En quoi cela peut-il fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages ?
Car les résultats seraient bien entendus supérieurs si l’on appliquait un principe de précaution, c’est-à-dire si on retenait des valeurs maximales de concentration des polluants (« à dire d’experts » par exemple) dans ces modèles.
En quoi cela peut-il fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages ?
Les effets aigus occasionnés par l’exposition à une forte concentration en polluant sont différents de ceux liés à une exposition chronique, retenus pour l’étude ExternE ; pour les accidents de gravité majeure, les dommages engendrés nécessiteraient des méthodes d’évaluation différentes. Globalement, la non-prise en compte de ces évènements risque de conduire à une sous-estimation des résultats.
Le cible de l’étude ExternE n’est pas assez spécifique et ne prend pas tout en compte limitant ainsi les résultats. Par exemple, dans le texte, elle se base sur la production d’électricité et les transports, portant par hasard sur l’utilisation de l’énergie dans l’habitat, au travers des économies d’énergie.
L’utilisation de valeurs moyennes, sans prise en compte de pics, écarte les effets provoqués par ces pics de polluants, effets pouvant entrainer des prises en charges médicales différentes de celles provoquées par des valeurs moyennes - l’augmentation de la dose d’exposition modifie les effets-.L’évaluation des dommages sera dans ce cas-là sous-estimée de la valeur de ces "sur-pathologies" générées par ces pics.
la négligence de la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages, car ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
cela peut faussé les termes d’ evaluation des dommages pour des raisons que ses etudes presentent un certain nombre de limites dans l’ intervalle de confiance, pour rendre credible ses resultats
cela peut fausser le résultat en terme d’évaluation des dommages car ce fait néglige la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.néanmoins, il faut considérer la prudence systématique des études,qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
La prise en compte de valeurs moyennes néglige les expositions élevées qui peuvent avoir un impact important en terme de santé.
Il fausse les resultats en ce sens qu’il néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
La limite présentée peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages dans le sens où les externalités positives ne sont pas considérées par les deux études.
En prenant en considération les valeurs moyennes, on néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
Les valeurs extrêmes sont donc écartées ; ce qui sous estime l’impact des dommages car ne sont as pris en compte les effets de la bioaccumulation
Ceci peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages du fait d’une sous-estimation des impacts. En effet, l’utilisation de valeurs moyenne fait occulter les possibilités d’accumulations ponctuelles et momentanées et aussi leur conséquences sur la santé et l’environnement.
Selon l’article, cela peut fausser les résultats car les possibilités d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement sont ainsi négligées.
Cela peut fausser les résultats dans le sens où les valeurs minimales d’exposition non considérées peuvent entrainer des dommages chez les personnes sensibles dans cette limite
En n’utilisant que les valeurs moyennes d’exposition, les résultats pourraient être faussés puisque l’évaluation ne tient pas compte des valeurs minimales d’exposition auxquelles certaines personnes pourraient être sensibles, et ainsi les dommages seraient minimisés ce qui n’est pas forcément vrai.
La question n’est pas claire : est-elle uniquement en rapport avec la question précédente ou parle t-on des différentes incertitudes qui peuvent fausser l’ensemble des résultats des études ?
1er cas : Les résultats sont certainement sous-évalués si l’on ne prend pas en compte les pics d’émissions de polluants qui peuvent conduire à plus d’hospitalisations (coûts médicaux), voire des arrêts maladies ou des décès prématurés, ainsi que des dommages irréversibles à l’environnement si ces émissions perturbent l’équilibre d’un écosystème et par exemple éliminent un certain nombre de ressources.
2ième cas :
Les 2 études ont porté sur une analyse des coûts externes de l’énergie par rapport au cycle complet depuis l’extraction de matières premières jusqu’à la production d’énergie et la prise en charge des déchets mais elles n’ont pas tenu compte de l’utilisation de l’énergie dans l’habitat, plus ou moins économe et plus ou moins polluante. Cela est de nature à fausser l’impact des politiques de réduction des émissions polluantes.
De plus, les économies externes , par exemple les créations d’emplois directs ou induits , l’impact sur la balance des paiements (exportation des énergies produites) n’ont pas été pris en compte non plus.
L’évaluation des dommages sur la santé suppose une valeur donnée de la vie humaine, qui s’avère très différente entre les 2 études de 95 et 98.
Enfin les résultats d’ExterneE sont fondés sur des contextes nationaux , dans le cadre de la répartition des recherches entre différentes équipes européennes , et ces contextes nationaux comportent des disparités dans les structures énergétiques et dans les performances des différentes filières d’un pays à l’autre.
en ce sens que ces limites négligent la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
L’étude ExternE se caractérise par des limites générales et des limites spécifiques au nucléaire. Le traitement des rejets est beaucoup plus efficace sur un plan technique pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites décentralisés, pouvant ceci fausser l’évaluation des impacts des politiques de réduction des émissions polluantes
l’utilisation des valeurs moyennes de polluants peut faussé l’évaluation des dommage en ce sens que l’évaluation des dommages se fait selon une relation dose réponse. Si la valeur moyenne du polluant est inférieure à la valeur réellement émise, il y aura un risque de sous estimation du dommage
Oui, on risque de biaiser les résultats dans la mesure où les valeurs des concentrations risquent de subir quelques augmentations.
Cela peut fausser les resultats en termes de possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
sa peut entrainé une mauvaise estimation des dommages
peut fausser le résultat dans le cas d’expositions accidentelles, où les concentrations en polluants peuvent devenir très élevées.
elle néglige l`accumulation momentanée et ponctuelle et leur conséquences sur la santé et l environnement.
L’utilisation des valeurs moyennes ne prend en compte les effets d’accumulation des divers polluants sur la sante et l’environnement à court et long terme.
L’étude ExternE se caractérise par des limites générales et des limites spécifiques au nucléaire. Pour des sites centralisés de production d’électricité, le traitement des rejets est plus efficace sur le plan technique que pour des sites décentralisés, pouvant ainsi fausser l’évaluation des impacts des politiques de réduction des émissions polluantes.
Les accumulations ponctuelles et momentanées ne seront pas prises en compte en terme d’évaluation des dommages.
Ce fait négliger la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement des de type « coûts-bénéfices » de la réduction des pollution
L’utilisation de valeurs moyennes néglige en effet, la possibilité d’accumulation ponctuelle et momentanée des polluants et leurs conséquences sur la santé et l’environnement.
Il existe un biais lie au traitement des rejets. ceci est beaucoup plus efficace sur un plan technique
pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites
décentralisés.
la négligence de la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Ces resultats peuvent faussés l’evaluation des dommages car les dommages sont calculés sur la base des valeurs de concentration les plus élévées mais sans tenir compte des dommages liés aux accumulations ponctuelles et momentanées des polluants et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
On risque de sous évaluer les impacts sanitaires des pics de pollution, les affections liées à une exposition aigüe.
L’approche des événements n’est pas la même, elle est probabiliste et déterministe dans le cas de l’énergie nucléaire. Il est donc très approximatif de se fonder sur une valeur moyenne pour évaluer des dommages. On évalue avec EXternE les coûts en fonctionnement normal, sans intégrer les coûts liés à des accidents très peu probables. Les auteurs jugent donc que l’évaluation des dommages du nucléaire en particulier sont mal estimés, pour ne pas dire sous-estimés.
Les résultats en termes d’évaluation des dommages peuvent être faussés par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
L’évaluation des dommages peut être faussée par la négligeance que cela entraine, des accumulations momentanées et ponctuelles des polluants avec les conséquences que cela pourrait causer en terme de dommages à la fois sur la santé et l’environnement.
En terme d’évaluation des dommages, ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Résultats faussés en termes d’évaluation des dommages:le coeur de cible d’ExternE a été défini comme étant la production d’électricité et les transports,ce n’est que par raccroc que l’étude a porté sur l’utilisation de l’énergie dans l’habitat ,à travers des économies d’énergie.
ceci semble etre un biais important pouvant fausser l’évaluation des impacts.
L’évaluation des dommages sur la santé suppose une valeur donnée à la vie humaine et l’étude ExternE adopte une valeur située plutôt dans le haut de l’intervalle des estimations disponibles
Cela peut-il fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages dans la mesure il peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages car celui-ci se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
l’évaluation des dommages peut avoir des résultats faussés sur le fait que le traitement des rejets est beaucoup plus efficace techniquement pour des sites centralisés de production d’énergie, ce qui ne l’est pas pour des sites décentralisés. l’évaluation est alors biaisé si on ne tient pas compte de cette situation.
Ce fait peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages parce qu’en utilisant des valeurs moyennes on est amené à négliger parfois les risques liés à des expositions à de fortes concentrations qui seraient susceptibles de créer de plus grands dommages.
On se retrouverait alors dans des situations de sous-estimations des risques environnementaux et sanitaires.
celà peut fausser les résultats d’ évaluation des dommages dans la mesure où les études sont marqués par des choix répétés des valeurs les plus élevées pour les dommages
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Pour l’évaluation des dangers notamment nucléaires, les coûts externes peuvent être largement sous-évalués si le risque d’accident n’est pas pris en compte correctement.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Cela néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs consequences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
l’étude Externe adopte une valeur située plutôt plus haut dans l’intervalle des estimations disponibles
cela peut fausser les resultats en terme d’evaluation des dommages car les résultats des études Externe se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
l’evaluation des dommages sur la santé suppose une valeur donnée à la vie humaine .L’etude ExternE adopte une valeur située plutot dans le haut de l’intervalle des estimations disponibles ,avec un montant de 2.6millons d’euros
cela peut fausser les résultats en terme d’ évaluation des dommages en terme des coûts
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages car elle néglige les possibilités d’accumulations ponctuelles et momentanés et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages car cela néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Ce fait fausse les resultats parce qu’il neglige la possibilite d’accumulations ponctuellas et momentanees et leurs consequences eventuells a la fois sur la sante et l’environnement.
Les résultats peuvent effectivement étre faussés car l’évaluation des dommages est basée sur le consentement à payer des populations pour réduire le risque ou la nuisance soit à leur environnement soit à eux, quand cette nuisance n’est définie que partiellement, il y a une mauvaise estimation des couts de la part des sondés.
Cette limite tend à fausser le résultat négativement car les effets aigues liés à une forte concentration, au dessus de la moyenne ne sont pas pris en compte en analysant la relation dose-effet.
L’accumulation ponctuelle et momentanée de polluants peut avoir des
conséquences différentes, plus prononcées à la fois sur la santé et l’environnement.
Selon la courbe dose/réponse des polluants incriminés, on peut avoir localement une sous évaluation des cas de décès ou de morbidité.
les expositions au moment des pics de pollution ne sont pas pris en considération donc les dommages lors des ne sont pas estimés ce qui peut fausser les résultats
les résultats sont fausses a cause de la négligation de la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
De ce fait, par mesure de prudence, les études prendre des valeurs les plus élevées pour les dommages, ramenant l’estimation des couts externe à la hausse. Donc une surestimation peut–être observée dans les résultats.
Il est donc impossible d’évaluer le dommage sur la santé et l’environnement causé par les accumulations ponctuelles et momentanées.
Les résultats peuvent être faussés en ceci que le traitement des rejets est beaucoup plus efficace sur un plan technique pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites décentralisés. Et de plus les externalités positives ou économies externes ne sont pas prises en compte dans l’étude.
ce fait néglige la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences eventuelles à la fois à la santé et à l’environnement. Il faut considerer la prudence systématique des etudes qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élévées pour les dommages
L’évaluation des dommages est faussé à partir du moment ou on sous estime les effets externes d’un domaine de production de l’énergie.
Les résultats peuvent êtres faussés en termes d’évaluation des dommages si :
On ne tient pas compte de toutes les étapes d’obtention et de service d’une ressource. Par exemple, pour l’éolien, on ne tient pas compte de son encombrement, de sa présence physique (visuel) mais seulement du bruit généré.
On fait seulement des calculs hors effet de serre comme ça été le cas pendant les premières phases de l’étude.
Cela peut fausser les résultats car si l’on appliquait un "principe de précaution", en retenant des valeurs maximales de concentration des polluants les résultats seraient bien supérieurs.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages en negligeant la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
En terme d’évaluation des dommages, cela peut fausser les résultats en négligeant les situations possibles d’accumulation ponctuelle des polluants et leurs conséquences éventuelles sur l’environnement et la santé.
L’utilisation de valeur moyenne fausse les évaluations des domages car pour chaque type de production d’énergie (mais surtout pour le nucléaire), les impacts sanitaires (notamment sur la mortalité) sont exponentiels selon la concentration de l’exposition.
Cela néglige la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences sur l’environnement
la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages, peut fausser les resultants en estimant des valeurs superieures.
Elle néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées des polluants et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Cette limite néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées des dommages et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Les externalités positives n’étaient pas prises en compte dans l’évaluation des dommages.
Cela peut fausser les résultats en terme d’évaluation des dommages par le fait qu’en cas d’accumulations ponctuelles et momentanées de concentration de polluants et de leurs éventuelles conséquences, si l’on retenait des valeurs maximales de concentration des polluants, les résultats seraient supérieurs.
En utilisant des valeurs moyennes, on néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées ainsi que les conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La prise en compte de valeurs moyennes néglige les expositions élevées qui peuvent avoir un impact important en terme de santé. Cela peut fausser les résultats car en retenant des valeurs maximales de concentration des polluants (principe de précaution) les résultats seraient bien supérieurs.
Cela fausse les résultats en se sens ou ce fait néglige la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Les oblique d’évaluation des externalités se manifeste soit dans la sous-estimation des couts réel ou bien la surestimation des ses couts. Ce problème est largement rependu dans les études d’internalisation des externalités due principalement au différentes biais qui sont lié soit à des contraintes inévitable ou bien au mal pris en considération des ses biais.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages, car ces derniers sont sous-estimés.
Cela peut fausser les résultats en terme d’évaluation des dommages en ce sens que dans l’études on maintenat les valeurs relatives qui donnaient lieu à des hypothèses minorantes par rapport à la réalité et ce au détriment des valeurs absolues qui elles donnent lieu au hypothèses majorantes et à une marge d’erreur plus réduite encore.
je voulais dire que les valeurs absolues qui sont majorantes sont plus retenues que les valeurs relatives qui elles donnent l’estimation réelle ce qui fausse donc l’estimation et par ricochet l’évaluation qui est faite.
L’utilisation des valeurs moyennes de concentration des polluants dans les modèles fait nnegliger la possibilité d’accumulation ponctuelle et momentanées, leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.Cette crainte est négligeable dans cette étude car elle se traduitpar le choix répété des valeurs les plusles plus élevéespour les dommages
L’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition mène à conduire une étude basée sur des valeurs type plus élevés pour l’évaluation des dommages. En d’autre terme les résultats en terme d’estimations des dommages peut être fausser et ne pas révéler le véritable coût rechercher ainsi que sa véritable signification.
En termes d’évaluation des dommages, cela occasionne la méconnaissance ou l’ignorance de possibilités d’accumulations ponctuelles et momentanées d’une pollution et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et/ou sur l’environnement. Les valeurs qui s’écartent des moyennes ne sont pas tenues en compte dans l’évaluation des dommages.
par l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. .
Les limites des études ExterneE peuvent fausser les résultats d’évaluation des dommages en ce sens qu’elles peuvent créer des variations tendant à la sous-estimation des résultats. Nous savons que l’évaluation des dommages se fait selon une relation dose réponse. Ainsi, en période des pics d’émissions de polluants, il résulterait de pathologies diverses ; donc assez d’’hospitalisations et de conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. D’où la prudence systématique des études,qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement, entraînant une sous-estimation des dommages.
Cela peut fausser les résultats en terme d’évaluation des dommages Car les résultats obtenus seront supérieurs si l’on appliquait un principe de précaution, c’est comme si l’on retenait des valeurs maximales de concentration des polluants dans ces modèles.
Ceci peut fausser les résultats en ce sens où ilss seraient bien entendus supérieurs si l’on appliquait un principe de précaution, c’est-à-dire si on retenait des valeurs maximales de concentration des polluants pour ces cas
.
La difficulté d’estimer la valeur de la vie humaine, peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages.
En utilisant des valeurs moyennes, les études négligent la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées des polluants et les conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement. Par conséquent les résultats peuvent avoir tendance à minimiser les risques pour la population.
Cela peut fausser les résultats du fait de la négligence de la possibilité d’accumulation ponctuelle et momentanée des polluants dans les milieux d’où leurs conséquences sur l’environnement et la santé.
Les dommages s’en trouvent sous-évalués car résultant de l’utilisation de valeurs de concentration des polluants inferieures à celles maximales que le principe de précaution pousserait à utiliser.
Cela est susceptible de fausser les résultats dans des situations d’évènements exceptionnels, en l’occurrence, une accumulation importante, subite et ponctuelle de polluants qui entrainerait surement aussi des affections exceptionnelles sur la santé de l’Homme.
Ne prendre en compte que les valeurs moyennes revient à négliger les situations d’expositions aiguës par accumulation ponctuelles et momentanée d’un polluant ainsi que leurs effets sur la santé et l’environnement.
Les résultats peuvent etre fausser en terme d évaluation des dommages car ceci néglige la possibilité d accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé humaine et l’environnement.
Ces resultats peuvent faussés l’evaluation des dommages car les dommages sont calculés sur la base des valeurs de concentration les plus élévées mais sans tenir compte des dommages liés aux accumulations ponctuelles et momentanées des polluants et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
la non prise en compte des données ponctuelles peut fausser les prévisions en terme d’effets ponctuels(dommages ) sur l’environnement et sur la santé.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluations des dommages dans la mesure où l’exposition à une valeur plus élevée que la moyenne et sa dispersion peut générer des dommages momentanés sur la santé et l’environnement sans avoir duré dans le temps
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages, en ce sens que l’on obtiendrait des résultats supérieurs en cas de risques potentiels (principe de précaution). l’évaluation des dommages se fait selon une relation dose réponse et se traduit par un choix des valeurs les plus élevées pour les dommages.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages par le fait de négliger la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement.
Les résultats peuvent être faussés du fait que cet état de fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
La valeur moyenne de concentration des polluants entraîne un résultat beaucoup plus bas ; alors qu’en utilisant les valeurs maximales de concentration des polluants dans ces modèles, ces résultats seraient nettement supérieurs en appliquant principe de précaution.
La valeur moyenne de concentration des polluants entraîne un résultat beaucoup plus bas, alors qu’en prenant les valeurs maximales de concentration des polluants dans ces modèles, on aurait un résultat bien supérieur en appliquant le principe de précaution par exemple.
D’un ordre général le rapport stipule la considération d’une attitude de prudence systématique des études, se traduisant par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages. Toutefois il est envisageable que la tendance à reporter les valeurs modelisées sur les moyennes observées , influence une sous-estimation des dommages sur l’individu et l’environnement. En effet les épisodes aiguës et momentanées non reportées dans les données tendraient à augmenter les dommages dans une prise en compte exhaustive des episodes potentiels de transmissions et expositions.
comme dans cette étude on utilise les valeurs moyennes on néglige les valeurs extrêmes. Ceci serait différent si on appliquait le principe de précaution, nous n’écarterions pas les pics de pollution c’est-à-dire les valeurs extrêmes.
Si on prend en considération seulement les valeurs moyennes, on risque de sous-estimer les résultats, car on ne calcule pas les pics de concentration des polluants et, aussi, les possibles accumulations, qui détermineraient des effets sur la santé et l’environnement.
Cela peut fausser les résultats parce que l’évaluation des dommages sur la santé suppose une valeur donnée à la vie humaine et non pas des valeurs moyennes.
Les accumulations ponctuelles et momentanées ne seront pas prises en compte en termes d’évaluation des dommages.
Les estimations peuvent fausséesles résultats pour les accidents
nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le
terrorisme. Celles-ci sont des lacunes qui pourraient être significatives et doivent être clairement
soulignées pour toute évaluation.
le difficile traitement méthodologique des économies d’énergie ;l’efficacité technique dutraitement des rejets la production d’électricité sur les sites décentralisés pourraient fausser l’évaluation des impacts des politiques de réduction des émissions polluantes.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulation ponctuelle et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la sante et l’environnement.
Parce que les résultats seront supérieurs lorsqu’on retiendra les valeurs maximales de concentration des polluants dans les modèles.
Etant donné que l’on utilise des valeurs moyennes, on ne tient pas compte de la possibilité d’avoir un pic de "pollution" pour un polluant donné ! C’est-à-dire de la concentration maximale de ce polluant qui pourrait avoir des conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
L’utilisation de valeurs moyennes peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages car elle ne permet pas d’identifier des valeurs maximales de polluants (ponctuelles ou momentanées) qui pourraient avoir des conséquences à la fois sur la santé et l’environnement.
En considérant le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
Considérant la limite sus-évoquée, il s’en suit que les résultats seront faussés du fait de :
• les divergences résultant d’un système de prix différents entre coûts sociaux et coûts privés et dont les méthodes d’évaluation monétaires vont en faire usage.
• le calcul de l’utilité collective par l’addition des utilités individuelles qui engendre des marges d’erreurs en absorbant les spécificités des préférences individuelles parfois opposées.
Elle repose sur 2 évaluations : évaluations institutionnelles (compagnies d’assurance, compagnies aériennes)
évaluations d’un point de vue individuel, entachées d’artefact
Dans les deux études, ce sont les estimations hautes qui ont été prises en compte, ce qui influencent le coûts de dommages.
Car ces études présentent un certain nombre de limites dans l’intervalle de confiance, de ce fait il y une négligence de la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement.
Donc il faut considérer la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
cela peut fausser les resultats suite a une possible accumulation ponctuelle et momentané de ces polluants
Les polluants n’ayant pas la même ampleur au niveau des dommages causés, ces valeurs moyennes peuvent ramener les couts externes la hausse ou la baisse.
l’utilisation des valeurs moyennes pourraient surestimer les résultats ou les sous estimer.
cela peut fausser les résultats car les conditions de vie diverges d’un pays à l’autre
Le fait d’utiliser la valeurs moyenne des concentrations pour déterminer l’effet dose- réponse, en termes de dommage sur la santé, nous conduit à négliger la possibilité d’accumulations des polluants dans le temps et leurs conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement.
Or, cette valeur de concentration des polluants est centrale pour estimer la valeur de la vie humaine qui entre dans le calcul des coûts « ExternE »
En utilisant une valeur ponctuelle X, on exclut la possibilité de variation de la concentration dans le temps ; ce qui pourrait faire varier le coût Externe, en hausse ou en baisse, selon le type de l’exposition (Aigue ou Chronique).
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Néanmoins, il faut considérer la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
La prise en compte de valeurs moyennes lisse l’exposition et donc les dommages en ne prenant pas en compte les cas d’exposition et donc de dommage où il peut y avoir une forte accumulation de polluants.
En utilisant des valeurs moyennes, on néglige les conséquences sur la santé ainsi que l’environnement que peuvent avoir de fortes concentrations (pic de pollution) ainsi que leur possible accumulation dans l’écosystème.
L’utilisation d’une valeur moyenne peut avoir tendance à surestimer ou sous-estimer les dommages en fonction que la valeur soit inférieure ou supérieure, respectivement, dans les circonstances particulières de l’étude. Dans un esprit de précaution, il serait plus adapté de prendre la valeur la plus haute.
Il peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages dans la mesure où il y aura une possibilité d’accumulation ponctuelle et momentanée de polluants. Donc, les conséquences sur la santé et l’environnement relatives à cette situation, qui sont largement différentes par rapport à celles de valeurs moyennes, seront négligée.
Il peut faussées les résultats en terme d’évaluation des dommages dans la mesure où cela néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leur conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages car la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement n’a pas été prise en compte.
Aussi, l’évaluation des impacts des politiques de réduction des émissions polluantes pourrait être également faussée.
Le traitement des rejets est plus efficace sur un plan technique
pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites
décentralisés.
Cela du les résultats auront des valeurs supérieurs si l’on appliquait des mesures de précaution( si on retenait des valeurs maximales de concentration des polluants).
La prise en compte de valeurs moyennes néglige les expositions élevées qui peuvent avoir un impact important en terme de santé.
Ceci pourrait induire une augmentation des valeurs de l’étude et de ce fait un biais
Les éventuelles conséquences sur la santé et l’environnement d’une accumulation ponctuelle des polluants ne sont pas prises en compte, ce qui peut conduire à une sous-évaluation des dommages.
Le fait de ne prendre en compte les moyennes de concentration ne renseigne pas sur d’éventuels pics de pollution. Ceci conduira à une sous-estimation des impacts liés à cette pollution (les pics ayant des effets sur les populations les plus vulnérables que sont les personnes souffrant d’insuffisances respiratoires, d’asthme,…).
Cette limite peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages qui devraient être plus grands du fait qu’il y a une négligence des accumulations ponctuelles et momentanées (les concentrations maximales) et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Ces résultats ne prennent pas en compte le pic de concentration des polluants dans le cas de l’exposition aigue ou chronique. A ce titre l’évaluation des dommages pourrait être gravement sous-estimée.
Cela peut fausser les résultats en terme d’évaluation des dommages du fait que les modèles de transmission et d’exposition sont faites à base de l’utilisation des valeurs moyennes pour les concentrations des polluants et le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
Les résultats obtenus au-delà du seuil de la moyenne en termes d’évaluation des dommages peuvent être faussés par l’application des valeurs les plus importantes. On applique la prudence des études.
cela peut fausser les résultats par la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées, le choix
répété des valeurs les plus élevées pour les dommages
cela peut fausser les résultats si on prenait des valeur maximal de concentration des polluants. Dans ce cas, on se retrouverait alors dans des situations de sous-estimations des risques environnementaux et sanitaires.
les accumulations ponctuelles, ainsi que leurs conséquences sur la santé et l’environnement peuvent être négligées
L’utilisation des valeurs moyennes peut effectivement fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages. En effet, bien que la moyenne, comme paramètre de tendance centrale soit sensible à toutes les valeurs, les valeurs extrêmes étant incluses, « elle n’est pas le paramètre le plus représentatif d’un échantillon lorsque la dispersion est grande ». Dans le cas des concentrations des polluants, ces valeurs extrêmes, particulièrement celle supérieures à la moyenne, représentent les conditions les plus défavorables de l’exposition et donc des dommages tant pour l’homme que pour l’environnement.
Si l’on se réfère au principe « la dose fait le poison », principe qui est vérifiable pour beaucoup de substance (à effet avec seuil ), l’utilisation de la moyenne a permis d’ignorer tous les scénarios où les polluants peuvent s’accumuler au-delà de la moyenne et provoquer dommages plus graves et par conséquent des coûts externes plus élevés.
Cette limite (de l’utilisation des moyennes) a donc permis de sous-estimer certains coûts externes.
Les résultats peuvent être fausser par exemple avec l’utilisation du principe de précaution. Si on adopte ce principe, on cherche à diminuer la valeur limite d’exposition à un polluant entraînant ensuite la multiplication des individus au-delà de la limite.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages car l’utilisation des valeurs moyennes sous-estime les dommages. Si l’on applique le principe de précaution en retenant les pics observés, on aurait des résultats supérieurs.
Les résultats sont faussés car ils sont sous estimés. Ils seraient plus significatifs si nous sommes à amener à appliquer les dispositions du principe de précaution. En effet ça reviendrait par mesure de précaution à considérer plutôt les valeurs maximales de concentration des polluants dans les évaluations et non pas les valeurs moyennes..
Ce fait peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages par le fait qu’il néglige la possibilité d’accumulation ponctuelle et momentanée et leurs conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement.
L’utilisation d’une méthode majorante permet de faire preuve d’une prudence systématique dans les études qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
Dans le cas du choix de valeurs moyennes, il existe un risque élevé de sous-estimation du coût des dommages sur la santé et l’environnement dans l’évaluation des dommages.
Les concentrations élevées et la multiplication possible des expositions ne sont pas prises en compte et réduisent ainsi l’évaluation des dommages.
En termes d’évaluation des dommages cela peut conduire à des estimations approximatives
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluations des dommages car il y’a eu sous évaluation du dommage on a fait fi au valeur de référence, source de pollution ,fonction dose réponse et évaluation économique adéquate sinon on devrait passer par évaluation dite micro-épidémiologique ,après on pourrait passer par évaluation macro-épidémiologique l’autre facteur qui a faussé les résultats est de n’est pas prendre en compte les externalités positives .
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluations des dommages car il y’a eu sous évaluation du dommage on a fait fi au valeur de référence, source de pollution ,fonction dose réponse et évaluation économique adéquate sinon on devrait passer par évaluation dite micro-épidémiologique ,après on pourrait passer par évaluation macro-épidémiologique On se retrouverait alors dans des situations de sous-estimations des risques environnementaux et sanitaires.
Les accumulations momentanées ou ponctuelles peuvent avoir des effets importants sur la santé et l’environnement. Ne pas en tenir compte fausse les résultats dans le sens où l’évaluation des dommages sera inférieure à ce qu’elle devrait être en prenant en compte les accumulations ponctuelles et momentanées.
En termes d’évaluation des dommages, cela peut-il fausser les résultats parce que ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées (pics d’émissions) et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Cependant, cette limite peut être compensée par la prudence des études qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevés pour les dommages.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages, car ce fait la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
si on applique le principe de précaution, les résultats seraient seraient supérieurs
Les résultats ne tiennent pas compte des valeurs maximales d’expositions ponctuelles.
Cela peut fausser les resultats en termes d’evaluation des dommages par le fait que l’on adopte une valeur situee plutot dans le haut de l’intervalle des estimations disponibles.
La prise en compte de valeurs moyenne mettrait de coté l’augmentation du niveau maximal de pollution qui auraient pu occasionné des graves problèmes de santé
Cela pourrait fausser les résultats en terme d’évaluation des dommages sur l’estimation des coûts d’externalités du fait que le niveau des dommages causes est supérieur a la valeur prise en compte lors de l’evaluation
La non exactitude des informations liées aux polluants mis en cause pourraient faussés les données permettant d’évaluer le dommage identifié.
résultats faussés
Pour répondre à cette question, il faudrait savoir ce qu’on entend par évaluation des dommages. Est-on dans de l’économie (estimation chiffrée), du sanitaire (impact sanitaire), de l’environnemental (pollution des milieux), l’ensemble des trois voir autre chose (répercutions sociale) ? Est-on dans de l’aigu ou du chronique ? Quid également des principes de l’environnement (prévention, précaution, pollueur-payeur) qui s’y ajoutent ? Dans tous les cas de figure, il est évident qu’une méthodologie d’étude limitée (pour rappel : non prise en compte des effets d’accumulation des divers polluants sur la sante et l’environnement à court et long terme) entraine des erreurs (des biais) dans une évaluation qui en est issue, avec des résultats pouvant être vue à la hausse ou à la baisse selon les critères retenus.
les résultats seraient faussés parce que la seule prise en compte des valeurs moyennes exclue les valeurs extremes ou les expositions élevées, ce qui va sous estimer le dommage.
Les valeurs moyennes de polluants peuvent fausser l’évaluation des dommages selon la relation dose-réponse. Si le principe de précaution était appliqué, les résultats seraient bien supérieurs. Il est ainsi nécessaire que la valeur moyenne du polluant soit la valeur réellement émise.
Quand on procède à l’utilisation du principe de précaution caractérisé par des mesures (de prudence) prises en situation d’incertitudes scientifiques et/ou techniques face à un éventuel risque, les résultats seraient indubitablement supérieurs dans les modèles d’exposition si on gardait des valeurs maximales de concentrations des substances polluantes.
Vue que les dommages dépendent non seulement du niveau de la pollution,mais aussi de la durée d’exposition ,d’effets de seuil et ses caractères probabilistes ; l’ignorance ou la non rétention des valeurs préconisées au niveau communautaire peut fausser les résultats ;
Par ailleurs,les informations apportées par la description des mécanismes et impacts physiques de la pollution fournies par les enquêtés ou la population victime est une composante essentielle dans l’évaluation des dommage
Vue que les dommages dépendent non seulement du niveau de la pollution,mais aussi de la durée d’exposition ,d’effets de seuil et ses caractères probabilistes ; l’ignorance ou la non rétention des valeurs préconisées au niveau communautaire peut fausser les résultats ;
Par ailleurs,les informations apportées par la description des mécanismes et impacts physiques de la pollution fournies par les enquêtés ou la population victime est une composante essentielle dans l’évaluation des dommage
En définitif, cette limite peut rendre fausse le résultat sous comparativement que si jamais on prenait en compte les accumulations permanentes et ponctuelles
Cela ne permet pas de caracteriser les expositions aigues, chroniques et sub.chroniques , ni de realiser differents scenarios d exposition, ni d envisager une exposition multiple a differents polluants, ni de fixer des valeurs limites pour les differents scenarios qui pourraient proteger la sante, ni de prevoir des methodes pour diminuer les risques, ni les sources ponctuelles de pollution dans l environnement donc ne protege pas non plus les ecosystemes.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulation ponctuelle et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Il faut considérer la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
L’étude ExternE (95 - 98) dont l’objectif est de chiffrer les coûts environnementaux et humains engendrés par la production d’externalités des différentes filières de production de l’électricité (charbon, nucléaire, fuel, gaz, photovoltaïque, éolienne), est une démarche très exigeante qui consiste à prendre en compte dans les calculs économiques (coût privé et coût social) toutes les phases de l’extraction du minerais dans le cas de l’uranium, à la transformation en énergie électrique en passant par toutes les phases possibles pouvant être à l’origine d’externalités (pollution) ; l’omission de prise en compte des phases citées à la question précédente accident nucléaire, le terrorisme) peut avoir un impact sérieux dans le rendu (résultats) de l’étude.
En s’appuyant sur les valeurs moyenne pour la concentration des polluants, on néglige la possibilité d’accumulation ponctuelle et momontanée ainsi que ses conséquences, de ce fait on ne s’approche pas tout à fait à la réalité de la situation, et cela nous induit en erreur.
les résultats seraient surestimés si nous tenons compte les incertitudes entachant les évaluations respectives des coûts privés et celle des coûts externes. En effet l’incertitude provient essentiellement des règles et des méthodes comptables utilisées par chaque entreprises (qui tendent à minimiser les coûts de production) et dans chaque pays. Donc l’addition des deux coûts nécessite une marge de précaution.
en termes d’évaluation des dommages, les résultats seraient fausser car risque de dépassement si on utilise le principe de précaution,si on utilise que des valeurs maximales de concentration des polluants.
En effet le traitement des rejets est beaucoup plus efficace sur un plan technique
pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites
décentralisés.
L’utilisation de valeurs moyennes empêche de montrer et de révéler les conséquences éventuelles et momentanées de certaines accumulations sur la santé et l’environnement. Néanmoins, pour renforcer la crédibilité les porteurs de ces études ont choisi les valeurs les plus élevés pour les dommages.
Cela serait le cas si on reprenait des valeurs maximales de concentration des polluants dans ces modèles.
Le traitement des rejets est beaucoup plus efficace sur un plan technique
pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites
décentralisés
La prise en compte de valeurs moyennes néglige les expositions élevées qui peuvent avoir un impact important en terme de santé.
Les résultats seraient supérieurs donc faussés.
Les résultats pourrait être trop extrêmes (élevés) si on retient les valeurs maximales de polluant.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluations des dommages parce que l’application du principe de précaution va rendre les résultats supérieurs.
La négligence de la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
il est difficiles de d’additionner les couts des differents polluants surtout en se basant sur les declarations des entreprises privees. d’autres en plus les couts extenes presentent des incertitudes tres marquees
Applicabilité du principe de précaution serait le moyen permettant de fausser les résultats.
Ils prennent pas en compte la possibilité d’accumulation momentanées et leurs conséquences sur la santé et l’environnement.
De ce fait on peut pas avoir des résultat fiable sur lesquels on peut se baser pour par exemple pouvoir évaluer les risques sanitaire de la pollutions.
Ils prennent pas en compte la possibilité d’accumulation momentanées et leurs conséquences sur la santé et l’environnement.
De ce fait on peut pas avoir des résultat fiable sur lesquels on peut se baser pour par exemple pouvoir évaluer les risques sanitaire de la pollutions.
L’utilisation de valeur moyenne pour caractériser le risque revient à minimiser le risque pour certains bassin et à le maximiser dans d’autres. Elle fait donc le pari d’une linéarité dans la relation entre le risque et le coût. Hors la modélisation pourrait être toute autre notamment de forme exponentielle. Entrainant une surestimation ou une sous estimation du risque suivant la répartition statistique de la moyenne.
L’évaluation des dommages suppose une valeur donnée à la vie humaine alors que l’étude ExternE adopte une valeur située plutôt dans le haut de l’intervalle des estimation disponible
L’évaluation des dommages suppose une valeur donnée à la vie humaine alors que l’étude ExternE adopte une valeur située plutôt dans le haut de l’intervalle des estimation disponible
Les résultats sont faussés par rapport à la difficulté de la mise en œuvre de la théorie. Le calcul des couts partiels pour avoir le cout global en constitue le défi. De plus, fixer un cout réel a la valeur de vie humaine reste ambiguë si l’on veut le faire surtout avec discrimination Zéro.
Cela peut fausser les résultats en termes l’évaluation des coûts externes ceci veut dire ne donne pas de valeur à la vie humaine.
Cela peut fausser les résultats en termes l’évaluation des coûts externes ceci dire donne des résultats très supérieure ,
Cela peut fausser les résultats en termes l’évaluation des coûts externes dans le sens qu’il n’existe pas de méthodes conventionnelles pour évaluer certains dommages, en occurrence la vie humaine. Donc chaque pollueur peut estimer la valeur d’une vie humaine selon son consentement à payer.
A cause de cela, il n’y a pas de possibilité d’évaluation des accumulations ponctuelles et momentanées et de leurs conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement.
Ce qui peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages, c’est le faite que ces études ont tenir compte seulement des valeurs moyennes pour la concentration des polluants en ne prenant pas les fortes concentrations qui causent aussi des dommages.
Ces limites négligent la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Néanmoins, il faut considérer la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages, ainsi le traitement des rejets est beaucoup plus efficace sur un plan technique pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites décentralisés. Ceci pourrait ainsi fausser l’évaluation des impacts des politiques de réduction des émissions polluantes.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages en terme des coûts, parce qu’il fait néglige la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Car les résultats seraient bien entendus supérieurs si l’on appliquait un principe de précaution, c’est-à-dire si on retenait des valeurs maximales de concentration des polluants (« à dire d’experts » par exemple) dans ces modèles.
Car avec l’application de principe de précaution, les résultats allaient être supérieurs avec les valeurs maximales des différents polluants.
La prise en compte de valeurs moyennes d’exposition épargne les expositions élevées et la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement, par conséquence sa peut entraîné une mauvaise estimation des dommages.
Si on prenait les valeurs maximales, les résultats seraient plus important avec un principe de précaution.
Cela fausse les résultats en termes d’évaluation des dommages dans la mesure ou cela peut créer des conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Déplus la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
Car cela conduit à négliger la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées des éventuelles
conséquences à la fois sur la santé et l’environnement.
Cela peut conduire à sous-estimer les dommages en occultant les couts générés par les pics de pollution / expositions aiguës qui sont difficiles à évaluer ex-ante, notamment en cas d’accident (exemple : explosion d’une usine, marée noire, etc.).
Néglige la possibilité d’accumulations ponctuelle et momentanées et leurs conséquences éventuelle a la fois sur la sante et l’environnement.
La prudence systématique des études, qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Néanmoins, il faut considérer la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Néanmoins, il faut considérer la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
la précaution et la prudences des études qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevé pour les dommage peuvent fausser les résultat en termes d’évaluation des dommages.
En termes d’évaluation des dommages, les résultats peuvent être biaisés en fonction de la posture méthodologique choisie. Dans le cas qui nous concenrne ici, l’application du simple principe de précaution suffit pour faire changer les résultats d’une telle évaluation.
l’intérêt mis sur les valeurs moyennes, disqualifie la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement
Ses limites pourraient fausser l’évaluation des impacts des dommages donc fausser les politiques de réduction des émissions polluantes, c’est pourquoi il faut prendre en considération le système de précaution avec des valeurs élevées des dommages pour pouvoir bien les traiter et les gérer.
cela peut fausser le résultat en terme d’évaluation des dommages car ce fait néglige la possibilité d’accumulation ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.néanmoins, il faut considérer la prudence systématique des études,qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages
Les valeurs moyennes d’une substance ne permettent pas de prendre en compte les pics qui dépasseraient les effets de seuil. Les impacts réels sur la biodiversité et la santé ne sont pas alors connus.
En plus de l’existence d’éléments qui renforcent la crédibilité des résultats d’ExternE, sa limite principale néglige également la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Cela peut fausser le résultat en terme d’évaluation des dommages car cela fait occulter les possibilités d’accumulations momentanées leurs effet à la fois sur la santé et l’environnement, cependant il faut considérer la prudence systématique des études,qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
Le fait de négliger l’accumulation ponctuelle et momentanée et l’effet que cela peut avoir sur la santé ne permet d’appréhender tous les contours des externalités donc des dommages .
en terme d’évaluation des dommages, cela peut de traduire par la négligence de la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement, mais en revanche une si on retenait les valeurs maximales des concentration des polluants on aura une surestimation.
En terme d’évaluation des dommages ce procédé relègue au second plan la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement ; en d’autres termes l’évaluation peut s’avérer incomplète.
En termes d’évaluations des dommages, les résultats peuvent être fausser dans la mesure où ils sont comparatifs et ayant pour but essentiellement la comparaison des coûts de plusieurs énergies
Elle néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement
Les études n’ont pas réussi a prendre en compte l’ensemble des dommages pour faire l’évaluation des externalités. Ce qui fait que l’étude demeure insuffisante.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages par une négligence d’acquérir des conséquences sur la santé et sur l’environnement. Et l’application du principe de précaution pourrait ajuster les résultats en conservant les valeurs de concentrations des polluants
Les résultats montrent des valeurs maximales de concentration des polluants et vont être supérieur que valeurs réelles et surestimeront probablement le risque
Les résultats des dommages seront faussés car l’étude utilise des valeurs moyennes pour
la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Or, il y’a une différence selon qu’il s’agit d’une exposition selon la concentration (aigus ou chronique).
C’est parce que ces études ont fait le choix répété des valeurs plus élevées pour le dommages.
Les limites qui proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition ; peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages, parce que ça engouffre l’éventuelle chance des tas diligents et provisoires, et leurs probables effets sur la santé et l’environnement.
L’évaluation des dommages sur la santé suppose une valeur donnée à la vie humaine. L’étude ExternE adopte une valeur située plutôt dans le haut de l’intervalle des estimations disponibles. Le traitement des rejets est beaucoup plus efficace sur un plan technique pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites décentralisés. Ceci pourrait ainsi fausser l’évaluation des impacts des politiques de réduction des émissions polluantes et achève une possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Les résultats publiés en 1998, on était modifier et ajuster méthodologiquement qui dénote des changements de valeur exact.
Parce que les résultats seront supérieurs lorsqu’on retiendra les valeurs maximales de concentration des polluants dans les modèles.
Cela peut fausser les résultats en terme d’évaluation des dommages par la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Cela pourrait fausser les résultats en terme d’évaluation des dommages car la possibilité d’accumulation ponctuelle momentanée et et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement sont négligées.
Outre l’existence d’éléments renforçant la crédibilité des résultats d’ExternE, sa limite principale néglige également la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Les résultats en termes d’évaluation des dommages peuvent fausser par le biais de méthodes de substitution utilisé pour déterminer les coûts externes. Puisque ces méthodes des dommages utilisés pour l’évaluation des coûts de CO2 ne sont pas prouvées de manière fiable.
Si c’est les valeurs maximales qui sont prit en considération, ceci impactera le prix statistique de la vie humaine calculé , et sera revu a la hausse , mais on obtiendra une valeur proche de la réalité.
Tout ce qui peut fausser le résultat en termes d’évaluation des dommages se résulte dans l’étude des valeurs moyennes sans la prise en compte des effets provoqués par des pics de polluants. L’effet de cette transformation dans l’environnement sous estimé par ces résultats est généralement porteur de pathologie.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages car cela néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Ces valeurs moyennes ne prennent pas en compte les pics de valeurs (effets et prise en charge différentes que des valeurs moyennes)
En termes d’évaluation des dommages, l’utilisation de valeurs moyennes peut fausser les résultats car elle ne va pas prendre en compte les dommages causés à l’environnement et à l’homme par les pics de pollution.
Cette limite d’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants peut avoir un impact en termes d’évaluation des dommages. En effet, ce choix n’est pas sans conséquence puisqu’il peut engendrer la négligence d’une possible accumulation de nature momentanée ou ponctuelle. Ce sont ces potentielles conséquences sur l’environnement ou la santé qui viennent alors fausser les résultats dans le cadre de l’évaluation de dommages.
Si c’est les valeurs maximales qui sont prit en considération, ceci impactera le prix statistique de la vie humaine calculé , et sera revu a la hausse , mais on obtiendra une valeur proche de la réalité.
L’utilisation de moyenne ne permet pas la prise en compte d’éventuelles accumulations ponctuelles et momentanées (par exemple lors d’un accident nucléaire). Il n’y a donc pas de possibilités d’étudier les effets de ces augmentations de concentrations sur l’environnement et la santé.
L’exposition à un polluant n’est pas linéaire. En utilisant des valeurs moyennes, on néglige une exposition aigue et/ou plus importante ("la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées") et donc ses possibles conséquences sur la santé comme l’environnement
L’exposition à un polluant n’est pas linéaire. En utilisant des valeurs moyennes, on néglige une exposition aigue et/ou plus importante ("la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées") et donc ses possibles conséquences sur la santé comme l’environnement
des conséquences suite à l’application de la prudence systémique des études avec un choix répété des valeurs maximales
Les résultats en termes d’évaluation des dommages peuvent fausser dans le sens où les externalités positives ne sont pas considérées par les deux études. De coup, les résultats seraient supérieur en cas d’application un principe de préoccupation, cela dit si on retenait des valeurs maximale de concentration de polluant dans le modèle par exemple.
Etant donnée que l’étude ExternE est une étude comparative, lors de l’évaluation des dommages, utiliser la moyenne peut causer une surestimation ou bien une sous-estimation de ces présumer dommages.
L’utilisation des valeurs moyennes peut aboutir a des résultats très élevés ce qui permet de fausser le processus d’évaluation des dommage.
En termes d’évaluation de dommages, cela peut fausser les résultats, car on ne tient pas compte de la valeur maximale de concentration de polluants. Les résultats seraient superieures avec le principe de précaution.
oui car il néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement .
oui car il néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement .
Si on applique le principe de précaution les résultats seraient supérieurs, c’est-à-dire si on retenait des valeurs maximales de concentration des polluants dans ces modèles.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
L’utilisation de valeurs moyennes peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages car elle néglige la possibilité d’accumulation (ponctuelles ou momentanées) et leurs conséquences éventuelles a la fois sur la santé et l’environnement.
Le fait d’utiliser des mesures imprécises de la relation entre le niveau de pollution et l’ampleur des impacts de chaque facteur de risque implique nécessairement des résultats faussés. De plus, cette démarche exclut la multiplicité des expositions et de fait la multiplicité des impacts (bien que les connaissances scientifiques soient encore limitées sur le sujet de l’exposition cumulée)
De ce fait, la "mesure" des dommages est également faussée. Ce qui induit de fausser le résultat de la valorisation monétaire
Cette mesure du niveau d’exposition est essentielle pour estimer les risques pour la santé (perte ou avantages) et les effets pour l’environnement
pas de prise en compte des possibilites d’accumulations
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Les valeurs moyennes de polluants peuvent fausser l’évaluation des dommages selon la relation dose-réponse. Si le principe de précaution était appliqué, les résultats seraient bien supérieurs. Il est ainsi nécessaire que la valeur moyenne du polluant soit la valeur réellement émise.
Le fait d’utiliser des valeurs moyennes " néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement." Cf. pag. 340
Ceci pourrait fausser l’évaluation des impacts des politiques de réduction des émissions polluantes.
elle ne prends pas en compte tout les couts externes associés a une sources d’énérgie ; cela peut conduire à une sous estimations ou une surestimation des couts externes associés a une source d’énérgie donnée .
cela peut ne pas refeleter la réalité
Cela peut fausser les résultats car l’étude néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences sur la santé et l’environnement. Il faut donc avoir un intervalle de confiance ou appliquer le principe de précaution pour que les résultats soient crédibles.
L’utilisation de valeurs moyennes peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages car elle ne permet pas de déterminer la valeur maximale d’un polluant (immédiat ou transitoire) pouvant avoir avoir des conséquences possibles tant pour la santé que pour l’environnement..
Ces résultats peuvent faussés en termes d’évaluation des dommages car les dommages sont calculés sur la base des valeurs de concentration les plus élevées mais sans tenir en compte des dommages liés aux accumulations ponctuelles et momentanées des polluants et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
L’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants va fausser les résultats en terme d’évaluation des dommages, car ces valeurs font négliger les possibilités d’accumulations ponctuelles ou momentanées ainsi que leurs effets sur la santé et l’environnement d’où l’utilisation du principe de précaution en choisissant les valeurs les plus élevées pour les dommages.
Ce fait néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages en négligeant la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles sur la santé et sur l’environnement .
Néanmoins, il faut considérer la prudence systématique des études qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
Cela peut fausser les résultats en termes d’évaluation des dommages en négligeant la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et leurs conséquences éventuelles sur la santé et sur l’environnement .
Néanmoins, il faut considérer la prudence systématique des études qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.
car on ne prenait pas en compte les valeurs maximales de concentrations des polluants. les valeurs pourraient donc être plus élever dans cas du principe de précaution
Cela peut fausser les résultats si l’on ne retenait que les valeurs maximales de concentration des polluants dans ces modèles.
Ses limites proviennent principalement de l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.