Dans quel sens (surestimation ou sous-estimation du coût externe global) ?
On peut supposer qu’on va prendre en compte deux fois les effets d’une même pollution (via les phénomènes de pollution diffuse) : dans le calcul du coût externe d’un combustible dû à cette émission de polluant proprement dite, et dans le calcul du coût externe d’un même combustible, dû cette fois à une pollution qu’on attribue exclusivement à un autre polluant alors que « le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant » (cf. ci-dessus l’exemple des pollutions au NOx et au SOx). On risque donc, cette fois-ci, de surestimer le coût externe global d’un combustible.
Dans quel sens (surestimation ou sous-estimation du coût externe global) ?
Dans le sens d’une surestimation du coût externe global.
Il y a une sous estimation dans le cas où les dommages occasionnés par un polluant sont attribués à un autre (exemple du NOx et SOx) mais dans des proportions ou des valeurs en dessous de la réalité observable sur le terrain.
Dans ce cas-là je pense que les coûts vont se retrouver surestimés car ils vont être cumulés alors que certains effets sont dus à plusieurs polluants combinés.
Le cout externe global est estimé dans le sens de la surestimation.
En réalité, il peut se produire une surestimation ou une sous-estimation du coût externe global selon les cas. En effet, si lors du processus d’agrégation, il a été attribué un plus fort coefficient aux effets externes d’une source alors que la contribution de cette source est en réalité plus faible, alors il se produira une surestimation. Si à l’opposé, des on sous-estime la contribution d’une source lors de l’agrégation, le coût externe global sera sous-estimé. Un mélange de ces situations peut avoir également lieu.
A mon avis, cette méthode sous-estime le coût externe global car elle ne prend pas en compte les dommages causés par l’interaction des polluants entre eux.
Il y a une sous estimation dans le cas d’effet synergique des polluants, mais il y a une sur estimation si les dommages occasionnés par un polluant sont attribués à un autre (exemple du NOx et SOx).
on sous-estime le cout dans le sens de l’énergie éolienne et les produits à effet de serre. on surestime le cout externe globale par le calcule d’actualisation.
ne comprends pas
La sous estimation du coût global est due à un déficit de données qui contraste avec extrême minutie les travaux concernant le nucléaire.
Le risque est calculé, à partir de la relation linéaire sans seuil, en tenant compte des effets cancérogènes et génétiques provoqués par l’irradiation subie par les travailleurs professionnels et par
l’ensemble de la population. Ce type d’estimation surestime notablement les risques dus à l’irradiation à faible dose et donnent une grande marge de sécurité. A l’opposé, ce type de calcul n.est pas utilisé par les agents chimiques génotoxiques et cancérogènes produits par les autres agents.
Dans le sens ou elle pourrait fausser l’évaluation des impacts des politiques
de réduction des émissions polluantes.
Si les variables ne sont indépendantes, le calcul global est biaisé et donc sous estimé car les interactions entre polluants peuvent traduire des potentialisations d’effets, des synergies, des additions, etc....
Considérer les coûts comme la résultante de composantes indépendantes conduit à sur-estimer le coût global externe.
Cela sous-estime le coût externe global.
Cela peut aussi bien être dans le sens de surestimation ou de sous-estimations en fonction du type d’interaction. En effet, l’interaction peut aboutir à des composants plus dangereux pour la santé ou pour l’environnement. Dans ce cas, le cout global sera plus important. Dans le cas contrair, elle pourrait aboutir à une annulation ou attenuation des effets. On constatera alors une reduction du cout global.
L’évaluation monétaire des coûts externes est beaucoup moins précise que celle des coûts privés fondés sur une comptabilité analytique.
En effet, il existe rarement un système de prix auquel se référer, donc des méthodes de substitution sont mises en place pour évaluer monétairement les coûts externes : par exemple questionnaires précis révélant les préférences des consommateurs (analyse contingente, au moyen des consentements à payer )..
L’addition des coûts externes nécessite donc de grandes précautions pour ne pas introduire trop d’incertitudes.
Dans le cadre d’ExterneE cette prudence dans la détermination des coûts externes des différentes composantes du coût global est prise en considération dans la mesure où le choix se porte systématiquement sur les valeurs les plus élevées pour l’évaluation des dommages.
De plus, les opérations prises en compte dans le calcul sont relativement exhaustives.
Dans l’ensemble, on peut penser que la méthodologie retenue a tendance à surestimer les résultats.
Personnellement, je ferais simplement la remarque que le nucléaire est évalué en terme d’effets sur la santé humaine mais pas de pollutions sur les écosystèmes ; et pour le pétrole, les conséquences des accidents telles des marées noires semblent faibles au regard des évaluations sur la santé : cela m’interroge quand même.
Le biais va dans le sens de la surestimation
dans la mesure où tous les paramètres ne sont pas pris en compte ou d’autres sont mis combinés, il peut y avoir sous estimation ou surestimation.
Surestimation, du fait que les coûts externes dérivent de systèmes de prix ou sont forgés à partir de méthodes de substitution, et aussi des incertitudes entachant les évaluations des coûts privés et de coûts externes.
il est difficile de dire si c’est une surestimation ou s’il s’agit d’une sous estimation à partir du moment ou lorsque les polluants agissent ensemble (effet cocktail) ; il y a des réactions de synergie, d’additivité des actions, d’antagonisme etc.
Surestimation des résultats : Un même polluant peut entrer dans la fabrication de plusieurs produits matériaux ; en faisant ce calcul pour le même polluant, il se peut qu’il y ait surestimation des coûts !
La comptabilité analytique des entreprises permet de cerner avec une erreur très faible les coûts de production. L’ incertitude provient essentiellement des règles et des méthodes comptables utilisées.
Les coûts privés de production sont calculés par les exploitants. Ils dépendent du système de prix des facteurs et des biens de production. Ils sont également tributaires des conventions comptables internes à l’entreprise, conventions elles-mêmes issues de choix nationaux en la matière.
L’addition des coûts nécessite donc des précautions.
Peut on additionner chacun des coûts externes pour avoir le coût global ?
Il existe une solution théorique à cette question. Mais elle difficile à mettre en œuvre, car elle suppose en tout état de cause que les composantes du coût soient des variables indépendantes pour éviter les surestimation ou des sous estimations du cout global.
dans le sens de la surestimation du coût externe
ce biais tend à sous-estimer le cout externe global (en tenant compte de la réponse-type à la question 8, et non de ma réponse)
il y a surestimation du coût externe global car la somme de chacun des coûts mesurés séparément est plus élevée qu’une évaluation globale de l’ensemble des couts.
Sous-estimation.
L’étude ExternE ne peut que refléter l’indépendance supposée des effets des polluants.
surestimation du coût externe global car ainsi on calculerait deux fois la même variable.par exemple, dans le texte le cas du NOx et du SOx. le démontre clairement.
Dans le sens ou une estimation des effets de deux produits jumèleraient les perceptions alors que les prendre en compte séparément donnerait une estimation bien mesurée de chacun d’eux.
Cela pourrait aussi constituer une sur estimation dans le cas des effets jumelés de deux produits qui séparément ne donnerait pas l’estimation réelle. Exemple de des SOx et NOx
Sous-estimation ou sur-estimation selon les cas.
Surestimation : il y a eu une prudence sytématique qui consiste à considérer de manière répétée, les valeurs les plus élevées pour les dommages.
Surestimation : dans le cadre des études ExternE, les valeurs les plus élevées ont toujours été utilisées par mesure de prudence.
Dans le sens de la sous estimation, car tout les externalités ne sont pris en compte
Ca peut avoir les deux senses, selon l’outcome des interactions presentes ou eventuelles entre les composantes, ce qui fait une sous-estimation ou une surestimation.
Le cout externe global est estimé dans le sens de la surestimation.
Dans le cas par exemple des énergies renouvelables on parlera de surestimation des couts et dans le cas de l’énergie nucléaire une sous estimation.
En réalité tout est basé sur le calcul de l’émission de CO2, car les énergies (l’évaluation du cycle de vie) qui émettent plus de CO2 seront surestimées et celle produisant moins seront sous estimées
Surestimation du coût externe global car en général la somme des externalités des effets pris indépendamment est supérieure à l’effet externe de la globalité
Compte tenu des connaissances actuelles, on juge que la multi-exposition à différents polluants tend à accentuer les dommages sanitaires. On peut donc penser que le coût externe global de l’étude est sur ce point sous-estimé. Cependant, il faudrait des études plus fines pour le démontrer.
La sous-estimation va dans l’intérêt du producteur des polluants et la sur-estimation dans l’intérêt de la victime.
La méthode des externalités apporte une réponse intéressante à la difficile
question de l’addition de coûts privés et de coûts externes.
Les coûts privés sont les coûts assumés par le producteur dans le cadre de son activité. Les coûts externes sont assumés par l’environnement et par la collectivité.
Les coûts privés de production sont calculés par les exploitants. Ils dépendent du système de prix des facteurs et des biens de production. Ils sont également tributaires des conventions comptables internes à l’entreprise, conventions elles mêmes issues de choix nationaux en la matière.
Les coûts externes sont soit dérivés de systèmes de prix soit forgés à partir des méthodes de substitution.
Sous estimation
Ce biais peut entrainer autant une surestimation des résultats qu’une sousestimation de ces derniers. Une sousestimation des résultats peut résulter d’une interaction synergique ou potentialisante de polluant pouvant entrainer un effet beaucoup plus dangéreux que l’effet des polluants pris individuellement. La surestimation des resultats peut resulter du fait que des polluants peuvent avoir des effets antagonistes.
le coût externe global a été surestimé en 1998 par rapport à celle de 1995, soit une multiplication par près de 5 du coût pour le cas du CO2, par exemple.
dans le sens de la surestimation
En réalité, on ne saurait prévoir l’estimation dans le sens d’une sous-estimation ou d’une surestimation du coût externe global qui résulterait de l’agrégation des coûts externes.
Pour la plupart des combustibles, on peut parler de sous estimation (le nucléaire par exemple). Dans tous les cas, l’évaluation n’est pas jugée fiable à 100% ;
Le coût externe global du combustible est donc sous-estimé.
Cette étude ne permet pas de trancher.
Cela entrainerait une sous estimation
Cela entrainerait une sous estimation
surestimation
On peut supposer qu’on va prendre en compte deux fois les effets d’une même pollution : dans le calcul du coût externe d’un combustible dû à cette émission de polluant proprement dite, et dans le calcul du coût externe d’un même combustible, dû cette fois à une pollution qu’on attribue exclusivement à un autre polluant alors que « le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant » (cf. ci-dessus l’exemple des pollutions au NOx et au SOx). On risque donc, cette fois-ci, de surestimer le coût externe global d’un combustible
Dans le sens de sous-estimation du coût global !
Cela peut-être dans le sens de la surestimation ou de la sous-estimation du coût externe global.
Cela entrainerait une surestimation du cout externe global
La contribution des parametres n ;est pas fixe, et il est difficile À la mesurer precisement.
D’ailleurs la solution est theoritique et elle s’écarte de la réalité.
Dans le cadre d’un taux d’actualisation trop élevé ou pas assez le cout externe peut étre sous estimé ou suréstimé.
Il y aura surestimation.
Il y a sous-estimation car on ne tient pas compte des interactions entre polluants.
A priori dans le sens d’une sous-estimation si l’on considère que la combinaison de 2 pollutions augmentent le risque par rapport à la somme de ces 2 pollution prises isolément. Mais en l’absence de données fiables et suffisamment nombreuses c’est difficile à affirmer.
c’est dans le sens d’une sous estimation car l’effet cocktail ne sera pas pris en compte (phénomène de potentialisation)
Les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents
nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le
terrorisme.donc on a une sous-estimation du coût externe global
Plus dans les sens de la surestimation, si on considère que son calcul est fait déjà sur quelques valeurs majorés relatives : Valeurs les plus hautes choisis pour les dommages, la supposition d’indépendance des effets des polluants (possibilité d’interaction entre polluants donc d’évaluation répétée du même composants). En plus qu’il ne tient pas compte des externalités positives.
Mais il ne faut pas oublier que dans le cas d’accidents, qui ne sont pas non plus pris en compte, alors le cas serait contraire et une sous-estimation correspondrait plus à la situation.
En considérant que les effets additionnels des composantes du cout sont plus graves (ex. pollution atmosphérique et bruit) le biais nous donne un cout externe global inférieur au vrai cout, il est donc sous-estimé.
Si l’on va prendre en compte deux fois les effets d’une même pollution (via les phénomènes de pollution diffuse) : dans le calcul du coût externe d’un combustible dû à cette émission de polluant et dans le calcul du coût externe d’un même combustible, dû cette fois à une pollution qu’on attribue exclusivement à un autre polluant alors que « le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant ». Dans ce cas, l’on pourrait arriver à surestimer le coût externe global d’un combustible.
dans le sens de sous estimation du cout externe global
Sous estimation globale bien sur.
Le coût externe global évalué selon la méthode est surestimé mais, il ne faudrait pas oublié que certaines lacunes ont été signalé : énergies renouvelables et surtout le nucléaire.
Pour ce dernier, les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme. Ces lacunes pourraient être significatives et doivent être clairement soulignées pour toute évaluation.
On risque de surestimer le coût externe global.
Le coût externe global serait alors surestimé.
la surestimation ou sous-estimation du coût externe global est relative à la consideration des polluants et de la presence de un ou plusieurs.
Il est probable que les différents agent polluant ne soient pas indépendant. DOnc les additionner rendrai le coût externe global sur-estimé.
L’évaluation globale pour un ensemble de dommages liées à la pollution atmosphérique apparait plus faible que la somme de chacun des couts mesurés séparément on va donc dans le sens d’une sous-estimation du cout global
: sur estimation du cout externe global etait de compter l’effet des nuisances independantes et l’effet en presence d’autre nuisance qui augmente l’impact comme le Sox et le NOx.
Dans le sens de sous estimation.
Le coût externe global d’un combustible dépend du coût externe des divers polluants qu’il engendre. Les polluants peuvent se comporter différemment l’un vis à vis de l’autre. Nous estimons donc que les évaluer séparément donnerait une vision assez précise de chacun d’eux et partant, une estimation plus judicieuse du coût externe global. L’agrégation peut donc aller dans le sens d’une surestimation ou d’une sous estimation.
La surestimation du coût globale externe permet de prendre en compte les effets collatéraux des sources de pollutions comme les conséquences les changements climatiques (les inondations, les vagues de chaleurs etc.)
Dans le sens de la surestimation du coût externe global
Plutôt dans le sens de surestimation du coût externe global du fait de l’interdépendance des polluants et de leurs effets croisés possibles.
On risque de surestimer le coût externe global d’un combustible parceque on va prendre en compte deux fois les effets d’une même pollution (pollution diffuse).
De fait de la difficulté de tranché sur les effets exact des pollutions et de fait d’existence des biais, Les études d’internalisation des externalités doivent alors soit être sous-estimé ou surestimé. Cela dépend principalement de la nature de risque et l’état d’étude de se risque si elle a un taux d’exactitude élevé. Sinon, la mal connaissance des différents composants de risque peuvent attribue a des biais (ex : biais d’inclusion) qui causants la sous-estimation ou surestimation des couts généraux.
Le coût externe global serait surestimer, car pour diverses sources de pollution une seule dépense peut être faite. Or si l’on somme les coûts par source on va comptabilisé à plusieurs reprise une même dépense, d’où l’obtention d’une surestimation du coût externe global.
Il y’a surestimation du coût externe global pour les énergies renouvelables car on a tenu compte de fabrication des matériaux dans le cycle.
Il y’a sous-estimation du coût externe global pour les autres sources de combustibles car on a pas tenu compte des matériaux dans le cycle .
Théoriquement on peut additionner le coût de chaque nuisance afin d’avoir un coût externe global mais cela suppose en tout état de cause que les composantes du coût soient des variables indépendantes ; Or, on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx. Dés lors, en optant pour le calcul du coût externe global, on tombe dans la surestimation du coût externe global
Cela joue dans le sens d’une surestimation.
Dans le sens de la surestimation du coût externe global
il y aura surestimation du cout externe global
Etant donner qu’il existe des biais dans l’agrégation des coûts ExternE pour aboutir à un coût global, il y’a forcement sur-estimation ou sous-estimation de ce dernier, dans la mesure où les polluants peuvent se comporter différemment l’un vis à vis de l’autre. C’est pour cette raison que ExternE a toujours défini les intervalles de confiance assorties de probabilités. Donc des incertitudes planent.
Dans le sens d’une surestimation du coût externe global.
on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx . En tout état de cause, les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles. L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants.
Il y’a surestimation si les polluants sont pris individuellement et sous estimation lorsqu’ils sont pris globalement.
Les connaissances sur les interactions sont encore insuffisantes et on ne sait donc pas si l’exposition à des mélanges complexes de polluants simultanément (ou en décalé d’ailleurs) aura un effet cumulatif ou non sur la santé. Il est logique de penser, ne serait-ce que dans la perspective du principe de précaution que le coût externe global est largement sous-estimé.
Le coût externe global est aussi sous-estimé du point de vue des effets sanitaires pris en compte puisque seuls les effets sanitaires les plus graves ont été comptabilisés.
Sur-estimation.
Vraisemblablement, il y’aura une surestimation du coût externe global compte tenu du fait que les polluants ne sont pas indépendants et peuvent concourir aux même effets, La somme de chaque effet résultant d’un polluant pris isolement risque de dépasser l’effet global dû à l’action des polluants.
Cela induirait une sous-estimation des coûts
On dirait en tout état de cause que il y aurait sous-estimation du coût total externe, et ceux , à cause de la non disponibilité de connaissances.
On parlera de surestimation des couts dans le cas des énergies renouvelables et dans le cas de l’énergie nucléaire on parle d une sous estimation. En effet tout est base sur le calcule de l’émission de CO2. Parce que les énergies qui émettent moins de CO2 seront sous estimées alors que celle qui émettent plus seront surestimées.
Surestimation des résultats : Un même polluant peut entrer dans la fabrication de plusieurs produits matériaux ; en faisant ce calcul pour le même polluant, il se peut qu’il y ait surestimation des coûts !
Cela dépendra de l’effet réel du croisement des polluants pris en compte (synergique, antognistes ou indépendants)
Dans le sens de surestimation parce qu’il va falloir déterminer tous les dommages possibles que peut engendrer chaque variable (polluant) pris isolément. Ce qui va surestimer le coût parce qu’il y aura des effets qui vont se retrouver au niveau de chaque variable et donc leur évaluation de façon isolée fera 2 fois (s’il s’agit de 2 variables par exemple) que ce qu’on aurait obtenu s’ils sont évalués ensemble.
Nous allons surestimer le coût externe global d’un polluant car des interactions du à l’exposition de mélanges de polluants pourrait avoir un effet cumulatif ou non sur la santé compte tenu du fait que les polluants ne sont pas indépendants et peuvent participer aux mêmes effets.
Le coût externe global a été surestimé.
on va dans le sens de la surestimation du coût externe global.
Dans le cas où les dommage occasionnées dans l’organisme par un polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant, il y a surestimation du coût global d’un combustible.
La surestimation du coût externe global serait a priori la conséquence de coûts agrégés. En effet la tendance serait d’appliquer plusieurs fois le coût d’un même agent / effet alors que l’on pourrait considérer que le coût est le même et ne devrait pour autant pas être additionné. Il est possible de penser que sans en additionner les mêmes effets/ coûts pour un résultat global, le calcul de coût final reflèterait aussi une surestimation car représenterait un cas « extrême » dans le cas où tous les effets seraient cumulés en même temps dans toutes les étapes du cycle du combustible, ce qui n’est a priori pas le cas systématiquement.
On peut imaginer que nous allons prendre en compte deux fois l’effet d’une même pollution : dans les calculs des coûts externes du à un polluant et le coût externe d’un même combustible.
Les dommages occasionnés à l’organisme par un polluant ne sont pas indépendant de la prése,ce d’un autre. On peut alors sur-estimer les coûts externes globaux.
Les couts externes globales seront surestimés car les effets d’un polluant seront imputés à un autre, comme dans l’exemple de NOX et SOX.
Par surestimation ou sous-estimation du coût externe global, on comprend que c’est une hypothèse forte. On peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx. On risque donc de surestimer le cout externe d’un combustible.
Le cout externe global est estimé dans le sens de la surestimation.
la surestiment s’entend l’evaluation excessive des cout tandis la sous-estimation est l’évaluation à la baisse des couts.
Ici on va vers une surestimation du coût externe global.
Dans le sens d’une surestimation du coût externe global.
Il y a bien une surestimation du coût externe global si l’on considère par ex que la sensibilité au NOX et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de l’a présence d’un autre polluant comme le SOx------> on compte deux fois les effets d’une même pollution.
Une surestimation du coût externe global est plausible si on considère que les composantes du coût soient des variables indépendantes (un effet pour un polluant) alors qu’on pourrait également penser que sur base d’une hypothèse forte qui stipule, par exemple, qu’on peut considérer que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant comme le SOx.
Comme il est mentionné dans l’exemple "que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx."
D’où une surestimation du coût externe global
La surestimation ou la sous-estimation du coût externe global va dépendre du paramètre : coût moyen (ou valeur moyenne) et du coût médian (valeur médiane) pris en compte.
Dans tous les cas, il y aura sur estimation pour les couts externes individuels inférieurs au coût externe global. Et par contre, il y aura sous-estimation pour ceux dont les coûts externes individuels seront supérieurs à ce coût externe global.
Cela peut mener à une surestimation du coût global car une même nuisance provoquée par deux sources différentes pourraient être prises plusieurs fois en compte.
Elle pourrait fausser l’évaluation des impacts des politiques de réduction des émissions polluantes, si on considère les coûts comme la résultante de composantes indépendantes conduit à sur-estimer le coût global externe.
cela peut aller dans les deux sens du moment que les études ne peuvent definir avec certitude les effets des polluants coexistants
On surestime les cout externe global alors que l’objectif est de faire une comparaison des couts par combustible.
Le coût externe global est surestimé.
On sous-estime le coût externe global si on ne tient pas compte des gaz à effet de serre de la production de l’électricité nucléaire et du gaz. Dans le cas de l’énergie éolienne et de l’hydroélectricité, les prix sont sous-estimés si l’on ne prend pas en considération les atteintes au milieu naturel. Le coût externe global est surestimé si le prix du CO2 augmente à cause la mortalité anticipée résultant d’un réchauffement climatique
Dans les deux sens : Selon le type de polluants en présence on aura une sous-estimation du coût externe global si l’interaction entre les polluants a pour effet de potentialiser les effets (augmenter les dommages) ou surestimation du coût externe global si les polluants en présence ont un effet antagoniste.
L’estimation du coût global peut faire appel à la comptabilité analytique des entreprises qui permet de cerner avec une erreur très faible les coûts de production. L’incertitude provient essentiellement des règles et des méthodes comptables utilisées. En revanche la question des marges d’erreur sur les coûts externes est importante. Ces erreurs sont sensiblement plus élevées que pour les coûts privés. Ce qui donnerait à une surestimation coût externe global.
Dans le cas d’une pollution avec plusieurs substances incriminés, il est souvent difficile d’appréhender tous les paramètres d’une pollution afin de ressortir la contribution individuelle et/ou collective de chaque substance aux effets externes. Le coût global peut se trouver sous-estimer ou surestimer en fonction des erreurs d’appréciation relatives aux contributions des différentes substances.
Majoritairement une surestimation mais selon l’effet externe je pense que la sous-estimation doit être possible.
On ne peut pas vraiment se prononcer sur l’influence de ce biais sur les résultats. En effet, « les études croisées sur les interactions des polluants sont rares et semblent constituer une limite au connaissances épidémiologiques actuelles ». Ainsi, il peut y avoir des effets « antagoniste » ou « synergiques ». C’est pourquoi, on ne peut pas savoir avec évidence s’il y a une surestimation ou une sous estimation du coût externe global.
On peut penser a priori à surestimation du coût total car des dommages pourraient être pris en compte plusieurs fois alors qu’ils s’agira d’une même source. Cela dit, on pourrait envisager une sous-estimation si des effets sont plus dommageables lorsque cumulé avec d’autres.
Ce genre de biais pourrait surestimer le coût global dans le cas où le dommage est occasionné par la présence de deux ou plusieurs polluants.
Dans le sens de la surestimation du coût externe global.
Surestimation du coût externe global
Cette agrégation peut sous-estimer le coût externe global dans la mesure où la somme globale des effets de chaque polluant pris séparément peut dépasser l’effet global des polluants.
A mon avis, cette méthode sous-estime le coût externe global car elle ne prend pas en compte les dommages causés par l’interaction des polluants entre eux exemple : dans le calcul du coût externe d’un combustible dû à cette émission de polluant proprement dite, et dans le calcul du coût externe d’un même combustible, dû cette fois à une pollution qu’on attribue exclusivement à un autre polluant alors que « le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant »
Un même polluant peut occasioner différents effets. De même,deux polluants différents peuvent avoir des effets similaires. Le fait d’utiliser deux calculs pour le même polluant pourrait de ce fait surestimer les résultats.
Ce biais va dans une sous-estimation du coût externe global.
Le coût global lié à une pollution pourrait être surestimé dans la mesure où cette même pollution pourrait provenir de plusieurs sources.
C’est dans le sens de la surestimation du coût externe global.
Le résultat ira dans le sens d’une surestimation. En effet, les coûts calculés pour chaque polluant indépendamment sont en réalité les coûts de leurs actions concomitantes. Nous soulignons ici l’interaction entre les polluants dans la production de leurs effets. L’agrégation des coûts externes entrainerait donc une surestimation du coût global.
Cette decision ira dans le sens de la sur estimation du cout global
La surestimation ou la sous-estimation des coûts externes ne prend en considération le même effet du polluant dans le calcul du coût externe envers un combustible par sa pollution. Ce combustible doit surveiller le risque pour éviter d’amplifier du coût externe global.
C’est dans le sens de la réduction des incertitudes sur les émissions, les expositions ainsi que les effets sanitaires qu’on procède à la surestimation du coût global. C’est par souci d’intégrer les effets méconnus au préalable dans les estimations des coûts externes .
La sous-estimation du coût externe global quant à elle se fait dans le sens où il y a manque de connaissances scientifiques ou d’informations détaillées en vue d’estimer le coût externe global. Les secteurs économiques aussi sous-estiment le coût externe global pour des raisons économiques ou de profits.
s’il y a les pollutions diffuses on peut prendre plusieurs fois les même effets pour un même polluant ce qui va amener une surestimation, dans le cas précédant si on ne prend pas en compte comme le cas typique des énergies renouvelables les émissions issues des technicités, d’autres facteurs non prises en compte peut amener une sous estimation
Considérons deux polluants, si le dommage occasionné à l’organisme par l’un des polluants ne soit pas indépendants de la présence d’un autre polluant, alors dans ce cas précis, on risquera de surestimer le coût externe global d’un combustible.
surestimation du coût externe global
Le coût externe global d’une telle agrégation serait surestimé car il contiendrait également des coûts des dommages causés par des facteurs exogènes à la source considérée en l’absence desquels certains dommages seraient réduits, ou supprimés.
Il y a une surestimation du coût externe global du fait qu’ils vont être cumulés.
Dans le sens de la surestimation du coût externe global car les dommages causés par un polluant pourront être attribués à un autre (SOx et NOx par exemple). On prendra donc en compte deux fois les effets d’une même pollution.
Il est très difficile de procéder exhaustivement au calcul d’un cout externe d’un combustible donné. Car, si on tente de tenir compte des effets interactifs de toutes les émissions engendrées par le combustible, on risque de tendre vers une sur estimation du cout. De même et si on fait l’impasse des effets induits par les corrélations et interactions entre les émissions, on risque cette fois ci de sous estimer ce cout global de ces émissions.
Si on prend comme exemple du nucléaire, le cout global de toutes les émissions et des interactions entre elles,au fil de toutes les étapes de vie d’une centrale( construction, fonctionnement, maintenance, élimination des déchets ) sera forcement diffèrent de celui des émissions qui sont rejetées séparément par la centrale pendant chacune de ses étapes de vie.....
Si les composantes des coûts sont indépendantes, il s’agirait d’une surestimation.
Si les composantes du coût ne sont pas des variables indépendantes, on risque d’additionner 2 fois le même coût dans le coût global et par conséquent de surestimer le coût externe de l’énergie considérée.
Si les interactions sont systématiquement envisagées, il est à prévoir qu e ce n’est pas le reflet de la réalité et que les impacts seront surestimés. On voit bien notre manque de connaissance des mécanismes d’actions des polluants entre eux ou même seul.
Dans le sens de la limite aux connaissances épidémiologiques et l’indépendance supposée des effets des polluants.
Il y’a eu surestimation du coût externe global .Citons le cas de l’évaluation de dommages sur la santé où l’étude externe a adopté une valeur située dans le haut de l’intervalle des estimations disponibles avec montant de 2.6 millions d’euros.
Il s’agirait ici d’une surestimation puisque nous prendrions en compte plusieurs fois les mêmes coûts. En admettant par exemple qu’il existe des interactions entre les différentes sources de pollution, ce qui est d’ailleurs le cas le plus probable, un calcul du coût externe pour chaque source de pollution reviendrait à calculer plusieurs fois le même coût.
Surestiation des coûts. Cette agrégation des coûts externes (selon les sources de pollution) pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit-il un biais dans le sens d’une surestimation des coûts sans tenir compte des efffets mumulés de différentes émissions.
le dommage causé à l’organisme par un polluant s’est fait avec l’interaction d(un autre polluant d’ou le risque de sur estimer le coût externe total d’un combustible
Agréger les coûts externes risque de prendre en compte à de multiples reprises une même pollution. Il s’agit donc d’une surestimation du coût global.
Le cout externe depend du systeme de prix des facteurs et des biens de production.
Dans le sens de la surestimation du coût externe global, à cause d’une double comptabilisation.
Les coûts externes globaux sont sous estime du fait de la non définition de l’intervalle de confiance compte compte tenu des incertitudes sur les émissions, sur la dispersion, sur l’exposition et sur les effets sanitaires
On parle de surestimation quand on choisit les valeurs les plus élevées comme base de calcul pour les coûts externes, et on parle de sous-estimation quand il s’agit au contraire quand on ne prend en compte certaine coûts externes indirects ou les externalités positives par exemple.
Si on prend en compte tous les facteurs tels que décrit dans la question précédente, on peut également penser à une sous-estimation des externalités.
selon moi dans le sens de la surestimation du cout externe. car à mon avis un même polluant peut être calculé 2 fois.
Dans le cadre du coût global, on peut avoir une sous ou sur estimation, tout cela dépend des cas. Dans le cadre d’un calcul de coût externe sur une matière énergétique qui émet un polluant qui lui est propre et dans le cadre où on attribuait cela à un autre polluant, alors le dommage créé à l’organisme ne doit pas être lié à un autre polluant qui pourrait rentrer en compte. Cela signifie que l’on risquerait de surestimer le coût externe global.
Exemple de SOx et Nox : Si lors d’un processus d’agrégation, il y a un fort coefficient aux effets externes d’une source alors que la source est faible alors surestimation. Si au contraire il y a une sous-estimation c’est que l’on sous-estime la contribution d’une source lors de l’agrégation.
sous estimation : si jamais on n’avait pas présenter les chiffres des couts environnementaux de la production de l’électricité et si on tenait pas compte du contexte national relatif à l’etude
En fonction des différentes situations, il existe la possibilité de surestimation ou sous-estimation du coût externe global. En effet, si lors du processus d’agrégation, il a été attribué un plus grand (fort) coefficient aux effets externes d’une source alors que la contribution de cette source est en réalité plus faible (petite), alors il se produira une surestimation. Si à l’opposé, on sous-estime la contribution d’une source lors de l’agrégation, le coût externe global sera sous-estimé. Un mélange de ces situations peut avoir également lieu.
Pour l’énergie nucléaire, le risque est calculé, à partir de la relation linéaire sans seuil, en tenant compte des effets cancérigènes et génétiques (génotoxicité) provoqués par l’irradiation subie par les travailleurs professionnels et par l’ensemble de la population. Ce type d’estimation surestime considérablement les risques dus à l’irradiation à faible dose et donnent une grande marge de sécurité.
On peut supposer qu’on va prendre en considération deux fois les effets d’une même pollution par l’intermédiaire des phénomènes de pollution diffuse : dans le calcul du coût externe d’un combustible dû à cette émission de polluant proprement dite, et dans le calcul du coût externe d’un même combustible, dû cette fois à une pollution qu’on attribue exclusivement à un autre polluant alors que « le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant ». On risque de surévaluer le coût externe global d’un combustible
Une sous estimation car les dommages aussi bien sur les hommes que dans les ecosystemes ne seront pas pris en compte d une facon reelle.
Les coûts externes sont soit dérivés de systèmes de prix soit forgés à partir de méthodes de substitution. Les systèmes de prix invoqués dans l’estimation des coûts externes ne sont pas automatiquement en mesure de donner une appréciation correcte des coûts. Quand les systèmes de prix n’existent pas, ce qui est le cas le plus fréquent, des systèmes de substitution sont utilisés. On recourt au sondage, au vote ou à un marché fictif pour conduire les consommateurs à révéler leurs préférences. Il n’est pas acquis que ces substituts soient performants.
La question des incertitudes entachent les évaluations respectives des coûts privés et celles des coûts externes.
La comptabilité analytique des entreprises permet de cerner avec une erreur très faible les coûts de production. L’incertitude provient essentiellement des règles et des méthodes utilisés. En revanche la question des marges d’erreur sur les coûts externes est importante. Ces erreurs sont sensiblement plus élevées que pour les coûts privés.
L’addition des coûts nécessite donc des précautions.
Du moment ou il est possible que soit introduit des biais par omission ou ignorance de certains aspects producteurs d’externalités, le cout externe global sera sous estimé.
Nous pouvons surestimer le coût externe global en agrégeant des coûts selon la source d’émission. Par exemple pour le cas du NOx et du SOx, on tend à prendre en considération deux fois les effets de la même pollution alors que le dommage occasionné à l’origine par ce polluant n’est pas indépendant de la présence d’un autre polluant.
Dans le sens ou une estimation des effets de deux produits jumèleraient les perceptions alors que les prendre en compte séparément donnerait une estimation bien mesurée de chacun d’eux.
Cela pourrait aussi constituer une sur-estimation dans le cas des effets jumelés de deux produits qui séparément ne donnerait pas l’estimation réelle. Exemple de des SOx et NOx
Du fait de la possibilité des interactions entre plusieurs polluants et de notre incapacité à en rendre compte, on peut dire qu’il peut avoir surestimation du coût externe global d’un combustible dans le cas où on prend on compte les effets d’un polluant seul donné alors que ces effets pourraient s’expliquer par la présence d’autres polluants en relation avec ce dernier.
Selon le sens de l’énergie surestime cela permet de faire la part entre différentes énergies
surestimation du cout global, implique qu’on augment les valeurs des couts donc va plus agir su la valeur de la vie humaine pour mieux la préserver.
il y a une sur estimation si les dommages occasionnés par un polluant sont attribués à un autre (exemple du NOx et SOx).
Surestimation du coût externe global à cause de l’effet cocktail.
Un polluant pourrait être, seul, supposé causer un dommage, alors que c’est en collège avec d’autre polluants, ou même que ce soit d’autres polluants qui causent ce dommage.
Dans le sens du calcul de coût externe propre au polluant lui même et dans le calcul du coût relatif au polluant et à la présence d’un autre polluant.
surestimation du coût externe global, parce-que les plus grandes valeurs ont toujours été prisent comme références.
Surestimation, Niveau eleve de l’estimation afin d’aboutir a un resultat pour mieux proposer des solutions
Si on prend pas en compte ce facteur de dépendance des polluant, on peut biaiser les cout en lui surévaluant le cou externe global du combustible.
Cela pourrait conduire à une sous estimation des coûts dans laquelle les effets croisés seraient potentialités en terme d’impact.
Cela pourrait conduire à une sous estimation des coûts dans laquelle les effets croisés seraient potentialités en terme d’impact.
La surestimation ou sous-estimation du coût externe global est possible dans le calcul des couts externe d’un combustible dans le sens que l’évaluation des dommages l’introduction de biais dans le calcul (le calcule d’actualisation) dans ce cas on parle de surestimation. Par ailleurs, Il y a une sous- estimation dans le cas où les dommages occasionnés par un polluant sont attribués à un autre (exemple du NOx et SOx) mais dans des proportions ou des valeurs en dessous de la réalité observable sur le terrain.
On obtient donc une surestimation du coût externe global.
surestimation, car si on additionne chacun de ces coûts pour avoir le coût global, les effet d’une source de pollution par exemple peut avoir plusieurs effet mais ces derniers sont dépendant entre eux les coûts peuvent êtres additionner en plusieurs fois donc le coût sera surestimer
C’est dans le sens d’une surestimation du coût externe global.
Le sens de surestimation et sous estimation du coût externe global est le suivant : La surestimation est due à la sommation des coûts des polluants de façon séparée dont le coût est élevé par rapport au coût réel dans la globalité "par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx". Et la sous estimation est le fait d’attribuer a des polluant l’effet des causes dont ils ne sont pas la cause, qui va rendre dans la globalité le coût minimisé.
Surestimation, car il permet de prendre en compte les effets collatéraux des sources de pollutions, pourtant, nous ne pouvons pas évaluer le coût externe de ces effets collatéraux.
sous- estimer c’est quand on prends as en compte les effets d’un polluant, quand la pollution est du a plusieurs particules certains des fois ne sont pas évalué. dans ce cas on sous estime
le cas contraire, surestimer, c’est quand on évalue les effets d’un polluants par deux méthodes par exemple
On peut supposer qu’on va prendre en compte deux fois les effets d’une même pollution (via les phénomènes de pollution diffuse) : dans le calcul du coût externe d’un combustible dû à cette émission de polluant proprement dite, et dans le calcul du coût externe d’un même combustible, dû cette fois à une pollution qu’on attribue exclusivement à un autre polluant alors que « le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant » (cf. ci-dessus l’exemple des pollutions au NOx et au SOx). On risque donc, cette fois-ci, de surestimer le coût externe global d’un combustible.
surestimer le coût externe global d’un combustible dans le sens que L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants
on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx.
Dans le sens ou ces résultats peuvent être peu précises, par exemple dans le cas ou les variables sont pas indépendantes, cela peut crée un coût externe global plus grand est donc sur-estimé.
Il est possible que ce coût soit surestimé à cause du double comptage évident. En fait, quand on calcul le coût externe d’un combustible pour un polluant A on peut pas dissocier l’effet du polluant B sur la santé des ceux qui hument ce combustible.
la question de surestimation ou sous- estimation du coût externe global naît lorsque nous avons pas une idée réelle des calculs du coûts externe d’une énergie combustibles à évaluer.
On risque de surestimer le coût externe global d’un combustible, en partant de l’hypothèse qu’ont peut être amener à prendre en compte deux fois les effets d’une même pollution, tandis que « le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant »
Dans le sens d’une sous-estimation (ne prend pas en compte l’effet cocktail).
Les externalités positives ou économies externes ne sont pas prises en
compte expressément par l’étude. Des études complémentaires ont été faites pour
la sécurité d’approvisionnement. Mais la création d’emplois directs et induits et
l’impact sur la balance des paiements ne sont pas pris en compte.
Probablement sous-estimation du cout externe global car la multi-exposition aux polluants peut avoir un effet synergique sur la santé humaine et créer des symptômes ou des pathologies là où une exposition unique serait restée asymptomatique.
Le coût externe se surestime, dont des études complémentaire qui ont été faites pour la sécurité d’approvisionnement preuve que les dommages occasionnés par un polluant sont attribués à un autre (exemple du NOx et SOx).
On peut penser à une surestimation du coût externe global dans la mesure où les effets d’une pollution est doublement pris en compte dans le calcul du coût externe d’un combustible.
Il y a une sous estimation dans le cas d’effet synergique des polluants, mais il y a une sur-estimation si les dommages occasionnés par un polluant sont attribués à un autre
Le coût externe global d’un combustible est surestimé car L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants donc on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx.
Il y a une sous-estimation dans le coût externe globale à cause de la non prise en considération des coûts généré par les interactions des différents polluants.
Il risque d’y avoir surestimation du coût global puisque peut être comptabiliser deux fois les effets d’une pollution unique. Ainsi peut être cité les exemples des polluants Nox et Sox.
D’un part on risque de sous-estimer dans le cas ou on arrive pas à évaluer correctement ou même à ne pas faire l’évaluation par manque de données pour connaitre l’effet de la pollution d’un combustible sur la vie humaine par exemple. D’autre part, la surestimation peut résider dans le fais de comptabiliser deux n fois un même effet, un effet de la même source.
une sous-estimation du coût externe global, en raison la Multi-exposition à différents polluants tend à accentuer les dommages sanitaires.
une sous-estimation du coût externe global, en raison la Multi-exposition à différents polluants tend à accentuer les dommages sanitaires.
Le cout global externe peut être sous estimer si les externalités d’un facteur spécifique ne sont pas prises en compte dans l’évaluation. Le cout global externe peut être surestimer si les couts externes d’un facteur de risque sont prises en compte en plusieurs fois alors qu’il produit le même effet .
Surestimation dans le sens où les études ExternE des valeurs les plus élevées ont été toujours utiliser par mesure de prudence.
On peut parler de sous-estimation du coût externe global dans la mesure à toutes les externalités ne sont pas prises en compte dans cet étude. Une telle position est du au fait qu’il existe des externalités pour lesquelles nous n’avons pas de données précises et qu’il tout compte fait très difficile de disposer de données sur toutes les externalités.
D’un côté on pourrait supposer qu’on va prendre à plusieurs fois les effets d’une même pollution vu que la pollution est un phénomène diffus. Donc on surestime le coût externe. et de l’autre côté on peut supposer que la présence d’un polluant donné engendre la baisse des effets d’un autre polluant, donc on sous-estime la coût externe globale.
Je considère qu’il y a une sous estimation du coup externe globale, vu la difficulté de prendre en compte et d’évaluer toutes les externalités possibles.
dans le sens de surestimation du cout globale quand on prend en compte deux fois les effets d’une même pollution.
surestimer le cout globale d’un combustible en se basant que l’on peut prendre en compte doublement les effets d’une même pollution « le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant » ; on aura tendance à amplifier le coût externe global d’un combustible.
La surestimation ou, la sous-estimation du coût externe global, est dans le sens : d’un maintien multiple d’effets de pollution d’une substance polluante, (1) dans les calculs du coût global des externalités d’un combustible suite aux émissions polluantes y afférentes ; et (2) le calcul du coût externe pour le même combustible mais cette fois, en l’assignation à un autre polluant. De ce fait, les désavantages provoqués par la substance polluante liés à la manifestation d’autres polluants. Ce positionnement, renforce la probabilité de majoration du coût externe d’une solution combustible.
surestimation du coût externe global
Le cout externe global est estimé dans le sens de la surestimation.
surestimation ou sous-estimation du coût externe global en ce sens que la méthode des externalités apporte une réponse intéressante à la difficile question de l’addition de coûts privés et de coûts externes.Les coûts privés sont les coûts assumés par le producteur dans le cadre de son activité. Les coûts externes sont assumés par l’environnement et par la collectivité.Les coûts privés de production sont calculés par les exploitants. Ils dépendent du système de prix des facteurs et des biens de production. Ils sont également tributaires des conventions comptables internes à l’entreprise, conventions elles-mêmes issues de choix nationaux en la matière.Les coûts externes sont soit dérivés de systèmes de prix soit forgés à partir de méthodes de substitution.A supposer qu’ils existent, les systèmes de prix invoqués dans l’estimation des coûts externes ne sont pas automatiquement en mesure de donner une appréciation correcte des coûts. Quand les systèmes de prix n’existent pas, ce qui est le cas le plus fréquent, des systèmes de substitution sont utilisés. On recourt au sondage, au vote ou à un marché fictif pour conduire les consommateurs à révéler leurs préférences. Il n’est pas acquis que ces substituts soient performants.Aussi, il y a une deuxième question portant sur les incertitudes entachant les évaluations respectives des coûts privés et celles des coûts externes.La comptabilité analytique des entreprises permet de cerner avec une erreur très faible les coûts de production. L’incertitude provient essentiellement des règles et des méthodes comptables utilisées.
Cela conduirait à une surestimation car on pourrait prendre en compte deux fois la même source de pollution.
On est dans la surestimation du coût externe global d’un combustible parce que souvent les dommages cause par un polluant peuvent etre en interaction avec d’autres polluants.
D’une part la sous-estimation peut apparaître si on arrive pas à évaluer correctement ou même à ne pas faire l’évaluation par manque de données pour connaître l’effet de la pollution d’un combustible sur la vie humaine par exemple. D’autre part, la surestimation peut résider dans le fait de comptabiliser deux fois un même effet ou un effet de la même source.
Dans le cas de la pollution on peut parler de surestimation ou sous-estimation du coût externe global. Cela peut arriver le mode de calcul de dommage qui peut être lie a d’autres facteurs non négligeables.
Dans le cas de l’évaluation des dommages sur la santé suppose une valeur donnée à la vie
humaine.
surestimer le coût externe global .
l’effet interactif des polluants n’est pas connu , donc sa peut conduire a une sous-estimation si effet interactif existe, mais si l’interaction entre les polluants est nulle ceci n’affecte pas le cout externe global.
Dans le cadre d’un taux d’actualisation trop élevé ou pas assez le cout externe peut étre sous estimé ou suréstimé.
Dans le cadre d’un taux d’actualisation trop élevé ou pas assez le cout externe peut étre sous estimé ou suréstimé.
On risque de surestimer le coût externe global car on peut supposer qu’on va prendre en compte deux fois les effets d’une même pollution
Bien que cela puisse dépendre du contexte, on risque d’attribuer le même effet (une manifestation aigüe lors d’un pic de pollution par exemple) de manière redondante à différents polluants, ce qui tendra à surestimer le coût externe global.
Au vu des cumuls possibles cités dans la réponse précédente, le coût externe global est donc plutôt sous-estimé.
Dans les deux sens.
On peut supposer que 2 nuisances puissent avoir un effet multiplicatif (une exposition à 2 polluants pourrait conduire à un effet plus grand que la simple addition des deux), auquel cas, choisir l’hypothèse de l’indépendance conduirait à sous estimer le cout externe
A contrario, l’exposition à 2 polluants différents pourrait avoir un effet "neutre" (par exemple, si le récepteur est le même), auquel cas, l’addition des 2 couts pourraient conduire à une surestimation.
Dans les deux sens.
On peut supposer que 2 nuisances puissent avoir un effet multiplicatif (une exposition à 2 polluants pourrait conduire à un effet plus grand que la simple addition des deux), auquel cas, choisir l’hypothèse de l’indépendance conduirait à sous estimer le cout externe
A contrario, l’exposition à 2 polluants différents pourrait avoir un effet "neutre" (par exemple, si le récepteur est le même), auquel cas, l’addition des 2 couts pourraient conduire à une surestimation.
les coûts vont prendre le sens de sur-estimation en présence d’accumulation et des combinaisons entre les différents effets des polluants ex : sensibilité au NOx en présence d’un autre polluant comme les SOx
Cela surestime le coût externe global.
Comme cité dans la question précédente à titre d’exemple du NOx sur le fait de la présence du SOx qui affecte aussi la santé (problème de dépendance des polluants), ceci va donc causer une surestimation du cout externe global.
Dans le sens de surestimer du cout externe global d’un combustible => les externalités des effets sont supérieures a l’effet externe global.
Dan le sens de calcul du coût externe d’un combustible a cause de l’émission de polluant, et dans le calcul du coût externe de ce même combustible , qui est liée à une pollution qu’on attribue à un autre polluant et que le dommage occasionné à l’organisme humain par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant
Dans le sens que le calcul du coût externe du combustible dépend de l’émission du polluant
Une surestimation puisqu’on prend en compte deux fois les effets d’une même pollution : dans le calcul du coût externe d’un combustible dû à cette émission de polluant et dans le calcul du coût externe d’un même combustible, dû cette fois à une pollution qu’on attribue exclusivement à un autre polluant alors que (le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant ) ce qui nous mène à surestimer le coût externe global d’un combustible.
Etant donné que chaque source polluante est considérée comme une variable indépendante et donc le cout externe est appropriée à celle-ci ensuite on additionne les couts de toutes ces composantes polluantes alors qu’il existe en réalité une interaction entre ces sources polluantes qui n’est pas prise en considération par l’étude ExternE donc on est dans une surestimation.
Cela pencherait dans le sens d’une sous-estimation en raison d’une mésestimation des impacts de chacun des combustibles (études Freeman)
mon avis, cette méthode sous-estime le coût externe global car elle ne prend pas en compte les d’effets synergique des polluants
dans le sens de la surestimation du coût externe global .
surestimation
Cela induit une sous-estimation du coût car en cas d’interaction entre les composantes la somme du tout devient supérieur à la somme des parties.
En réalité, il peut se produire une surestimation ou une sous-estimation du coût externe global selon les cas. En effet, si lors du processus d’agrégation, il a été attribué un plus fort coefficient aux effets externes d’une source alors que la contribution de cette source est en réalité plus faible, alors il se produira une surestimation. Si à l’opposé, des on sous-estime la contribution d’une source lors de l’agrégation, le coût externe global sera sous-estimé. Un mélange de ces situations peut avoir également lieu.
(l’exemple des pollutions au NOx et au SOx). , cette fois-ci, de surestimer le coût externe global d’un combustible
prises en compte. Par exemple, si les impacts sur la santé humaine causés par les émissions de polluants ne sont pas pleinement pris en compte, le coût externe global sous-estimera les coûts réels.
La surestimation du coût externe global peut se produire si certaines sources de coûts externes sont surestimées ou en double comptabilisation. Par exemple, si des impacts sur l’environnement sont mal évalués ou mal assignés à une source d’énergie spécifique, le coût externe global surestimerait les coûts réels.
En pratique, les coûts externes totaux peuvent être surestimés ou sous-estimés dans certains cas. La surestimation se produit lorsque l’effet externe d’une source se voit attribuer un coefficient plus élevé lors de l’agrégation, alors que la contribution de cette source est en réalité plus faible. En revanche, si la contribution des sources était sous-estimée lors de l’agrégation, le coût externe total serait sous-estimé. Un mélange de ces situations est également possible. Par exemple, l’effet synergique des polluants est sous-estimé, mais surestimé lorsque les dommages causés par un polluant sont attribués à un autre polluant (comme les NOx et les SOx).
Dans le sens de l’amélioration de l’évaluation des coûts externes du nucléaire, en
intégrant l’aversion pour le risque et en prenant des hypothèses majorantes.
A mon avis va dans le sens surestimation du coût externe global car la somme de chacun des coûts mesurés séparément est plus élevée qu’une évaluation globale de l’ensemble des coûts.
Dans le sens où le calcul du coût externe du carburant dépend de l’émission du polluant
Une surestimation car l’impact d’une même pollution est comptabilisé deux fois :
dans le calcul du coût externe du carburant dû à l’émission de ce polluant et dans le calcul du coût externe du même carburant, puisque la pollution est cette fois attribuée à l’autre polluant séparément alors que (les dommages causés à l’organisme par un polluant non indépendant de la présence d’un autre polluant) conduit à surestimer le coût externe global du carburant.
On pourra prendre les couts des effets d’une même pollution plusieurs fois donc les résultats peuvent être surestimer.
L’agrégation des coûts externes de polluants peut conduire à une surestimation du coût global et cela est dû au fait que certains polluants agissent en interaction et ne sont pas indépendant l’un de l’autre.
En effet on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx (Oxyde d’Azote) et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant comme les SOx.
dans le sens ou les effets d’un polluant peut être pris en compte plusieurs fois, cas des pollutions diffuses
On peut supposer qu’on va prendre en compte deux fois les effets d’une même pollution (via les phénomènes de pollution diffuse) : dans le calcul du coût externe d’un combustible dû à cette émission de polluant proprement dite, et dans le calcul du coût externe d’un même combustible, dû cette fois à une pollution qu’on attribue exclusivement à un autre polluant alors que « le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant » (cf. ci-dessus l’exemple des pollutions au NOx et au SOx). On risque donc, cette fois-ci, de surestimer le coût externe global d’un combustible.
La surestimation ou la sous-estimation du coût externe global dépendra : Il y aurait une surestimation si les dommages occasionnés par un polluant sont attribués à un autre mais il y aurait une sous estimation dans le cas d’effet synergique des polluants.
On pourra prendre les couts des effets d’une même pollution plusieurs fois donc les résultats peuvent être surestimer.
Cette action peut surestimer du coût externe global lorsqu’ils vont être cumulés à partir des certains effets qui sont dus à plusieurs polluants combinés.
L’agrégation des coûts externes selon les sources de pollution peut conduire à une surestimation ou à une sous-estimation du coût externe global, en fonction de la similarité des impacts entre les sources. Une surestimation peut résulter d’un double comptage des effets, tandis qu’une sous-estimation peut se produire si les différences entre les impacts des différentes sources ne sont pas correctement prises en compte lors de l’agrégation. La précision de l’estimation dépend de la nature des coûts externes, de la diversité des impacts et de la méthodologie d’agrégation utilisée.
Surestimation dans le cas des Nox et SOx.
Une centrale électrique d’une technologie donnée occasionne plusieurs nuisances. Supposons que l’on sache mesurer avec une précision raisonnable le coût de chacune de ces nuisances. Est-il possible d’additionner chacun de ces coûts pour avoir le coût global ?
Il existe une solution théorique à cette question. Mais elle est difficile à mettre en œuvre. Elle suppose en tout état de cause que les composantes du coût soient des variables indépendantes. Il s’agit d’une hypothèse forte. En effet on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx. En tout état de cause, les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles. L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants.
C’est une sous estimation du cout externe global, pour des raisons des politiques économiques et gouvernementales.
Tout dépend du calcul de l’émission de CO2, par ce que les énergies (l’évaluation du cycle de vie) qui émettent plus de CO2 seront surestimées et celle produisant moins seront sous estimées. Dans le cas par exemple des énergies renouvelables on parlera de surestimation des couts et dans le cas de l’énergie nucléaire d’une sous estimation.
Le biais introduit une surestimation du coût externe global en prenant en compte potentiellement les effets de 2 polluants différents pour un seul et même dommage occasionné.
A mon sens, cette agrégation implique une surestimation suite au calcule du même polluant beaucoup de fois.
Les effets des divers polluants peuvent être liés les uns aux autres. Par exemple, la réaction ou la sensibilité à un polluant comme le NOx peut être influencée par la présence d’un autre polluant, comme les SOx.
Il est possible que les effets d’une même pollution soient pris en compte deux fois, via des phénomènes de pollution diffuse. Cela se produit lors du calcul du coût externe d’un combustible attribué à une émission de polluant spécifique, ainsi que dans le calcul du coût externe du même combustible attribué à une pollution attribuée exclusivement à un autre polluant.
L’agrégation des coûts externes peut potentiellement conduire à une surestimation ou à une sous-estimation du coût externe global, en fonction des facteurs spécifiques liés aux sources de pollution agrégées. Voici comment cela pourrait se produire :
Surestimation :
Double Comptabilisation : Si les sources de pollution ont des effets similaires sur la santé ou l’environnement, l’agrégation des coûts externes de chaque source sans correction peut conduire à une double comptabilisation, surestimant ainsi l’impact global.
Interactions Non Linéaires : Si les interactions entre les sources de pollution sont complexes et non linéaires, une simple addition des coûts peut surestimer l’impact réel.
Sous-estimation :
Ignorance des Interactions : Si des interactions positives entre différentes sources de pollution réduisent leurs effets cumulatifs, l’agrégation sans considération de ces interactions peut sous-estimer l’impact global.
En résumé, le risque de surestimation ou de sous-estimation dépend de la nature des interactions entre les différentes sources de pollution, de la redondance des effets, et de la complexité des relations entre les divers coûts externes. Pour obtenir une évaluation précise du coût externe global, il est crucial de prendre en compte ces facteurs lors de l’agrégation des coûts externes associés à différentes sources d’énergie.
la surestiment s’entend l’evaluation excessive des cout tandis la sous-estimation est l’évaluation à la baisse des couts.
L’agrégation des coûts externes selon les sources de pollution peut conduire à une surestimation ou à une sous-estimation du coût externe global, et cela dépend de plusieurs facteurs, notamment la méthodologie utilisée, les données disponibles, et les choix faits lors de l’analyse. Voici comment cela peut se produire dans les deux cas :
Surestimation du cout externe global :
1. Double comptage : Si les couts externes associés à différentes sources de pollution se chevauchent ou se recoupent, cela peut entrainer double comptage de certains impacts, conduisant à une surestimation du cout global.
2. Surdéclaration des impacts : Une pondération excessive de certains impacts, peut- etre en raison de leur visibilité médiatique ou de leur préoccupation publique, peut conduire à une surestimation des couts externe .
3. Inclusion d’impact mineurs mais visibles : Si des impacts mineurs mais visibles sont inclus dans l’analyse et sont données trop de poids, cela peut conduire à une surestimation du cout global.
Sous – estimation du cout externe global :
1. Omission d’impact important : Si certains impacts significatifs sont omis de l’analyse, cela peut conduire à une sous-estimation du cout externe global.
2. Simplification excessive : Des modèles trop simplifiés ou des hypothèses inappropriées peuvent conduire à des estimations inferieures à la réalité, sous- estimant ainsi les couts externes.
3. Absence d’interaction entre sources de pollution : Si les interactions entre différentes sources de pollution ne sont pas correctement prises en compte, cela peut conduire à une sous – estimation des couts externes.
En résumé, le risque de surestimation ou de sous- estimation du cout externe global dépend de, la qualité de données, de la pertinence des modèles utilisés, de la justesse des pondérations, et de la transparence dans ma méthodologie. Une approche rigoureuse, basées sur des donnée fiables et des modèles précis, est essentielle pour obtenir des estimations crédibles et éviter les biais dans le résultat final.
on sous-estime le cout dans le sens de l’énergie éolienne et les produits à effet de serre. on surestime le cout externe globale par le calcul d’actualisation.
on sous-estime le cout dans le sens de l’énergie éolienne et les produits à effet de serre. on surestime le cout externe globale par le calcul d’actualisation.
Cela sur estime le coût externe global.
Les agréger entrainerait probablement une sous estimation car ne prend pas en compte l’effet synergique cocktail.
L’agrégation des coûts externes peut entraîner une surestimation ou une sous-estimation du coût externe global, et cela dépend des spécificités de l’analyse, des sources de pollution considérées et des méthodologies utilisées. Voici comment cela peut arriver :
Surestimation : Une surestimation du coût externe global peut se produire si les effets des différentes sources de pollution sont double comptés ou si les catégories de coûts externes se chevauchent. Par exemple, si un impact sur la santé est déjà pris en compte dans une catégorie et qu’il est ensuite ajouté à une autre, cela pourrait entraîner une double comptabilisation, ce qui entraînerait une surestimation du coût total.
Sous-estimation : En revanche, si certaines sources de pollution ou impacts importants sont ignorés de l’agrégation, cela peut entraîner une sous-estimation du coût externe global. Il peut y avoir une sous-estimation des coûts totaux si une catégorie de coûts externes importante est négligée, ce qui peut ne pas être visible dans le résultat agrégé.
Il est important de noter que la complexité de l’agrégation des coûts externes et la direction du biais introduit dépendent grandement des spécificités de l’étude en question. Pour obtenir des résultats agrégés précis et représentatifs, une méthodologie rigoureuse, une définition claire des catégories de coûts externes et une prise en compte appropriée des interactions et des chevauchements sont nécessaires.
on conclu que si l’agrégation est inappropriée, elle peut introduire un biais, ce qui peut entraîner une surestimation ou une sous-estimation du coût externe global associé à la production d’énergie.