disparités des résultats dans l’estimation de la valeur de la vie humaine_rapport parlementaire_question 2_TD2

- dans le cas d’une étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute, les salaires doivent être « convertis » non seulement dans une monnaie commune (en utilisant les taux de change) pour effectuer les comparaisons entre pays (comme c’est le cas dans ce tableau), mais également en termes de « parité de pouvoir d’achat ». (cf. Eurostat : « les taux de change sont déterminés par de nombreux facteurs liés à l’offre et à la demande sur les marchés des changes, tels que le commerce international et les écarts entre les taux d’intérêt. En d’autres termes, les taux de change reflètent généralement d’autres éléments que les seules différences de prix. Afin de parvenir à une pure comparaison de volumes, il est essentiel de recourir à des facteurs de conversion spécifiques (déflateurs spatiaux) qui éliminent les effets des écarts de prix entre pays. Les parités de pouvoir d’achat (PPA) sont des taux de conversion des monnaies : elles transforment les indicateurs économiques exprimés en monnaie nationale en une monnaie commune fictive, appelée « standard de pouvoir d’achat » (SPA), qui égalise les pouvoirs d’achat des différentes monnaies nationales. »). Ce n’est pas le cas dans ce tableau comparatif... à ce sujet, l’étude menée par Alberini, Cooper et al., (cf. article « evaluer effets sur la sante pollution atmospherique dans le spays développés ») insiste bien, en introduction (« contexte et objectifs de l’étude », p.11) sur le fait qu’ « en général, les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis. Or, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. L’évaluation contingente étudiée ici se situe dans ce cadre. L’objet de cette étude est d’évaluer les bénéfices de la prévention de maladies respiratoires liées à la pollution de l’air » ;

- même si on retrouve, souvent dans les pays développés, à peu près la même distribution des revenus dans la société, on sait qu’un des biais (en dehors du biais dû au fait qu’on ne traduise pas les disponibilités à payer en PPA, voir ci-dessus) réside dans le fait qu’en moyenne, plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte. Les personnes les plus pauvres ne peuvent souvent se payer que les biens et services les plus élémentaires, et accepter de payer pour se prémunir contre un risque dû à une pollution est d’autant plus faible que la probabilité d’occurrence l’est également. Pour les personnes ayant des revenus supérieurs, même si la probabilité d’occurrence est faible, ils peuvent se servir du revenu qu’ils leur reste (en général encore important) après la consommation des biens et services les plus élémentaires pour se prémunir contre ce risque.

Dans le tableau (p.353) : « Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine », pour quelle raison d’ordre non méthodologique et liée aux pays étudiés eux-mêmes existe-t-il de telles disparités dans les résultats ? (attention, il y a deux raisons principales dont une que vous pourrez retrouver dans l’article d’Alberini, Cooper et al.)

Explicitez.

233 Messages de forum

  • Le niveau de développement des différents pays sera à prendre en considération. Effectivement le niveau de vie va varier et donc "la valeur de l’argent" va varier aussi entrainant des estimations différentes. Même si la recherche d’une unité unique sera évidente pour effectuer les comparaisons, l’utilisation d’ajustement pour aboutir à cette unité unique pourra amplifier certaines distorsions.

    De plus, qui dit pays différents dit aussi habitudes, religions, cultures, modes de vie et donc manière de voir la vie et le valeur de la vie différemment. Il n’y a pas de raisons fondées permettant de penser que le point de vue d’habitants de pays nordiques, celui d’habitants de pays méditerranéens et celui d’américains par exemple soient comparables.

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  • Même si les pays mentionnés dans le tableau sont tous des pays développés, le niveau de développement n’y est pas identique, d’autres paramètres propres à chaque pays influent probablement sur les résultats comme des facteurs culturels, le niveau des salaires, le niveau de pollution ou sa perception par les répondants, éventuellement le recours à une monnaie commune pour exprimer les résultats qui pourrait éventuellement créer une distorsion entre les pays.

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  • raisons d’ordre non méthodologique et liées aux pays étudiés :
    - le niveau de développement du pays
    - les préférences de chaque pays.
    En effet, un pays développé mettra facilement plus de moyen pour assurer la santé de sa population, mais au même moment, suivant les besoin de chaque pays, on peut observer ds orientations différentes dans le gestion de la valeur humaine.

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  • D’une part parce que les revenus différent selon les pays et d’autre part car les préférences peuvent varier entre les pays.

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  • Le premier paramètre est le niveau de développement du pays considéré et le deuxième de la méthode utilisée ( consentement a payer et /ou la méthode des couts et pertes de production)

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  • Il s’agit du niveau de développement et des préférences des individus dans le pays considéré. En effet, plus un pays est développé, plus le niveau de vie est élevé et la capacité à payer pour un environnement sain importante. Les pays sous développés œuvreront aussi pour la protection de l’environnement mais leur optimum de pollution ne sera pas le même que pour les pays développés car ils ont d’autres priorités : la famine, les guerres, le sida.....

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  • 1- Chaque pays a un niveau de développement qui lui est propre donc une valeur monétaire qui diffère des autres pays. Obtenir une valeur unique et juste en tant que valeur statistique de la vie devient plus difficile.

    2- En plus de la différence de développement, il y a aussi le niveau de vie de la population de chaque pays. Même s’il s’agit de pays dévellopés, chacun diffère dans sa culture, sa classe sociale, sa facon de vivre et son environnement. Selon les études, plus la population a un revenu élevé, plus elle accorde un CAP supérieur pour ne pas tomber malade.

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  • * Les préférences des pays : un pays qui accorde plus de poids à la santé et qui est développé mettra des moyens énormes en jeu dans le domaine de la santé. De l’autre côté, un autre pays aussi développé que le premier pourra ne pas accorder la même importance à santé, et tout ceci entrainera des disparités.
    * le niveau de développement de chaque pays. Il influence les domaines d’action de chaque pays, car un pays pauvre ne pourra pas accorder la même importance dans le domaine de la santé alors que les ressources financières ne le permettent pas. Cas des pays sous développés surtout.

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  • - Une des raisons non méthodologique expliquant la disparité dans les résultats est liée au niveau de
    développement du pays. En effet, plus le pays est développé plus le revenu par tête est élevé et plus
    partant, les pertes liées à une journées non travaillée en raison d’une maladie sont plus élevées que
    dans le cas d’un pays moins développé. Ceci justifie donc la disparité des résultats suivant le pays.

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  • Les 2 raisons d’ordre non méthodologiques sont :
    - des différences de niveau de développement des pays considérés (la perte de production due au décès d’un américain est supérieure à la perte de production d’un portugais).
    - le niveau de revenus et de formation de la personne interrogée.

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  • dans la raison d’ordre non méthodologique qui est la deuxième catégorie d’évaluations correspond à un point de vue individuel et subjectif où des personnes interrogées expriment un point de vue, lui-même entaché d’artefact.

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  • Il s’agit des imperfections de la connaissance des revenus par âge et des espérances de vie par classe d’âge, le choix du taux d’actualisation est d’une grande importance.

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  • La disparité des résultats en général dans le tableau pourrait être assimilée au fait que les travaux ont été menés dans des pays et régions différents. Ceci implique des niveaux de vie différents, des cultures, habitudes et pratiques différentes, etc. On n’attache pas les mêmes valeurs à la vie humaine dans toutes les communautés.

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  • Les raisons d’ordre non méthodologique et liée aux pays étudiés montrant les disparités dans les résultats expliquent
    • Selon qu’on est pris le nombre médian de jours de durée de maladies ou la durée moyenne
    • Selon le type de maladies pris en compte

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  • Le développement d’un pays indique bien le niveau social de la population, et le pouvoir d’achat est caractéristique au pays lui-même qui est reflété par le salaire ; donc pour comparer il faut donner le même salaire ou le convertir pour égaliser les pouvoirs d’achat ceci donnera une meilleure comparaison entre pays. Prenant par exemple, le SMIG en France, si on le convertit en monnaie local d’un pays en développement, c’est l’équivalent d’un salaire d’un fonctionnaire de très haut niveau. On ne peut ramener les résultats d’étude faites dans un pays développé à un pays en voie de développement, les études doivent se réaliser dans les pays eux même car seuls les habitants sont capables de classer leurs préférences en ordre de priorité.

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  • c’est dû au niveau de développement du pays, on peut également parler de la non connaissance des revenus par âge et des espérances de vie par classe d’âge. Chaque pays possèdes des caractéristiques qui lui son propre c’est pourquoi il est souvent mieux de contextualiser les études et méthodes utilisées

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  • - La première raison est le niveau de développement du pays considéré. Entre le Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la "valeur" de la vie humaine est de 1 à 20. Les différences de niveau de revenus qui diffèrent selon les pays étudiés entrainent des estimations de la valeur de la vie plus élevés que dans les pays où le niveau de vie et de revenus n’est pas très élevé. Plus le niveau de revenu est grand plus l’estimation de la valeur statistique de la vie est élevée.

    - La deuxième raison est le lieu de résidence par rapport à une zone polluée. Les personnes qui vivent loin des pays pollués sont plus conscient des conséquences d’une incapacités due à la pollution que ceux qui vivent à proximité ou dans ces derniers. Le fait de vivre près d’un danger conduit à s’y habiter et à la fin d’en ignorer les effets ou les conséquences alors que l’observation à distance de phénomènes de pollution aident à prendre conscience des effet que l’on peut subir sur les survenues d’incapacité ou de maladies dues à cette pollution. C’est cela qui entraine une estimation plus élevée de la valeur statistique de la vie.

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  • Une telle disparité peut s’expliquer par plusieurs raisons :
    - Comme expliqué dans le document (Alberini, Cropper et al.), le consentement à payer croit avec le niveau de formation et le revenu de la personne interviewée : plus l’individu est instruite , plus elle est disposée à payer pour éviter la maladie, pour des raison économiques( perte de l’emploi, perte du salaire), et plus le revenu est élevé, plus l’individu est prêt à payer une somme plus ou moins forte.
    - la deuxième raison est le niveau de développement du pays ou l’étude est menée, car alors que l’estimation de la valeur de la vie humaine est comprise entre 1 et 20, dans d’autres pays ce serait différent.

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  • l’estimation de la valeur statique de la vie est différent dans les pays riches par rapport aux pays en voie de developpement. la capacité social à payer pour bénéficier d’un bien être est donc les pays e fonction de leur richesse.

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  • Cela tient :
    - au niveau de développement des pays considérés ; la valeur de la vie humaine ne sera pas la même dans un pays développé que dans un pays en voie de développement

    - cela tient également au niveau de revenu, au niveau des prix , aux caractéristiques individuelles et à la nature et à la durée des affections considérées (maladies aigües ou chroniques) ainsi qu’aux taux d’actualisations retenus

    De façon générale les contextes de chaque pays sont différents, par exemple les types de prise en charges médicales, les coûts des soins, les assurances, la répartition des types de métiers (industriels, ruraux, tertiaires etc..) etc....donc les composants des coûts externes considérés vont différer.

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  • Les raisons d’ordre non méthodologique et liées aux pays étudiés eux-mêmes qui expliquent ces disparités sont entre autres :
    -  Le niveau de développement du pays
    -  La perception de la valeur de la vie par les différentes populations

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  • Raisons d’ordre NON méthodologique expliquant la disparité des résultats entre pays :

    - le niveau de développement et le PIB des pays concernés : plus des pays sont riches, plus la valeur de la vie humaine est élevée, notamment visibles au niveau des résultats obtenus par estimation du CAP. On peut sans doute supposer que plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte

    - les aspects socio-psychologiques : il existe sans doute des freins à donner une valeur à la vie humaine

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  • Premièrement nous avons le niveau de developpement à considerer entre pays et à l’interieur du même pays qui etablie des disparités dans la perception du risque, disparités liées à l’education, au niveau de revenu, à la vie citadine.la deuxième raison est cette subjectivité individuelle liées à la perception des risques.

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  • le niveau de développement du pays considéré et le niveau de revenu des habitants. ces deux facteurs influencent la capacités des habitants à accepter un CAP ou non.

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  • Cette méthode souffre la critique d’être fondée sur une notion de risque accepté plutôt que sur un risque imposé, de concerner des populations qui ne sont pas toujours représentatives de la population globale et de faire intervenir de près ou de loin des rapports de force sur un marché rarement parfait.

    Ceci est dû au niveau de développement du pays considéré. Entre le Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20
    Aussi les populations des ces pays n’ont pas les mêmes politiques et préoccupations

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  • Les raisons d’ordre non méthodologique et liées aux pays étudiés : - le niveau de développement du pays - les préférences de chaque pays. En effet, un pays développé mettra facilement plus de moyen pour assurer la santé de sa population, mais au même moment, suivant les besoin de chaque pays, on peut observer des orientations différentes dans le gestion de la valeur humaine.

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  • La première raison de cette disparité d’ordre non méthodologique liée au pays est bien la population et la monnaie. En ce focalisant une monnaie comme le livre sterling, le passage dans un autre pays peut donner une valeur de la vie qui est d’une grande importance sans pour autant l’être.
    En passant du Livre Sterling au Franc Francais ont aura une valeur importante de la vie humaine en France du fait que la Livre Sterling est plus fort que le Franc Francais.

    la deuxieme raison est les préférences individuelles caractérisées par l’éclairage sur les aspirations de l’opinion publique à l’égard de la valeur de la vie humaine. Elles permettent de dessiner les caractéristiques individuelles et les contraintes budgétaires pour chaque pays.
    A titre d’exemple, les estimations du coût des maladies, des accidents et des atteintes à l’environnement sont largement utilisées aux États-Unis pour connaître l’importance de leurs conséquences économiques et la part de chaque mal social dans le coût total des actions de prévention et de traitement.

    L’avantage social qui résulte de la prolongation d’une vie humaine comprend une
    valeur économique mesurée par la contribution de l’individu au PNB ; une valeur
    personnelle correspondant à l’appréciation de la vie vécue par soi-même ; une valeur
    affective correspondant à l’appréciation de la vie vécue par autrui.

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  • Premierement, le niveau de developement de pays et son richesse et deuxiemement des caracterestiques indiviuelles (classe sociale et economique, pathologies developpes, cout d’arret de travail, securite sociale presente ou pas...)

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  • Les principales raisons sont les suivantes :

    - les pays ont des niveaux de développement différents, de ce fait les revenus espérés pendant le reste de la vie sont différents (plus élevés dans un pays plus développé)

    - Le "profil" de la population peut varier d’un pays à l’autre : répartition des populations urbaines et rurales, niveau d’étude, répartition par classe d’age ... ; ajouté à des différences culturelles qui font que la valeur donnée à la vie humaine (qui est subjective) va varier d’une population à l’autre.

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  • Les disparités sont en partie liés à des facteurs socio-culturels. La valeur d’une vie n’est pas estimée de la même manière partout dans le monde, elle peut être évaluée différemment suivant le niveau d’éducation, l’âge, le niveau de revenu de la personne et dans les pays développés, le CAP s’avère beaucoup plus important. Des considérations culturelles, par rapport à la valeur attachée à la vie humaine, à la vision aussi de la mort, peuvent influencer les résultats.

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  • - Le niveau de développement du pays
    - Le niveau de vie de la population
    Plus le pays est riche plus il est prêt à payer beaucoup

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  • Raison d’ordre non méthodologique :

    • Situation hypothétique

    • Format de révélation choisie

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  • La divergence des résultats peut être un obstacle important au bon déroulement des négociations internationales. Les valeurs de référence de la vie humaine suivent une loi de probabilités « logarithme normale ».

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  • Il n’existe pas de disparités dans les résultats car l’évaluation humaine est élaborée par les Etats ou les secteurs économiques. L’évaluation institutionnelle correspond à un point de vue extérieur à la personne humaine,elle-même considérée comme un agent économique tandis que la seconde évaluation correspond à un point de vue individuel et subjectif ou des personnes interrogées expriment un point de vue,lui entaché d’interfact.
    L’estimation institutionnelle correspond à des pertes productives ou l’individu est considéré dans sa seule dimension d’agent économique,sa contribution productive étant représenté par les revenus du moment tandis que l’évaluation institutionnelle est celui de la disponibilité sociale à payer que l’on considère comme l’estimation sociale consensuelle.
    Dans l’étude du tableau de la page 353, nous apercevons réellement que le paramètre considéré dans cette étude est le niveau du développement du pays considéré tandis le second paramètre utilisé es celui de la méthode utilisé avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production brut et celui obtenu par la disponibilité à payer.
    Ces disparités peuvent être un obstacle important au bon déroulement des négociations internationales.

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  • La raison d’ordre non méthodologique et liée aux pays étudiés eux-mêmes permettant d’expliquer ces disparités est le niveau de développement du pays considérés. En plus, les préférences dans les pays en developpement peuvent ne pas être les mêmes que celles des pays developpés.

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  • Les raisons d’ordre non méthodologique qui suscitent de tels résultats sont :

    - le niveau de développement du pays considéré
    Les pays développés auront des estimations plus élevées de la valeur statistique de la vie humaine que les pays en voie de développement à cause du niveau de vie des habitants et du revenu de ceux-ci.
    - la prise de conscience des différents états, eu égard aux répercussions environnementales et sanitaires
    Certains états s’alarment quant à la dégradation avancée de l’environnement et prévoient de plus en plus des politiques respectueuses de l’environnement (pays de l’union européenne)alors que d’autres font fi de cela (Chine, par exemple).

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  • De plus, ces méthodes reposent sur des variables de revenus (méthode des pertes productives) ou de disponibilité sociale à payer, qui dépendent donc à la fois du niveau de développement et des caractéristiques socio-culturelles, ceux-ci étant très variables entre les différents pays

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  • - pour des raisons de compensation salariale
    - l’autre raison est la différence qui existe entre des individus ayant bénéficié de plus de formation , ayant plus de revenus et habitant de grandes villes et ceux n’en bénéficiant pas.

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  • Les disparités entre les pays étudiées peuvent s’expliquer par plusieurs raisons :
    - Le niveau de développement du pays qui influence le coup de la vie et donc les niveau de revenu ;
    - La prise en charge de la dimension qui peut être différent d’un pays à l’autre ;
    - Les niveaux de pollution.

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  • LES raisons principales sont que l’analyse n’est pas effectuée sur les memes bases de données

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  • la principale rqison est le niveau de developpement des pays consideres

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  • le niveau de développement du pays.
    Entre le Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humain est de 1 à 20 pays considéré.

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  • Il existe de disparités existe d’ordre non méthodologique dans les résultats à cause :
    - du niveau de développement des pays considérés
    - des imperfections de la connaissance des revenus par âge et des espérance de vie par classe d’âge.

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  • a valeur statistique de la vie humaine, par définition, n’est pas la même dans chaque pays et dépend sur plusieurs paramètres. (niveau de vie, avantages sociaux, etc)

    il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient
    identiques à celles des Etats-Unis

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  • il existe de telles disparitées car il y a des différences de développement entre les pays, par exemple dans le cas de l’étude par les couts et pertes de productivité, la valeur sera automatiquement plus importante car l’impact économique n’est forcément pas le meme entre un pays développé et un moins développé. la 2nd raison est la relation entre croissance économique et protection de l’environnement.
    Des disparitées sont évidentes entre pays développés et pays moins développés, quel place sont ils prets à accorder à la protection de l’environnement pour préserver une vie humaine, une vie humaine sauvée qui réduirait la perte de productivité.

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  • La disparité des résultats peut être imputée à la différence entre le niveau de revenu des pays étudiés.

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  • L’une des raisons est le niveau de développement du pays considéré. Entre le
    Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de
    la vie humaine est de 1 à 20.
    L’autre étant la valeur culturelle accordée à la vie dans chaque pays à l’histoire différente.

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  • d’abord le niveau de développement du pays considéré. Par exemple entre le Portugal et la France, le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20.
    la deuxième raison est que les préférences entre les pays ne sont pas identiques

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  • Les disparités observées non méthodologiques sont dues :
    1. au niveau de développement du pays
    2. aux préférences des populations des pays qui ne sont pas identiques

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  • De façon général je pense que les raison des telles disparités au sein d’un même pays correspondent aux caractéristiques propres à chaque individu de la population, notamment les aspects socio-économiques (niveau), sanitaires (lié à la maladie : type, durée) et psychologiques (appréciation et/ou information) pouvant influencer l’estimation de la valeur statistique de la vie humaine, indépendamment de la méthode utilisée.

    Celles pouvant être trouvées dans les articles mais pas très clairement donc doute s’il s’agit de deux cherchés : niveau de développement ; et au type de maladie duquel dépend la durée de son épisode.

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  • 1- Les niveaux de développement du pays considéré ne sont pas les mêmes et

    2-

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  • la première est le niveau du developpement de pays considéré,la deuxième paramètre est celui de la methode utilisée avec une diference considérable entre le resultat calculé par la methode des couts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer

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  • Les raisons d’ordre non méthodologique et liée aux pays étudiés eux-mêmes expliquant de telles disparités dans les résultats sont les suivantes :

    - Pour la méthode de Disponibilité à Payer : Dans le cadre de cette méthode, différents biais existent, le principal étant lié au niveau du revenu (article d’Alberini, Cooper et al.) et au niveau de formation. Il y a aussi un aspect culturel qui est très important et qui peut expliquer certains écarts.

    - Pour la méthode des coûts et pertes de production bruts : Le biais principal est lié à la difficulté de comparer des pays avec des pouvoirs d’achat très différents (la monnaie locale ayant déjà été transformée en Ecu). Il faudrait donc en tenir compte dans les comparaisons, ce qui n’est pas le cas ici.

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  • la raison d’ordre non méthodologique qui est liée aux pays étudiés eux-mêmes et qui explique les disparités des résultats est le niveau du développemnt du pays consideré.le bénéfice social peut également constituer une seconde raison (article d’Alberini,Cooper et al.)

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  • Les ordres d’ordre "non méthodologique" liées aux pays étudiés eux-mêmes qui conditionnent de telles disparités sont :
    - Le niveau de développement du pays considéré s’en une raison. Entre le Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20.
    - Le deuxième point peut-être les questions socio-économiques des ménages afin de déterminer la fonction de consentement à payer. Les grandes disparités observées au niveau des revenus des ménages dans un pays même voir dans différents pays font que, tous les individus ne sont pas tous disposer à payer de la même manière pour le même objet.

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  • Les raisons d’ordre non méthodologique aux disparités des résultats sont :
    -  Le niveau de développement du pays considéré
    -  Les différences de préférences des pays en développement face à la protection de l’environnement et la croissance économique
    Les estimations institutionnelles de la valeur de la vie pour un pays développé devraient être plus élevées par rapport à celle des pays en développement. De plus, les priorités mêmes des pays en développement ne sont pas similaires à celles des pays développés quant à l’arbitrage entre protection de l’environnement et la croissance économique.

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  • Comparer l’estimation de la valeur de la vie entre pays pose bien entendu certain biais.
    En effet, aussi bien sur la méthode dites de "comportement réel" que la contingente, chaque pays trouvera des résultats différents qui faudra corriger si l’on souhaite les comparer.
    Tout d’abords, parceque les salaires , les niveaux de vie , la monaie est différentes dans chaque pays. Aussi, la méthodes de "risque/salaires" et de consommation est faussé suivant que l’on vive dans un pays très riche avec des salaires moyen forts, ou dans un pays en developpement avec des salaires plus faibles. Il est donc indispensable de ramener les chiffres, non seulement a une monaie commune (en faisant attention aux taux de changes) mais aussi en les ponderant par "niveau de vie"
    ENfin, pour la méthode dites "contingente", il semble evident qu’une personne "riche" aura tendance à être capable de donner plus, qu’une personne "pauvre" qui peine à satisfaire ses besoins primaires.

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  • Les deux raisons sont :
    - le niveau de développement du du pays considéré
    - le transfert fictif de ressources au profit de certains pays afin de rapprocher les valeurs de la vie humaine dans ces pays de celles déjà utilisées dans d’autres pays

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  • Avec la même methode de coûts et pertes de production brut, la valeur statistique de la vie humaine des Americains (441 milliers d’Ecu) est plus élevée que celle des Portugais (12,5milliers d’Ecu).
    La première raison est basée sur le niveau de vie des population. Les personnes ayant un revenu conséquent ont beaucoup plus à perdre lors des maladies (nombre de jours d’innactivité) par rapport aux personnes de modeste revenu.
    La seconde raison est basée sur la localisation géographique. Il est evident que les personnes qui ont l’habitude de vivre la polllution tous les jours sont prêtes à payer plus pour s’en débarrasser connaissant des effets qu’elle cause (USA) par rapport à ceux qui n’ont pas une grande idée dessus.

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  • La disparite des resultats se trouve a cause de difference de revenues dans chaque pays due aux valeurs monetaires et le niveau economique du pays et par consequence le consentement a payer auquel le travailleur est pret a le payer selon son revenue se differe dans les pays developpes par rapport a celui qui se trouve dans les pays en voie de developpement.

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  • 1- Dans l’article d’Alberini, Cooper et al, nous lisons que les analystes en général transfèrent les valeurs trouvées aux Etats-Unis. Or, tels que les auteurs le soulignent, il n’y a pas de raison à priori que les préférences des autres personnes soient identiques à celles des Etats-Unis. Chaque pays, en fonction de ses réalités doit avoir ses préférences et priorités.

    2- Les disparités observées liées aux pays se rapportent au niveau de développement des pays concernés. La distribution des revenus n’est jamais équitable. Du coup, les personnes ayant des revenus élevés auront une plus grande disponibilité à payer que les personnes à revenus plus faibles. Ces dernières ne se limiteront qu’à la satisfaction des besoins les plus essentiels.

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  • • Le niveau de développement du pays
    • L’absence d’un scenario précis avec des mesures permettant d’expliquer la manière dont les maladies seraient évitées, ou d’un véhicule de paiement faisant le lien entre une instance et la mise en œuvre d’un programme, peut troubler les répondants et les placer dans une situation particulièrement hypothétique.

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  • Les pays étudiés ne sont pas de même niveau socio-éconoàmique. En général, les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis. Or, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis

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  • Les raisons d’ordre non méthodologique qui pourraient expliquer cette disparité dans les résultats, peuvent s’expliquer de deux façons.
    - La différence de revenus et de formation peut expliquer ce fait. En effet, dans les pays développés la population a plus facilement accès à l’éducation donc à un niveau d’instruction plus important. Il s’ensuit, par conséquent, un niveau de vie qui sera plus élevé et donc une tendance à payer plus pour conserver leur état de santé.
    Dans les pays moins développés, au niveau de vie plus bas, les individus auront tendance à apporter moins d’importance aux questions de santé et à privilégier plutôt les dépenses indispensables au quotidien.
    - Le deuxième élément qui pourrait expliquer cette disparité repose sur les différences de croissance économique entre les pays et sur les préférences individuelles qui ne vont pas être les mêmes pour chaque pays. En règle générale, les analystes appliquent les valeurs trouvées aux États-Unis, aux autres pays, mais ceci entraine un biais important car rien ne laisse présager que les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des États-Unis.

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  • La première raison de cette disparité d’ordre non méthodologique liée au développement du pays. Effectivement le niveau de vie va varier et donc "la valeur de l’argent" va varier aussi entrainant des estimations différentes. Dans ce genre d’étude, les salaires doivent être convertis non seulement dans une monnaie commune (en utilisant les taux de change) pour effectuer les comparaisons entre pays mais en terme de parité de pouvoir d’achat ce qui permet de transformer les indicateurs économiques exprimés en monnaie nationale en une monnaie commune fictive, appelée standard de pouvoir d’achat (SPA), qui égalise les pouvoirs d’achat des différentes monnaies nationales.
    Dans l’étude de Alberini, Cooper et al.,. les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. L’évaluation contingente étudiée ici se situe dans ce cadre. L’objet de cette étude est d’évaluer les bénéfices de la prévention de maladies respiratoires liées à la pollution de l’air.
    L’autre raison est la différence qui existe entre des individus, plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte.

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  • Les raisons d’ordre non methodolique et liées au pays étudiés sont :
    - le niveau de développement du pays considéré.Etant donné que la valeur statistique de la vie humaine un individu est perçu à travers des structures comme les compagnies d’assurance et les compagnies aériennes il ya lieu de se poser la question de savoir quel vision auront ces compagies des individus qui ne peuvent souscrire une police d’assurance ou alors s’offrir un billet d’avion par exemple ?Ces individus ont bien des valeur statistique ou pas ?
    - Les réglémentations en vigueur ou les lois étatiques qui existent dans les pays étudiés et qui sont différentes d’un pays à un autres.La disparités des réglémentations en vigueur dans les pays et entre les différents pays étudiés peut aussi expliquer la disparités des résultats obtenus .

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    • L’estimation de la valeur de la vie humaine est relative si nous nous en tenons à des grandeurs statistiques tels que le PIB, le revenu national etc.
      cela tient bien compte de l’environnement qui renferme les ressources naturelles qui constituent la sources de richesse d’une nation donc des êtres humains.le niveau de vie de tout un chacun va découler donc du niveau d’ensemble de son milieu.La vie humaine n’a donc pas de valeur absolue sinon que celle ci est déterminée de façon subjective en se basant sur les comportements je veux dire le mode de vie.En somme la vie humaine n’a pas de valeur puisque le mode de vie peut varier d’un instant tn à un instant tn+1 ce qui explique la disparité des résultats dans l’estimation de la valeur de la vie humaine.

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  • Ces disparités peuvent être expliquée en fonction de lieu de résidence et de niveau de formation.

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  • On remarque des disparités dans les valeurs de Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine due principalement au niveau de vie existe dans les différentes pays d’un part et d’autre part au l’estimation de rendement économique des travailleurs convertir à une valeur monétaire. Doit être plus élève dans les pays développé comme l’Allemagne, ou on peu constaté le rendement élevé d’un travailleur par apport à un travailleur portugais par exemple. Cette différence à son émergence sur l’estimation de valeur statistique de la vie humaine.

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  • Les resultants se different selon le developpement de pays au niveau economique et demographique et les diversites de risque de maladie qui sone modifies selon les caracteristiques geographiques et en plus selon les strategies utilisees dans la gestion des risques

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  • Les disparités d’ordre non méthodologique liées aux pays étudiés sont dues au niveau de développement du pays considéré. Par exemple entre le Portugal et la France, le rapport des estimations de la valeur de la vie humaine est de 1 à 20. En effet, dans les années 90, la monnaie unique n’existait pas encore en Europe raison pour laquelle le niveau de développement des pays dans l’espace européen n’était pas le même donc évidement les facteurs salaires et emplois ne pouvaient être equivalent entre deux pays ce qui explique les différences notés entre coûts et pertes de productions brut entre le Portugal et l’Allemagne.
    La deuxième raison (se trouvant dans l’article d’Alberini, Cooper et al.) indique les différences à prendre en considération dans les études effectuées dans les pays en voie de développement car les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays.

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  • Les disparités sont dues :
    - au niveau de développement du pays considéré. Entre le Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20.
    - Problème d’arbitrage entre la protection de l’environnement et la croissance économique qui peut se faire remarquer même dans certains pays industrialisés.

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  • Il existe de telles disparités dans les résultats liés aux pays étudiés eux-mêmes, car leurs niveaux de développement sont différents ; d’autre part la période durant laquelle l’étude s’effectue a une influence sur les résultats, car il y a fluctuation des données utilisées pour réaliser les calculs.

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  • Le premier paramètre est le niveau de développement des pays étudiés .
    le deuxième paramètre est celui de la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.
    Ces divergences de résultats peuvent être un obstacle important au bon déroulement des négociations internationales.
    la dispersion des valeurs de référence telles qu’elles étaient utilisées en 1993 pour la protection de la vie humaine. L’échelle des abscisses est logarithmique est exprimée en livres sterling de 1990.

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  • Les disparites de resultats dans les pays etudies existe et continuera a exister du moment ou, beaucoup de facteurs propres a chaque pays entrent en jeu et influencent sur les resultats. Il peut s’agir des facteurs comme la culture, le niveau depollution, le mode et condition de vie, le niveau d’education et d’instruction, le revenu salarial, la perception/prise de conscience sur le sujet.

    La deuxieme idee est liee aux questions monnaitaires. Il est difficile d’obtenir une valeur statistique humaine communautaire et juste a l’ensemble des pays. Plus les personnes interviewees ont des revenus importants, plus leur disponibilite a payer est forte. Plus la monnaie d’un pays est faible, plus la valeur statistique de la vie humaine est importante vis a vis du pays a forte monnaie

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  • deux raisons d’ordre non méthodologique explique de telles disparités dans les résultats liée aux pays étudiés.
    le premier c’est l’utilisation des différentes méthodes dans l’étude et la seconde les années ou ces études ont été effectuées.
    une situation ou le risque est connu et celle ou une information est nécessaire avant l’enquête. Au sein de cette catégorie d’estimation, intervient la méthode de l’étude comparative salariale

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  • Il s’agit du niveau de développment du pays considéré. C’est à dire que chaque pays n’a pas le même niveau de développement , pas la même monnaie, ni le même rythme de croissance : la considération/la définition de la valaur humaine est donc appréhendé de façon différentes dans chacun de ces pays.

    "Le premier paramètre est le niveau de développement du pays considéré. Entre le
    Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de
    la vie humaine est de 1 à 20."

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  • ces deux raisons sont :
    - le niveau de développement des pays
    - le niveau de pollution de la localité où l’enquête à été effectué.

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  • Des raisons non méthodologiques à ces disparités entre les pays étudiés peuvent être :
    - d’une part la variabilité des niveaux de développement selon le pays considéré. La méthode des coûts et pertes de production estime la valeur de la vie sur la base des revenus à venir. Il en résulte qu’un pays dont les salaires moyens sont moins élevés, le Portugal par exemple aura une valeur de la vie bien inférieure que l’estimation qu’en France.
    - d’autre part, la seconde méthode renvoie à des situations hypothétiques, non réelles ce qui peut conduire à une surestimation du consentement à payer

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  • Les deux raisons principales sont : 1. La différence dans le niveau de développement entre pays qui se traduit par des différences de salaires. 2. La différence dans les pratiques liées aux mesures d’atténuation telles que l’automédication qui est plus courante dans les pays moins développés et qui diminue les coûts réels de la maladie et concourent à leur banalisation.

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  • 1è- Le niveau de développement des pays influer sur la valeur qu’ils accordent à la vie humaine.
    2è- Le niveau d’éducation de la population corolaire au premier.

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  • lEn comparant les valeurs obtenues avec la même méthode, l’on s’aperçoit de disparités qui ne sont donc plus liées à la méthode d’évaluation. Ainsi, pour la méthode des coûts et perte de productions nets, l’Allemagne est à 630milliers d’écus contre 300 en Nouvelle Zélande, selon les auteurs cela s’explique par la différence de niveau de développement, en effet, le calcul ici fait intervenir le taux de croissance entre autre. La deuxième cause pourrait être d’origine culturelle comme le soulignent certains auteurs à propos de la méthode du CAP : "(..) il n’y a pas de raison de penser qu’à priori les préférences dans les pays en voie développement soient identiques à celles des Etats-Unis"(Alberini, Cooper et al.).

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  • Ceci dépend d’une part de la politique intrinsèque de chaque pays, la valeur de la vie suit une loi de probabilité normale qui elle aussi est liée aux informations récoltées sur le terrain, les préférences diffèrent d’un pays un autre selon que c’est un pays développé ou non. D’autres parts, ceci dépend du niveau de développement d’un pays,et des revenus de individus.Ainsi, plus les revenus sont élévés, plus l’investissement est orienté vers la préservation du bien être.

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  • Les raisons d’ordre non méthodologique et liées aux pays étudiés sont : le niveau de développement du pays considéré. Dans les pays développés les habitants ont un niveau de vie et un revenu élevé donc l’estimation de la valeur statistique de la vie est élevée. Tandis que les pays où le niveau de vie et de revenus n’est pas très élevé(les pays en voie de développement) l’estimation de la valeur statistique de la vie est faible.
    La deuxième raison est le lieu de résidence par rapport à une zone polluée. Les personnes qui vivent prés des zones polluée sont habitues a leur situation et ignorent les effets et les conséquences de ce danger, alors que les personnes qui vivent loin des pays pollués sont plus conscient des conséquences d’une incapacité due à cette pollution.

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  • La raison d’ordre non méthodologique et liée aux pays étudiés eux-mêmes permettant d’expliquer ces disparités est le niveau de développement du pays considérés. En plus, les préférences dans les pays en developpement peuvent ne pas être les mêmes que celles des pays developpés.

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  • Les raisons d’ordre non méthodologique sont d’une part le niveau de développement de chaque pays et d’autre part les préférences de chaque pays en matière de politique de développement, certains optent pour une soutenabilité forte et d’autres pour une soutenabilité forte.

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  • La première raison de cette disparité d’ordre non méthodologique est liée à la monnaie du pays (livre sterling, franc français), il faut trouver une monnaie commune pour une bonne estimation. La deuxième raison c’est le niveau de développement du pays qui indique bien le niveau social de la population, donc le pouvoir d’achat est caractéristique au pays lui-même qui est reflété par le salaire ; donc pour comparer il faut donner le même salaire ou le convertir pour égaliser les pouvoirs d’achat ceci donnera une meilleure comparaison entre pays.

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  • La raison d’ordre non méthodologique et liée aux pays étudiés eux-mêmes existe des disparités dans les résultats est liée au niveau de développement des pays et les incertitudes.

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  • Professeur, je me rend compte que j’ai interverti les réponses. Question 1 et question 2. Prière d’en tenir compte.
    Le tableau page 353 fournit des résultats d’une grande disparité ; si l’on étudie l’influence du type de méthode sur le résultat, on constate que les résultats obtenus par la méthode contingente sont globalement plus élevés que ceux obtenus par la méthode des coûts et pertes de production. On peut penser qu’il s’agit d’une tendance "naturelle" pour l’individu sondé, à surestimer son CAP sachant qu’il ne s’agit que d’une dépense "virtuelle". D’autre part il a été précisé que les études sur les pertes de production concernaient essentiellement les salariés, ce qui peut éventuellement accroître la différence au niveau du résultat en ne prenant pas en compte les autres catégories de population.

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  • D’ordre général et représentatif ici, le développement des pays au début des années 1990 est, comme mentionné dans le document, un élément à prendre en compte.
    Ensuite et lié évidemment avec ce premier élément le facteur individuel / personnel est aussi un élément à prendre en compte. Les revenus personnels, la conscience ou niveau d’information des liens « économiques » de la pollution et l’impact sur la santé sont des éléments prépondérants, particulièrement dans la DAP. Les disparités entre les USA , RU, Suisse, Finlande, etc.. sont des reflets de perception et origine différentes et variées des personnes interrogées. Probablement en Finlande et Portugal, l’accès à l’information et la valeur extrême du pouvoir d’achat et acces au bien être n’ont pas la mêm valeur qu’au USA au début des années 1990.

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  • Étude menée utilisant coûts et pertes de production brut :

    - Taux de conversion monétaire pour avoir une monnaie commune et ainsi effectuer des comparatifs entre pays

    - Dans les pays en voie de développement on a quasiment la même valeur des distribution des revenus. On sait qu’il existe un biais dans le fais qu’en général plus les personnes ont des revenus importants, plus le CAP sera élevé. Les personnes les plus pauvres ne se paie que l’élémentaire, la base ...

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  • Il faut considérer que, dans chaque Pays, en particulier dans les Pays en voie de développement, les sommes que la société est prête à payer seront considérablement différentes, selon la disponibilité de capitaux et aussi par rapport à un point de vue différent en termes culturels.

    Par exemple, l’approche à la pollution peut varier selon le Pays considéré et la sensibilisation que la population a reçu au cours des années et aussi par rapport à la situation spécifiquement considérée.

    En plus, il y a des niveaux de pollution différents pour chaque Pays et la perception des collectivités n’est pas forcement la même.

    Il est aussi important de considérer que, dans chaque Pays, il y a des monnaies différentes et, même si dans le tableau il a été opérée une conversion en monnaie unique, le pouvoir d’achat est différent.

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  • Cela tient au niveau de développement des pays considérés : la valeur de la production humaine ne sera pas la même dans un pays développé que dans un pays en voie de développement
    Cela dépend également du niveau de revenu, du niveau des prix, des caractéristiques individuelles et à la nature des affections considérées (maladies aigües ou chroniques) ainsi qu’aux taux d’actualisations retenus

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  • En référence au recensement effectué en 1993 par Ives, les valeurs de référence de la vie humaine suivent une loi de probabilité « log normale ». Cette probabilité est utilisée dans le calcul d’erreur sur les externalités. Dans les pays développés, il n y a pas de grandes disparités dans la distribution des revenus, mais il y a un biais dû au fait que si les gens interrogés ont de bons revenus, ils sont prêts à payer pour se prémunir contre le risque de maladie suite à l’exposition à une quelconque pollution au moment où les pauvres se contentent de payer pour leur survie. L’autre raison est d’ordre psychologique. Les gens à gros revenus ont le temps de penser à leur bien-être. Ils ont une peur « bleue ».

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  • 1/ Première raison : la VSV est liée au niveau de développement du pays ! Plus un pays est développé et plus la VSV sera élevée (voir différence entre la France avec une VSV de 255000 Ecu et le Portugal avec une VSV de 12500 Ecu soit 20 X moins !)

    2/ La deuxième raison : la VSV peut varier en fonction du pouvoir d’achat des pays ! Par exemple, on peut apercevoir que l’Allemagne à une VSV beaucoup plus élevée qu’au Portugal ; ce qui peut s’expliquer aussi par un pouvoir d’achat plus important en Allemagne qu’au Portugal.

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  • Dans le tableau (p.353) : « Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine », les deux raisons principales d’ordre non méthodologique des disparités dans les résultats sont : 1) le niveau de développement du pays. En effet, plus un pays est développé, plus la valeur statistique de la vie humaine sera importante. 2) les valeurs exprimées en "ECU" sont converties à l’aide d’un taux de change depuis les données monétaires (salaires) des différents pays. Cependant, il aurait également fallu tenir compte du pouvoir d’achat des différents pays => si les salaires augmentent en même temps que l’inflation, le pouvoir d’achat reste le même. Quand les salaires n’augmentent pas de la même façon que l’inflation, le pouvoir d’achat diminue et vice versa. Ce tableau n’applique pas un facteur correctif lié à la disparité du pouvoir d’achat entre les pays.

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  • la premiere raison est le niveau de développement du pays ou l’étude est menée, car alors que l’estimation de la valeur de la vie humaine est comprise entre 1 et 20, dans d’autres pays ce serait différent
    La société étant composée par des pauvres, la classe moyenne et les riches, le biais dont il serait question ici, s’expliquerait par le fait que les personnes plus aisées auront plus tendance á accepter de payer pour se prémunir contre un risque dû à une pollution alors que les plus pauvres pour qui les biens et les services élémentaires de première nécessité peuvent même parfois être déjà difficile de se les offrir, en auront au contraire une certaine réticence.

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  • Au plan raison ordre non méthodologique et liée aux pays étudiés eux-mêmes, nous pouvons citer comme paramètre :
    * le niveau de développement du pays considéré : les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des développés tels que les Etats –Unis ;
    * les transferts des valeurs trouvées aux pays développés par les analystes pourraient également constituer des biais possibles pour des études menées les pays (selon l’article d’Alberini, Cooper et al…).

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  • Les deux raisons principales de telles disparités dans les résultats :

    - Le taux de conversion monétaire unique afin d’obtenir ensuite une monnaie nationale
    - D’après l’article Alberini, Cropper et al., « En général, les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux États-Unis.Or, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voir de développement soient identiques à celles des États-Unis ». Vu qu’il existe un biais en terme de revenus.Plus la personne perçoit de revenus élevé, plus le CAP sera important.

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  • La méthode fondée sur la disponibilité sociale à payer est fonction du niveau de développement du pays considéré (formation, revenus et contraintes budgétaires) : capacité à payer.
    Elle est aussi fondée sur la perception de l’environnement (utilité du bien). Dans les pays en voie de développement, la pollution passe après les besoins de subsistance. On peut penser que ce n’est pas leur priorité immédiate : consentement à payer.

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  • Il existe deux raisons non méthodologique liées aux pays :
    -  Le niveau de développement des pays doit être pris en considération. Ainsi, la population d’un pays à revenu élevé aura une disponibilité à pays plus importante par rapport à un la population d’un pays sous développé dont les revenus sont insuffisants pour satisfaire les besoins de subsistances.
    -  Il faut prendre également en considération dans le cas des études qui utilisent les coûts et pertes de production brut, le taux de change et la parité de pouvoir d’achat pour effectuer des comparaison entre les pays.

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  • La raison non méthodologique liée aux pays étudiés qui cause de telles disparités sur les résultats est le niveau de développement du pays concerné.

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  • Le 1ier paramètre est le niveau de développement du pays considéré lié aux des préférences de leurs individus suites au pouvoir d’achat, et les paramètres sociaux, culture… et le second de la méthode utilisée (consentement à payer et /ou la méthode des coûts et pertes de production). Donc l’estimation de la valeur statique de la vie est différente dans les pays riches par rapport aux pays en voie de développement. La capacité social à payer pour bénéficier d’un bien être.

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  • Les raisons majeures non méthodologiques pour les quelles il existe de telles disparités dans les résultats sont :
    - Les valeurs utilisées sont celles des Etats Unis, donc se pose le problème de parité des monnaies et de cout de la vie.
    - Enfin il faut retenir que plus le revenu des personnes interrogées est élevé plus il est disposé à payer ce qui n’est pas évident pour le pauvre.

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  • les disparités au niveau des resultats s’expliquent par le fait qu’il ny a pas eu d’harmonisation au niveau des salaire c’est à dire qu’il aurait valu ramener à une monnaie commune des lors ou l’ on travaille sur des données de pays différents utilisant des monnaies differentes.

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  • Les raisons d’ordre non méthodologique sont : la différence de niveau de développement des pays considéré ainsi que de leurs préférences

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  • Première raison : il s’agit du premier paramètre qui est le niveau de développement du pays considéré. La valeur statistique de la vie humaine ne peut pas être la même en un pays développé et un pays sous développé. Le niveau de vie, le panier de la ménagère, le pouvoir d’achat, le revenu moyen, les avantages sociaux sont autant de paramètres qui varient en fonction du niveau de développement atteint par une nation. Par exemple, en Afrique, les populations sont plus préoccupées par le pain quotidien que par un régime d’assurance maladie universelle accordée à la population des USA.

    Deuxième raison : Alberini, Cooper et al. ont abordé le pramètre du développement en disant qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis, un pays développé. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. L’évaluation contingente étudiée a eu pour objet d’évaluer les bénéfices de la prévention de maladies respiratoires liées à la pollution de l’air.

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  • - La première raison vient du niveau de développement des pays étudiés.
    - La deuxième raison est que la disponibilité à payer est fonction du niveau de vie des personnes interrogées.

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  • Il existe des disparités dans les résultats dû à des raisons non méthodologiques mais liées aux pays étudiés. Les résultats issus de chacune de ces deux méthodes est fortement liés aux salaires que percoit la population d’un pays. En effet, la méthode qui raisonne en terme de perte de production "considère l’individu dan sa seule dimension d’agent économique, sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment", et lors de la méthode de la disponibilité sociale à payer, plus les personnes ont des revenus importants plus elles peuvent se permettre de donner un CAP supérieur. Ainsi, la richesse du pays est une donnée qui entrainent des disparité de résultats. Il en est de même pour le niveau d’éducation (plus le niveau d’éducation est important plus la population est sensible aux problèmes et aux risques encourus). D’ailleurs, ces deux données (richesse et éducation) sont étroitement liées.

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  • Les comparaisons sont difficiles entre les pays pour des raisons culturelles (ex. : perception du risque) et de niveau de vie (ex. : salaire moyen). Par exemple, la perception du risque de la pollution atmosphérique pour un individus vivant dans PVD va généralement être plus basse qu’un individu de pays développé qui aura moins de contraintes liés à ces besoins primaire (nourriture), couplé à une meilleure conscience du risque et sera donc prêt à payer plus pour éviter le risque. Ce type de comparaison inter-pays devrait donc être pondérée en fonction des niveaux de vie pour être plus pertinente. On peut imaginer un questionnaire commun dans plusieurs pays, tenant compte des potentielles divergences culturelles, pour établir une base de comparaison entre les pays.

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  • Il existe des disparités dans les résultats en raison de la différence de niveau de développement de chaque pays. Les préférences et les priorités dans les pays en voie de développement ne seront pas identiques à celles des pays développés comme les Etats-Unis en termes de protection de l’environnement pour les bénéfices de la santé. Ceci est dû aux contextes socio-économiques de chaque pays. Les résultats dépendent aussi des caractéristiques individuelles dans chaque pays incluant la formation, le lieu de résidence et le revenu. Ces facteurs pourraient influer le consentement à payer de la population et détermine ainsi la valeur que chacun accorde à la vie et quelques fois pas directement une valeur mais plutôt un intervalle.

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  • Il existe disparités dans les résultats parce que les niveaux de développement des pays sont différents. En effet :
    -  la valeur du CAP dépend fortement du niveau de développement du pays (les revenus de l’individu sont liés au niveau de développement du pays) ;
    -  cette valeur du CAP dépend également de certains paramètres socio-économiques et sanitaires de l’individu (niveau d’instruction ou de formation, situation géographique du lieu de résidence, niveau de revenu, type de maladies dont souffre l’individu, etc.).

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  • Car le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20.

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  • Deux raisons pointe au sommet :
    - Dans le cas d’une étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute, les salaires doivent être « convertis » non seulement dans une monnaie commune (en utilisant les taux de change) pour effectuer les comparaisons entre pays (comme c’est le cas dans ce tableau), mais également en termes de « parité de pouvoir d’achat ». (cas de. Eurostat : « les taux de change sont déterminés par de nombreux facteurs liés à l’offre et à la demande sur les marchés des changes, tels que le commerce international et les écarts entre les taux d’intérêt. En d’autres termes, les taux de change reflètent généralement d’autres éléments que les seules différences de prix. Afin de parvenir à une pure comparaison de volumes, il est essentiel de recourir à des facteurs de conversion spécifiques (défilateurs spatiaux) qui éliminent les effets des écarts de prix entre pays. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. L’évaluation contingente étudiée ici se situe dans ce cadre. L’objet de cette étude est d’évaluer les bénéfices de la prévention de maladies respiratoires liées à la pollution de l’air » ;

    - Si on retrouve, souvent dans les pays développés, à peu près la même distribution des revenus dans la société, on sait qu’un des biais en dehors du biais dû au fait qu’on ne traduise pas les disponibilités à payer en PPA, réside dans le fait qu’en moyenne, plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte. Les personnes les plus pauvres ne peuvent souvent se payer que les biens et services les plus élémentaires, et accepter de payer pour se prémunir contre un risque dû à une pollution est d’autant plus faible que la probabilité d’occurrence l’est également. Pour les personnes ayant des revenus supérieurs, même si la probabilité d’occurrence est faible, ils peuvent se servir du revenu qu’ils leur reste (en général encore important)

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  • Comme raisons non institutionneles, l’on peut citer le fait que les atteintes graves soient les seules à être prises en compte dans ce type d’étude. Ainsi, les pertes de qualité de la vie, dues à des atteintes physiques non létales, ne sont pas chiffrées dans certains pays.
    Le niveau de vie des personnes/leur masse salariale est aussi un facteur important. les pesonnes les plus aisées étant bien plus aptes à payer que les autres.
    L’on pourrait aussi citer la monnaie qui diffère selon les pays étudiés. De ce fait, il serait interessant que tous les pays aient une monnaie commune et un même niveau de vie

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  • Les pays ne disposent pas de la même monnaie. Certaines monnaies étant plus fortes que d’autres, pour pouvoir utiliser la méthode des coûts et pertes de production il faudra tout ramener dans une monnaie unique afin de pouvoir faire les comparaisons. Cela constitue une source des disparités puisque les pays ne disposent pas des mêmes capacités d’actions.
    De même cette méthode suppose que les gens ont la même capacité notamment financière pour se protéger du risque. Or dans la réalité, au sein d’un pays, la distribution des revenus n’est pas équitable. Il y a un fossé entre les individus qui ne n’auront donc pas le même CAP. Cette disparité de revenus se retrouve également entre pays et cela contribue à expliquer la différence dans les résultats.

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  • La première raison est liée au niveau de développement du pays considéré. La deuxième est suggérée dans l’article d’Alberini à savoir que les préférences des individus ou des institutions varient nécessairement d’un pays à l’autre.

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  • La raison d’ordre non méthodologique à l’origine de telles disparités est liée d’une part au niveau de développement des pays considérés et d’autre part aux habitudes socioculturelles de chaque peuple.

    En effet, dans les pays à niveau de développement élevé où la population a un fort pouvoir d’achat, la valeur statistique de la vie humaine calculée est plus élevée. Nous avons l’exemple de celle des Etats-Unis largement supérieur à celle du Portugal. La différence de monnaie entre pays de même que les taux de change qui varient d’un pays à un autre jouent également sur les résultats.

    Selon l’article d’Alberini, Cooper et al., les préférences ne sont pas les mêmes d’un pays à un autre. Ceci traduit les habitudes culturelles et pratiques différentes qui influent sur les résultats.

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  • - Le cours de la monnais utilisée influencera le cout de façon comparative.

    - Il faudrait pouvoir trouver une equivalence tenant compte du niveau d’instruction, des revenues et la localisation géographique pour comparer les données.

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  • La raison d’ordre non méthodologique et liée aux pays étudiés eux-mêmes se traduisant dans les résultats en terme de disparités est le niveau de développement du pays considéré, le bénéfice social que pourrait apporté l’amélioration de l’environnement pour une population considérée.
    Nous pouvons expliquer cela par le fait qu’on ne peut pas placer les pays sur le même niveau en terme de préférence ou consentement à payer les habitudes culturelles pour limiter ou resoudre un problème environnemental sévère ou chronique.

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  • La première raison est l’indicatif de la conversion de monnaie entre les deux pays. Cela donne une évaluation économique sur la différence du pouvoir d’achat des ménages. D’autant plus, l’activité du marché produit un écart de prix générer par l’offre et la demande des échanges entre ces pays.
    La deuxième raison est la différence d’égalité des chances par la relation des deux méthodes. La valeur de la vie statistique s’inverse à des individus pour un risque par l’évaluation contingente que par la méthode du risque par le revenu. En effet, l’évaluation contingente amène à l’information pour évaluer le risque qu’avec le salaire. La méthode risque par le salaire donne une diminution des résultats typiques.

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  • 1) Pour la méthode des coûts et pertes de production brute : L’article d’Alberini, Cooper et al se base sur l’estimation de bénéfice social qu’une amélioration de l’environnement pourrait apporter. Ce qui n’est pas comparable à l’estimation institutionnelle de la valeur statistique de la vie humaine dans le tableau (p.353). Donc il y a un biais liés pouvoirs d’achat très différents dans pays. Par conséquent, les préférences dans les pays en voie de développement ne sont pas identiques à celles des pays développés. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. L’évaluation contingente étudiée ici se situe dans ce cadre. L’objet de cette étude est d’évaluer les bénéfices de la prévention de maladies respiratoires liée à la pollution de l’air.

    2) Pour la méthode de Disponibilité à Payer : le biais est lié au niveau du revenu, plus un individu a des revenus importants, plus sa disponibilité à payer sera forte contrairement à un individu moins nanti.

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  • A mon avis, les deux principales raisons non méthodologiques la différence des préférences et des capacités à payer entre pays ; deux raisons peuvent se résumer en une seule, le niveau de développement du pays.
    En effet non seulement que les habitants de deux pays différents, en l’occurrence à niveau de développement différent, n’ont pas les mêmes préférences, mais même quand ils les auraient, leur capacité à payer dépend de plusieurs paramètres dont le pouvoir d’achat applicable dans leurs pays respectifs. A titre d’exemple, avec 20 dollars américains, on peut acheter une quantité Q1 supérieur à la quantité Q2 du même produit acheté aux USA ; ceci vaut pour les coûts des soins de santé pour une même pathologie.

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  • Le niveau de développement des pays est important ici. Dans les pays développés par exemple, on estime un niveau de revenu élevé et sa distribution plus ou moins égale permettant ainsi aux employés d’avoir un pouvoir de payer élevé, contrairement aux pays en développement.

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  • dans le cas d’une enquête menée en utilisant les coûts et les pertes de production brute, les salaires ne doivent pas seulement être convertis dans une monnaie commune (tout en utilisant les taux de change) pour faire les comparaisons entre pays , mais aussi en termes de pouvoir d’achat. "Les taux de change sont déterminés par de nombreux facteurs liés à l’offre et la demande sur les marchés des changements, que le commerce international et les écarts entre les taux d’intérêt dans d’autres termes, les taux de change reflètent généralement les autres éléments que les seules différences de prix. pour arriver à une pure comparaison des volumes, il est indispensable de recourir à des facteurs spécifiques de conversion (déflateurs spatiaux) qui éliminent les effets des écarts de prix entre pays. les parités de pouvoir d’achat (PPA) sont des taux de conversion des devises : ils transforment les indicateurs économiques exprimés en monnaie nationale dans une monnaie commune appelée « norme de pouvoir de dépenser » fictif, (SPCA), qui égalise les pouvoirs de dépenses des différentes monnaies nationales "). . Il est pas le cas dans ce tableau comparatif ... à ce sujet, l’enquête menée par Alberini, Cooper et al., (Cf. article à « effets de valeur sur la santé de la pollution atmosphérique dans le" développé spays) insiste sur le fait bien, dans l’introduction ( « contexte et les objectifs de l’enquête", p.11) sur le fait « qu" en général, les analystes transfèrent valeurs trouvées aux États-Unis. Toutefois, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas un droit de penser que, a priori, la préférences dans les pays en développement sont identiques à celles des États-Unis. pour prendre en compte cette inclinaison possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. l’évaluation contingente étudié ici se trouve dans ce cadre. l’objet de cette enquête est de valoriser les bénéfices de la prévention des maladies respiratoires liées à la pollution de l’air " ;

    même si l’on retrouve souvent dans les pays développés, plus ou moins la même répartition des revenus dans la société, on sait que l’un des inclinaisons (en dehors de l’inclinaison due au fait que l’on ne se traduit pas les disponibilités à payer en PPA, voir ci-dessus) réside dans le fait que, en moyenne, plus les gens interrogés ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte. Les personnes les plus pauvres ne peuvent pas payer souvent pour eux-mêmes que les biens et services les plus élémentaires, et à accepter de payer pour se protéger contre un risque en raison d’une pollution est particulièrement faible que la probabilité d’occurrence est également. Pour les personnes ayant des revenus supérieurs, même si la probabilité d’occurrence est faible, ils peuvent utiliser le revenu qui les leur repos (en général, même important) après la consommation de biens et de services les plus élémentaires pour se protéger contre ce risque.

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  • Pour le cas de l’étude menée avec l’approche des coûts et pertes de production brute, on a :
     Problème de convertibilité des monnaies et taux de change fluctuants qui rendent difficile la détermination d’une valeur fixe de la monnaie
    Par conséquent, on a recours à des ajustements des prix et des monnaies par des mécanismes financiers à l’instar des déflateurs des prix pour obtenir une parité de pouvoir d’achat, ce dont l’étude n’a pas tenu compte.
    Dans le cas de l’évaluation contingente, un autre biais réside dans le fait que plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte.

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  • Les raisons autres que la métrologie qui peuvent expliquer les disparités entre les résultats obtenus dans les pays étudiés sont liées à des facteurs de conversion des données économiques et avec les écarts de répartition des richesses entre les territoires :
    Pour réduire ces disparités, il faudrait établir des déflateurs spatiaux, qui permettent d’éliminer les écarts de prix et standardiser ainsi la monnaie et le pouvoir d’achat entre les pays étudiés. Ce n’est pas le cas dans ce tableau comparatif et de l’étude menée aux Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais, il aurait fallu mener des études contingentes et évaluer les bénéfices de la prévention des pathologies en lien avec la pollution de l’air.
    Même si nous considérons que la distribution des richesses se fait de façon équilibrée dans les pays développés, nous savons que les populations aisées ont une forte disponibilité à payer pour réduire la survenue de risques ou se protéger contre les expositions, et contrairement aux personnes précaires, qui se préoccupent de leur besoins élémentaires (loyer, nourriture…) et qui ont du mal à accepter de payer pour se prémunir des risques environnementaux, surtout quant ces derniers sont invisibles ou ne font pas l’objet d’une actualité brulante.....

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  • Une disparité est observée dans les résultats des estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine en raison du niveau de développement du pays considéré.
    Concernant la méthode des pertes productives, selon le niveau de développement des pays, il existe une disparité dans la distribution des revenus moyens et les conditions de vie peuvent influencer l’espérance de vie par classe d’âge, entraînant l’obtention de résultats difficilement comparables entre pays.
    Dans les pays plus « riches », comme on a pu le voir dans l’article d’Alberini, Cooper et al, la capacité à payer est supérieure du fait des niveaux de formation et de revenus plus élevés, la disponibilité sociale à payer sera donc supérieure.

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  • La conversion en monnaie locale vers l’écu peut être un biais, tout comme le niveau de vie des habitants selon le développement du pays : grand écart entre les Etats-Unis et le Portugal.
    Comme indiqué plus haut, selon le niveau d’études et de niveau de vie, le consentement à payer n’est pas apprécié de la même manière

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  • Les raisons qui expliquent de telles disparités dans les résultats sont :
    Le niveau de pollution du pays
    La compréhension du bénéfice social qu’une amélioration de l’environnement pourrait apporter .

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  • Il s’agit du niveau de développement des pays et de préférence des individus. Plus un pays est développé, plus il a les capacités de payer pour un environnement sain donc d’augmenter son niveau de vie contrairement au pays moins développés qui pour la plupart se préoccupent de la pauvreté, la famine, infections et maladies, l’assainissement, la pénurie d’eau….

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  • Les disparités existent au sein des pays étudiés car les préoccupations environnementales des pays développés et moins développés ne sont pas les mêmes .Pour les pays développés l’essentiel est que ses industriels continuent à produire d’avantage .Pour les pays moins industrialisés leurs préoccupations sont les pollutions provenant des pays industrialisés alors qu’il n ’y’a pas de contre valeur .De ce fait,plus les gens sont aisés plus ils consomment beaucoup et plus leur mode de vie diffère de ceux moins nanti ,les pauvres se disent qu’ils n’ont rien à perdre et se fiche de la protection de l’environnement ,d’où résultats diverses

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  • Il existe de telles disparites par ce que :

    1- Plus les personnes auront des revenus eleves plus leur disponibilite a payer sera eleve.En effet les personnes qui ont des revenus faibles ne peuvent pas payer les services les plus elementaires voir de pouvoir payer pour eviter un risqué du a une pollution atmospherique.Les personnes qui ont des revenus eleves eux peuvent payer les services elementaires et auront un peu de revenu pour lutter contre le risque.

    2- Les salaires des personnes devraient etre convertis dans une monnaie unique.En effet cela pourraient donner une meilleure evaluation des pouvoirs d’achat des personnes des pays concernes.Les analystes transferent des valeurs trouvees aux etats unis.Or,les auteurs indiquent qu’il n y a pas de raison de penser qu’a priori les preferences dans les pays en voie de developpement soient identiques a celles des etats unis.La meilleure solution est de mener des etudes originales dans ces pays. L’evaluation contingente etudiee ici se situe dans ce cadre. L’objet de cette etude est d’evaluer les benefices de la prevention de maladies respiratoires liees a la pollution de l’air.

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  • Les résultats diffèrent suivant :
    - le niveau de développement du pays
    - les niveaux de revenus : ceux qui gagnent plus seront prêts à payer plus

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  • - La valeur monétaire et le niveau de développement diffèrent d’un pays à un autre.les niveaux de vie ne sont pas identiques.
    - Les personnes qui ont des revenus élevés sont plus disposés à payer pour se protéger d’un risque contrairement aux personnes avec un revenu faible qui voient la priorité ailleurs

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  • Il existe bien des disparités pour ce qui est des ’« estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine ». Les raisons de ces disparités sont d’ordre non méthodologique et liée aux pays étudiés eux-mêmes. Il s’agit :
    - Le niveau de développement des différents pays. En effet, plus un pays est développé, plus il aura tendance à investir dans la protection de l’environnement.
    - La préférence des individus des pays.

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  • On peut penser que la population n’est pas la même sur tous les aspects sociaux (statut, rémunération, niveau culturel, etc.)

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  • Raisons d’ordre non méthodologique :
    — -le niveau de développement des pays. les habitants de pays développés ont des revenus importants et donc plus prêts à payer.
    — -la préférence des pays

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  • Lorsque l’on mène une étude en utilisant les coûts et pertes de production brute : les salaires doivent être convertis dans une monnaie commune (taux de change) afin d’effectuer une comparaison entre deux pays et d’y être le plus proche possible. Pour cela il faut parvenir à une stricte comparaison de volume : on devra ainsi recourir à des facteurs spécifiques qui éliminent les différences entre pays. On fera appel à la parité de pouvoir d’achat (PPA) puis au « standard de pouvoir d’achat » (SPA), qui permet d’ajuster les deux monnaies national. Ceci n’est pas mis en avant dans le tableau comparatif. Dans le cadre de cette étude l’objet est d’évaluer les bénéfices de la prévention de maladies respiratoires liées à la pollution de l’air ;
    dans les pays développés, on a relativement le même type de distribution des revenus dans la société. L’un des biais réside dans le fait que plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera importante. Par contre les personnes les moins aisées ou pauvres ne peuvent ou ont des difficultés à se payer les biens et services les plus élémentaires. Il est plus difficile pour les populations les moins aisées de payer pour se prémunir contre un risque dû à une pollution. Cependant, les personnes ayant des revenus importants, même si la probabilité d’occurrence est faible, peuvent se prémunir contre ce risque de maladie, pollution, même en ayant consommé des biens et services élémentaires.

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  • Comme c est une estimation des institutions et sur les couts et pertes de production brutes, cela peut etre du aux differences de salaires entre les pays, comme on l a vu les pays avec des salaires superieurs perdent plus si arrets de travail, on voit aussi que c est dans les pays les plus riches que la disponibilite a payer est la plus elevee, on peut donc penser que les personnes sont mieux conscientes des risques, et que dans les pays ou il y a une absence de scenario clair pour expliquer aux personnes comment eviter les risques peut placer les repondants dans une situation hypothetique ou ils sont toujours prets a faire une promesse de dons, et pour lescouts de production du travail on pourrait penser que dans certains pays ou des etudes locales ne sont pas disponibles sur les effets de la pollution sur les symptomes peut donner un biais aux valeurs de cout benefices, et que les preferences des gens sont differentes selon les pays par rapport au benefice social que peut amener une amelioration de la qualite environnementale ce qui peut expliquer les disparites de la disponibilite a payer.

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  • Deux raisons principales : le niveau de développement du pays et la disponibilité sociale à payer.

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  • Cette disparité est due à l’utilisation des valeurs médians et non moyen propre à chaque Etat et secondement le niveau de développement du pays.

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  • Il faut prendre en compte le niveau de développement des pays . Le niveau de vie résultant des conditions socio-économiques aux échelles micro et macro-économiques engendrent des évaluations diverses. Ces estimations sont relativiser en fonction des pays.
    Il existe des échelles de différence au niveau du tableau représentant les pays développés.
    Pour certains auteurs ,il n’existe pas une raison pour laquelle, on est en droit de savoir ou avoir à l’idée que d’abords au niveau des pays en voie de développement les préférences soient identiques à celles des États-Unis d’Amérique. Pour faire de la considération pou un biais, la solution la plus normale et rationnelle est d’entreprendre des études nouvelles teintées d’originalité au niveau des ces pays. L’évaluation contingente en question se retrouve dans cette dimension. Le but de cet exercice est d’estimer les MBB (Marges Bénéficiaires Brutes) qui sont générées en cas de prévention des pathologies de l’appareil respiratoire qui sont dues à la modification de la chimie de l’atmosphère (contamination aérienne).
    Autrement dit quand on entreprend des études par l’utilisation des coûts et pertes de production : les rémunérations, honoraires doivent être convertis dans une monnaie commune pour réaliser une comparaison entre deux ou plusieurs sociétés afin de s’y rapprocher le plus complètement. Pour cette opération, nous devons comparer les volumes :
    - Par le recours à des facteurs particuliers qui éliminant les disparités entre les pays.
    - Par appel à la Parité de Pouvoir d’Achat (PPA) ;
    - Par Standard de Pouvoir d’Achat (SPA), permettant l’ajustement des deux monnaies qui sont les devises nationales.
    Referez vous au tableau de la page 353 « Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine ».
    Les individus aux des revenus relativement élevés ou élevés simplement, peuvent se être moins vulnérables par rapport au risque de maladie liée a certaines pollutions. Dans ce cas, la probabilité d’être contaminée est plus faible que les personnes aux revenus et conditions socio-économiques modestes.

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  • La première raison d’ordre non méthodologique liée aux pays étudiés eux même de telle disparités dans les résultats est l’ajustement méthodologique. En effet, les coûts et les pertes de production bruts ont été modifié en monnaie unique (Ecu) or que ceci ne suffit pas puisque ça ne prend guère le pouvoir d’achat dans chaque pays (le pouvoir d’achat en France diffère de celui des Etats-Unis) et des taux de conversion (taux de change).
    La deuxième raison d’ordre non méthodologique concerne la formation de l’échantillon. En effet, le pouvoir de disponibilité à payer diffère d’un pays à un autre et d’un échantillon à un autre. Ce biais réside dans le faite d’une population plus riche (Etats-Unis) dispose d’une disponibilité à payer plus importante qu’une population pauvre (Nouvelle-Zélande par exemple).

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  • 1 : Chaque pays a un niveau de développement qui lui est propre donc une valeur monétaire qui diffère des autres pays. Obtenir une valeur unique et juste en tant que valeur statistique de la vie devient plus difficile.

    2:En plus de la différence de développement, il y a aussi le niveau de vie de la population de chaque pays. Même s’il s’agit de pays développés, chacun diffère dans sa culture, sa classe sociale, sa façon de vivre et son environnement. Selon les études, plus la population a un revenu élevé, plus elle accorde un CAP supérieur pour ne pas tomber malade.

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  • Parce que le consentement à payer est souvent calculé en onction du type de maladie.

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  • C’est essentiellement du au niveau de développement de chaque états et aux préférences politiques de chaque états (pas la même gestion de la valeur humaine).

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  • le niveau de développement du pays considéré,
    ainsi que son pouvoir d’achat,

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  • La valeur de la monnaie, qui peut être différent selon le pays, ainsi que le niveau de revenu et le coût de la vie peuvent être considérés comme des sources de disparités dans les résultats.

    Le niveau de revenu des répondant peut également jouer. En effet, les répondants avec les niveaux de revenu les plus élevés seront plus disposer à payer prévenir un risque de maladie.

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  • Les deux raisons principales pour lesquelles il existe de telles disparités dans les résultats sont la question des revenus et celle de la monnaie.

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  • je ne trouve pas de repère permettant de répondre à cette question

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  • - le niveau de développement du pays.
    - les préférences et les méthodes utilisés par les pays.

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  • Les deux raisons principales sont la connaissance du risque qui limite sont appropriation par l’individu et donc la valeur pouvant lui être donnée. Voir pour certains risques l’existence même de ce risque qui remet en question des comparaisons ( risques marins VS pays continental strict)

    Le second élément est culturel et le rapport au risque de l’individu rentre en compte. La considération d’un risque est subjective suivant les cultures

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  • Les disparités dans les résultats des estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine aux pays sont parce que premièrement tous les pays n’ont pas le même niveau de développement ; deuxièmement, l’hétérogénéité des populations en matière de réponses.

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  • Les 2 raisons qui expliquent que la disparité des résultats pour des raisons non méthodologiques sont :
    - le niveau de développement du pays (plus le pays est développé, plus le résultat est élevé)
    - le montant des revenus (plus les revenus sont élevés, plus les consentements à payer sont élevés)

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  • La raison d’ordre non méthodologique et liée aux pays étudiés eux-mêmes existe-t-il de telles disparités dans les résultats car chaque payé donne une valeur statistique à la vie humaine, exemple des Etats Uni la valeur statistique de la vie humaine est très élevés, ils considèrent les humaines plus productifs la deuxième raison est que les atteintes physiques non létales ne sont pas chiffrées.

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  • Ici, il s’agit du niveau de développement des pays et leurs préférences (priorités).
    En effet, les populations pauvres dans les pays en développement auraient préféré payer de l’argent pour subvenir à leurs besoins nécessaires que de donner de l’argent pour améliorer le cadre de vie. Ce qui explique leur faible valeur du CAP même si elles sont conscientes de leur vulnérabilité face à un risque. Alors que plus un pays est développé, plus les revenus par habitants sont meilleurs dont les pertes liées à une journée sans travailler en raison d’une maladie sont plus élevées que dans le cas d’un pays moins développé. Cela emmènent ces personnes (en pays développés) à être plus disposées pour entretenir leur environnement dans l’optique de préserver leur santé.

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  • Il s’agit du niveau de développement et des préférences des individus dans le pays considéré. Le développement d’un pays indique bien le niveau social de la population, et le pouvoir d’achat est caractéristique au pays lui-même qui est reflété par le salaire ; donc pour comparer il faut donner le même salaire ou le convertir pour égaliser les pouvoirs d’achat ceci donnera une meilleure comparaison entre pays. Le lieu de résidence par rapport à une zone polluée. Les personnes qui vivent loin des pays pollués sont plus conscient des conséquences d’une incapacités due à la pollution que ceux qui vivent à proximité ou dans ces derniers.

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  • - Deux pays différentes donc on est pas dans les mêmes conditions (environnementale par exemple)
    - il s’agit aussi des individus ils sont pas dans les mêmes conditions sociales ( ils sont pas dans la même classe)

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  • Le premier paramètre est le niveau de développement du pays considéré. Entre le Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20.

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  • Errata (inversion des questions - la réponse à la question 2 se retrouve à la question 1)
    Réponse à la question 1.
    Les raisons méthodiques résident dans la comparaison des revenus en PPA et le fait de prendre des résultats des Etats Unis comme niveau de référence est un biais car il ne traduit pas des contextes similaires.
    Aussi l’approche du risque par le salaire , en plus d’être une grande simplification des par les hypothèses, ne prend pas en compte les autres formes de revenus et encore moins leur valeur sociale.

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  • les deux raisons principales :

    1-Le niveau de développement qui se différent d’un pays à l’autre, par exemple le niveau de vie et la valeur de l’argent n’est pas la même dans tous les pays, ce qui peut engendrer des estimations différentes
    2- La différence culturelle, religieuse, la pratique humaine et le mode de vie se différent d’un pays a l’autre, Ainsi que les besoins et les objectifs ne sont pas les mêmes ce qui conduit que préférences peuvent varier.

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  • La disparité au delà d’ordre non méthodologique est liée au revenu des salaires. En effet,dans un certains pays dites développés certaines personnes qui ont un revenu acceptable s’investirent plus contrairement à d’autres personnes qui n’ont pas un salaire convenable.

    Il faut tenir compte que cette étude est une étude comparative qui regorge des biais de confusion qui peut être à la base des disparités.

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  • Parce que ce tableau fait une comparaison sans tenir compte de paramètres suivants : la parité de pouvoir d’achat et les facteurs de conversion notamment pour supprimer les effets du aux écarts de prix inter-pays.
    Et la deuxième raison peut s’expliquer par la priorité accordé aux éventuelles conséquences de la pollution selon le niveau de revenu de personnes sondées. Car plus les personnes sondées ont un revenu élevé plus leur disponibilité à payer l’est également.

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  • Le consentement à payer est fonction du revenu, et tous les pays n’ont pas des niveaux de richesse comparable, ce qui fait que la valeur de la vie au Portugal (pays moins riche) est inférieure à la valeur de la vie en Norvège (pays plus riche).

    En outre, il y a une corrélation entre niveau de vie, niveau d’étude et donc conscience des risques, et on a vu que plus on est conscient des risques plus on est prêt à payer pour les éviter, ce qui pourrait également expliquer pourquoi il y a des différences de valeur de la vie entre les pays plus riches et moins riches.

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  • - Chaque pays a un niveau de développement qui lui est propre donc une valeur monétaire qui diffère des autres pays. Obtenir une valeur unique et juste en tant que valeur statistique de la vie devient plus difficile.

    - En plus de la différence de développement, il y a aussi le niveau de vie de la population de chaque pays. Même s’il s’agit de pays développés, chacun diffère dans sa culture, sa classe sociale, sa façon de vivre et son environnement. Selon les études, plus la population a un revenu élevé, plus elle accorde un CAP supérieur pour ne pas tomber malade.

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  • - le niveau de développement du pays considéré
    - le niveau de santé des habitants du pays considéré

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  • Les deux principales raisons d’ordre non méthodologique qui expliquent cette disparité sont les suivantes : 1) En général, les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis. Or, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays ; 2) Le CAP augmente en fonction du revenu de la personne interrogée.

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  • Une telle disparité peut s’expliquer par plusieurs raisons : - la première raison est le niveau de développement du pays, - Le document (Alberini, Cropper et al.), indique que le consentement à payer croit avec le niveau de formation et le revenu de la personne interviewée : plus l’individu est instruite , plus elle est disposée à payer pour éviter la maladie, pour des raison économiques( perte de l’emploi, perte du salaire).Le revenu modifie donc les comportements des différents acteurs.

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  • Le contexte culturel du pays entraine des diversités de réponses dans les CAP. Ainsi il n’y a pas forcement la même idée du collectif, perception du danger et de l’exposition.
    Une autre différence est également le type d’activité exercé majoritairement dans le pays et leur rémunération respective. Accentué par la mondialisation et la multiplication des échanges, les activités secondaires à faibles valeur ajouté sont localisés dans les mêmes ensembles territoriaux. Dans la même mouvance les activités à haut niveau de formation et générant de plus hauts revenus sont prédominantes dans d’autres espaces. Ainsi un individu générant un revenu élevé, entrainera une perte de la production et un coût plus important dans un cas de décès.

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  • malgré le développement des pays, chaque pays à sa culture, sa monnaie et sa classe sociale dont les pauvre peuvent se permettre que les soins élémentaire alors que les riches peuvent réserver un budget non seulement pour les soins mais aussi pour les préventions

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  • On peut citer deux raisons :
    - la non prise en compte de certains paramètres tels que la parité de pouvoirs d’achats et les facteurs de conversion
    - la priorité accordé aux éventuelles conséquences de la pollution selon le niveau de revenu de personnes sondés.

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  • Le premier paramètre est le développement du pays considérer ainsi que les préférences de leurs individus.Plus un pays est développé, plus le niveau de vie est élevé et la capacité à payer pour un environnement sain est importante. Les pays sous développés auront d’autres optimums et d’autres priorités (chaumage pauvreté...).

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  • Les raisons d’ordre non méthodologiques et liées aux pays étudiés qui font qu’ils existent des disparités dans les resultats est qu’il existe des différences entre les méthodes (méthodes couts et perte brut de production et la disponibilité à payer ).Ainsi les réponses issues de ces méthodes peuvent être subjective ou objectives en fonction des situations basées sur des faits réels ou supposés.

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  • parmis les paramètres d’estimation ; le niveau de développement du pays considéré, par exemple entre le Portugal et la France le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20.

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  • Il existe des disparités dans les résultats selon les pays étudiés pour plusieurs raisons :
    - Pour pouvoir faire une comparaison entre les pays, il faudrait que les salaires soient convertis en une monnaie commune comparable mais aussi en terme de parité de pouvoir d’achat.
    - Les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis. Or, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays.
    - Plus les interviewés ont des revenus importants, plus ils ont tendance à payer plus. Pour les personnes ayant des revenus supérieurs, même si la probabilité d’occurrence est faible, ils peuvent se servir du revenu qu’ils leur reste après la consommation des biens et services les plus élémentaires pour se prémunir contre ce risque.tandis que les personnes les plus pauvres ne peuvent se payer que les biens les plus élémentaires et leur salaire ne leur permet pas de payer pour se prémunir du risque

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  • dans le cas d’une étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute, il faut tenir compte du niveau du développement du pays, il faut également que les salaires soient converti dans une même monnaie commune en tenant compte du taux de change et du pouvoir d’achat. dans les pays développés, les personnes avec un important revenu sont disponible à payer plus.

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  • Ce tableau donne une comparaison mais a omis de prendre en compte la parité du pouvoir d’achat et les facteurs de conversion . Et la priorité accordée aux conséquences éventuelles de la pollution . on constate plus le revenu des personnes interrogées est important plus elles sont disposées à payer

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  • La raison, pour laquelle dans l’ordre non méthodologique existent de telles disparités dans les résultats des estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine est : liée principalement aux ordres monétaires divers. En l’utilisation du coût brut de production, dans une étude déterminée nécessite que : (1) les revenus monétaires y afférents au coût de productions doivent s’unifier, une unification signifie là, vers conversion à une monnaie commune pour entretenir les échanges et les comparaisons entre pays ; (2) en termes de La parité de pouvoir d’achat (PPA) qui permettent d’exprimer dans une unité commune les pouvoirs d’achat des différentes monnaies. Ce taux exprime le rapport entre la quantité d’unités monétaires nécessaire dans des pays différents pour se procurer le même « panier » de biens et de services « parité de pouvoir d’achat ».
    A une échelle plus précise, les individus à faible revenus se focalisent sur priorités élémentaires, et se permettent des payements contre les risques faibles. Contrairement aux individus à revenus forts, avec une estimation d’occurrence faible, peuvent utiliser la majoration de leurs salaires pour se protéger des risques.

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  • Les 2 raisons d’ordre non méthodologiques liées aux pays étudiés :
    - les différences de niveau de développement des pays considérés (la perte de production a cause du décès d’un américain est supérieure à la perte de production d’un portugais).
    - le niveau de revenus et de formation de la personne interrogée.

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  • Il existe de telles disparités dans les résultats dans la mesure où la première catégorie est celle des évaluations institutionnelles élaborées par les Etats ou les secteurs économiques comme, par exemple, les compagnies d’assurance ou les compagnies aériennes. Ces évaluations institutionnelles correspondent à un point de vue extérieur à la personne humaine, celle-ci étant considérée essentiellement comme un agent économique.

    La deuxième raison est la catégorie d’évaluations correspond à un point de vue individuel et subjectif où des personnes interrogées expriment un point de vue, lui-même entaché d’artefact.

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  • Il existe des disparités dans les résultats pour deux raison d’ordre non méthodologiques et liées aux pays étudiés eux-mêmes et ces raisons sont : premièrement la façon dont les salaires sont représentés dans une étude impliquant les couts et les pertes or les salaires doivent être représenté en une même monnaie pour pouvoir réaliser les comparaisons autrement dit il faut prendre en considération les taux de changes local et le pouvoir d’achat et cela pour éliminer les écarts de prix entre pays. Les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis, or Alberini, Cooper et al ont mentionnés qu’on ne peut pas comparer des analyses dans les pays en voie de développement à celles des Etats-Unis c’est pour cela il faut mener des études spécifiques à chaque pays. Deuxièmement, on ne peut pas appliquer ce que l’on trouve dans les pays développés sur les pays en voie de développement ou ceux moins développés même ci généralement la distribution des revenus dans les sociétés est la même, parce que plus les revenus des personnes inclus dans l’étude est élevé plus leur disponibilité a payer pour prévenir un risque de maladie liée a la pollution est plus important et par la suite les pauvres ne peuvent pas payer que leurs besoin élémentaires dites banale.

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  • Deux éléments sont à prendre en compte, le niveau de développement d’un pays. Plus tôt nous avons vu que plus une personne avait un salaire haut, plus elle était disposée à payer, je pense que ce rapprochement peut se faire dans cette situation. Le deuxième fait à prendre en compte ce sont les différences culturelles, de religions, de salaires, le niveau de vie, le niveau de pollution ou encore les différences de devises…

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  • Nous pouvons citer les deux raisons : - la non prise en compte de certains paramètres tels que la parité de pouvoirs d’achats et les facteurs de conversion - la priorité accordé aux éventuelles conséquences de la pollution selon le niveau de revenu de personnes sondés.

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  • La disparité dans les résultats de cette étude existe dans le fait que, on a faire une considérations globale sur les pays étudiés. Il y a deux raisons qu’on pourrait souligner. La première c’est que chacun de ces pays a un niveau de développement différent. Le niveau de développent va influencer le niveau de vie par rapport au revenue. La deuxième c’est le fait qu’on est basé simplement sur la référence des Etats-Unis.

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  • La méthode institutionnelle de perte de productivité, prend en considération dans cette méthode le revenu du salarié avec une actualisation de ces revenus pour obtenir le prix réel. On imagine que les salaires ne sont pas les mêmes dans ces pays ce qui a donné une grande disparité dans les résultats.

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  • Les raisons non méthodologiques par rapport aux disparités des résultats consistent : D’une part le degré de développement du pays considéré. D’autre part ; les différences de priorité des pays en développement par rapport à la protection de l’environnement et la croissance économique. De ce fait, les estimations formelles de la valeur de la vie pour un pays à forte croissance économiques doivent être plus élevé comparativement à ce des pays en développement.

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  • Les raisons d’ordre méthodologique pourraient être multiples comme expliqué dans le document Alberini, Cropper et al, dans la mesure ou le niveau de développement n’est pas le même dans chaque pays. Ces disparités dans les résultats sont la résultantes du niveau de développement des pays, les préférences de chaque pays. Dans les analyses d’Alberini, on observe que le consentement à payer croit avec le niveau de formation et le revenu de la personne interviewée. Ce qui explique que plus l’individu est instruite, plus elle est disposée à payer pour éviter la maladie, pour des raison économiques ( perte de l’emploi, perte du salaire), et plus le revenu est élevé, plus l’individu est prêt à payer une somme plus ou moins forte.

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  • Les raisons non méthodologiques de cette disparité sont :
    - à un problème de conversion de monnaie entre les pays
    - le degré de développement du pays
    - plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte

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  • Différentes raisons non-méthodologiques, et donc liés aux pays en eux-mêmes, expliquent les disparités observées dans les résultats. Ainsi, le niveau de développement des pays joue un rôle prépondérant. Un gouvernement plus riche sera ainsi plus à même d’investir pour protéger la vie de ses concitoyens. Des facteurs socio-culturels peuvent également entrer en jeu, rn conférant à la vie humaine une valeur plus ou moins élevée.

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  • Il existe des disparités dans les résultats pour une raison d’ordre non méthodologique et liée aux pays étudiés eux mêmes. En effet, il y a une grande différence de résultat selon le niveau de développement du pays considéré.
    Les auteurs Alberini, Cooper et al. indiquaient que les résultats n’avaient pas de raison d’être identique entre pays développés et pays en voie de développement. C’est pourquoi il était nécessaire d’effectuer des études dans chacun des types de pays.
    N’ayant pas les mêmes conditions de vie, il est normal de constater de grandes disparités dans les résultats des études effectuées entre les différents pays.

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  • La méthode institutionnelle de perte de productivité, prend en considération dans cette méthode le revenu du salarié avec une actualisation de ces revenus pour obtenir le prix réel. On imagine que les salaires ne sont pas les mêmes dans ces pays ce qui a donné une grande disparité dans les résultats.

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  • la première raison c’est le niveau de développement du pays considéré une grande disparité des résultats mémé si celle ci présente une liste des pays développés
    la seconde raison est La qualité de la vie et le consentement à payer, certains perte ,due à des atteintes physiques non létales, ne sont pas chiffrées.

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  • C’est d’abord pour arriver à une pure comparaison de volumes, il est important de recourir à des facteurs qui soit capable d’éliminer les effets des écarts de prix entre pays. Car, les parités de pouvoir d’achat (PPA) sont des taux de conversion des monnaies des pays : Les PPA transforment les indicateurs économiques exprimés en monnaie nationale monnaie commune fictive qui est le standard de pouvoir d’achat, qui fait égalité entre les pouvoirs d’achat des différentes monnaies nationales. L’objet principal de cette étude est d’évaluer les bénéfices de la prévention de maladies respiratoires liées à la pollution de l’air.
    En suite, les personnes les plus pauvres ne peuvent souvent se payer que les biens et services les plus élémentaires, et accepter de payer pour se prémunir contre un risque dû à une pollution est d’autant plus faible que la probabilité d’occurrence l’est également. Pour les personnes ayant des revenus supérieurs, même si la probabilité d’occurrence est faible, ils peuvent se servir du revenu qu’ils leur reste (en général encore important) après la consommation des biens et services les plus élémentaires pour se prémunir contre ce risque.

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  • Le développement d’un pays indique bien le niveau social de la population, et le pouvoir d’achat est caractéristique au pays lui-même qui est reflété par le salaire ; donc pour comparer il faut donner le même salaire ou le convertir non seulement dans une monnaie commune pour effectuer les comparaisons entre pays, mais également en termes de parité de pouvoir d’achat ceci donnera une meilleure comparaison entre pays. On ne peut ramener les résultats d’étude faites dans un pays développé à un pays en voie de développement, les études doivent se réaliser dans les pays eux même car seuls les habitants sont capables de classer leurs préférences en ordre de priorité. En effet, les parités de pouvoir d’achat sont des taux de conversion des monnaies : elles transforment les indicateurs économiques exprimés en monnaie nationale en une monnaie commune fictive, appelée « standard de pouvoir d’achat » (SPA), qui égalise les pouvoirs d’achat des différentes monnaies nationales. Ce n’est pas le cas dans ce tableau comparatif... à ce sujet, l’étude menée par Alberini, Cooper et al., article « évaluer effets sur la sante pollution atmosphérique dans les pays développés ») insiste bien, en introduction (« contexte et objectifs de l’étude », p.11) sur le fait qu’ « en général, les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis. Pourtant, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. En effet, meme si on retrouve, souvent dans les pays développés, à peu près la même distribution des revenus dans la société, on sait qu’un des biais réside dans le fait qu’en moyenne, plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte. Les personnes les plus pauvres ne peuvent souvent se payer que les biens et services les plus élémentaires, et accepter de payer pour se prémunir contre un risque dû à une pollution est d’autant plus faible que la probabilité d’occurrence l’est également. Pour les personnes ayant des revenus supérieurs, même si la probabilité d’occurrence est faible, ils peuvent se servir du reste de son revenu après la consommation des biens et services les plus basiques pour se garantir contre ce risque.

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  • Il existe de telles disparités dans les résultats puisque, plus les personnes ont des revenus importants, plus leur disponibilité, à payer sera plus importante, ils peuvent se servir de leurs revenus pour se protéger contre les risques du à la pollution environnementale.
    Les pauvres par contre ne se permets pas, ils ne peuvent se payer que les biens et services les plus élémentaires, et accepter de payer pour se protéger contre un risque dû à une pollution est très faible y’auna même qui pensent même pas.

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  • Une des raisons d’existence de ces disparités est élucidée dans l’article de Cooper et al :
    En général, les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis. Or, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. L’évaluation contingente étudiée ici se situe dans ce cadre. L’objet de cette étude est d’évaluer les bénéfices de la prévention de maladies respiratoires liées à la pollution de l’air ;
    La deuxième raison non méthodologique est que l’étude est menée dans les pays développés, dont la moyenne des habitants ont des revenus élevés et donc une disponibilité à payer meilleur, et cela est en lui même un biais car les démunis et ceux dont le revenu est faible n’ont presque aucune contribution pour une disponibilité à payer.

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  • Une telle disparité peut s’expliquer par plusieurs raisons :
    - La première raison se trouvant dans l’article d’Alberini, Cooper et al, raison d’ordre méthodologique lié niveau de développement du pays considéré .

    - La deuxième raison non méthodologique liée au niveau du revenu, les personnes qui ont des revenus élevés auront une grande disponibilité à payer que les personnes pauvres qui se limiteront qu’à payer les biens et les services les plus essentiels.

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  • La disparité des résultats "des estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine » se repose sur deux principales raisons d’ordre non méthodologique /ou deux paramètres suivants :
    - le niveau de développement de chaque pays (la différence des niveaux de vie entre les pays ) est un facteur important qui influence sur la capacité d’un pays a améliorer les actions en santé publique.

    - le niveau de vie des individus de chaque pays dépend notamment du niveau des revenus des ménages et de leurs pouvoirs d’achat. Ces paramètres ont une influence alors sur le degré de perception du risque sanitaire chez les individus et leur capacité d’investir pour protéger la santé et améliorer le bien-être commun.

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  • La méthode institutionnelle suppose de prendre en compte l’individu uniquement comme un agent économique.
    Or le niveau de vie et le niveau de développement des pays ne sont pas les mêmes (richesse du pays, PIB). Partant de là, les revenus sont différents
    De même, l’espérance de vie n’est pas similaire

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  • Cette disparité existe car, Le niveau de développement des pays diffère et cela se répercute sur le niveau de vie des individus de chacun de ces pays et donc les revenues des personnes différentes et ils n’ont donc pas le même pouvoir d’achat, plus ils ont des revenues élevés, plus ils sont disponibles à payer une somme plus importante, ce qui se répercute aussi sur leurs espérances de vie et leurs bien-être.

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  • les raisons d’ordre non méthodologique ;
    1) plus l’individu est formé plus il est prêt a payer pour éviter la maladie et plus le niveau de revenu est élevé plus il est prêt a payer plus .
    2) le niveau de développement de chaque pays

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  • La disparité des résultats "des estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine » repose sur deux principales raisons d’ordre non méthodologique :
    - Comme vu précédemment, le niveau d’éducation et de revenus des individus influence leur perception du risque sanitaire et par conséquent leur "consentement à payer" pour diminuer les risques pour leur santé et celle de leurs concitoyens. Ainsi, la disparité peut s’expliquer par la différence de revenus entre les pays étudiés (son niveau de développement)

    - De plus, pour pouvoir faire des comparaisons entre les pays, il faut parler la même langue, et en l’occurrence, la même monnaie. Néanmoins, toutes les monnaies n’ont pas la même "puissance", le pouvoir d’achat des individus peut être très disparate, y compris après avoir converti en monnaie commune. Il s’agit d’un biais classique, disons, "Occidentalo-centré"

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  • - Le premier paramètre est le niveau de développement du pays considéré. Entre le Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20. ce qui va induire une grande disparité entre les pays.
    - Le niveau de vie en générale dans chaque pays et la distribution des revenus aura un impact énorme sur la CAP.

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  • La raison d’ordre non méthodologique à l’origine de telles disparités est liée d’une part au niveau de développement des pays considérés et d’autre part aux habitudes socioculturelles de chaque peuple.
    En effet, dans les pays à niveau de développement élevé où la population a un fort pouvoir d’achat, la valeur statistique de la vie humaine calculée est plus élevée. Nous avons l’exemple de celle des Etats-Unis largement supérieur à celle du Portugal. La différence de monnaie entre pays de même que les taux de change qui varient d’un pays à un autre jouent également sur les résultats.
    Selon l’article d’Alberini, Cooper et al., les préférences ne sont pas les mêmes d’un pays à un autre. Ceci traduit les habitudes culturelles et pratiques différentes qui influent sur les résultats.

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  • les deux raisons principales sont l’absence d’une monnaie commune qui faciliterait les comparaison entre pays et la disparité des revenus des individus au sein d’un même pays.

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  • La disparité des résultats peut être imputée à la différence entre le niveau de revenu des pays étudiés.

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  • Il faut convertir les salaires dans une monnaie commune et en terme de parité pouvoir d’achat.
    les préférences diffères entre pays en voie de développement et pays développé donc il faut mener des études dans chaque type de pays. en générale, on sait que les personnes pauvres sont prêtes à payer moins que les personnes ayant un revenu important

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  • Il existe deux raisons principales non méthodologiques liées aux pays étudiés qui expliquent la disparité des résultats :
    La première est la prise en compte du niveau du développement du pays, plus ce dernier est élevé, plus le revenu moyen est important et donc la disponibilité à payer est élevée.
    La deuxième raison citée dans l’article d’Alberini est que le plus souvent les études sont menées aux USA et les résultats trouvés sont extrapolés dans d’autres pays sans pendre en compte que les préférences ne sont pas forcément les mêmes partout et donc l’idéal est de faire ces études dans ces pays là.

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  • - dans le cas d’une étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute, les salaires doivent être « convertis » non seulement dans une monnaie commune (en utilisant les taux de change) pour effectuer les comparaisons entre pays (comme c’est le cas dans ce tableau), mais également en termes de « parité de pouvoir d’achat ». (cf. Eurostat : « les taux de change sont déterminés par de nombreux facteurs liés à l’offre et à la demande sur les marchés des changes, tels que le commerce international et les écarts entre les taux d’intérêt. En d’autres termes, les taux de change reflètent généralement d’autres éléments que les seules différences de prix. Afin de parvenir à une pure comparaison de volumes, il est essentiel de recourir à des facteurs de conversion spécifiques (déflateurs spatiaux) qui éliminent les effets des écarts de prix entre pays. Les parités de pouvoir d’achat (PPA) sont des taux de conversion des monnaies : elles transforment les indicateurs économiques exprimés en monnaie nationale en une monnaie commune fictive, appelée « standard de pouvoir d’achat » (SPA), qui égalise les pouvoirs d’achat des différentes monnaies nationales. »). Ce n’est pas le cas dans ce tableau comparatif... à ce sujet, l’étude menée par Alberini, Cooper et al., (cf. article « evaluer effets sur la sante pollution atmospherique dans le spays développés ») insiste bien, en introduction (« contexte et objectifs de l’étude », p.11) sur le fait qu’ « en général, les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis. Or, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. L’évaluation contingente étudiée ici se situe dans ce cadre. L’objet de cette étude est d’évaluer les bénéfices de la prévention de maladies respiratoires liées à la pollution de l’air » ;

    - même si on retrouve, souvent dans les pays développés, à peu près la même distribution des revenus dans la société, on sait qu’un des biais (en dehors du biais dû au fait qu’on ne traduise pas les disponibilités à payer en PPA, voir ci-dessus) réside dans le fait qu’en moyenne, plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte. Les personnes les plus pauvres ne peuvent souvent se payer que les biens et services les plus élémentaires, et accepter de payer pour se prémunir contre un risque dû à une pollution est d’autant plus faible que la probabilité d’occurrence l’est également. Pour les personnes ayant des revenus supérieurs, même si la probabilité d’occurrence est faible, ils peuvent se servir du revenu qu’ils leur reste (en général encore important) après la consommation des biens et services les plus élémentaires pour se prémunir contre ce risque.

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  • Cela tient :

    -  au niveau de développement des pays considérés ; la valeur de la vie humaine ne sera pas la même dans un pays développé que dans un pays en voie de développement

    -  au niveau de revenu, au niveau des prix , aux caractéristiques individuelles et à la nature et à la durée des affections considérées (maladies aigües ou chroniques) ainsi qu’aux taux d’actualisations retenus De façon générale les contextes de chaque pays sont différents, par exemple les types de prise en charges médicales, les coûts des soins, les assurances, la répartition des types de métiers (industriels, ruraux, tertiaires etc..) etc....donc les composants des coûts externes considérés vont différer.

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  • Les raisons d’ordre non méthodologiques sont :
    - des différences de niveau de développement des pays
    - le niveau de revenus
    - le niveau de formation de la personne interrogée
    Le taux d’actualisation est d’une grande importance également.

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  • Certaines méthodes font appellent à des individus qui ne sont pas représentatifs de la population globale et négligent les rapports de force qui existe sur le marché et le risque subit par les populations à faibles revenus.
    De plus, ce tableau compare des résultats suivant des méthodes d’étude différentes : la méthode de coût et perte de production bruts qui considère les personnes comme des agents économiques producteur de richesse ou d’un manque à gagner tandis que la méthode disponibilité à payer tient compte des biais cognitifs humain.
    Enfin, bien que tous ces pays sont situés en Europe, le niveau d’éducation notamment sur les questions de santé est inégal d’un pays à l’autre et donc le consentement à payer s’en trouve impacté.

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  • La première raison pour laquelle on observe une disparité dans les estimations de la valeur statistique de la vie entre différents pays est le niveau de développement économique de chaque pays. Par exemple, le rapport entre les estimations de la valeur de la vie humaine au Portugal et en France est de 1 à 20. Les différences de niveau de revenus entre les pays étudiés entrainent des estimations de la valeur de la vie plus élevées dans les pays où le niveau de vie et de revenus est plus élevé. En effet, plus le niveau de revenu est grand, plus l’estimation de la valeur statistique de la vie sera élevée.

    La deuxième raison pour la disparité dans les estimations de la valeur statistique de la vie est liée à la proximité ou non des individus par rapport à une zone polluée. Les personnes qui vivent loin des zones polluées sont généralement plus conscientes des conséquences d’une incapacité due à la pollution que celles qui vivent à proximité ou dans ces zones. En effet, le fait de vivre près d’un danger peut conduire à s’y habituer et finir par ignorer ses effets ou ses conséquences, alors que l’observation à distance de phénomènes de pollution permet de prendre conscience des effets que l’on peut subir en termes d’incapacité ou de maladies liées à cette pollution. Cette prise de conscience peut entraîner une estimation plus élevée de la valeur statistique de la vie.

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  • La disparité des estimations de la valeur statistique de la vie entre différents pays peut s’expliquer par deux raisons principales. La première est le niveau de développement économique de chaque pays. Par exemple, les estimations de la valeur de la vie humaine en France peuvent être vingt fois plus élevées qu’au Portugal en raison de la différence de niveau de vie et de revenus entre ces deux pays. En effet, plus le niveau de revenu est élevé, plus la valeur statistique de la vie tend à être élevée.
    La deuxième raison est liée à la proximité des individus par rapport à une zone polluée. Les personnes qui vivent loin des zones polluées sont généralement plus conscientes des conséquences d’une incapacité due à la pollution que celles qui vivent à proximité ou dans ces zones. Le fait de vivre près d’un danger peut conduire à s’y habituer et finir par ignorer ses effets ou ses conséquences, tandis que l’observation à distance de phénomènes de pollution peut conduire à une prise de conscience des effets que l’on peut subir en termes d’incapacité ou de maladies liées à cette pollution. Cette prise de conscience peut entraîner une estimation plus élevée de la valeur statistique de la vie.

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  • La raison d’ordre non méthodologique est lié à la différence de développement des différents pays dans lesquels on effectué cette estimation

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  • Les deux raisons à mentioner sont :
    - Celles qui liées aux différences de niveaux de développement économique et social entre les pays étudiés. En effet, les pays plus développés ont tendance à accorder une plus grande valeur à la vie humaine que les pays en développement, en raison de leur niveau de richesse et de leur système de protection sociale plus avancé. Cela peut se refléter dans les estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine, qui peuvent être plus élevées dans les pays développés que dans les pays en développement.
    - Celles qui liées aux différences culturelles entre les pays étudiés. Les valeurs et les normes culturelles peuvent influencer la manière dont les individus et les institutions perçoivent la valeur de la vie humaine. Par exemple, ce que nous pouvons voir à partir de l’étude d’Alberini, Cooper et al. est une société qui accorde une grande importance en terme du CAP vers le bien-être de la famille et de la communauté peut avoir une vision différente de la valeur de la vie humaine par rapport à une société qui valorise davantage l’individualisme et la réussite économique.

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  • Il faut considérer que, dans chaque Pays, en particulier dans les Pays en voie de développement, les sommes que la société est prête à payer seront différentes, selon le revenu des populations. Il y’a aussi les différences culturelles qui déterminent le rapport des populations à l’environnement et à la santé.
    Il est aussi important de considérer que, dans chaque Pays, il y a des monnaies différentes et, même si dans le tableau il a été opérée une conversion en monnaie unique, le pouvoir d’achat entre pays est différent.

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  • - Les pays ont des économies et des niveaux de développement différents. Les valeurs attribuées à la vie humaine peuvent être influencées par le niveau de richesse et le développement économique d’un pays. Par exemple, les pays développés peuvent avoir des estimations plus élevées de la valeur statistique de la vie humaine en raison de leur capacité à investir davantage dans la sécurité et la santé, tandis que les pays en développement peuvent avoir des estimations plus basses en raison de ressources limitées et de priorités concurrentes.
    - La monnaie et le taux d’échange au niveau international constituent des obstacles pour les pays en développement, affaiblissant ainsi leur pouvoir d’achat et ayant un impact négatif sur la valeur attribuée à la vie humaine, qui tend à être plus faible dans ces contextes

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  • En dehors de raisons d’ordre méthodologique, les disparités observées entre les pays peuvent s’expliquer par le fait que la méthode institutionnelle qu’elle soit basée sur les pertes productives ou la disponibilité sociale à payer sera influencée par le niveau de développement du pays considéré – au sein duquel, il faudra considérer : le niveau de développement économique, l’inflation, le pouvoir d’achat ou encore l’indice de développement humain).
    Dans l’article d’Alberini, Cooper et al., il est indiqué « qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. ».

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  • Première raison : Dans le cadre d’une étude utilisant les coûts et les pertes de production brute, les salaires doivent être convertis non seulement en une monnaie commune pour les comparaisons entre pays, mais également en termes de parité de pouvoir d’achat. Cependant, cette conversion n’est pas effectuée dans le tableau comparatif, ce qui peut biaiser les résultats. L’étude d’Alberini, Cooper et al. souligne l’importance de mener des études originales dans les pays en développement pour éviter de transférer aveuglément des valeurs trouvées aux États-Unis.

    Deuxième raison : Bien que la distribution des revenus soit généralement similaire dans les pays développés, un biais notable réside dans le fait que, en moyenne, les personnes ayant des revenus plus élevés ont une disponibilité à payer plus élevée. Les personnes à revenu plus faible, limitées dans leur capacité à se procurer des biens et services, ont une disponibilité à payer plus faible pour se prémunir contre les risques liés à la pollution, en particulier lorsque la probabilité d’occurrence est faible. Les individus à revenu plus élevé, même avec une faible probabilité d’occurrence, peuvent utiliser leur revenu excédentaire pour se protéger contre ces risques.

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  • Les disparités dans les estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine s’expliquent en grande partie par les différences de niveau de développement économique entre les pays étudiés. Les économies plus avancées peuvent accorder une valeur plus élevée à la vie humaine en raison de ressources financières plus importantes et de priorités politiques différentes. Outre le développement économique, les différences culturelles et sociales contribuent également à ces variations, reflétant la diversité des perspectives sur la valeur intrinsèque de la vie et la perception des risques et des avantages.

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  • Les disparités dans les résultats des estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine, telles que présentées dans le tableau (p.353), peuvent être attribuées à des facteurs non méthodologiques liés aux pays étudiés eux-mêmes. Voici quelques points clés :

    1. Conversion des salaires et transfert de valeurs entre pays : Dans le cas d’une étude utilisant les coûts et pertes de production brute, les salaires doivent être convertis dans une monnaie commune en utilisant les taux de change. Cependant, il est également important de prendre en compte la parité de pouvoir d’achat (PPA) pour éliminer les effets des écarts de prix entre les pays. Cela n’a pas été fait dans le tableau comparatif, ce qui peut introduire des distorsions dans les comparaisons entre pays. Aussi, dans certains cas, les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux États-Unis vers d’autres pays. Cela peut être problématique, car les préférences dans les pays en développement peuvent différer de celles des États-Unis. Les différences culturelles, économiques et sociales entre les pays peuvent influencer les valeurs attribuées à la vie humaine.

    2. Distribution des revenus : Une tendance est observée, en particulier dans les pays développés, selon laquelle les personnes interrogées avec des revenus plus élevés ont une disponibilité à payer plus importante. Cela pourrait être dû au fait que les personnes ayant des revenus plus élevés ont davantage de ressources disponibles après la satisfaction de leurs besoins essentiels. En revanche, les personnes à revenu plus faible peuvent avoir des contraintes financières qui limitent leur disponibilité à payer.

    En résumé, les disparités dans les résultats peuvent être influencées par des facteurs liés à la conversion des salaires, au transfert de valeurs entre pays et à la distribution des revenus, ces facteurs étant associés aux caractéristiques économiques, culturelles et sociales propres à chaque pays étudié.

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  • dans les estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine peuvent être dues à des différences économiques entre les pays. Les niveaux de vie et les coûts varient, ce qui influence les estimations. De plus, les attitudes culturelles et sociales envers la valeur de la vie humaine diffèrent d’un pays à l’autre, contribuant également aux disparités. Ces variations reflètent les spécificités de chaque pays et de sa société.

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  • Les disparités entre les pays étudiées peuvent s’expliquer par plusieurs raisons :
    - Le niveau de développement du pays qui influence le coup de la vie et donc les niveau de revenu ;
    - La prise en charge de la dimension qui peut être différent d’un pays à l’autre ;
    - Les niveaux de pollution.

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  • Les facteurs non méthodologiques, ainsi que les caractéristiques particulières des pays étudiés, peuvent contribuer à des différences dans les estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine (VSL) entre les pays. La littérature évoque souvent deux raisons principales, dont une peut être trouvée dans l’article d’Alberini, Cooper et al. :

    Les différences de revenu et de niveau de développement peuvent être affectées par les disparités économiques entre les pays. Les personnes avec un niveau de revenu plus élevé peuvent avoir une plus grande capacité à payer pour des mesures de sécurité et de santé, ce qui peut entraîner des valeurs de VSL plus élevées. À l’inverse, dans les pays moins développés économiquement, les valeurs de la VSL peuvent être relativement plus faibles en raison de ressources limitées et d’autres priorités budgétaires.
    Cultures et Valeurs Sociales : Les différences culturelles et sociales entre les nations peuvent également influencer la façon dont les gens perçoivent la valeur de la vie. Les préférences en matière de risque, la sensibilité aux problèmes de santé et la valeur intrinsèque de la vie peuvent varier d’une culture à l’autre, ce qui a un impact sur les estimations de la VSL.

    L’article d’Alberini, Cooper et al. pourrait fournir des détails supplémentaires sur les facteurs qui ont contribué à la différence observée. Cependant, il est courant que les études sur la VSL prennent en compte ces facteurs non méthodologiques et les ajustent autant que possible afin de rendre les comparaisons entre les pays plus équitables. Cependant, ces modifications peuvent ne pas toujours refléter toutes les subtilités culturelles et socio-économiques.
    Il est essentiel de reconnaître que la VSL est un concept complexe et que diverses considérations économiques, sociales et culturelles peuvent influencer les résultats des estimations, conduisant à des disparités entre les pays.

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