2- La difficulté de traiter des accidents très peu probables car en premier lieu il faut comparer entre les risques d’accidents liés à chacune des filières. Ainsi raisonner avec une méthode faisant appel aux courbes d’indifférence entre les gains en termes de revenus et le risque d’accident et donc mettre au point une autre approche – spécifique pour le traitement des accidents
Les limites principales des deux études ExternE sont :
1- Utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
2- La difficulté de traiter des accidents très peu probables car en premier lieu il faut comparer entre les risques d’accidents liés à chacune des filières. Ainsi raisonner avec une méthode faisant appel aux courbes d’indifférence entre les gains en termes de revenus et le risque d’accident et donc mettre au point une autre approche – spécifique pour le traitement des accidents
Les principales limites des deux études sont : L’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Ce qui ne tient pas compte des accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La difficulté de traiter des accidents très peu probables car en premier lieu il faut comparer entre les risques d’accidents liés à chacune des filières. Ainsi raisonner avec une méthode faisant appel aux courbes d’indifférence entre les gains en termes de revenus et le risque d’accident et donc mettre au point une autre approche spécifique pour le traitement des accidents.
La limite principale des 2 études ExternE est qu’elles utilisent toutes les 2 des valeurs moyennes de concentrations de polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Il n’y a donc pas de prise en compte des pics de pollution par exemple.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
ses limites doivent être posées ainsi que l’intervalle de confiance de ses résultats. L’étude ExternE se caractérise par des limites générales et des limites spécifiques au nucléaire.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE est l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale de deux études externes se caracterise par des limites générales et des limites spécifiques au nucléaire.
L’utilisation des moyennes dans la mesure de la concentration des polluants ne permet pas de tenir compte des pics et des différents variations qui sont importantes afin de comprendre le phénomène dans les détails.
la limite principale des deux études externes de 95 et 98 est que les limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Page 2/23 Ligne 5 à 6 .
Les limites principales de ces deux études proviennent de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Les deux études se basent sur des valeurs moyennes pour estimer la transmission et l’exposition aux polluants.
L’utilisation de valeur moyennes pour la concentration des polluants dans les modelés de transmission et d’exposition.
L’utilisation de valeur moyennes pour la concentration des polluants dans les modelés de transmission et d’exposition.
La limite principale provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
la limite principale des deux études externe est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Il est évident que la limite principale des deux études réside dans « l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition ».
la principale limite concerne l’utilisation des valeurs moyennes concernant la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
L’étude ExternE se caractérise par des limites générales et des limites spécifiques au nucléaire.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale concerne la prise en considération de valeurs moyennes de concentration de polluants en ce qui concerne la transmission et l’exposition
La limite des études réside dans le choix des valeurs moyennes pour exprimer la concentration des polluants. Ces chiffres étant utilisés dans les modèles de transmission et d’exposition. (p.340)
La limite principale de ces études consisté en l’usage de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La limite principale consiste à l’usage faite de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
l’usage de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition, est la principale limite des deux études ExternE.
l’usage de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition, est la principale limite des deux études ExternE.
D’après le document les limites sont plutôt liés aux valeurs (données ) pour la concentration pour la concentration dans les modèles de transmission et d’exposition. Cela ne prends pas en compte l’accumulation ponctuelle et momentanées et leurs conséquences sur l’environnement et la santé
la limite principale de l’étude ExternE est l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition, cela néglige la possibilité momentanée d’accumulation.
Pour les deux études, la limite principale est liée au fait qu’ils prennent des valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La principale limite des deux études provient de l’utilisation des valeurs moyennes dans les modèles de transmission et d’exposition pour la concentration des polluant.
La limite principale des deux études est qu’elles utilisent les valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
Les deux études prennent des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les voies de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE (95 et 98) émanent de l’exploitation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission .
Le fait d’utiliser de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale de ces deux études réside dans le l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les méthodes de transmission et d’exposition. il y’a une négligence des éventuelles accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La limite principale des deux études ExternE provient principalement de l’impact de la valeur moyenne pour la concentration des polluants dans les modules de transmission d’exposion.
La limite principale pour les deux études ExternE (95 et 98), réside essentiellement dans les aperçus évaluatifs étiquetés peu crédibles des résidus radioactifs (potentiellement dangereux pour l’homme). Intrinsèquement liés (dans cet exemple ExterneE 95-98), aux incidents nucléaires sous- jacents ; et la multiplicité rapide du nucléaire, et les effets rattachés à l’emploi de la terreur à fins idéologiques religieux ou culturels (terrorisme) ; ou de nature politiques (terrorisme d’état). En clair, la limite des deux études, est le nucléaire.
Les limites de l’étude ExternE proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.( cas de nucléaire.)
La limite principal provient de l’utilisation de valeur moyen pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et exposition.
La limite principale provient de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
la limite principale des deux études ExternE de 95 et 98 est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
la limite principale des deux études ExternE de 95 et 98 est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La limite principale des études externe est les valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition sont essentiellement utilisées.
La limite principale de ces études consisté en l’usage de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
Toutes les études scientifiques réalisés et dans quelques soit les domaines, les méthodes choisis pour atteindre les résultats ont toujours une limite spécifique. Il en est de même pour l’analyse des coûts sur la santé et l’environnement de chacune des étapes du cycles du combustible et de la production d’électricité. En effet, les méthodes utilisées pour calculer la valeur de la vie humaine consistent d’une part une première catégorie ; dont celle des évaluations institutionnelles élaborées par les États ou les secteurs économiques, et d’autre part une deuxième catégorie d’évaluations correspond à un point de vue individuel. Les limites de ces études résultent de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
ses limites proviennent de l’utilisation de la valeur moyennes pour la concentration des polluants .
dans les deux études ExternE (95_98), les valeurs utilisés concernant les polluants dans les modèles de transmission et d’exposition sont des valeurs moyennes , alors que dans les études de dommages il fallait considérer les valeurs extrêmes.
La limite principale de ces deux études se résume dans l’usage des valeurs moyennes de la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. L’éventualité d’une accumulation ponctuelle ou momentanée à la fois sur l’environnement et la santé des individus n’a pas été prise en compte dans ces deux études. Ce qui peut entrainer une modification dans l’estimation des couts externes et éloigner la moyenne de vérité.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La principale limite des deux études ExternE est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des études ExternE réalisée en 1995 et 1998 concerne l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
dans les deux études ExternE (95_98), les valeurs utilisés concernant les polluants dans les modèles de transmission et d’exposition sont des valeurs moyennes , alors que dans les études de dommages il fallait considérer les valeurs extrêmes.
La principale limite des deux études ExternE est l’utilisation de valeurs moyennes pour les concentrations en polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des 2 études réside dans l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
Les limites principale des deux études ExternE proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
L’étude ExternE est caractérisée par ses limites générales et spécifiques au nucléaire. Sa cible principale étant la production d’électricité et les transports
La limite des deux études ExternE (95 et 98) provient principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La limite des deux études ExternE (95 et 98) provient principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La principale limite des 2 études ExternE est le recours a des valeurs moyennes pour les concentrations des polluants pour déterminer l’exposition.
La principale limite de ces deux études externe, est dans l’utilisation des valeurs moyennes pour déterminer la concentration des polluants dans les modelés de transmission ; et que ces valeurs négligent les conséquences sur la santé et l’environnement.
la limite principale des deux études est la production d’électricité et les transports et l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
la limite principale des deux études est la production d’électricité et les transports et l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
la limite principale des deux études est la production d’électricité et les transports et l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Les limites principales de l’étude ExternE :
Il s’agit d’une sous-estimation sur l’étude (95) de la valeur de la vie humaine ce qui conduit à une sous-estimation du cout externe du CO2 par la méthode des dommages.
Par contre sur l’étude (98), la limite provient de l’utilisation de valeur moyenne pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
On néglige donc les possibilités d’accumulation ponctuelles et momentanées de polluants et leur conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement.
La limite principale des deux études ExternE 1995 et 1998 est le fait de négliger la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées, et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement, et cela par l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études Externe (95 et 98) réside dans l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants pour les dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La limite principale des deux études Externe (95 et 98) réside dans l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants pour les dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La limite principale de ces deux études semble être liée à l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition, négligeant ainsi les expositions cumulées ou combinées et leurs conséquences sur la santé et l’environnement
Une limite spécifique étant que l’étude est basée uniquement sur les externalités liées à la production d’électricité et les transports
utilisation de valeurs moyennes
La limite principale des deux études ExternE est que la prise en considération des accidents nucléaires, des déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme ne peut pas être considérée comme fiable ce qui fausse complétement l’estimation des coûts externes.
la limite principale des deux études ExternE (95 et 98) :
est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Bien qu’il s’agit d’études - référence pour la méthode et les résultats de l’évaluation des couts externes de l’énérgie, "ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition" .Cf. Pag. 340
la limite principale des deux études ExternE (95 et 98) est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration de polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
la limite principale des deux études ExternE (95 et 98) est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration de polluants dans les modèles de transmission et d’exposition
La limite principale des deux études est :
les deux études ont pris en compte les coûts extrenes de la production de l’éléctrécité et pas sur l’enegrie ; et l’étude a était faite pour les pays européenne et les résultats refletent donc pas la situation dans le monde .
La limite principale des deux études ExternE (95 et 98) est : les deux études ont prit en compte les coûts externes de la production en électricité et ont négligé celle de l’énergie. De plus, l’étude a été focalisé sur les pays européens ce qui rend les résultats pas fiables car ils ne peuvent pas être généralisé à l’échelle mondiale.
La principale limite de ces deux études externe est l’utilisation des valeurs moyennes pour déterminer la concentration des polluants dans les modèles de transmission ; sachant que ces valeurs négligent les conséquences sur la santé et l’environnement.
La principale limite de ces deux études peut être résumée dans l’utilisation de valeurs moyennes de concentrations de polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Le potentiel d’effets cumulatifs ponctuels ou temporaires sur l’environnement et la santé des individus n’a pas été pris en compte dans ces deux études. Cela peut entraîner une modification de l’estimation des coûts externes et éloigner la moyenne de la vérité.
La limite principale des deux études ExterneE (95, 98) est l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition ce qui fait négliger les possibilités d’accumulations ponctuelles et momentanées.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études ExternE (95et 98) provient de l’utilisation des valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ceci néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et donc leurs conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement.
La principale limite est l’utilisation de valeurs moyennes pour les concentrations
La principale limite est l’utilisation de valeurs moyennes pour les concentrations
La principale limite est l’utilisation de valeurs moyennes pour les concentrations
Ils ont utilisé les concentrations moyennes des polluants pour la transmission et l’exposition.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
La limite principale des deux études réside dans l’utilisation des valeurs moyennes relatives à la concentration des polluants dans les modèles d’émission, de dispersion et d’exposition
La limite principale des deux études réside dans l’utilisation des valeurs moyennes relatives à la concentration des polluants dans les modèles d’émission, de dispersion et d’exposition