Les personnes interrogés sont moins sensibles aux effets d’un rhume (c’est-à-dire, ici, qu’ils semblent moins disposés à payer pour éviter la maladie), puisque celui-ci n’est, en général, pas très contraignant, que ce soit pour les travailleurs (qui continueront à aller travailler avec le rhume) que pour les autres (les frais médicaux sont en général faibles pour un rhume, quand il y en a même !), qu’aux effets d’une autre maladie, en général plus contraignante (bronchite, angine...) qui obligerait les travailleurs à arrêter de travailler ou aux autres de payer plus cher les frais médicaux.
Dans le tableau liant « variables explicatives » et « variation du CAP » : pourquoi, d’après vous, « le fait d’avoir un rhume réduit le CAP de 33% environ par rapport à toute autre maladie » alors que « le fait d’avoir une maladie chronique ou une maladie respiratoire grave accroît le CAP » ?