Bioindicateurs de l’exposition

Le p,p’-DDE est le principal métabolite, il est aussi celui qui persiste le plus longtemps. Dans l’hypothèse d’une période vulnérable à un âge jeune, le fait de réaliser les dosages longtemps après introduit des sources d’importante variabilité (métabolisme, stockage, élimination, autres sources de contamination). En dosant directement le composé actif assez près de la période d’exposition, Cohn et al. obtiennent une meilleure caractérisation de l’exposition.

Non seulement le p,p’-DDE, par sa lipophilicité supérieure, est plus persistant, il a aussi une action biologique différente (action antiandrogène, alors que le p,p’-DDT est faiblement estrogénique).

Expliquez en quelques mots la principale différence de l’étude de Cohn et al. et les arguments biologiques qui constituent sa force.

175 Messages de forum

  • la principale différence de l’étude de Cohn et al. est la période de naissance caractérisée par l’utilisation abondante de DDT et l’exposition à ce DDT. Il est démontre que les jeunes femmes âgées de 17 à 20ans pendant cette et exposée au DTT avait un taux élevé de p,p’DDE élevé dans le sang et ont toutes développées un cancer de sein avant l’age de 50ans.

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  • les differences sont que l’étude de Cohn a pris en compte l’age d’exposition,la vulnerabilité de la glande mammaire,une nouvelle echelle,le temps d’élimination du DDT

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  • Le principal avantage de cette étude est d’utiliser une mesure bien plus précise de l’exposition précoce, en dosant directement le composé actif, le pp’DDT, et ce sur des échantillons prélevés près de la période critique d’exposition, et non plus le métabolite le plus persistant, le pp’DDE, longtemps après.

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  • Dans cette étude, les auteurs utilisent des serums collectés de 59 à 67, avant l’interdiction du DTT. Ils peuvent ainsi mettre en evidence la correlation entre l’exposition, l’interdiction, et la pathologie.

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  • c’est une étude emboîtée qui est une étude de type cas témoin a l’intérieur d’une cohorte. de cette façon les auteurs ont pu éviter les sources de biais et de limiter les prises de sang pour les dosages et ceci d’anticiper sur la durée de l’étude.

    les arguments biologiques sont des bioindicateurs d’exposition qui permettent la causalité directe et sans ambiguïté(ils sont juges pertinents par rapport a la pathologie cible

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  • Le fait de se baser sur une étude de cohorte permet à l’auteur d’avoir des prélèvements sanguins effectués dans des conditions physiologiques à chaque fois identiques pour chacune des femmes de l’étude (1 à 3 jours après leur accouchement), ces femmes ayant toutes la particularité d’avoir été exposées à un jeune âge au DDT ce qui n’était pas le cas des femmes étudiées dans les autres études épidémiologiques. De plus l’âge de l’exposition choisi correspond à l’âge de sensibilité des glandes mammaires lié à la puberté.

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  • Les études antérieures n’ont pas montré de lien entre exposition au DDT et cancer du sein. De fait, l’âge d’exposition n’avait pas été considéré. Cette étude a la particularité d’analyser des échantillons sanguins datant de la période d’usage intense du DDT, avant son interdiction, et chez des personnes jeunes. Il s’agit donc de la première étude qui étudie le lien entre âge d’exposition au DDT et cancer du sein.

    Les arguments biologiques qui constituent sa force sont :
    - des niveaux sanguins élevés de DDT sont corrélés à un risque accru de cancer du sein si la personne était exposée avant ses 14 ans d’âge.
    - cette corrélation ne se retrouve pas chez les femmes ayant été exposées au DDT à un âge plus mûr.

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  • La principale difference de l’etude de Cohn et al est d’elargir les etudes à l’exposition au DDT des filles pendant les perodes de conception( in utero). Les argument biologiques qui constituent sa force sont de deux types:premierement, il s’agit de nier la correlation entre un taux elévé de p,p DDT et un niveau quelconque de p,p DDE. La deuxieme montre l’action des derivés du DDT et les biais hormonaux in utero.

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  • Cohn et al.ont fais le dosage de p, p’-DDE qui est le principal métabolite fortement lipophile, à effet anti androgène et persistant dans l’environnement et dans l’organisme, ce qui a permis à Cohn et al.de faire le dosage sanguin et de suivre tous les processus relatifs au fonctionnement de DDT dans l’organisme. Ceci est possible même des années après l’exposition au DDT et faire une relation entre l’exposition précoce au DDT et le cancer du sein.

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  • L’étude part des échantillons de sang provenant de jeunes femmes (26 ans) exposée au DDT au cours de la période 1959-1967, appartenant au CHDS. Permet de manière prospective de faire un correction entre page d’exposition et les effets du cancer.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 10 juin 2010 22:46

    L’appariement des cas et des témoins, les dosages sanguins des métabolites du DDT chez tous les sujets.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 10 juin 2010 23:23

    La principale différence de l’étude de Coln et al est la prise en compte de la variable âge à l’exposition au DDT dans son analyse. Ils ont tenu compte des âges de sortes à les faire correspondre au périodes de pic d’exposition au DDT.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 11 juin 2010 12:29

    la principale différence d’étude de Cohn et al est basé sur une méthodologie expérimentale. des échantillons ont été étudiés. c’est une étude prospective de type cas/témoin.
    l’argument biologique qui constitue la force de cette étude est le fait que les sujets étudiés ont subi tous un prélèvement sanguin en vue d’une analyse biologique. l’ingrédient actif du DDT a été mesuré dans le sérum ainsi que le contaminant mineur o,p’-DDT et le métabolite le plus abondant.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 11 juin 2010 14:02

    Lors de l’expérience, les femmes qui n’ont pas étaient exposées au DDT avant l’âge de 14 ans ne présentaient aucune association entre p,p’-DDT et cancer du sein (la différence pour les deux groupes d’âge étant significative, p = 0,02).
    L’exposition au p,p’-DDT, tôt dans la vie, pourrait augmenter le risque de cancer du sein. Un grand nombre de femmes aux USA, lourdement exposées au DDT pendant leur enfance, n’ont pas encore atteint l’âge de 50 ans. L’impact de l’exposition précoce au DDT, en termes de santé publique, est certainement notoire.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 12 juin 2010 12:49

    Le choix des bioindicateurs a été pertinent : p-p’ DDT et p-p’ DDE : en effet, ce sont les plus persistants dans l’organisme , le p-p’ DDE étant le plus persistant.
    Les o-p ’DDT et o-p’ DDE sont éliminés plus vite et donc ne sont pas de très bon indicateurs, ils ont pourtant été utilisés comme indicateurs dans de précédentes études.
    De plus, le p-p’ DDT ET le p-p’ DDE ont été mesurés dans les échantillons de cette étude, et tous les 2 corrélés à une plus grande incidence de cancers du sein, essentiellement quand le p-p’ DDT est très supérieur au p-p’ DDE. Evaluer seulement le p-p’ DDE n’est pas suffisant en effet : les taux de p-p’ DDE ne réflètent pas bien l’exposition passée au p-p’ DDT car il peut être ingéré directement.
    De plus, des études mexicaines semblent corréler des taux élevés de p-p’ DDT avec des dommages sur l’ADN.
    Les taux de p-p’ DDT et p-p’ DDE semblent avoir été corrigés en fonction de différents facteurs de confusion.
    Enfin, les mesures ont été faites dans l’étude de Cohn dans le bon intervalle de temps lors du pic d’exposition au DDT et non 30 ans plus tard comme dans la plupart des études.
    Les mesures ont été réalisées chez des femmes jeunes, à l’adolescence puis pendant la grossesse et après l’accouchement, et non chez des femmes plus âgées.
    Ceci est beaucoup plus pertinent pour analyser une influence du DDT à l’adolescence ou sur des femmes en procréation pour le développement du cancer du sein.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 12 juin 2010 12:59

    L’étude présentée est une étude prospective "a priori", qui a permis de de suivre pendant plusieurs années, une cohorte de femmes,via questionnaires (permettant de connaitre l’histoire gynécologique et de déterminer le (ou les) lieu(x) de résidence) et échantillons sanguins.

    Les arguments biologiques rendant cette étude originale par rapport aux précédents travaux du même type : l’étude du p,p’-DDT, plutôt que celle du p,p’-DDE, tous deux métabolites du DDT.
    Les précédentes études avaient porté sur le p,p’-DDE, qui est davantage soumis aux différences individuelles de métabolisme et de corpulence (notamment lipides auxquels il se lie) et qui est un métabolite plus persistant dans l’environnement que le p,p’-DDT : il est donc possiblement ingéré de façon chronique et peut donc constituer un facteur de confusion.
    Le p,p’-DDE ne reflète pas l’exposition passée, ce qui était l’objectif de la présente étude.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 12 juin 2010 16:18

    pp’DDE est un des bioindicateurs les plus persistants dans l’organisme mais ne reflètent pas l’exposition passé car il ne peut être ingéré directement. L’étude de Cohn et al a pris en compte l’âge et le moment où l’exposition est à son maximum. Ses sujets étaient des femmes de la grossesse (stage foetal) à l’adolescence et non des femmes de plus de 25 ans.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 12 juin 2010 16:23

    Le p,p’-DDT (l’ingrédient actif du DDT) est le contaminant mineur o,p’-DDT et le métabolite le plus abondant, le p,p’-DDE. La principale difficulté se situe dans la méthode : en effet, d’un côté on mesure la concentration du toxique dans l’organisme et de l’autre on évalue l’effet après que le toxique ait subi tout le transit dans l’organisme ; procéder à une mesure directe voire dosage donne une idée de la dose ponctuelle de toxique qui se trouve dans un organisme à l’instant t précis, car après métabolisme, la quantité pourrait être réduite et l’effet moins prononcé.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 12 juin 2010 23:38

    Cette étude prend en compte les trois principaux métabolites du DDT et exprime leurs effets respectifs dans le risque du cancer. Elle prend en compte surtout l’effet de l’exposition précoce par rapport au risque étudié. La plupart des études précédentes ne supportent pas l’hypothèse que l’exposition au DDT est un important facteur de risque du cancer du sein. Dans la présente étude, les auteurs ont examiné si les concentrations sériques de p, p′-DDT et o, p′-DDT sont associées au cancer du sein, à l’aide d’échantillons de sang prélevés avant que le DDT ait été interdit et pendant son utilisation intensive (1960). C’est la première étude qui mesure les niveaux de sang chez les jeunes adultes (âge moyen de 26 ans) et examine si l’âge lors de l’exposition peut modifier les effets du DDT sur le cancer du sein.
    Les études antérieures ont été limitées par leur incapacité à mesurer l’exposition des jeunes femmes pendant les périodes d’utilisation intensive du DDT. Par conséquent, la plupart de ces études ont observé de très faibles niveaux de p, p′-DDT [1,1,1-trichloro-2 ,2-bis (p-Chlorophényl)] éthane et o, p′-DDT [1,1,1-trichloro-2-(p-Chlorophényl) -2 - (o-Chloro-phényl)] éthane, les principaux constituants du DDT commercial. Les conclusions de ces études s’appliquent aux effets de la p, p′-DDE [1,1 ’-dichloro-2, 2’-bis (p-Chloro-phényl) éthylène], le métabolite principal de la p, p′-DDT qui est plus persistant dans l’environnement et les systèmes biologiques et peut donc être mesuré plusieurs années après que l’utilisation du DDT a diminué. De plus, peu d’études antérieures mesuraient tous les trois composés ou les considéraient tous les trois simultanément alors que ces divers composés liés au DDT n’ont pas la même activité biologique. Les taux sériques de p, p′-DDT et p, p′-DDE étaient considérablement plus élevés dans le CHDS population de cette étude que dans les populations où le sang a été prélevé une à quatre décennies plus tard. Ces données permettent une conception unique qui teste l’hypothèse que les associations de DDT au cancer du sein sont plus grandes pour les cohortes de naissance dans laquelle les femmes auraient pu être plus fortement exposées.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 12 juin 2010 23:53

    Dans la présente étude, les auteurs ont recherchés si le sérum p,p′-DDT et o,p′-DDT sont associés au cancer du sein, utilisant des échantillons de sang obtenus avant que le DDT ne soit banni et lorsque ce pesticide était très utilisé(1960).

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  • Bioindicateurs de l’exposition 12 juin 2010 23:55

    cette étude est différente des autres parce qu’elle a utilisé le dosage sanguin du sérum p,p′-DDT et o,p′-DDT recueilli dans les années 1960 ( avant que le DDT soit interdit) et lorsque ce pesticide était le plus utilisé.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 15 juin 2010 18:51

    Les bioindicateurs choisi pour mesurer le taux de contamination permet de bien appréhender le problème et c’est l’ingredient actif qui lui a servi a évaluer le risque

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  • Bioindicateurs de l’exposition 16 juin 2010 18:12

    La principale différence de l’étude de Cohn repose sur le choix de la population exposée au DDT, ici l’occurrence du cancer est étudiée sur une population exposée plus tôt au DDT. Les aguments biologiques qui constituent la force de cette études sont que l’exposition au DDT plus tôt dans la vie serait plus risquée soit durant la période ou le sein est plus vulnérable ; en d’autre terme biologiquement l’étude de l’exposition au DDT plus tard dans la vie se ferait dans une période ou le sein est moins vulnérable

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  • Bioindicateurs de l’exposition 17 juin 2010 23:56

    Bioindicateurs de l’exposition au DDT :

    p,p’-DDT

    o,p’-DDT

    p,p’-DDE

    qui sont dosés dans le sérum

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  • Bioindicateurs de l’exposition 3 janvier 2011 19:36

    La particularité de cette étude est qu’elle tend à vérifier une hypothèse d’exposition particulière, à savoir l’effet de l’exposition à un age ou le sujet est le plus vulnérable. La plupart des études précédentes sur le même sujet ont étudié le lien entre exposition et pathologie, sans tenir compte de l’age d’exposition. La force de cette étude est que la mesure de l’exposition est faite à partir de bio-marqueurs pouvant mettre en évidence de manière certaine l’exposition à l’age vulnérable ; mesure qui est ensuite comparée au diagnostic déjà établi, puisque les cas ont tous été atteints, à l’inverse des témoins qui ont le même age que les cas.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 8 janvier 2011 14:31

    L’originalité de l’étude de Cohn consiste à étudier l’exposition à une périodes critique (dès la puberté) et son effet sur la concérogénèse.

    S’agissant du design de l’étude, Cohn choisit de prendre en compte 3 bio-indicateurs (Le p,p’-DDT , le contaminant mineur o,p’-DDT et le métabolite p,p’-DDE) pour mesurer l’exposition. Cela permet de confronter et de confirmer les résultats obtenus. Il exprime notamment que le métabolite n’est qu’un indicateur approximatif de l’exposition. Avec ces 3 indicateurs convergents, l’étude de Cohn paraît plus solide.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 8 janvier 2011 18:16

    C’est la première étude à mesurer des niveaux de sang dans le jeune âge adulte (dans les autres études, le sang a été collecté quand les femmes avaient un âge plus avancé). Cette étude est aussi la première étude spécifiquement conçue, a priori, à considérer si l’âge au moment de l’exposition peut influencer les effets du DDT sur le cancer du sein.
    Les différents composés dérivés de DDT n’ont pas la même activité biologique (p p ’-DDE agit comme un antiandrogène, mais pas comme un oestrogène ; o p ’-DDT agit comme un oestrogène à activité extrêmement faible et p p ’-DDT montre peu ou pas d’activité androgène ou oestrogénique). Ainsi, il n’est pas probable que l’association du p p ’-DDT soit due à l’activité oestrogénique ou androgènique. De plus, il est raisonnable de s’attendre à ce que les effets de ces trois composés diffèrent. Peu d’études antérieures ont considéré la mesure des trois composés simultanément

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  • Bioindicateurs de l’exposition 13 janvier 2011 06:03

    la principale différence de l’étude de Cohn et al. est la période de naissance caractérisée par l’utilisation abondante de DDT et l’exposition à ce DDT. Il est démontre que les jeunes femmes âgées de 17 à 20ans pendant cette et exposée au DTT avait un taux élevé de p,p’DDE élevé dans le sang et ont toutes développées un cancer de sein avant l’age de 50ans.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 14 janvier 2011 20:25

    Les différences de conception (âge, sexe, nom et prise de sang)
    peu d’études mesurée les 3 composés : le composé p, p’-DDE ; o, p’-DDT et le p, p’-DDT

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  • Bioindicateurs de l’exposition 18 janvier 2011 19:56

    Tous les sujets ont un niveau détactable de p,p′-DDE and p,p′-DDT (≥ 0.8 μg/L). 65% de sujets ont des mesures de p′-DDT se situant au niveau minimum détectable de 0.4 μg/L.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 22 janvier 2011 17:45

    La principale différence de l’étude de Cohn et al. et les arguments biologiques qui constituent sa force réside principalement dans le fait qu’ils ont mis en évidence une exposition au p,p’-DDT, tôt dans la vie, ce qui pourrait augmenter le risque de cancer du sein à travers des échantillons sanguins prélevés chez les jeunes femmes de 1959 à 1967. Ces jeunes femmes ont toutes subi un prélèvement sanguin 1-3 jours après leur accouchement (age moyen 26 ans).
    Le p,p’-DDT (l’ingrédient actif du DDT) a été mesuré dans les sérums, ainsi que le contaminant mineur o,p’-DDT et le métabolite le plus abondant, le p,p’-DDE. L’impact de l’exposition précoce au DDT, en termes de santé publique, a donc été considérable.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 24 janvier 2011 12:02

    la principale différence de l’étude de Cohn et al. et les arguments biologiques qui constituent sa force fait qu’au-delà de démontrer les risques liés à l’usage du DDT, il essai de montrer que les sujets exposé à jeune âge peuvent développer des risques de cancer du sein. Toutefois, il ne peut le démontrer en raison du fait que les sujets étudiés n’ont pas encore 50 ans.
    L’intérêt est surtout de prévenir des dommages que le cancer du sein peut provoquer chez les sujet jeune à risque, sans attendre que la probabilité soit prouvée.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 25 janvier 2011 16:30

    La principale différence de l’étude Cohn et al est que c’est une étude emboitée (introduction d’une étude prospective de type cas-témoin dans une cohorte) qui permet d’évaluer la période d’exposition critique au DDT et l’apparition du cancer du sein.
    Les arguments biologiques qui constituent sa force sont tout d’abord la méthodologie utilisée c’est-à-dire le prélèvement des échantillons de sang au moment de l’entrée dans l’étude qui ont été par la suite utilisés au bout d’un temps assez long pour qu’une fraction significative d’individus recrutés aient développé une maladie (cas). Ainsi Le dosage sanguin à été alors réalisé chez ces cas en comparaison avec des témoins, en tout point comparables, à partir de la cohorte. De cette façon les sources de biais ont été réduites. Ensuite le dosage sanguin simultané du p,p’-DDT (ingrédient actif du DDT ayant une durée de vie courte), du contaminant mineur o,p’-DDT et du p,p’-DDE (métabolite principale ayant une durée de vie longue) qui représentent des bioindicateurs d’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 26 janvier 2011 00:11

    Barbara Cohn et son équipe ont utilisé comme bioindicateurs de l’exposition au DDT la molécule active du DDT : le p.p’-DDT ; elles ont mesuré aussi l’o.p’-DDT, un métabolite présent à faible concentration et le p,p′-DDE, métabolite très lipophile persistant mais de plus faible effet estrogénique. Les précédentes études, telles que celle de Lopez-Cervantes, n’avaient pu mesurer que ce dernier métabolite car les prélèvements étaient plus tardifs, après l’interdiction du DDT. Or, l’imprégnation au DDE provient surtout de l’alimentation et non de l’exposition antérieure au DDT : il ne constitue donc pas un bioindicateur très pertinent de l’exposition au DDT.

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    La force de l’étude de Cohn est d’avoir pu rendre compte de façon fiable des conséquences de l’exposition historique au DDT : elle a pu mesurer le métabolite le plus actif (à l’effet le plus estrogénique) du DDT au moment de la plus forte exposition, dans la population la plus vulnérable à l’exposition au DDT : celle des enfant, adolescentes ou femmes jeunes. Contrairement aux autres études, celle-ci a ainsi pu mettre en évidence que l’exposition au DDT tôt dans la vie augmente le risque de tumeur mammaire.

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  • La plupart des études ont eu lieu chez les femmes plus tard dans leur vie. Étude Cohn a eu lieu chez les jeunes femmes.

    Leurs arguments biologiques sont que le sein chez les femmes de jeune âge est plus vulnérable. En outre, cette étude se réfère aux femmes qui ont été de moins de 14 ans en 1945 (annee de premiere circulation de DTT, et avaient environ 20 ans à l’apogée de l’utilisation du DTT. Alors pendant l’adolescence, qui est une periode critique, comme on le montre dans des etudes, elles etaient exposees À des fortes concentrations de DTT.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 3 octobre 2011 06:15

    La principale différence est que pour les anciennes études, il était hors de question que l’analyse se fasse sur l’impact du DDT sur les sujets exposés jeunes, cette nouvelle étude au contraire tend à prouver
    l’impact nefaste et la relation qu’il a avec pour les sujets exposés jeunes avec la cancer du sein.
    La différence de résultats est significative entre les femmes exposées avant l’age de 14 ans et celle pas avant l’age de 14 ans pour lesquelles aucun lien n’a été trouvé entre ddt et un possible cancer du sein.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 4 novembre 2011 18:40

    C’est une étude nichée (cas-témoin dans une cohorte) où les participants appartiennent à une même région, Oakland, et les cas ont été appareillés aux témoins selon leurs ages. Mais la principale force de cet étude est le dosage du bio marqueur p,p-DDT dans le sérum, ce qui fait qu’on a une mesure exact de l’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 26 décembre 2011 05:21

    il a associé études épidémiologique et étude expérimentale

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  • Bioindicateurs de l’exposition 28 décembre 2011 10:55

    Sa principale différence est l’étude de l’exposition précoce et la survenue d’un cancer plusieurs années après l’exposition. En effet la glande mammaire commence son développement au stade fœtale mais se termine à la puberté, tout au long de cette période une exposition peut engendrer des conséquence à long terme sur cet organe particulièrement sensible.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 9 janvier 2012 15:49

    La différence de cette étude consiste à :
    1. son design
    2. les résultats qui par apport aux études précédentes concernent les trois substances du DDT, p,p′-DDE, p,p′-DDT et qui pour la première fois sont étudiées séparément et simultanément.
    Chaque une de ces substances, présentant des propriétés biologiques différentes (ex. p,p′-DDE lipophile metabolite, qui est ingéré directement, plus persitant que le p,p′-DDT mais qui ne reflète pas une exposition passée ou est susceptible au métabolismé idividuel) et des activités biologiques différentes (p,p′-DDE réagit comme antiandrogène ; o,p′-DDT agit comme un faible estrogène ; p,p′-DDT montre une petite activité androgène ou estrogène.
    L’ activation d’enzymes par le p,p′-DDT difficilement métabolisé, peut soutenir des hypothèses de génération de d’intermédiaires génotoxiques et d’adduits, responsables pour le développement d’un cancer.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 11 janvier 2012 16:02

    La principale différence de cette étude est la prise en compte de l’âge d’exposition dans les facteurs de risque.

    L’argument biologique est le cycle de développement du sein qui prend fin à la puberté / adolescence, soit avant 14 ans. C’est donc en phase de développement que les glandes mammaires seront les plus sensibles aux xénobiotiques.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 12 janvier 2012 17:54

    Le p,p’-DDE est le principal métabolite, il est aussi celui qui persiste le plus longtemps. Partant du fit qu’il existe une période de vulnérabilité à un âge jeune, le fait que les dosages soient réalisés longtemps après, introduit des sources d’importante variabilité (métabolisme, stockage, élimination, autres sources de contamination). En dosant directement le composé actif assez près de la période d’exposition, Cohn et al. Obtiennent une meilleure caractérisation de l’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 21 janvier 2012 11:56

    les arguments qui constituent sa force qu’il a interesse au DDT et DDE (le metabolite de DDT) comme matiere lipophilic persistante au corps pour une longue duree et n’est pas oestrogénique mais plutôt anti-androgénique (et donc bloque les hormones mâles comme la testostérone),
    aussi de trouver une relation entre l’exposition precoce au DDT durant l’enfance ou l’adolescence de ces femmes atteintes au cancer du sein et la survenue de pathologie apres la puberte a l’age d’avant les cinquaintaines.et les produits intermediaires ( forme metabolite) qui n’excrete pas et persiste dans le corps (le metabolisme de DDT, l’elimination)et de faire ses analyses et etude sur ce metabolite DDE

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  • Bioindicateurs de l’exposition 22 janvier 2012 00:14

    Les résultats des précedentes études étaient basés sur la recherche du métabolite de DDT ( p,p’ DDE) chez les sujets.L’étude de Con et al a recherché la teneur de p,p’ DDT dans le sang des adultes jeunes qui ont été exposés au moment où l’utilisation du produit était à pic.

    Ces arguments biologiques reposent sur le temps de formation des tissus mammaire et leur vulnérabilite au moment de l’exposition au DDT et aussi au faite que le p,p’ DDT a un métabolisme très lent.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 26 janvier 2012 18:10

    L’ argument biologique exposé dans le mécanisme de survenance du cancer en cas d’exposition au DDT chez les femmes pendant le bas âge est que le DDT entraine une génotoxicité qui , en conséquence , entraine les dommages sur la DNA.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 2 février 2012 07:41

    Les études de Cohn et al. ont porté sur l’évaluation des expositions dans des échantillons sanguins lors de l’utilisation active du DDT. Ce qui a permis de constater l’incrimination des 3 composés apparentés au DDT. le p,p’-DDT ; le p,p’-DDE et o,p’-DDT dans le développement des cancers.
    Les autres études ont été menées après que le DDT ait cessé d’être utilisé. Seul le p,p’-DDE était étudié.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 7 février 2012 22:53

    L’intérêt de cette étude repose sur le fait que c’est une étude prospective. En effet, une analyse de la recherche de p, p ’- DDT a été réalisée sur 258 prélèvements sanguins conservés, des années 1959-1967 (prélèvement représentant 258 jeunes femmes de moins de 26 ans à l’époque) . Cette période représente le pic d’utilisation du DDT. Ce rapport démontre qu’il y a 5 fois plus de risque de cancer de sein chez les femmes qui ont été exposées avant l’âge de 14 ans au DDT (concerne les femmes qui avaient moins de 14 ans en 1945, année qui représente le pic d’utilisation du DDT). Cette étude montre également que les femmes qui n’ont pas été exposées au DDT avant l’âge de 14 ans n’ont pas montré d’association entre le cancer du sein et l’exposition au DDT. Cette étude montre donc l’importance de la réalisation d’étude le plus précocement possible.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 11 février 2012 15:44

    La principale différence de l’étude de Cohn et al et les arguments biologiques qui constituent sa force se situe dans le fait que plus le sujet est jeune, donc en période de croissance avec des variations hormonales, plus il est réceptif.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 13 février 2012 01:56

    La force de l’etude réside dans la caravtérisation de l’expositon. En effet, sur une periode très longue de nombreux facteur de confusion entre en jeux, ici largement réduit avec l’étude de l’exposition à la source.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 17 février 2012 07:51

    son étude est basée sur la connaissance du développement de la glande mammaire ceci permet d’éviter le facteur de confusion.Il a fait son étude pendant la période ou la glande mammaire est très sensible aux polluants .

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  • Bioindicateurs de l’exposition 28 février 2012 20:41

    Le principal avantage de cette étude est d’utiliser une mesure bien plus précise de l’exposition précoce, en dosant directement le composé actif, le pp’DDT, et ce sur des échantillons prélevés près de la période critique d’exposition, et non plus le métabolite le plus persistant, le pp’DDE, longtemps après.

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  • La principale différence de l’étude de Cohn et al a été de doser directement le composé actif qu’est le p, p’-DDE près de la période d’exposition afin d’obtenir une meilleure caractérisation de cette exposition. Les arguments biologiques qui constituent sa force sont que le p, p’-DDE est le plus persistent des métabolites du DDT du fait de sa lipophilicité supérieure. Ainsi, il a une faible capacité à se lier aux récepteurs d’œstrogènes mais inhibe les la liaison d’androgènes à leurs récepteurs.

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  • L’etude de Cohn et al. C’est une meta-analyse alors cet unr recherché dans les etudes et les publications precedents sur cet sujets pour avoir les realites de l’association lors de contradictions tandi que cet etudes est une etude epidemiologiques analytiques de type cohort faire sur deux groups des femmes exposes et non exposes et suivie avec lt temps pour identifier s’il ya d’association entre l’exposition precoce au DDT et le risqué de cancer de sein et chez l’age precoce de vie a l’adolescence

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  • Par rapport à cette hypothèse de l’âge critique d’exposition, les auteurs ce sont intéressé à trois différentes composées apparentés de DDT, chaque un avec des caractéristiques biologiques différents (p,p’DDT, p,p’DDE et o,p’DDT), notamment le p-p’ DDE, qui est un métabolite du p, p’ DDT, persistant dans l’environnement et les systèmes biologiques, stocké pendants long temps dans les matières grasses.
    Au même temps ils comparent de manière presque exhaustive le facteur âge avec les différents facteurs pouvant être en relation aux résultats observés en quelques autres études. Pour mieux comprendre les mécanismes, les différences et les possibles biais de son analyse.

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  • La plupart des autres études sur le même sujet ont consisté à mesurer le taux de DDT (les principaux composants) alors que les cas étaient d’âge moyen ou avancé et bien après que les expositions soient importantes.
    L’étude de Cohn et al, a permis d’étudier des cas jeunes avant pendant et après la période d’exposition maximale au DDT, c’est à dire en optimisant les "facteurs de réussite" de l’étude par rapport aux hypothèses et suppositions du risque.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 10 mars 2012 12:57

    Les cas de cancer du sein ont été identifié par liaison du « California Cancer Registry » et « California Vital Status Records » Tous les noms sur un sujet d’étude de santé infantile et de développement (CHDS) faisait l’objet de liaison avec le cancer en utilisant des identifiants fixe tels que la date de naissance, le sexe la race et le nom et les identifiants qui changeant tels que l’adresse le numéro d’enregistrement du patient. Cohn et al. avait la rigueur dans son protocole de travail qui consistait à vérifier tous les cas en suivant manuellement les identifiant fixes versus changeant. Les documents de travail étaient au complet : « The california Cancer Registry is reported to be >99% compete after a lag time of about 2 years »
    Bref sa méthodologie de travail fait la différence.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 17 mars 2012 18:13

    la principale donne réside dans l’étude du lien entre l’ âge d’exposition au DDT et cancer du sein en sa basant sur les arguments biologiques étudier dans le sérum des taux de p,p DDT , du contaminant mineur o et du métabolite p,p DDE

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  • Aucune réponse.
    Peut être que cette différence est liée à la période à laquelle l’étude est réalisé c’est à dire la période de vie ( adulte) beaucoup plus vulnérable des femmes ayant connu le DDT.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 décembre 2012 15:05

    Dans cette étude, on été pris en compte l’ingrédient actif du DDT, ainsi que le contaminant mineur et le métabolite le plus abondant, ceci a permis de mesurer précisément les rapports entre l’exposition au DDT et le risque de cancer du sein.

    De nombreux paramètres ont été pris en compte concernant :
    - l’âge des sujets qui ont un impact sur les effets de l’expostition (différence de vulnérabilité par rapport aux cancérigènes suivant la maturité du sujet)
    - les degrés d’exposition, connaissant les périodes durant laquelle l’exposition était la plus importante (éliminant ainsi les possibilités d’erreurs de classement)

    Cette étude se basant sur la cohorte "Child Health and Development studies", il a donc été possible de mettre en place une étude cas-témoins dans une étude de cohorte. Ainsi le nombre de biais est fortement réduit.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 décembre 2012 17:16

    Les études précédentes ne prenaient pas en compte le fort risque de survenue d’ un cancer du sein par exposition élevée au DDT ( de par les limites des métabolites à suivre) et le Cohn et al. Ont pris en considération l’exposition au DDT à l’âge jeune ,au moment où il y avait à cette époque une forte exposition au DDT, ceci grâce au bio-monitorring du métabolite persistant( formant une forte liaison lipohilique avec les tissus et sans activité oetrogènique, le p,p’-DDE. Les autres études ne faisaient qu’évaluer une faible exposition au DDT. De même, le biomonitorring proposé par Cohn aura permis de répondre sur l’influence possible de l’exposition à l’âge jeune au DDT et survenue de cancer.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 10 janvier 2013 14:43

    L’étude de Cohn et al. est une étude de type cas-témoins nichée. s’appuie sur un bio-indicateur pertinent : le pp’-DDE, principal métabolite du pp’-DDT. Ce métabolite, fortement persistant dans l’organisme a été mesuré dans des échantillons de sang prélevés chez des jeunes femmes entre 1959 et 1967. L’étude ainsi réalisée a permis de mieux caractériser le niveau d’exposition des cas étudiés. La présence d’un bio-indicateur facilite l’établissement du lien de causalité entre l’exposition et la pathologie

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  • Bioindicateurs de l’exposition 17 janvier 2013 16:10

    La principale différence de l’étude de Cohn et al est que le sang est prélevé chez de jeunes femmes ( moyenne d’age 26) et non chez des femmes en âge avancé qui ont généralement une activité hormonale relativement diminuée, ce qui en soi est original car à cet âge là (26 ans en moyenne), les glandes stéroïdes connaissent une activité idéale, ce qui permet d’observer avec acuité d’éventuels effets de xénobiotiques sur leurs organes cibles.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 21 janvier 2013 11:13

    Le dosage du principal métabolite de DDT (p,p’-DDE qui s’accumule dans les graisses) à un jeune âge diminuera les différentes incertitudes (métabolisme, addition d’autres facteurs de risques, élimination par l’allaitement par exemple) qui pourraient être liées à l’estimation du risque. Ainsi le dosage à une période plus proche de l’exposition (période fœtale) permet aux acteurs de faire une bonne évaluation des risques et d’éviter beaucoup d’incertitudes.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 25 janvier 2013 22:35

    L’étude de Cohn et al. Se diffèrent des autres études parce qu’elle a utilisé le dosage sanguin du sérum p,p′-DDT p,p′-DDE et o,p′-DDT recueilli dans les années des 60 ( avant que le DDT soit interdit , lorsque ce pesticide était le plus utilisé) qui a permis de fournir une meilleurs caractérisation de l’exposition

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  • Bioindicateurs de l’exposition 26 janvier 2013 21:30

    conhn et al ont été les premiers à faire des dosages sanguins sur des individus âgés de moins de 26 ans. Et dans leurs analyses ils ont recherché des les différentes DDT ainsi que leurs métabolites et ils ont caractérisé la totalité du cholestérol et des tri glycérides par des mesures enzymatiques pour éviter la sous estimation de ces substances lipophiles.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 12 février 2013 10:15

    L’étude de Cohn et al. a mis en évidence une fenêtre d’exposition qui correspond à l’adolescence, c’est la période de formation des glandes mammaires qui consiste aussi en une concentration de lipides, or le DDT étant lipophile, s’en suit une accumulation de ses métabolites à ce niveau, d’où l’augmentation du risque de cancers du seins.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 13 février 2013 16:56

    Cohn repose sur le choix de la population exposée au DDT, ici l’occurrence du cancer est étudiée sur une population exposée plus tôt au DDT
    Dans cette étude Cohn et Al qui repose sur le choix de la population exposée au DDT, concernant une population exposée au DDT, à savoir l’effet de l’exposition à un âge ou le sujet est le plus vulnérable. La force de cette étude est que la mesure de l’exposition est faite à partir de bio-marqueurs par rapport un à l’âge vulnérable, mesure comparée au diagnostic déjà établi, dans plusieurs cas excepté les cas qui ont le même âge.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 15 mars 2013 19:06

    Les arguments biologiques qui constituent la force de cette étude par rapport aux précédents travaux du même type est le choix du pp ‘DDE qui est un métabolite du DDT, l’un des bio indicateurs les plus persistants dans l’organisme. L’étude de Cohn et al a pris en compte l’âge et le moment où l’exposition est à son plus haut niveau, ce qui traduit le choix de la population cible. Les sujets étaient des femmes enceintes pour l’aspect toxicité in utéro, des adolescentes et des femmes âgées en moyenne de 26 ans. Cette étude prend en compte surtout l’effet de l’exposition précoce par rapport au risque étudié. Ces données permettraient de tester l’hypothèse sur les associations de DDT au cancer du sein et de voir qu’elles sont plus grandes pour les cohortes de naissance, dans laquelle les femmes auraient certainement pu être plus fortement exposées.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 26 décembre 2013 10:17

    Les auteurs de cette étude ont mesuré trois métabolites du DDT : le p,p’-DDT (la molécule active, avec une faible action œstrogénique ), le contaminant mineur o,p’-DDT et le p,p’-DDE, le métabolite principal, avec une action anti-androgène. Ce dernier, avez aussi été mesuré dans d’autres études, car il persiste longtemps dans l’organisme et il a un fort pouvoir de bioaccumulation.
    Cependant, avec référence, par exemple, à l’étude de Lopez et al., il avait été dosé tardivement, à l’âge adulte. En cas de prélèvement tardif, en effet, il faut considérer d’autres facteurs, liés au délai de temps, aux conditions physiologiques et de vie dans le temps (ex. grossesse, allaitement, alimentation…).
    L’étude prospective conduite par Cohn et son équipe présente l’avantage d’avoir obtenu des échantillons de sérum très précocement par rapport à l’exposition et de pouvoir, donc, doser le p,p’-DDT .
    Si l’on considère que la fenêtre de vulnérabilité prévoit une exposition précoce et des manifestations tardives de la pathologie, on peut bien remarquer que, dans cette étude, on peut mieux estimer l’exposition réelle au métabolite actif du DDT, dans la période de vulnérabilité. Et, puisque le p,p’-DDT a une action œstrogénique, il est plus sensé de considérer sa contribution dans l’étiologie du cancer du sein.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 30 décembre 2013 13:41

    Le choix du p,p’-DD qui est un métabolite du DDT est l’argument biologique qui constitue la force de cette étude. Les auteurs ont démontré l’hypothèse que l’exposition au DDT à l’âge précoce constitue un facteur de risque de cancer de sein très élevé à travers la détermination de la dose /réponse du p,p’-DD dans le sang des sujets étudiés.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 9 janvier 2014 14:11

    L’avantage de l’étude de Cohn et al, c’est de se concentrer sur une mesure plus précise et surtout plus précoce. Pour cela ils ont dosé directement le composé actif le p-p’DDT, sur des échantillons le plus proche possible de la période d’exposition.
    Le p-p’DDE est plus persistant et lipophile donc peut être stocké dans les glandes mammaires, le fait de réaliser un dosage tardif induit des variables plus importantes

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  • Bioindicateurs de l’exposition 10 janvier 2014 22:41

    Cohn à la différence des études précédemment publiées s’adresse à une problématique écartée jusqu’alors, à savoir la prépondérance des facteurs d’exposition pendant les périodes de plus grande vulnérabilité de la jeune femme durant son développement. (alors que les autres études s’attachaient à mettre en évidence le lien entre DDT et Cancer du sein).
    Sans le nommer il introduit la notion de toxicocinétique en mettant en évidence le cycle de la métabolite p,p’DDE dans une étude prospective basé sur le classement de bioindicateurs à partir d’échantillons pris 17 ans avant la confirmation de l’apparition de la pathologie, dans ce cas du cancer du sein.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 12 janvier 2014 17:21

    La présente étude est la première étude spécifiquement conçue, a priori, pour examiner si l’âge à l’exposition peut modifier les effets du DDT sur le cancer du sein.
    Le contraste entre les résultats de la présente étude par rapport aux résultats largement négatifs des études antérieures peuvent être expliquées par les différences dans la conception de l’étude, l’âge au prélèvement de sang, l’âge à l’exposition, etc. Il a été utilisé une analyse de covariance en fonction de l’année de la prise de sang, le nombre de grossesses antérieures, l’allaitement, la race, etc.
    Les femmes ont pu être observées prospectivement, et les données permettent une conception unique de test de l’hypothèse que les associations du DDT avec le cancer du sein sont plus grandes pour les cohortes des femmes fortement exposées en début de leur vie.
    En outre, les paires cas-témoins ont été analysés dans les mêmes lots pour minimiser les différences dues à la dérive des laboratoires aveugles au contrôle des échantillons.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 18 janvier 2014 22:31

    Arguments :
    (pp’DDT actif) durée de vie courte, estrogénique
    pp’DDE principal métabolite, durée de vie longue, non estrogénique, antiandrogénique

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  • Bioindicateurs de l’exposition 19 janvier 2014 14:22

    La particularité de cette étude est l’effet de l’exposition à un age ou le sujet est le plus vulnérable. La plupart des études précédentes sur le même sujet ont étudié le lien entre exposition et pathologie, sans tenir compte de l’age d’exposition. La force de cette étude est que la mesure de l’exposition est faite à partir de bio-marqueurs pouvant mettre en évidence de manière certaine l’exposition à l’age vulnérable ; mesure qui est ensuite comparée au diagnostic déjà établi, puisque les cas ont tous été atteints, à l’inverse des témoins qui ont le même age que les cas.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 20 janvier 2014 21:33

    la différence qu’on peut noter ici est la nouvelle donnée sur la signification de l’age de l’exposition au risque du cancer de sein

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  • Bioindicateurs de l’exposition 22 janvier 2014 17:20

    L’étude de Cohn repose sur des échantillons sanguins pris entre 1959 à 1967 sur des femmes âgées en moyenne de 26 ans, classés par années et lieux de prélèvement. Entre 74% et 78% des sujets ne vivaient pas dans une ferme, mais en ville : ce facteur de risque peut donc toucher n’importe qui, d’où l’importance de l’impact sanitaire. Cette étude permet de corréler l’historique d’une substance (persistante dans l’environnement et l’organisme) à un âge d’exposition : comparaison par âge (<4 ans, entre 4 et 7 ans, 8 et 13 ans...) et par exposition ou non au DDT en fonction des dates de naissance.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 24 janvier 2014 15:16

    L’originalité de l’étude de Cohn et al. est qu’ils ont mis en évidence une exposition au DDT dans une période précoce de la vie (Dès la puberté). Ils ont démontrés que ces jeunes femmes exposée au DTT avaient un taux élevé de p,p’DDE élevé dans le sang et ont développées, avant l’age de 50ans, un cancer du sein.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 25 janvier 2014 17:16

    Dans l’étude Cohn et al de On a mesuré p, p’-DDT et p, p’-DDE dans les échantillons sériques maternels conservés 1-3 jours. Par ailleurs, d’après leur étude, l’activité anti-androgène de p, p’-DDE peut atténuer les effets des androgènes néfastes sur l’ovaire pendant la gestation ou le début de la vie.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 25 janvier 2014 17:32

    Dans l’étude de Cohn et al. "DDT and DDE exposure in mothers and time to pregnancy in daughters", les auteurs ont mesuré p,p’-DDT et p,p’-DDE dans les échantillons sériques maternels conservés 1-3 jours après leur accouchement entre 1960 et 1963. Ils ont enregistré le temps de la grossesse chez 289 filles aînées 28-31 ans plus tard. La probabilité de grossesse de filles a chuté de 32% par 10 ug/L p,p’-DDT dans le sérum maternel (95% CI 11-48). En revanche, la probabilité d’une grossesse a augmenté de 16% par 10 µg/L p,p-DDE (6,27).

    La force de l’étude de Cohn est d’avoir pu mettre en évidence les risques liés à l’exposition au DDT tôt dans la vie.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 26 janvier 2014 07:39

    L’avantage de l’étude de Cohn et al.,est que le dosage du composé p,p’-DDT a été fait sur des échantillons le plus proche de la période d’exposition et en incluant une étude toxicocinétique du métabolite p,p’-DDE.Ainsi son hypothèse a été effectué en période vulnérable des jeunes adolescents.Comme le p,p’-DDE est très persistant et aussi lipophile,il a la capacité de se fixer ou stocker dans les graisses de la glande mammaire.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 26 janvier 2014 15:05

    Si on dose directement le composé actif assez près de la période d’exposition, on obtient une meilleure caractérisation de l’exposition. Le p,p’-DDE est lipophile ; c’est le métabolite le plus abondant, il est aussi celui qui persiste le plus longtemps.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 27 janvier 2014 06:40

    La différence principale de cette étude réside dans sa conception même, surtout en ce qui concerne les critères de sélection de la population d’étude.

    Les arguments biologiques sont la collecte des échantillons de sang plusieurs fois pendant la grossesse et après l’accouchement ont permis de mesurer le p,p’-DDT (l’ingrédient actif du DDT) dans les sérums, le contaminant mineur o,p’-DDT et le métabolite le plus abondant, le p,p’-DDE.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 20 février 2014 16:57

    Cohn et al. (2007) ont montré que des niveaux élevés de pp-DDT multipliaient par 5 le risque de cancer du sein à l’âge adulte chez les femmes âgées de moins de 14 ans en 1945, c’est-à-dire chez celles qui étaient en période pubertaire lorsque l’utilisation massive de DDT a débuté aux États-Unis (Cohn et al. 2007).

    Or, au moment de l’étude Cohn et al. (2007) un grand nombre de femmes aux USA, lourdement exposées au DDT pendant leur enfance, n’ont pas encore atteint l’âge de 50 ans.

    Cette étude de Cohn et al. a respecté les étapes d’une bonne hypothèse épidémiologique relative aux effets d’exposition aux pesticides qui doit identifier 5 points, à savoir :
    - la population étudiée (taille, caractéristiques démographiques,..)
    - les facteurs de risque concernés (expositions et facteurs de confusion)
    - le paramètre sanitaire étudié (mortalité toutes causes ou spécifique d’une pathologie, malformation des organes sexuels)
    - la période (en relation avec l’exposition, le délai de survenue de la pathologie, l’ancienneté des données)
    - le type de relation étudié (entre pathologie et facteur de risque)

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  • la principale différence de l’étude de Cohn et al se focalise sur l’exposition au DDT de femmes jeunes, durant le pic de son utilisation.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 29 décembre 2014 18:09

    Cohn a évalué la dose sanguine de DDT au moment de son exposition et du risque supposé le plus important et non pas seulement lors de la détection du cancer ce qui minimise les incertitudes sur les conclusions.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 4 janvier 2015 23:21

    La principale différence de l’étude de Cohn et al. se situe à deux niveaux : la population étudiée (les jeunes femmes) et la période de l’exposition (le pic d’utilisation du DDT)
    Les arguments biologiques qui constituent sa force sont :
    -  Les glandes mammaires se développent depuis la phase fœtale
    -  Les glandes mammaires sont plus vulnérables à l’âge jeune.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 6 janvier 2015 13:39

    L’étude de Cohn et al se caractérise par l’exposition de la fille dans l’utérus de la mère. Elle consiste à mesurer le p,p’-DDT et son métabolite le p,p’-DDE dans les échantillons de sérum maternels et de relier ces valeurs à la probabilité de grossesse de la fille. Le p,p’-DDT diminue la probabilité de grossesse de la fille tandis que son métabolite l’augmente. Ils pensent que l’activité anti-androgène de p,p’-DDE peut diminuer les effets des androgènes à risque pendant la gestation.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 9 janvier 2015 16:25

    La présence p’-DDT dans le sérum humain ( en débarrassant de ses cellules et des protéines de la coagulation) montre un niveau élevé avec une association de résultats négatifs de plus le temps de grossesse exposé in utero.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 13 janvier 2015 21:23

    D’après l’étude de Cohn et al. on constate que le DDT (le p,p’-DDT) a une action sur le développement de la glande mammaire qui dépend de l’âge. Cohn et al. ont dosé le p,p’-DDT proche de la période d’exposition ce qui permet de mieux apprécier les résutats.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 22 janvier 2015 21:53

    La principale différence de l’étude de Cohn et al par rapport aux études précédentes est la recherche précoce des indicateurs d’exposition au DDT en un instant assez proche de la période d’exposition.

    Parmi les arguments biologiques qui soutiennent leur étude, nous pouvons souligner la forte sensibilité des glandes mammaires pendant la période de puberté ; une possible élimination biologique des indicateurs d’exposition (malgré la persistance de la PP’-DDE) si le prélèvement est tardif. Aussi une nouvelle contamination à l’âge avancé va montrer un fort taux d’exposition ; mais cette dernière contamination aurait eu lieu a une phase où les glandes mammaires sont moins vulnérables.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 25 janvier 2015 23:25

    La principale différence de l’étude de Cohn : L’exposition au DDT de femmes dans la tranche d’âge adolescence - puberté, durant le pic de l’utilisation du DDT, prédit le cancer du sein. Le haut niveau sérique de p,p’-DDT est associé à une augmentation significative (de 5 fois supérieure) pour les femmes nées après 1931.
    Les arguments biologiques : Le p,p’-DDT (l’ingrédient actif du DDT) a été mesuré dans les sérums, ainsi que le contaminant mineur o,p’-DDT et le métabolite le plus abondant, le p,p’-DDE. Donc le p,p’-DDE se diffère de l’ingrédient actif et du contaminant.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 26 janvier 2015 22:12

    L’étude de Cohn et al. s’intéresse au moment où l’exposition au DDT pour les femmes aurait dû être la plus critique. C’est à dire à une période où il était encore très utilisé et présent dans l’environnement et où les jeunes femmes étaient les plus exposées d’un point de vue biologique (pendant le développement de la glande mammaire. Les autres études s’intéressent, selon l’auteur à des femmes moins vulnérables et à des expositions moins soutenus car plus tardives par rapport aux lois qui ont interdit l’usage du DDT.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 30 janvier 2015 15:02

    Cette étude s’est portée sur des jeunes femmes âgées de moins de 20 ans lors du pic d’utilisation du DDT. Ainsi, elles ont été exposées au DDT lorsque leur glande mammaire était la plus vulnérable. Dans les autres études, les sujets étaient des femmes plus âgées qui avaient subis une exposition au DDT à un âge plus avancé et donc qui étaient moins vulnérables.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 2 février 2015 02:21

    La principale différence de l’étude résident sur le fait que le cancer du sien n’est pas héréditaire et que ce denier provient de l’expositions de certains stéroîdes.

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  • Il s’agit d’une étude cas-témoin nichée qui étudie l’association entre une exposition précoce au DDT et le cancer du sein via 3 bio-indicateurs de l’exposition (et notamment le pp DDT et l’op DDT).

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  • Bioindicateurs de l’exposition 10 mars 2015 13:30

    On dit que le DDT est lipophile sachant que les hormones stéroïdiens sont sécrétées après 14ans apporte une confusion sur le facteur cumulé depuis le jeune âge.le dosage juste après l’ exposition permet de retrouver dans le sérum sinon il faut attendre pour doser dans les lipides.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 21 avril 2015 11:15

    La principale différence de l’étude de Cohn et al est que le haut niveau sérique de p,p’-DDT était associé à une augmentation significative (de 5 fois supérieure) pour les femmes nées après 1931. Les principales argument faisant sa force sont :
    Les femmes exposées au pp’-DDT n’ont pas encore atteint leur 50 ans
    Les impacts de ces exposition en terme de santé pourrait être considérable.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 1er juin 2015 12:04

    La principale différence de l’étude de Cohn et al. et les arguments biologiques qui constituent sa force s’explique par la fait qu’ils ont éliminés dans leurs analyses le DTT (pp’DDT actif) à une durée de vie courte, et est estrogénique en utilisant le pp’DDE principal métabolite, durée de vie longue, non estrogénique, antiandrogénique

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  • Bioindicateurs de l’exposition 28 juin 2015 01:49

    Comme indiqué dans la question précédente, le dosage de cet indicateur à l’âge précoce, âge du développement de la glande mammaire, est la meilleure approche. C’est ce qu’a fait l’étude de Cohn et al .

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 janvier 2016 19:56

    L’étude de Cohn et al a révélé que les métabolisme p,p’-DDT et o,p’-DDT s’oppose mutuellement le o,p’-DDT étant éliminé plus facilement, La lente élimination du p,p’-DDT serait la principal cause du cancer du sein chez les jeunes femmes.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 janvier 2016 19:56

    L’étude de Cohn et al a révélé que les métabolisme p,p’-DDT et o,p’-DDT s’oppose mutuellement le o,p’-DDT étant éliminé plus facilement, La lente élimination du p,p’-DDT serait la principal cause du cancer du sein chez les jeunes femmes.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 janvier 2016 19:56

    L’étude de Cohn et al a révélé que les métabolisme p,p’-DDT et o,p’-DDT s’oppose mutuellement le o,p’-DDT étant éliminé plus facilement, La lente élimination du p,p’-DDT serait la principal cause du cancer du sein chez les jeunes femmes.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 2 février 2016 17:47

    L’étude de Cohn et al. n’est pas une méta-analyse mais une analyse cas-témoins sur une période rétrospective plus longue. Elle prend en compte un dosage de métabolite de DDT plus proche du moment de l’exposition (plus fiable) et une observation de l’apparition de cancer du sein à un moment plus éloigné de l’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 3 février 2016 12:13

    La différence principale concerne le dosage effectué chez des femmes plus jeunes (moy. 26 ans) donc à un temps proche de la contamination pour une étude concernant la vulnérabilité à âge jeune.
    La persistance et l’action antiandrogène du p-p’ DDE sont plus à même d’expliquer le mécanisme biologique menant au cancer.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 7 février 2016 17:29

    Comme pour le précédent exercice, je ne comprends pas la traduction de l’article.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 18 février 2016 16:53

    Le p,p’-DDE est un métabolite très persistant.Les femmes qui ont été exposées avant l’age de 14 ans n’ont aucune association entre p,p’-DDE et cancer du sein.Une exposition très tôt augmente le risque de cancer du sein.Une meilleure appréciation de l’exposition est obtenue en dosant le composé actif très prés de la période d’exposition

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  • Bioindicateurs de l’exposition 15 août 2016 15:20

    Le p,p’-DDT est une substance très puissante qui s’accumule dans les tissus adipeux de l’organisme.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 15 décembre 2016 20:22

    La durée de l’étude et le choix des bioindicateurs de l’exposition en font sa force : p-p’ DDT (persistance longue) et l’un des produits de décomposition des plus communs, le p-p’ DDE (persistance encore plus longue, abondance).

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  • Bioindicateurs de l’exposition 23 décembre 2016 22:42

    La principale différence de l’étude de Cohn et al. : Ils vont ainsi doser rapidement le composé dès la première période d’exposition afin d’obtenir un meilleur aspect de précision sur l’exposition au p.p’-DDE. Ils ont émis l’hypothèse que plus une jeune femme sera exposé au p,p’-DDT et plus elle présentera un risque de vulnérabilité au cancer du sein. Le p,p’-DDT est un contaminant mineur, cependant le p,p’-DDE est plus abondant et persistant dans l’organisme d’où la nécessité d’un dosage au plus tôt dans la vie lorsque les jeunes femmes y sont exposées.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 29 décembre 2016 20:08

    J’avoue que je n’ai pas tout compris... ils ont fait plusieurs mesures de métabolites ? du DDT par des tests dans differents échantillons et ont retenu de mesurer la valeur la plus représentative ? : le pp.DDT. Peut être qu’ils ont aussi augmenté la valeurs de détection du DDT dans les tubes.
    Apparemment, les tests de laboratoire sont bien détaillés dans la méthode utilisée, qui a examiné les échantillons ; comment...
    Ils ont mesuré aussi les lipides circulants et retiré des échantillons quand certaines valeurs n’étaient pas présentes et donnent une explication, et ont bien codé les échantillons selon l’age d’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 20 février 2017 20:08

    Le p,p’-DDE est le métabolite principal qui persiste le plus longtemps. Dans l’hypothèse d’une période vulnérable à un âge jeune, le fait de réaliser les dosages longtemps après introduit des sources d’importante variabilité (métabolisme, stockage, élimination, autres sources de contamination). En dosant directement le composé actif assez près de la période d’exposition, Cohn et al. obtiennent une meilleure caractérisation de l’exposition.

    Non seulement le p,p’-DDE, par sa lipophilicité supérieure, est plus persistant, il a aussi une action biologique différente (action antiandrogène, alors que le p,p’-DDT est faiblement estrogénique).
    le dosage sanguin simultané du p,p’-DDT (ingrédient actif du DDT ayant une durée de vie courte), du contaminant mineur o,p’-DDT et du p,p’-DDE (métabolite principale ayant une durée de vie longue) qui représentent des bioindicateurs d’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 6 juillet 2017 03:39

    Les durées d’expositions des sujets et leur age sont considérés pleinement pour des tests fiables

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  • Bioindicateurs de l’exposition 10 mars 2018 10:46

    Le p,p’-DDE est un bio-indicateur principale mais aussi un métabolite persistant le plus longtemps. Les études antérieures n’ont pas réussi à montrer relation liant ce métabolite au cancer du sein, de plus l’âge d’exposition n’avait pas été considéré. l’étude de Cohn et al introduit l’hypothèse de l’existence d’un âge jeune de vulnérabilité ce qui a permis de déterminer les dosages critiques. En effet, cette hypothèse a introduit d’importantes variabilités, notamment en terme de stockage,de contamination ainsi d’élimination. Ceci dit, cette étude a analysé des échantillons sanguins datant de la période d’usage intense du p,p’-DDT, avant son interdiction, chez des personnes, prioritairement, jeunes. De ce fait, Cohn et al. parviennent à mieux caractériser l’exposition.

    En ce qui concerne les éléments biologiques qui constituent la force de cette analyse, Cohn et al. démontre la corrélation entre les niveaux élevés de p,p’-DDT dans le sang et le risque accru de cancer du sein, notamment si la personne était exposée avant ses 14 ans d’âge. Or, cette corrélation est, totalement absente, chez les femmes ayant été exposées au p,p’-DDT à un âge plus mature.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 10 mars 2018 10:46

    Le p,p’-DDE est un bio-indicateur principale mais aussi un métabolite persistant le plus longtemps. Les études antérieures n’ont pas réussi à montrer relation liant ce métabolite au cancer du sein, de plus l’âge d’exposition n’avait pas été considéré. l’étude de Cohn et al introduit l’hypothèse de l’existence d’un âge jeune de vulnérabilité ce qui a permis de déterminer les dosages critiques. En effet, cette hypothèse a introduit d’importantes variabilités, notamment en terme de stockage,de contamination ainsi d’élimination. Ceci dit, cette étude a analysé des échantillons sanguins datant de la période d’usage intense du p,p’-DDT, avant son interdiction, chez des personnes, prioritairement, jeunes. De ce fait, Cohn et al. parviennent à mieux caractériser l’exposition.

    En ce qui concerne les éléments biologiques qui constituent la force de cette analyse, Cohn et al. démontre la corrélation entre les niveaux élevés de p,p’-DDT dans le sang et le risque accru de cancer du sein, notamment si la personne était exposée avant ses 14 ans d’âge. Or, cette corrélation est, totalement absente, chez les femmes ayant été exposées au p,p’-DDT à un âge plus mature.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 15 avril 2018 01:51

    l’étude de Cohn et al a fait l’analyse d’échantillons de sang femme exposées au DDT juste après la naissance et d’avant d’atteindre la puberté jusqu’à un age avancé et faire une relation avec le développement d’un cancer du sein.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 28 avril 2018 14:04

    Barbara Cohn a souligné dans leur étude que les produits chimiques présents dans l’environnement sont depuis longtemps suspectés d’être liés au cancer du sein, mais jusqu’à présent, il n’y avait que très peu d’études scientifiques menées chez l’homme qui appuyaient cette hypothèse
    Les chercheurs ont évalué leur exposition au DDT in utero en analysant des échantillons sanguins prélevés chez les mères pendant et après la grossesse, et les ont comparés avec ceux prélevés chez les mères de 354 femmes n’ayant pas eu de cancer du sein. Les résultats sont concluants en terme d’analyse biologique.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 30 avril 2018 13:19

    la différence de l’étude Cohn et al et les arguments biologiques c’est que la première montre qu’il y a une relation entre les produits chimiques et le cancer du sein et la deuxième consiste à des analyses biologiques ;( prélèvement sanguin et les comparés )

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  • Bioindicateurs de l’exposition 2 juillet 2018 14:06

    Le fait de doser un composé actif juste après la période d’exposition permet d’en savoir plus sur les effets de l’exposition de ce composé et d’éliminer différents biais (changement du terrain, coktail avec d’autres éléments actifs...) survenus en cas de dosage longtemps après la période d’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 6 septembre 2018 12:32

    L’appariement des cas et des témoins, les dosages sanguins des métabolites du DDT dans tous les sujets.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 10 septembre 2018 19:10

    Étude de cas témoins dans une étude de cohorte, basé sur le dosage direct du P,P-DDE près de la période d’exposition, nous obtenons une meilleure caractérisation de l’exposition, d’où l’intérêt d’une étude de cas témoins.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 10 septembre 2018 22:21

    les bioindicateurs de l’exposition : est un indicateur constitué par une espèce végétale, fongique ou animale ou par un groupe d’espèces.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 13 septembre 2018 19:57

    La principale différence réside dans le fait qu’ils ont commencé très tôt le dosage.

    Le fait de montrer que le p,p’-DDE a une action "antiandrogène", constitue aussi la force de cette étude.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 25 septembre 2018 12:23
  • Bioindicateurs de l’exposition 27 septembre 2018 20:11

    je passe, je ne trouve pas d’élément permettant de faire cette comparaison

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  • Bioindicateurs de l’exposition 16 décembre 2018 20:40

    La principale difference entre l’étude de Cohn et al. et les arguments biologiques que constituent sa force c’est par rapport au bioindicateurs de l’exposition. Ainsi, plus on utilise des indicateurs d’exposition, plus on reduit des incertitudes liées aux études epidemiologiques, c’est que s’est passé avec l’étude de Cohn et al.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 22 janvier 2019 18:31

    Cette étude cible une fenêtre du vulnérabilité physiologique de femme n’ayant pas encore atteint l’âge des 50 ans donc hors des radars de la surveillance de santé publique. Elle cible identifie aussi des foetus potentiellement exposés.
    AInsi cette étude pourrait permettre une action à priori de la survenu du cancer chez les femmes de 50 ans avec des potentialité d’action curative et de même la mise en place d’une surveillance accrue de la population des enfants (feminin) de ces femmes.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 30 janvier 2019 19:12

    L’étude de Cohn et al. se différencie des autres études par le fait que ses auteurs ont cherché à savoir s’il existe une relation entre exposition au DDT quand il était encore présent sur le marché et survenue de cancer du sein des années plus tard. L’étude cas-témoin portait donc sur des femmes qui avaient moins de 20 ans au moment de la commercialisation de masse du DDT ce qui a permis de mettre en évidence une relation entre l’exposition au DDT, le dosage sanguin de p,p’-DDT des femmes inclues dans l’étude et la survenue de cancer du sein.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 30 janvier 2019 21:50

    La principale différence de l’étude de Cohn et al., est basée sur une étude biologique notamment l’imprégnation sanguine ou le prélèvement sanguin qui est ensuite dosé par des biomarqueurs au cours de l’exposition. Elle montre que l’exposition précoce accroît le risque.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 janvier 2019 03:54

    la méthode consiste a faire des teste dès le jeun age c-à-d avant 50 ans sur des plus grandes durées ce qui permet d’évaluer le risque dès le jeune age qui influe aussi sur les chances de développer d’un concer

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 janvier 2019 07:54

    La principale différence est que les bioindicateurs de l’exposition sont généralement des outils fiables dans l’étude des résultats dans ce sens le prélèvement sanguins parait comme un élément important dans la certification. C’est aussi le fait de faire un dosage accumulé prés de la période de l’exposition des jeunes filles

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 janvier 2019 16:39

    la principale différence de l’étude est que moment du prélèvement de sang (année médiane de 1963), toutes les cohortes de naissance de l’échantillon CHDS étaient potentiellement exposées au DDT car il n’était pas encore interdit,

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 janvier 2019 16:43

    la principale différence de l’étude de Cohn et al est le l’moment du prélèvement de sang (année médiane de 1963), toutes les cohortes de naissance de l’échantillon CHDS étaient potentiellement exposées au DDT car il n’était pas encore interdit
    biologiques qui constituent sa force
    a ) peut-être que les cohortes de naissances précédentes n’ont pas été exposées à un âge vulnérable ;
    b ) peut-être aurions-nous détecté un effet p, p ′ - DDT dans les générations précédentes si nous avions pu mesurer leur exposition à un plus jeune âge. Ainsi, nos résultats n’excluent pas une association p, p ′ - DDT pour les générations précédentes

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  • Bioindicateurs de l’exposition 1er février 2019 22:03

    Je pense que par rapport à leur études, la période choisie par l’institut est différente.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 2 février 2019 15:28

    C’est la méthodologie une étude expérimentale par le bais des cas-témoin, de plus, ils tiennent compte du fonctionnement des organes pour y parvenir.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 3 février 2019 21:25

    La différence de l’étude de Cohn et al. est que cette étude précise les périodes ou la jeune fille plus vulnérable au risque étudié. Cela constitue des arguments biologiques et fait la force de cette étude.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 11 février 2020 01:21

    L’étude de Cohn montre très clairement qu’il existe un lien étroit entre l’exposition précoce au DDT et le cancer du sein. De plus, elle prouve qu’il est plus facile de caractériser l’exposition quand le processus de caractérisation est enclenché à peu près la même période que l’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 16 novembre 2020 14:02

    Dans les études antérieures, les échantillons de sang ont été prélevés sur des femmes d’âge moyen ou plus âgées. Cela entrainait l’absence de risques accrus de cancer du sein. Cependant l’étude de l’étude de Cohn et al. a la particurité de porter sur des jeunes femmes c’es-à-dire les plus vulnérables. Par ailleurs, l’étude s’intéresse aussi à la période où l’utilisation du DDT a atteint son maximum.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 5 décembre 2020 23:22

    La principale différence de l’étude de Cohn et al. est que cette étude précise les périodes ou la jeune fille plus vulnérable au risque étudié. Cela constitue des arguments biologiques et fait la force de cette étude.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 9 décembre 2020 12:19

    La principale différence de l’étude de Cohn et al. et les arguments biologiques qui constituent sa force : est du fait de l’intention et la volonté de cette essai, qui est de montrer que l’exposition au DDT au jeune âge est susceptible de provoquer un développement d’un cancer de sein, et augmente le risque d’atteinte. A travers des échantillons sanguins prélevés chez les jeune femmes 1959, 1967. Un autre élément fort dans cette essai, est aussi est important à révéler est de démontrer les risques liés au DDT.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 15 décembre 2020 14:30

    La différence principale de l’étude de Cohn et al est qu’elle s’intéresse à l’exposition au DDT de jeunes filles et le développement de cancer du sein. De plus, c’est à la période où le DDT est massivement utilisé. Cette expérience a donc montré la relation entre une exposition massive et précoce au DDT augmentait de façon accrue le risque de cancer du sein. On a un meilleur criblage de l’exposition à la substance toxique. Ceux-ci constituent des arguments biologiques forts pour l’étude.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 19 décembre 2020 04:55

    La spécificité de l’étude de Cohn réside particulièrement dans la concentration sur le facteur âge par rapport à l’exposition au p.p - DDE ; la différence concerne surtout la naissance des jeunes fille pendant les période d’exposition élevé au DDT. Cette est susceptible d’écarter l’hypothèse à tout point de vue que peu importe la période de naissance, l’âge conditionne toujours le niveau de risque d’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 19 décembre 2020 04:55

    La spécificité de l’étude de Cohn réside particulièrement dans la concentration sur le facteur âge par rapport à l’exposition au p.p - DDE ; la différence concerne surtout la naissance des jeunes fille pendant les période d’exposition élevé au DDT. Cette est susceptible d’écarter l’hypothèse à tout point de vue que peu importe la période de naissance, l’âge conditionne toujours le niveau de risque d’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 26 décembre 2020 18:10

    La principale différence de l’étude de Cohn et al. et les arguments biologiques qui constituent sa force réside principalement dans le fait qu’ils ont mis en évidence une exposition au p,p’-DDT, très tôt, ce qui leur a permis d’obtenir une meilleure caractérisation de l’exposition en dosant le composé actif assez près de la période d’exposition. Ce qui pourrait augmenter le risque de cancer du sein à travers des échantillons sanguins prélevés chez les jeunes femmes de 1959 à 1967.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 2 janvier 2021 16:54

    La particularité de cette étude est l’effet de l’exposition à un âge jeune ou l’individu est le plus vulnérable à l’exposition. La plupart des études précédentes sur le même sujet ont étudié le lien entre exposition et pathologie, sans tenir compte de l’âge d’exposition. La force de cette étude est que la mesure de l’exposition est faite à partir de bio-marqueurs pouvant mettre en évidence de manière certaine l’exposition à l’âge vulnérable.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 2 février 2021 16:22

    La principale différence de l’étude de Cohn et al. et les arguments biologiques qui constituent sa force s’explique tout d’abord par le fait que dans son étude, le p,p’-DDE soit le principal métabolite
    Ensuite, il soulève l’hypothèse d’une période vulnérable à un âge jeune.
    Mais aussi et surtout notons aussi le fait que son étude soit basé sur la réalisation des dosages plus long après qu’il est introduit des sources d’importante de variable .

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  • Bioindicateurs de l’exposition 2 février 2021 23:24

    La différence de l’étude de Cohn et al et les arguments biologiques peut être expliquer par la vulnérabilité de la naissance ou l’âge jeune et le taux élevée de p,p DDE. Ce qui montre la corrélation de l’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 9 novembre 2021 16:56

    La principale différence de l’étude étudiée ici la date à laquelle les prélèvements sanguins furent réalisés, ainsi que l’âge des patientes lors du prélèvement. En effet, les relevés de l’étude de Cohn et al. montrent des niveaux de p,p´-DDT bien plus élevés que dans les autres études, et les patientes étaient bien plus jeunes que dans la plupart des autres études. La conjonction de ces deux facteurs donne un poids supplémentaire aux résultats trouvé par les chercheurs.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 12 décembre 2021 18:58

    La pertinence de choix des bioindicateurs est la principale différence de l’étude de Cohn et al.
    En effet, les deux métabolites o-p ’DDT et o-p’ DDE sont éliminés rapidement ( ils ne sont pas de très bon indicateurs) contrairement au p,p’-DDE ( son métabolisme est lent ).
    Dans le contexte d’une période d’exposition a jeune âge, les mesures réalisée dans cette étude de Cohn et al. ont été effectuées pendant la période pic de l’exposition et non après une longue durée ( 30ans ) comme la plupart des études. Ceci permet d’écarter certains biais de confusion, ainsi il est beaucoup plus pertinent pour déterminer l’impact du DDT sur des femmes ( a jeune âge) et le développement du cancer du sein.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 6 janvier 2022 11:31

    La principale différence de l’étude de Cohn et al. s’articule autour du moment choisi pour effectuer prélèvements sanguins. En plus de choisir d’étudier un intervalle de sensibilité précis, les auteurs ont cherché à situer temporellement la période qui devrait être la plus critique en termes d’impact d’exposition. Le but était de voir si l’utilisation d’échantillons de sang obtenus avant l’interdiction du DDT et en parallèle au moment où leur utilisation était à son apogée, confirmait des hypothèses.
    D’autant plus que les auteurs indiquent qu’il manquait fortement d’informations à ce sujet puisqu’une seule étude était basée sur des échantillons collectés pendant les années d’utilisation intensive du DDT tandis que les autres avaient été menées bien après.

    Les arguments biologiques qui constituent sa force révèlent une meilleure conception de l’étude puisqu’elle a pris en compte d’autres paramètres : le choix de l’indicateur le plus fiable en fonction des caractéristiques lipophiles, de la concentration ; et aussi en fonction des autres paramètres extérieures comme l’alimentation de la personne étudiée, son environnement de vie.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 25 janvier 2022 00:15

    Nous connaissons que Le p,p’-DDE est le principal métabolite et il est aussi celui qui persiste le plus longtemps. La particularité de cette étude est qu’elle tend à vérifier une hypothèse d’exposition particulière, à savoir l’effet de l’exposition à un âge ou le sujet est le plus vulnérable. La plupart des études précédentes sur le même sujet ont étudié le lien entre exposition et pathologie, sans tenir compte de l’âge d’exposition. La force de cette étude est que la mesure de l’exposition est faite à partir de bio-marqueurs pouvant mettre en évidence de manière certaine l’exposition à l’âge vulnérable ; mesure qui est ensuite comparée au diagnostic déjà établi, puisque les cas ont tous été atteints, à l’inverse des témoins qui ont le même âge que les cas. En dosant directement le composé actif assez près de la période d’exposition, Cohn et al. obtiennent une meilleure caractérisation de l’exposition. Non seulement le p,p’-DDE, par sa lipophilicité supérieure, est plus persistant, il a aussi une action biologique différente.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 29 janvier 2022 21:16

    la principale différence de l’étude de Cohn et al. qu’il a mesuré la métabolite principale p,p’-DDE de la DDT dans des échantillons sanguins des femmes après tenir compte de l’âge d’exposition ( âge de vulnérabilité) .il a trouvé une augmentation significative de métabolite dans ces résultats. De plus il a confirmé l’affinité lipophile du métabolite et son effet dans la perturbation hormonale

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 janvier 2022 02:45

    La particularité de l’étude de Cohn et al est l’utilisation des métabolites du DTT comme bioindicateurs de l’exposition (le p,p’-DDT (l’ingrédient actif du DDT), ainsi que le contaminant mineur o,p’-DDT et le métabolite le plus abondant, le p,p’-DDE).

    Les arguments biologiques en faveur de la force de l’étude est le prélèvement sérique précoce, proche de la période d’exposition qui renforce la fiabilité des résultats obtenus.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 janvier 2022 21:39

    l’avantage de cette étude est l’utilisation de p,p’-DDE qui est le métabolite principale de la DDT, comme un indicateur, c’est le métabolite le plus persistant.
    ainsi il a pris en compte le facteur de "l’âge", il a précisé la périodes ou la jeune fille est plus vulnérable au risque étudié, il y’a aussi le rapprochement de la période d’exposition et le dosage de p’p’-DDE.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 2 février 2022 19:26

    la principale différence de l’étude de Cohn et al.la mise en évidence d’une exposition au DDT dans une période précoce de la vie (Dès la puberté) la signification de l’âge de l’exposition au risque du cancer

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  • Pour Cohn et al. le dosage de p, p’-DDE, le métabolite fortement lipophile, à effet anti androgène et persistant dans l’environnement et dans l’organisme, permet à d’effectuer un dosage sanguin et observer les différents processus adaptés au fonctionnement de DDT dans un organisme.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 30 octobre 2022 15:24

    dosage du ddt et de ses matabolites

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  • Bioindicateurs de l’exposition 7 décembre 2022 13:41

    L’étude de Cohn et al. s’appuie sur des données extraites d’une cohorte ce qui permets un suivie sur du long terme, avec la possibilité de lier une contamination qui a eut lieu avant leur 14ans avec la survenue d’un cancer à l’âge de 50 ans.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 15 décembre 2022 22:04

    La pertinence de choix des bioindicateurs est la principale différence de l’étude de Cohn et al.
    En effet, les deux métabolites o-p ’DDT et o-p’ DDE sont éliminés rapidement ( ils ne sont pas de très bon indicateurs) contrairement au p,p’-DDE ( son métabolisme est lent ;persiste le plus longtemps ).
    Dans le contexte d’une période d’exposition a jeune âge, les mesures réalisée dans cette étude de Cohn et al. ont été effectuées pendant la période pic de l’exposition et non après une longue durée ( 30ans ) comme la plupart des études. Ceci permet d’écarter certains biais de confusion, ainsi il est beaucoup plus pertinent pour déterminer l’impact du DDT sur des femmes ( a jeune âge) et le développement du cancer du sein.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 16 décembre 2022 13:29

    Les recherches de Cohn et al. Elle se distingue des autres études car elle utilise des tests sanguins sérologiques p,p′-DDT p,p′-DDE et o,p′-DDT collectés dans les années 1960 (avant l’interdiction du DDT, alors qu’il était exclu). utilisé) il peut fournir une meilleure caractéristique de contact

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  • Bioindicateurs de l’exposition 18 décembre 2022 20:12

    L’étude de Cohn et al fournit de nouvelles informations, parce que contrairement aux autres études qui ont été menées longtemps après la fin de l’utilisation active de DDT et qui ne s’intéressaient qu’un seul composant, cette étude examine trois composants de DDT dont chacun présente une activité endocrinienne distincte.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 30 décembre 2022 14:40

    Le p,p`-DDE est le métabolite majeur qui dure le plus longtemps. Partant du fait qu’il existe un stade de vulnérabilité au jeune âge, le fait que les tests soient effectués beaucoup plus tard entraîne des sources de variabilité considérables. Cohn et al obtiennent de meilleures caractéristiques d’exposition en raison de dosage directe de la substance active relativement proche de la durée d’exposition.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 30 décembre 2022 16:25

    Dans l’hypothèse de la vulnérabilité juvénile, la pratique est de mener des expérimentations longtemps après l’introduction de sources de variabilité importante (métabolisme, stockage, élimination, sources de polluants, autres infections). Non seulement le p,p’-DDE, en raison de sa lipophilicité supérieure, est plus persistant, mais il a également d’autres effets biologiques (effet anti-androgène, tandis que le p,p’-DDT a une faible activité ostrogénique)

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  • Bioindicateurs de l’exposition 20 janvier 2023 15:08

    La principale différence de l’étude de Cohn et al. et les arguments biologiques qui constituent sa force réside principalement dans le fait qu’ils ont mis en évidence une exposition au p,p’-DDT, tôt dans la vie, ce qui pourrait augmenter le risque de cancer du sein à travers des échantillons sanguins prélevés chez les jeunes femmes de 1959 à 1967. Ces jeunes femmes ont toutes subi un prélèvement sanguin 1-3 jours après leur accouchement (age moyen 26 ans).
    Le p,p’-DDT (l’ingrédient actif du DDT) a été mesuré dans les sérums, ainsi que le contaminant mineur o,p’-DDT et le métabolite le plus abondant, le p,p’-DDE. L’impact de l’exposition précoce au DDT, en termes de santé publique, a donc été considérable.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 28 janvier 2023 21:56

    La principale différence est que Cohn et al. durant leur étude ont fait le dosage de p, p’-DDE. Le p, p’-DDE est le principal métabolite fortement lipophile, à effet anti androgène et persistant dans l’environnement et dans l’organisme. Il permet de faire le dosage sanguin et de suivre tous les processus relatifs au fonctionnement de DDT dans l’organisme. Cela permet une meilleure caractérisation de l’exposition et de faire une relation entre l’exposition précoce au DDT et le cancer du sein.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 31 janvier 2023 13:27

    l’étude de Cohn et al. permet d’obtenir une bonne caractérisation de l’exposition par des dosage plus direct et plus longtemps.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 1er décembre 2023 15:32

    L’étude de Cohn et al se distingue par son évaluation de l’exposition au DDT tôt dans la vie, pendant le pic d’utilisation, contrairement à des études antérieures qui ont évalué l’exposition plus tard. La force biologique réside dans le fait que l’exposition précoce pourrait affecter la glande mammaire alors qu’elle est plus vulnérable

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  • Bioindicateurs de l’exposition 20 décembre 2023 00:03

    L’étude de Cohn et al. se concentre sur l’exposition précoce au DDT (un insecticide) chez les femmes lorsqu’elles étaient jeunes (avant 14 ans) et son lien potentiel avec le risque ultérieur de cancer du sein. La principale différence de cette étude réside dans son focus sur l’exposition au DDT à un âge précoce, considérant que cette période pourrait être critique pour le développement de la glande mammaire.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 28 décembre 2023 14:10

    Si l’étude de Cohn est bien celle repérable sur le graphique par le « N. California 1963 » (je n’ai pas pu accéder à l’article), on note que les concentrations de DDT observées sont en moyenne 7 fois supérieures comparativement aux autres études non réalisées spécifiquement chez des femmes jeunes. L’argument biologique avancé est que certains organes présentent une vulnérabilité spécifique lors de leur phase de développement.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 28 décembre 2023 15:03

    L’étude de Cohn et al. se distingue par son approche prospective et sa focalisation sur l’exposition précoce au DDT. Contrairement à certaines études antérieures, elle évalue l’exposition au DDT chez des femmes jeunes, pendant le pic d’utilisation de ce pesticide. Cette approche renforce la crédibilité des résultats, car elle examine l’impact potentiel du DDT sur le cancer du sein au moment où la glande mammaire est considérée comme plus vulnérable. Les arguments biologiques soulignent que l’exposition au DDT durant la jeunesse, période de développement actif, pourrait avoir des conséquences sur le risque de cancer du sein à l’âge adulte.

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  • L’étude de Cohn se distingue principalement par le choix de la population exposée au DDT, où l’incidence du cancer est examinée chez des individus ayant été exposés au DDT plus tôt dans leur vie. Les arguments biologiques renforçant cette étude suggèrent que l’exposition précoce au DDT présente un risque accru, notamment pendant une période où le sein est plus vulnérable. En d’autres termes, du point de vue biologique, étudier l’exposition au DDT plus tard dans la vie se déroulerait durant une période où le sein est moins susceptible d’être vulnérable.

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  • Les conclusions des études de Cohn et al. s’appliquent aux effets de p,p′-DDE le principal métabolite, qui est plus persistant dans l’environnement et dans les systèmes biologiques qui peut donc être mesuré des années après le déclin de l’utilisation du DDT. Le principal avantage de cette étude est d’utiliser une mesure bien plus précise de l’exposition précoce, en dosant directement le composé actif assez près de la période d’exposition, l’on obtient une meilleure information de l’exposition.

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  • le dosage de p,p’-DDE une metabolite spécifique de DDT, lipophile persistance.

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  • Bioindicateurs de l’exposition 1er février 19:09

    La principale différence dans l’étude de Cohn et al. réside dans le dosage direct du composé actif p,p’-DDE, plutôt que du p,p’-DDT, permettant une meilleure caractérisation de l’exposition, en tenant compte de sa persistance et de son action antiandrogène, ce qui renforce les arguments biologiques pour évaluer le risque de cancer du sein.

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  • L’étude de Cohn et al. se caractérise par son approche et sa concentration sur une exposition précoce au DDT. Contrairement à certaines études antérieures, l’exposition au DDT a été évaluée chez des jeunes femmes au pic de la consommation de cet insecticide. Cette approche augmente la fiabilité des résultats, car elle examine les effets possibles du DDT sur le cancer du sein à un moment où la glande mammaire est considérée comme plus vulnérable. Les arguments biologiques soulignent que l’exposition au DDT pendant l’adolescence, période de développement actif, peut influencer le risque de cancer du sein à l’âge adulte.

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