Justifications de l’évolution des normes

Les normes assez permissives, établies de façon générale assez tôt, reflètent en réalité le risque de survenue de pathologies aiguës, en cas d’expositions massives. La reconnaissance officielle du risque chronique est beaucoup plus tardive. Le caractère carcinogène s’inscrit dans ce contexte et intervient à des doses beaucoup plus faibles.

En 1975 les données disponibles ont conduits l’OSHA de réduire la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm. Comment peut s’expliquer une telle diminution ? Réfléchissez en particulier à la façon de laquelle était établie l’ancienne norme.

226 Messages de forum

  • L’ancienne norme était établie avec des connaissances limitées des modes d’action et des effets du CV, produit assez nouveau. Les relations dose-effet devaient être peu connues ou alors sur des effets à seuils sur les animaux, sans prise en considération des effet stochastiques des faibles doses.

    La diminution énorme de la norme d’exposition me semble essentiellement liée à une prise de conscience d’un risque potentiel (avec l’apparition de plusieurs cas) et donc à la mise en place d’un principe de précaution contrebalançant les excès avérés.

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  • Une telle diminution ne peut s’expliquer que par les nouvelles connaissances sur la toxicité (propriétés toxicocinétiques et toxicodynamiques)du produits et en tenant compte des différentes incertitudes et autres facteurs d’ajustements.
    L’ancienne norme devrait être établit à la fois sur pression des industrielles (qui financent une partie de recherche sur la toxicité des produits chimiques et conservent les résultats compromettant), et /ou uniquement sur études épidémiologiques.

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  • Cela correspond à la prise en compte des effets liés à une exposition chronique à des doses plus faibles, qui correspond bien à la situation des travailleurs de l’industrie chimique, par opposition aux effets aigüs produits par des doses plus élevées.

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  • une telle diminution s’explique à travers le fait que l’ancienne norme a éte faite sur une simple base toxicologique alors que la nouvelle prend en compte non seulement les données toxicologiques mais aussi epidemiologiques et essai de prendre en compte tout facteur de risque qui peut interagire avec la pathologie étudié.

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  • En 1974, des formes rares de cancers ont été observées chez des ouvriers, les anciennes normes étaient basées sur des expériences chez l’animal.

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  • Je pense que l’ancienne norme (500ppm) était établie sur les capacités techniques de l’époque pour diminuer les expositions, et n’était donc pas construite pour protéger spécifiquement la santé des travailleurs. D’ailleurs la toxicité du CV était « cachée ». Dès qu’un risque pour la santé a été suspecté, le gouvernement a limité à 1ppm l’exposition des ouvriers.

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  • Une telle réduction de la norme d’exposition de 500 aà 1 ppm peut s’expliquer probablement par la pression des médias et des populations exposés ayant constitué des groupes de pression amenant les autorités a prendre une décision.

    l’ancienne norme a été certainement par l’industrie chimique pour éviter des couts de dépollution et de protection

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  • Une telle diminution s’explique par le fait que les effets sanitaires du Chlorure de Vinyle ont été prouvés par les études menées par le Docteur Pier Luigi Viola, étant donné que l’ancienne avait été établie sans un regard particulier pour la santé des ouvriers mais plutôt pour des intérêts économiques.

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  • cette diminution s’explique par le fait qu’en 1974 et 1975, des formes rares de cancers hépatiques furent découvertes chez des ouvriers, ce qui montre manifestement que la dose sans effets nocifs observables pour le chlorure de vinyle est largement en deçà de 500 ppm fixé.
    L’ancienne norme est établit certainement à partir d’un model animal, c’est-à-dire que les normes ont été fixées uniquement sur la base des essais réalisés sur l’animal. La sous estimation du risque, donc de la valeur toxicologique de référence (500ppm) proviendrait d’une sous estimation du coefficient correctif, pour tenir compte des facteurs d’incertitudes.

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  • Le fait de reduire la norme d’exposition de 500ppm à 1ppm peut s’expliquer par une meilleure connaissance des effets cancerigènes du CV notamment sur l’animal ( voire Viola et al ; Maltoni et al )ainsi que la decouverte de forme rare de cancer hepatique et la mort des ouvriers de l’industrie chimique.

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  • Cette norme aurait été publiée seulement pour apaiser les tensions, puisque’ aucune étude crédible n’avait été menée avant sur les effets des PVC sur la santé !L’EPA n’a pas conduit une recherche pilote avec les experts de toutes les parties avant cette prise de décision !

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  • L’ancienne norme n’était établie sur aucune base scientifique, mais sur une suposée exposition dangeureuse. Les données prouvant les effets cancérigènes du CV ont poussé à la diminution de cette norme d’exposition. Il ne devrait y avoir aucun problème puisque les usines se sont arimées à cette norme de 1 ppm sans réduire leur potentiel de production.

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  • Cette diminution s’explique par le fait que déjà en 1959, le taux de 500ppm pouvait causer à long terme des lésions chez les ouvriers. Des tests effectués sur des lapins, par les industriels, ont révélés des micros lésions hépatiques lorsqu’ils sont exposés à des doses de 200ppm de façon répétitive. Les premières études réalisées (1969 ; 1971, 1974, 1975, etc) avaient démontré le caractère cancérigène du CV. Ces résultats furent affirmés par ceux d’autres études épidémiologiques (résultats d’études de 1976, 1979, 1987, ect) qui révélèrent qu’en plus des lésions du foie, des tumeurs du cerveau, du poumon, du système hémolymphatique et des carcicones hépatocellulaires ont été trouvés. Le rapport de Maltovi faisait état de cancers primitifs du foie et des reins provoqués par des expositions de 250 ppm, deux fois plus faibles que la limite autorisée pour les ouvriers. Le public ne sera au courant du danger qu’en 1974 avec la mort de trois ouvriers atteints d’angiosarcomes hépatiques ce qui poussera les autorités à demander aux industriels de réduire leur les expositions sur les postes de travail de 5OO à 1ppm.

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  • La diminution de la norme s’explique par l’utilisation d’outils plus adaptés et de méthodes plus efficaces avec lesquels on a obtenu les résultats. Ce procédé est basé sur l’expérimentation animale.

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  • A 500 ppm on a apparitions de divers cancers en plus plusieurs études chez les animaux ont confirmées que des doses plus faibles sont néfaste et même un toxicologue de société Dow chemical a affirmé q une exposition a 500 ppm pendant 7 heures /j pendant 5j/semaine sur une longue période peut provoquer des lésions mesurables donc diminuer l exposition de 500 ppm a 1ppm est logique et peut diminuer le risque des cancers du foie est autres provoquer par le CV

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  • Le seuil de 500 ppm était considéré comme excessif est reconnu par les industriels, mais dissimulé ce qui a fait apparaitre chez les ouvriers exposes pendant 5 jours par semaine et 7 heures par jour des cas de cancers ; qui auraient put être éviter si la norme de 1975(1 ppm, dose plus faible) a été prise plus tôt. Donc la reconnaissance officielle du risque que représente le chlorure de vinyle est venu tardivement.

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  • l’accumulation de résultats sur la cancérogénécité du produit a obligé l’OSHA à réduire la norme d’exposition. ceci suppose qu’aucun contrôle n’était effectué réellement et que la norme était fixée soit de façon arbitraire soit sur la base des données fournies par les entreprises. or les entreprises ne servent que leurs intérêts.mais les données expérimentales ont montré que la norme fixée était trop élevée et laissaient entrevoir le seuil acceptable. d’où la nouvelle norme de 1ppm grâce au meilleur confinement du chlorure de vinyle, et à l’amélioration de la surveillance des niveaux d’exposition

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  • cette brusque diminution montre l’extrême dangérosité du CV dont les effets néfastes ont été sous évalués pendant des années. l’ancienne norme était établie sur la base de faux rapports des experts pour privilégier les entreprises.

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  • Cette diminution est dûe à la survenue de formes rares de cancers hépatiques chez les ouvriers exposés aux 500 ppm quotidien de chlorure de vinyle, ajouté aux donnés de P L Viola qui rapportait que le CV était cancérigène chez l’animal.
    La diminution de 500 à 1 ppm est énorme. L’industrie du CV étant récente à l’époque (norme fixée en 1975), on peut penser que l’industrie n’a pas cherché préventivement à minimiser l’exposition au CV
    et a établi cette valeur elle-même ; cette valeur ne semble pas être une norme qui tienne compte d’effets sanitaires, non encore évalués mais peut-être juste une valeur habituelle d’exposition dans les conditions de fabrication du vinyle, que l’industrie a établi en norme.

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  • Une telle diminution s’explique par la mise à jour de résultats dissimulés par les industriels sur la toxicité du produit à une exposition de 500 ppm. Aussi les cancers primitifs du foie et des reins étaient provoqués par une exposition de 250 ppm, deux fois plus faible que la limite autorisée pour les ouvriers. La mort de trois employés explique aussi cette réduction.

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  • Da l’aigu au chronique...

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  • la norme de 500 ppm avait été fixée alors même que le risque de cancer était sous-estimé.

    Par ailleurs, les données expérimentales ayant permis de fixer cette norme ont visiblement été obtenues sur des modèles animaux, c’est-à-dire dans des conditions d’exposition aiguë et donc assez différentes des conditions d’exposition chroniques auxquelles sont soumises les ouvriers exposés.

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  • La diminution du seuil de 500 ppm à 1 ppm fait suite aux cas révélés de formes rares de cancers observés chez les ouvriers confirmant du même coup le caractère cancérigène du chlorure de vinyle. ces sont donc les cas avérés qui ont guidé OSHA par application du principe de précaution à fixer le seuil si bas (1 ppm au lieu de 500). Les industriels étant conscients que la première norme était excessive cependant leurs intérêts individuels les ont conduits a influencer la fixation du seuil à 500 ppm afin de minimiser les coûts de la dépollution.

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  • On peut expliquer une telle diminution par le nombre de personnes atteintes de cancer malgré une exposition dans les normes (<500 ppm). Après une étude épidémiologique (cas-témoin), on peut se rendre compte que les personnes atteintes avaient une exposition > 1 ppm.

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  • la norme de 500 ppm a été fixée vraisemblablement de facon arbitraire mais en 1975 des etudes ont montré deja que 250 ppm causaient deja des cancers sur plusieurs sites en dehors du foie chez l’animal, des ouvriers ont contracté la maladie c’est pourquoi osha disposant des nouvelles données sur la CV a decidé de reduire les normes d’exposition de 500 à 1 ppm sur les lieux de travail.

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  • cette diminution peut être expliquer par le fait que la façon dans laquelle était établie l’ancienne norme ne tenait pas compte de la nécessité de norme protectrices en faut aucune norme n’a été pris avant par rapport au produit en question. aussi, les chercheurs qui ont établi l’ancienne norme étaient libre de présenter leur résultats sans influence des financieurs

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  • La décision de l’OSHA de réduire la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm est assez surprenante et la valeur de la réduction énorme pour susciter des questionnements... En effet, l’ancienne norme a certainement été fixée avec deux conditions qui favorisait son inefficacité : (i)- l’état des connaissances scientifiques sur le sujet était encore trop peu embryonnaire ; (ii)- l’influence des lobbies en matière de fixation de normes nocives au capitalisme, à l’industrie, aux intérêts, est une chose désormais connue... Mais entre temps, des expériences et études menées par plusieurs scientifiques, combinées aux diverses lésions et décès parmi les ouvriers, font monter la tension chez la presse et les groupes de pression. Le gouvernement prend des mesures, mais strictes et draconiennes afin de diminuer sensiblement le risque encouru.

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  • La diminution de la norme d’exposition au CV de 500ppm à 1ppm se justifie par la connaissance des preuves anciennement dissimulées des effets cancérigènes de CV à des doses de 200ppm (sur les lapins) et à 250ppm pour les humains. La preuve scientifique apporter par les études sur les effets cancérigènes du CV ont conduit à la réduction de l’exposition de 500ppm à 1ppm. Bien avant ces preuves aucune base scientifique ne pouvait servir a réduire le risque d’où le risque élevé de 500ppm.

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  • La production mondiale
    de PVC a atteint près de 27 millions de tonnes en 2002, pour une valeur
    approximative de 19 milliards de dollars. Le marché connaît une croissance annuelle
    moyenne de 3 % depuis 1997 (Linak et Yagi). Tout cela génère une pollution par le chlorure de vinyle, notamment au cours de la fabrication, de l’incinération des produits en PVC et dans les décharges. En 1969, Pier Luigi Viola, un médecin employé par la firme Solvay, rapporta les premières données expérimentales démontrant que le CV était cancérigène chez l’animal (données non publiées). Il publia des résultats complémentaires deux ans plus tard (Viola et al.1971). Puis, en 1974 et 1975, des formes rares de cancers hépatiques furent découvertes chez des ouvriers (Creech and Johnson 1974 ; Creechand Makk 1975 ; Maltoni 1974, 1975 ; Maltoni et al. 1974). Suite à l’annonce de ces données, l’administration américaine en charge de la sécurité et des maladies professionnelles (OSHA) publia une note prenant effet en avril 1975, selon laquelle
    les usines de CV et de PVC devaient réduire les expositions sur les postes de travail de 500 ppm (parties par million) à 1 ppm pour que les ouvriers disposent d’une protection suffisante (OSHA 1975).

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  • La diminution de la norme d’exposition vient surtout de la connaissance scientifique sur les pathologies causées par les CV et PVC. Les études démontrant que le CV était cancérigène et les formes de cancers qui se développaient chez les ouvriers ont inquiété la population/les employés/ les employeurs responsables qui ont fait la requête auprès des autorités.

    La norme d’exposition de 500ppm est soit un chiffre choisis/proposé par l’association des industries chimiques aux autorités suite à des études biaisé qu’ils ont financé pour contrôler le coût externe, soit le résultat obtenu par les autorités due au manque d’information concernant le CV/PVC.

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  • Evolution des normes :
    Un constat important : les usines de CV et PVC ont fait de victimes incalculables entre 1969 et 1975. Ce qui a conduit l’Agence OSHA de prendre les mesures de réduction drastique de l’exposition des agents de 500PPM à 1PPM. Cette décision a contraint les industriels à prendre des dispositions pour freiner la ctastrophe. Et limiter cette pensée des industriels :"On sape la confiance du public quand ce sont les interêts des commercoiaux, au lieu d’évaluations scientifiques, qui façonnent les politiques de santé publique".

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  • l’évolution des connaissances scientifiques , une meilleur prise en compte des facteurs d’incertitudes ainsi que de nouveaux effets suspectés liées des expositions chroniques à faibles doses ont poussés les autorités publiques suite à des études publiées à prendre des décisions pour la réduction des seuils d’exposition.

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  • Cette diminution est due à une prise de conscience liée aux résultats des recherches indiquant les effets cancérigènes du CV tant sur l’animal que sur des ouvriers.

    L’ancienne norme a été basée sur des données expérimentales sur des animaux de laboratoire dans des conditions d’exposition différentes de celles des ouvriers. Les données toxicologiques dont disposaient les industriels n’étaient pas rendus transparentes pour les instances de décision. Par ailleurs, l’industrie de PVC est si juteux que les industriels aient pu arriver à influencer les décisions conduisant à la fixation de norme en leur faveur.

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  • 2. Réglementation de l’exposition :

    La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude indique que cette norme n’est pas valide actuellement, oui le odds ratio pour les cancer du poumon à la dose supérieur à 5,8 mg/m3 semble être plus élevé

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  • La prise de conscience des effets d’exposition à certains polluants sur la santé date des années 60. Auparavant, il n’y avait pas ou peu de précaution ou de norme.
    Les premières normes ont été fixées plus ou moins "aléatoirement", à partir de données ou d’études plus ou moins rigoureuses, réalisées sans l’aide de méthodologie rigoureuse et sans le recul temporel nécessaire pour établi une relation entre exposition et cancer. Il est donc normal que, au fur et à mesure des études et de l’évolution des connaissances et des méthodologie, les normes deviennent de plus en plus restrictives.

    Si les premières normes d’exposition au CV ont été établies très loin des conclusions des études qui ont suivi ; cela explique une telle diminution.

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  • Une telle diminution de la norme s’explique par le fait que cette norme était élevée et qu’elle induisait le cancer.
    Elle était établie pour arranger pour arranger les fabricants de chlorure de vinyle et leur utilisation dans les industries.

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  • Avant les années 70, les données disponibles sur la toxicité du CV sont rares. On suppose que l’industrie était à l’origine de la norme de 500 ppm, avalisée par l’OSHA. A partir du moment ou des premiers tests confirment la cancérogénicité du CV, on découvre que le produit est toxique, même aux doses faibles. D’où une réduction drastique de la norme d’exposition, appuyée sur les études réalisées.

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  • L’ancienne norme n’était pas établie à partir de données toxicologiques ; le seuil avait été fixé par un calcul uniquement économique (rapport coût-bénéfice) pour éviter de nuire à la production et à la croissance des industries fabriquant du PVC, dont la demande était très importante étant donné la multitude de ses applications.

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  • l’ancienne norme a été établie à partir de l’apparition des formes rares de cancers
    hépatiques découvertes chez des ouvriers (Creech and Johnson 1974 ; Creech
    and Makk 1975 ; Maltoni 1974, 1975 ; Maltoni et al. 1974). les industriels reconnaissaient que l’ancien seuil de 500 ppm était
    considéré comme excessif depuis longtemps, dès 1959, des expériences menées par l’industrie avaient en effet
    révélé des micro-lésions hépatiques chez le lapin exposé de façon répétée à des
    doses de 200 ppm de CV Vers la
    fin de 1972, l’industrie prit connaissance du rapport de Maltoni montrant que des
    cancers primitifs du foie et des reins étaient provoqués par des expositions de
    250 ppm, deux fois plus faibles que la limite autorisée pour les ouvriers.Suite à l’annonce de ces
    données, l’administration américaine en charge de la sécurité et des maladies
    professionnelles (OSHA) publia une note prenant effet en avril 1975, selon laquelle
    les usines de CV et de PVC devaient réduire les expositions sur les postes de travail
    de 500 ppm (parties par million) à 1 ppm pour que les ouvriers disposent d’une
    protection suffisante.

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  • Une telle diminution s’explique par le fait le taux de 500ppm était largement supérieur à une exposition multi-sites de l’organisme humain après les premiers effets sanitaires enregistrés sur quelques ouvriers de l’industrie. Bien avant, ce taux avait été fixé par les industriels en connaissance de cause au profit de leurs bénéfices ignorés par la société dans le but de produire en grande quantité les CV et les PVC.

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  • En 1969, Pier Luigi Viola, un médecin employé par la firme Solvay, démontra que
    le CV était cancérigène chez l’animal (données non publiées). Il publia des résultats complémentaires deux ans plus tard (Viola et al.1971). Puis, en 1974 et 1975, des formes rares de cancers hépatiques furent découvertes chez des ouvriers (Creech and Johnson 1974 ; Creech
    and Makk 1975 ; Maltoni 1974, 1975 ; Maltoni et al. 1974). Suite à l’annonce de ces
    données, l’administration américaine en charge de la sécurité et des maladies
    professionnelles (OSHA) publia une note prenant effet en avril 1975, selon laquelle
    les usines de CV et de PVC devaient réduire les expositions sur les postes de travail
    de 500 ppm (parties par million) à 1 ppm pour que les ouvriers disposent d’une
    protection suffisante (OSHA 1975).

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  • L’ancienne norme a dû être établie au regard de la toxicité aiguë, ou de l’exposition chronique mais pour des pathologies à seuil d’exposition. Le chlorure de vinyle était à cette époque considéré comme une molécule stable, qui de plus n’est pas bioaccumulable. La mise en évidence d’un risque de cancer, pathologie sans seuil d’exposition, a entraîné une diminution drastique de la norme permettant de faire chuter le risque de cancer lié à une exposition au long terme.

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  • Une telle diminution peut s’expliquer par le fait que l’ancienne norme avait été établie sur la base d’exposition des sujets au rejet des polluants dans l’atmosphère. Elle se basait sur le degré de constituant dans l’atmosphère (aspect ionisant) et sur le degré d’atteinte des pathologies ou la réceptivité liée à l’hérédité.
    Cette norme ne prenait pas en compte la durée d’exposition du sujet aux polluants atmosphériques chose qui était un biais à l’exploitation des données issues des expériences.

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  • Il faut remarquer que 500 ppm pouvait produire des lésions plutôt appréciable en cas d’inhalation 7 heures par jour, cinq jours par semaine, pendant une période prolongée période. Du coup, la réduction s’imposait.
    Tout porte à croire que l’ancienne norme avait été fixé entre le gouvernement et l’Association des industriels, pour protéger leurs interets économiques.

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  • Une telle diminution peut s’expliquer par le fait que dès 1959, V.K. Rowe, un toxicologue de Dow Che¬mical informait confidentiellement un collègue de l’entreprise Goodrich : « Nous sommes assez certains (…) que 500 ppm, respiré 7 heures par jour, 5 jours par semaine, sur une longue période, provoqueront des lésions tout à fait mesurables. Comme vous pouvez le comprendre, cette opinion n’est pas encore mûre pour être diffusée et j’apprécierais que vous gardiez la confidentialité, tout en l’utilisant pour le mieux dans vos propres opérations ». Cette affirmation de la dangérosité du chlorure de vinyle et les formes rare de cancer hépatiques observés chez les ouvriers ont poussés l’OSHA à recalculer la norme d’exposition en estimant en plus des cancers hépatiques, d’autres types de cancer (touchant d’autres organes que le foie). L’OSHA à ainsi augmenter le pouvoir carcinogène du CV d’un facteur 10 par comparaison aux valeurs précédemment utilisées.

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  • cette diminution est du suite a l’annonce de ces donnes de l’administration americaine l’OSHA et les etudes assciées.
    l’ancienne norme a ete etablie sans se baser sur des etudes preliminaires

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  • cette diminution est dûe à l’apparition des maladies au niveau du foie mais aussi respiratoires ,nerveuses,rénales...et la survenue des cas de décès chez les ouvriers travaillant dans ce secteur.l’ancienne norme était établie par dissimulation des résultats en vue de favoriser les fabricants qui voyait leur produit connaître un grand essor.

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  • Une telle diminution peut s’expliquer par une prise de conscience des gammes variées d’impacts de l’exposition à 500 ppm.
    L’ancienne norme avait peut-être étée étéblie par des spécialistes en provenance du monde industriel qui ont dissimilé ou sous estimé volontairement les impacts à 500ppm.

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  • Lorsqu’en 1969, le médecin employé par une firme industrielle conclut à une liaison entre CV et cancers, il ne fut bien evidemment pas publié, car l’intéret de son employeur en dépendait.

    Le fait également que les recherches étaient basées sur des expériences sur les animaux, minimisa les résultats. Ce n’est qu’après l’apparition de cancers parmis les ouvriers que l’état entreprit de fixer une limite à l’exposition au CV.
    Le fait que cette limite soit passée de 500ppm à 1ppm, montre que l’administration a été complétement prise de court, il n’avait absolument pas vérifié ou entreprit de vérifier la capacité à l’exposition. Aucun principe de précaution n’avait été appliqué par l’administration et les industriels étaient les seuls maitres de décisions, décisions qui bien sur avaient pour priorité l’expension de leurs industries.

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  • Avant 1975, il y avait certaines donnÉes experimentales sur la cancerogenesitÉ du CV,mais elles n’etaient pas communiquÉes au public. Il etait certain que la dose de 500ppm provoquait des lesions pendant une exposition longue. Les ouvriers exposÉs À cette dose pour plusieurs annÉes de travail etaient en danger.
    Chez les animaux, des doses de 250 et 200 ppm ont montrÉ qu’ils provoquent aussi des lesions.
    L’assiociation entre le CV et l’augmentation des angiosarcomes du foie, des tumeurs du
    cerveau et du poumon etait si forte, qu’on pouvait pas estimer s’il existait un seuil d’exposition au CV.
    Alors la norme etait diminuÉe À 1ppm.

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  • Avant 1975 les normes d’éxposition etaient etablies en faisant des experiences sur les animaux mais en 1975,apres des experience sur l’homme ils ont découvert que des éxpositions repétés a des doses de 500 ppm ont conduit a un cancer hépatique c’est pour cela ils ont minimisé le dose a 1 ppm ou des expositions repétés n’ont pas des conséquences sur la santé de l’homme

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  • La norme d’exposition de 500ppm a été établie pour éviter les effets aigus qui apparaissent juste après une exposition. Avec le temps, des dizaines d’années d’exposition, des effets chroniques sont apparus. Ce sont des cancers touchants plusieurs tissus (foie, cerveau,…) dont le risque augmente même avec une faible dose d’exposition (effet sans seuil). D’où la nécessité de diminuer l’exposition.

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  • Le rapport toxicologique de l’agence, préparé avec d’importantes contributions de l’industrie chimique, a réduit les mesures de sécurité sur ces deux points. Premièrement il sous-estime le risque
    de cancer touchant d’autres organes que le foie. Deuxièmement, il diminue le pouvoir
    carcinogène du CV d’un facteur 10.
    les précédentes normes ont été établies sur la base de données minimisant volontairement les effets du CV par les industriels l’utilisant.

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  • les normes étaient établis en fonction de la durée de l’exposition journalière, la fréquence de l’exposition et durant la vie autrement la norme considérait le CV comme un produit à seuil

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  • Tout porte à croire que l’ancienne norme est établie sur aucune base scientifique parceque avant que l’OSHA n’autorise à réduire la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm plusieurs études confirmaient que cette dose était déjà trop forte. La reduction de la norme est due aux études transversales conduites dans differentes usines de production de CV.

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  • Cette diminution s’ explique par :
    1. des ajustements faits pour la transposition des résutats des expériments effectués sur les animaux à l’homme
    2. des ajustements faits quant aux caractéritiques de la population exposée (travailleurs)
    3. l’influence des résultats "épidémiologiques" (incidence et décès de travailleurs) d’ ou des facteurs de correction
    4. l’augmentation de l’ utilisation de la subsatnce qui entraine un nouvel intéret vis-à-vis de celle-ci.

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  • L’ancienne norme (500 ppm) tenait compte des informations disponibles à l’époque à savoir :

    - toxicité aiguë
    - seuil olfactif
    - inflammabilité,...

    Les avancées technologiques en matières d’analyses, de prélèvements, les progrès de la toxicologie, la prise en compte des effets chroniques ont permis de ramener la valeur réglementaire à 1 ppm.

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  • Une telle diminution peut s’expliquer par le fait que des données expérimentales ont démontrant que le chlorure de vinyle était cancérigène chez l’animal et de même en 1974 et 1975, des formes rares de cancers hépatiques avaient étaient découvertes chez des ouvriers (Creech and Johnson 1974 ; Creech and Makk 1975 ; Maltoni 1974, 1975 ; Maltoni et al. 1974). Et aussi sa nature gazeuse fait de lui, facilement volatil dans l’air et donc l’être humain peu facilement être exposer par ’inhalation. C’est tous cela qui a donc mener l’OSHA de réduire la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm.

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  • La norme d’exposition a été réduite par ce que les premières études ont taillées sur mesure les resultats pour favoriser l’industrie aux depens des ouvriers. Ainsi il fallait à l’époque minimiser les impact des fortes doses de substances sur la santé des ouvriers dont l’exposition entrainait poutant des dommages conséquents ;
    Une révision de ces normes ne pouvait donc faire que les mamener au rabais.

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  • L’OSHA prit cette décision à la suite d’une étude sur les animaux révélant le danger des CV & PVC.
    force est de constater que le risque était non seulement mal connu mais également et de fait totalement sous-évalué par les organismes de santé, contrairement à l’industrie. Cette décision s’explique alors sans doute par la volonté de prendre toutes les précautions pour limiter le risque en maximisant les facteurs d’incertitudes et donc au final pour aboutir à un seuil admissible relativement faible par rapport à l’ancienne valeur.

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  • Telle diminution etait necessaire apres les etudes et les resultats menes par differentes parties pour disposer une protection suffisante pour les ouvrier specialement que le CV etait connu comme produits carcinogenes multi cibles (organes) et peut causer des cancers hepatiques a des doses moins 2,5 faibles que l’ancienne limite.
    L’ancienne norme etait etablie de dose/effet sans prendre en consideration facteur de protection ni probablement d’ajustement.

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  • cette réduction des normes par l’OSHA a été influencée par l’entreprise qui voulait protéger les intérêts de l’entreprise. Des consultants ont été recrutés pour chercher à défendre les produits de l’entrepriseet les chercheurs ne sont pas , visiblement libres de fournir des données scientifiques, l’une des raisons étant la participation desdites entrepreneurs dans le financement des études .

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  • Cette dimunition s’explique par un meilleur confinement du VI ainsi que l’amélioration de la surveillance des niveaux d’exposition.En effet,malgré la connaissance des risques entrainés par l’ancienne norme,les indistruels n’ont pas agi pour la diminuer et préserver la santé des travailleurs.

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  • Avant 1975, les ouvriers des PVC étaient soumis à une exposition de 500 ppm de CV respiré par jour ; 7h par jour et 5 jours par semaine.
    Des études réalisées à l’époque ont montré qu’une telle exposition sur de longues périodes est à l’origine de lésions remarquables. Malheureusement, ces résultats ont été gardés confidentiels. Par ailleurs, des expériences réalisées sur des rats ont montré l’apparition de micro-lésions hépatiques, de cancers primitifs des reins pour des expositions moindres au CV (200 à 250 ppm).
    En 1969, les conclusions des travaux du médecin Viola chez l’animal ainsi que l’apparition de formes rares de cancers hépatiques chez les ouvriers des industries de CV et PVC (entre 1974 et 1975) ont conduit l’OSHA a décréter la diminution de l’exposition des ouvriers sur les postes de travail de 500 ppm de CV à 1 ppm par jour.

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  • Une telle diminution peut s’expliquer par :
    Les méthodes de mesure sont maintenant plus précises ;
    On ne s’intéresse pas seulement à des effets sur le court terme, mais les effets chroniques sont évalués aussi ;
    Le personnel évaluateur qui n’en dépendrait (peut-être) plus du lobby industriel.

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  • Tout d’abords, il semble que cette première limite de 500ppm avait été établie arbitrairement, sans étude particulière préalable. et par l’industrie elle même. Le produit était relativement nouveau et les connaissances scientifiques sur le sujet très limitées.
    Dès lors, il semble normal qu’une fois les études réalisées... (enfin.. surtout " publiées " car les industriels ont retardé le plus possible ces publications) le niveau toleré soit radicalement revu à la baisse, les connaissances sur leur possibles toxicité ayant été avéré.

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  • Il existe un seuil olfactif du chlorure de vinyle. Je pense que l’ancienne norme repose sur cette observation. Il a été en effet démontré que le seuil de 500 ppm entraine une accoutumance olfactive après seulement 5 minutes d’exposition (INERIS).
    L’OSHA a, dans ce cas précis, appliqué le principe de précaution. En effet, cette analyse met clairement en évidence l’absence de données pour l’OSHA en ce qui concerne les éventuelles conséquences d’une exposition au Chlorure de vinyle pour l’homme.
    Ce manque d’information repose sur :

    - les décisions des groupes industriels de dissimuler, contrôler et minimiser les effets du Chlorure de vinyle sur l’homme.
    - le délai entre la contamination et l’apparition de la maladie.

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  • Les normes étaient établies d’abord généralement en tenant compte des atteintes pathologiques aigues dans les cas d’exposition massive. Les normes pour les risques chroniques sont établies longtemps après.

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  • les maladies environnementales sont complexes et leur évaluation de risque par rapport à un polluant évolue dans le temps en fonction de plusieurs paramètres :
    téchnologie nouvelle
    modélisation améliorée
    biomarqueur
    exposition en fonction du temps

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  • La valeur de nouvelle norme est prise après des évaluations plus exacte de risque liée au CV et après apparition (dans le temps) et accumulation des nouveaux donnés semble essentielle dans la pris de telle décision. donc il y a une sous estimation du risque et de leurs effets a long terme. D’Autre part la nouvelle norme est décider suit a des recherches indépendante loin de l’influence direct ou indirect des grands fermes industrielles et Lobis de pression qu’on peut pas négligé leur présence comme une source d’influence.

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  • a travers des differents etudes realiser on voit que le CV est un facteur concerigene pour l’homme surtout au niveau des ouvriers a cause de l’exposition chronique et repetee due au raison professionnelle ce qui impose En 1975 que l’OSHA réduit la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm. ou le risque est 10 fois inferieur a la precedente estimation lors de dose ancienne avec 84 cas
    en excès lors de travaille indistruelle

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  • Une telle diminution peut s’expliquer par le fait que l’ancienne norme était établie sur la base d’exposition des sujets au rejet des polluants dans l’atmosphère. Aussi, avait-elle pour fondement le degré de constituants dans l’atmosphère (aspect ionisant) et le degré d’atteinte des pathologies ou la réceptivité liée à l’hérédité.

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  • L’effet cancérigène de l’exposition de CV au norme de 500ppm était connu par les chercheurs de l’industrie chimique depuis 1969. Il a fallu la publication des travaux réalisés par d’autres chercheurs entre 1971 à 1975 qui démontre les formes rares de cancers hépatique avec ce norme pour que OSHA décide de réduire de 500ppm à 1ppm. Quelle différence ? Combien de personne pouvait être victimes avec la norme 500ppm ? Cette situation interpelle beaucoup la vigilance et l’équipement des services publics pour face à ce genre de défis

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  • Initialement, la valeur limite d’exposition avait été fixée par les industriels en 1954 à 500ppm (s’opposant toujours à une règlementation stricte). Même si depuis cette année les industriels avaient connaissance des études indiquant une possible action cancérigène du CV, ces résultats ont été dissimulés. Il faudra attendre jusqu’au 1974, quand finalement des preuves expérimentales animales de l’action cancérigène du CV ont été publiés, pour voir baisser considérablement la valeur règlementaire adoptée par l’OSHA.

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  • On imaginer que l’ancienne norme a été établie suite au mutisme de scientifiques plus ou moins véreux qui ont apposés leurs sceaux sur des résultats d’étude falsifiés par les fabricants de CV et PVC. C’est les industries au lieu de la puissance publique qui faisaient réaliser des études pour l’etablissement de normes

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  • En privé, même les industriels reconnaissaient que l’ancien euil de 500 ppm était considéré comme excessif depuis longtemps, bien avant que OSHA publie la nouvelle norme. Dès 1959, des expériences menées par l’industrie avaient en effet révélé des micro-lesions hépatiques chez le lapin exposé de façon répétée à des doses de 200 ppm de CV. Vers la fin de 1972 l’industrie prit connaissance du rapport de Maltoni montrant que des cancers primitifs du foie et des reins étaient provoquées par ds expositions de 250 ppm , deux fois plus faibles que la limite autorisée pour les ouvriers ;

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  • dans l’estimation quantitative du pouvoir carcinogène du CV le rapport toxicologique a sous estimé :
    le risque de cancer touchant d’autres organes que le foie et a diminué son pouvoir
    carcinogène d’un facteur 10 par comparaison aux valeurs utilisées .OSHA 1975 a réduit à 1P PM la norme d’exposition aprés les données rapportées par
    un médecin démontrant que le CV était cancérigène chez
    l’animal (données non publiées)et aprés la découverte d’autres formes rares de cancers :cancers
    hépatiques découverts chez des ouvriers

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  • Le marché du PVC ne connait pas encore la croissance moyenne annuelle qu’elle suivra à partir de 1997. Les résultats sur le risque cancérigéne du CV concernent encore peu des cas d’humains, il est plus facile dans ce contexte d’imposer une réduction du niveau d’exposition, le poid des industriels n’étant pas encore assez important.

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  • Cette décision a été prise de réduire la norme d’exposition de façon si importante quelque temps après le décès d’ouvrier de l’usine B.F. Goodrich de Luisville.
    Des expériences menées sur des animaux, et le rapport Maltoni, pour exemple indiquait que des risques sanitaires dès la dose de 200ppm et 250ppm.
    Mais les expériences étant animales, il faut leur rapporter un facteur de risque, de plus, les doses de 200ppm et 250ppm ne sont pas des doses à effets de seuil, car il n’y a pas de seuil pour les effets cancérogènes, il n’y a donc pas de dose minimale. Ces deux paramètres peuvent expliquer en partie la diminution de la norme de façon si importante

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  • Il y a eu manque de prise en compte d’autres paramètre à l’établissement de la première norme : au début observation de cancer expérimental ( lesquels ? puis sur la base de cas rares de cancers du foie chez les ouvriers la norme est fixée à 500ppm : a-t-on tenu compte de la survenue de cancers d’autres organes ? de la différence valeurs admissibles ( sans effets néfastes pour 5h/jour pendant 5jours/ semaine pour la vie (professionnelle) Et l’exposition environnementales (incinération, décharge) ? Il n’y pas eu d’ajustement protecteur tenant compte des risques de cancers autres qu’hépatiques.

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  • Avant 1975, la valeur limite d’exposition était de 500ppm. Mais les données expérimentales du médecin Luigi Viola en 1969 démontraient que le chlorure de vinyle était cancérigène chez l’animal. Puis des cas de cancers du foie ont été décelés chez des ouvriers de l’industrie chimique à partir de 1974. C’est alors qu’il a été décidé de réduire drastiquement la norme d’exposition pour augmenter la protection des professionnels par rapport à une exposition chronique au chlorure de vinyle. Par ailleurs, un facteur d’incertitude a certainement été appliqué pour passer de données toxicologiques chez l’animal à des valeurs pour l’homme.

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  • Plusieurs études ont été établis sur le CV ;Les effets cancérogènes sur le foie ont été dépistés très tôt sur des modèles expérimentales, et comme cette méthode repose sur des modèles animales et que des facteurs de sécurité ont été surestimé à cause de l’insuffisance de connaissance et par mesure de protection des travailleurs, il est normale que la norme d’exposition soit très élevée. Plus tard, d’autres études, épidémiologiques et expérimentales basées sur la pharmacocinétique du produit ont permis d’avoir plus de connaissances sur les produits et d’affiner les résultats néanmoins un tel écart est quand même inimaginable sans l’influence des industriels sur les résultats des études publiées.

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  • L’établissement de l’ancienne norme a été fait de façon approximative sans avoir une notion claire sur l’étendue de la dangerosité ou du moins de l’effet carcinogène du CV. Cette diminution (de 500 à 1ppm) peut s’expliquer par l’apparition en 1974 et 1975 des formes rares de cancers hépatiques, malgré le respect de la norme 500ppm par les industries. Aussi, des études ont montré suite à une exposition de 250ppm (2fois inférieur à 500ppm), on note des formes de cancers primitifs chez des ouvriers. Le Chlorure de Vinyle est en effet un carcinogène qui touchent plusieurs organes. Il serait donc difficile de fixer un seuil pour le CV, ce qui a amené l’OSHA à réduire la norme d’exposition jusqu’à une unité (1ppm).

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  • L’ancienne norme aurait été établie avant que la cancérogénicité du CV et du PVC ne soit prouvée. Mais dès lors que des études ont prouvé leur caractère cancérogène surtout pour un organe sensible tel que le foie,et avec l’augmentation sans cesse croissante de leur production, il a fallu réduire l’excès de risque à sa plus simple expression afin de prévenir des expositions aiguës..

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  • la diminution de la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm s’explique par la disposition de résultats scientifiques qui ont démontré le caractère cancérigène de la substance.

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  • Une telle diminution peut expliquer par le fait que l’ancienne norme été établie sur la base d’effets à court terme nécessitant une courte durée d’exposition (n’était pas suffisante pour que les sujets développent un cancer -
    Apparition des nouvelles bases de données scientifiques montrant la dangerosité de la substance

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  • Du fait des conséquences financières, économiques, juridiques, environnementales et sociales que pouvaient entraîner les controverses liées au pouvoir carcinogène du CV, les scientifiques cédaient systématiquement aux pressions des associations industrielles, telles que le Chemical Manufacturers Association aux Etats-Unis. Les éléments de preuve pouvaient être dissimulés, et les modèles scientifiques n’étaient pas adaptées pour établir le lien entre l’exposition au chlorure de vinyle (CV) et différentes formes possibles de cancers humains. Les risques étaient sous évalués.
    Néanmoins, le progrès de la recherche, l’engouement des chercheurs et la multiplication des cas rapportés de formes rares de cancers qui pourraient être liés au CV ont fait prendre conscience des risques réels, et ont donc diminué la norme d’exposition à risque de 500 parties par million (ppm) à 1 ppm.

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  • La diminution de la norme de 500ppm à 1ppm peut être dû à une application du principe de précaution sachant que la norme à 500ppm était celle identifiée par les industriels eux-mêmes. la déccouverte des cas de cancers chez les ouvriers venaient comme un avertissement que les mesures de protection antérieures n’étaient pas efficaces.

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  • La norme d’exposition de 500ppm a été établie pour éviter les effets aigus qui apparaissent juste après une exposition. Avec le temps, des dizaines d’années d’exposition, des effets chroniques sont apparus. L’ancienne norme (500 ppm) tenait compte des informations disponibles à l’époque à savoir la toxicité aiguë. Les avancées technologiques en matières d’analyses dans des laboratoires publics, les prélèvements bien fait, les progrès de la toxicologie, la prise en compte des effets chroniques, ont permis de ramener la valeur réglementaire à 1 ppm. D’où la nécessité de diminuer l’exposition.

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  • La diminution de la norme de 500ppm à 1ppm est due à la prise en compte des effets liés à une exposition chronique à des doses plus faibles, contrairement à l’ancienne norme qui était établie à partir de toxicité aiguë à des doses relativement élevées.

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  • L’ancienne norme avait été établie en considérant les effets aigus, alors que la toxicité pour les xénobiotiques cancérigènes doit être évaluée de façon chronique (petites doses sur un intervalle de temps plus long) et sans seuil de dose. La limite de 1ppm est considérée comme le standard permanent à un niveau non relevable d’exposition.

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  • La note selon laquelle « les usines de CV et PCV devraient réduire les expositions sur les postes de travail de 500 ppm à 1 ppm pour que les ouvriers disposent de la protection suffisance » n’a été publiée par l’OSHA qu’après la mort, annoncé dans les journaux en 1974, de trois ouvriers exposés au CV suite à des formes rares de cancers hépatiques, alors que les études épidémiologiques qui révèlent la toxicité du CV remontent à 1959.

    L’ancienne norme était établie sur la base des données erronées et les industriels reconnaissaient, depuis longtemps, que l’ancien seuil de 500 ppm était excessif. En effet, plusieurs expériences menées par ces organisations d’industrie sur les animaux et l’homme ont montré que l’exposition à des doses beaucoup plus faible que la limité autorisée aux ouvriers provoques des cancers de foie, de cerveau et de poumons.

    Ces informations n’ont cependant jamais été communiquées à la défense nationale de la santé ou au public dans le but de préserver leurs intérêts commerciaux et éviter les coûts de dépollution.

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  • L’ancienne norme n’était pas établie avec des données toxicologiques, mais principalement sur des critères financiers. De plus a l’époque il n’y avait pas de tests toxicologique standardisé. A savoir qu’une concentration de 500ppm équivaut à 1300mg/m3 ce qui a mon avis et plus vraisemblable lors d’un accident qu’au quotidien. Les industriels savaient ce qu’engendrent les concentrations du CV, ils ont fixés délibérément les seuils pour ne pas réduire la production et par conséquent leur chiffre d’affaire.

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  • Les changements et réductions drastiques de normes d’exposition sont liés à une évolution des études mais aussi de la mise en évidence des prises de conscience en vue de la protection des ouvriers. Alors que les risques d’exposition étaient soupçonnés et prouvés depuis des années, la priorité demeurait la production industrielle et l’essor économique avant le bien être des employés..Les taux initiaux étaient probablement établis en fonction d’un taux estimé d’exposition fixé sur d’autres produits ou cas similaires et en même temps sur des taux arbitraires d’exposition autorisant les abus au profit de la production. La prise de conscience et la publication des études prouvant le lien avec l’apparition de cancer multiples ont mis l’accent sur la toxicité des expositions chroniques et une durée d’exposition en lien avec le contact réel et exposition accumulée des ouvriers au quotidien.

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  • Je pense qu’une telle diminution de la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm, serait due au type d’étude (prospective) ayant entrainé l’établissement de cette ancienne norme.
    Alors que la nouvelle norme est basée sur un diagnostic sur les ouvriers justifie par l’apparition des formes rares de cancers hépatiques.

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  • la réduction de la norme est en partie dûe aux travaux des épidemiologistes ,des pouvoir public et des associations(,suite á la demonstration que CV etait cancérigène) qui malgrés l’eternelle guerre avec les industriels ont pu mettre cela en place.les anciennes normes favorisant plus le developpement industriel á la merci de la santé environnementale

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  • Q3
    Bien que les industriels possédaient des données sur le caractère délétère à 200 ppm du CV des 1959, cependant aucune mesure de protection d’a été prise à l’époque. Il a fallu plusieurs publications sur le sujet pour que l’OSHA entre en jeu. Ce qui fait penser le pouvoir publique en charge de la gestion du risque de l’époque n’avait pas le moyen de mener ses propres études et que les normes étaient fixées sans aucune base scientifique solide et fiable. Ce qui traduirait un certain laxisme dans la gestion du risque de l’époque, d’où le passage de 500 ppm à 1 ppm en 1975.

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  • Il était démontré dans les travaux de Pier Luigi Viola, un médecin employé par la firme Solvay, depuis 1969 que le PCV était cancérigène chez l’animal, mais ces résultats n’étaient pas encore publiés. C’est en 1974 et 1975 que des formes rares de cancers hépatiques furent découvertes chez l’homme notamment des ouvriers d’une usine utilisant ce produit. Suite à l’annonce de ces données, l’OSHA publia une note qui a pris effet en avril 1975, selon laquelle les usines de CV et de PVC devaient réduire les expositions sur les postes de travail de 500 ppm à 1 ppm pour que les ouvriers disposent d’une protection suffisante. Le public n’avait appris le risque mortel dû au CV qu’au début de 1974, par les journaux qui relataient la mort de trois ouvriers de l’usine B.F. Goodrich de Luisville ,Creech et Johnson 1974. Ces ouvriers étaient atteints d’angiosarcomes hépatiques.
    L’ancienne norme fut établie dans un contexte de doute. Ce seuil a été établi en 1959 par un toxicologue de la firme Dow Chemical, V.K. Rowe. Celui-ci confiait en privé à son homologue de la société B.F. Goodrich : « Nous sommes assez certains (…) que 500 ppm, respiré 7 heures par jour, 5 jours par semaine, sur une longue période, provoqueront des lésions tout à fait mesurables. Comme vous pouvez le comprendre, cette opinion n’est pas encore mûre pour être diffusée et j’apprécierais que vous gardiez la confidentialité, tout en l’utilisant pour le mieux dans vos propres opérations.

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  • Avant avril 1975, les études in vivo, notamment sur des lapins reposaient sur des tests d’expositions chroniques à des doses de 200 ppm. Il n’est pas précisé dans l’article à quelle fréquence et si elles étaient comparables à l’exposition chronique des travailleurs, soit 7h / jour en continue sur 5 jours / semaine sur plusieurs années.
    Il est à noter que ces études, menées directement par l’industrie, confirmaient des micro-lésions hépatiques à une dose répétée de 200 ppm. Il n’ a apparemment pas eu de recherche sur des doses réponses avec effets à seuil de dose ou sans seuil. Seul un seul effet a été pris en compte : les microlésions hépatiques.
    Ce n’est qu’avec le rapport de Maltoni, que d’autres effets cancérigènes multisites ont été pris en compte. La mort de 3 ouvriers relayées dans la presse a du certainement contraindre les décideurs publiques à agir de manière spectaculaire.

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  • L’ancienne norme était établie selon les connaissances de l’époque et présente alors une défaillance concernant les données toxicologiques du CV dont les mécanismes d’actions n’étaient acquis que vers 1975. Ce qui explique cette diminution énorme !

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  • La "Manufacturing Chemists Association" (MCA) a édité en 1954 une fiche de sécurité relative au chlorure de vinyle sous le titre "Chemical Safety Data Sheet SD-56". En prenant connaissance de cette fiche de sécurité, on peut lire : "Mise à part le risque de feu ou d’explosion, le chlorure de vinyle ne présente aucun autre problème très grave dans la manipulation générale. La concentration maximale admissible actuellement acceptée est de 500 ppm". Sous le titre des effets systémiques, on constate : "En concentrations bien supérieures à 500 ppm, le chlorure de vinyle agit comme une anesthésie générale légère".

    En 1962/1963, sur base d’un travail fait par la "Yale University School of Medicine" financé par "Allied Chemical", les auteurs de l’étude ont conclu que 500 ppm offraient une marge de sécurité adéquate pour l’exposition humaine au chlorure de vinyle. Références : "Effects of Single and Repeated Exposures of Humans and Rats to Vinyl Chloride", D. Lester, L.A. Greenberg, and W.R. Adams. Am. Indust. Hyg. A. J. 24:265, May-June 1963.
    A ce moment, l’ "American Conference of Governmental Industrial Hygienists" (ACGIH) a publié 500 ppm comme standard recommandé.

    En 1971, l’ "Occupational Safety and Health Administration" (OSHA) a établi 500 ppm comme standard national.

    Tout ceci pour comprendre et expliquer que la norme de 500 ppm a été "téléguidée" depuis 1954 par l’industrie chimique. A noter également que pendant tout ce temps d’autres études n’ont pas été prises en considération.

    Finalement, en 1974/1975, des cancers hépatiques furent découverts chez des ouvriers. De ce fait, l’OSHA publia une note prenant effet en avril 1975 pour réduire les expositions sur les postes de travail de 500 ppm à 1 ppm.

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  • A l’origine, l’OSHA avait établit la norme d’exposition au CV à 500 PPM sur base des données de l’industrie chimique (voir l’étude de la Yale University de 1963 qui pensait que 500 PPM offrait une marge de sécurité suffisante ; l’étude en question est la suivante :"Effects of single and repeated exposures of humans and rats to vinyl chloride D. Lester, L.A. Greenberg, and W.R. Adams AM. Indust. Hyg. May - June 1963 ; étude financée par l’industrie chimique).

    Cependant, sur base des nombreuses études conduites en 1969, 1971, 1974 et 1975 révélant des formes de cancers rares hépatiques chez des ouvriers, l’OSHA diminua la norme d’exposition de 500 PPM à 1 PPM pour que les ouvriers disposent d’une protection suffisante.

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  • le manque de preuves suffisantes sur le caractère cancérigène du chlorure de vinyle. Le seuil initialement fixé à 500 ppm signifie qu’au-delà, il ya risque de survenue d’une pathologie aiguë (forte dose) et en deçà une pathologie chronique (faible dose). La décision de l’OHSA de réduire la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm est arrivée tardivement étant donné qu’à 250 ppm déjà, on observait les cancers primitifs du foie et des reins chez les ouvriers exposés

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  • La diminution de la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm est du a l’apparition de plusieurs types cancers chez les ouvriers exposés au chlorure de vinyle.

    L’ancienne norme a été surement établie par les firmes des industries sur la base de résultats toxicologiques erronée.

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  • Cette diminution s’explique grâce à des données expérimentales et des résultats démontrant que le CV provoque un cancer hépatique qui furent découvertes chez les ouvriers.A partir de cette découverte que l’administration (OSHA) publia une note que les usines de CV et PVC devaient réduire les expositions de 500 ppm à 1 ppm sur les postes de travail.

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  • Tout d’abord, il faut noter que cette première limite de 500ppm avait été adoptée arbitrairement par l’industrie elle-même sans une étude particulière faite au préalable. Le produit était relativement nouveau et les connaissances scientifiques sur le sujet très limitées. Une fois les études réalisées et publiées, le niveau toléré a été revu à la baisse en référence aux preuves claires des résultats d’expositions obtenus.

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  • on a l’impression que l’ancienne norme était protégée par un groupe d’industrie qui ne voyaient que leur profit.
    Mais suite à des publications reconnaissant les effet cancérigènes suite à l’exposition des travailleurs à une norme de 500ppm ,OSHA était donc convaincu de la pertinence de reduire cette norme pour protéger la santé des travailleurs.

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  • Lefaux (1968) et Baretta (1969) ont validé le seuil de 500 ppm comme étant celui déclenchant une irritation des yeux et de l’appareil respiratoire supérieur. De plus, Baretta n’a de plus constaté aucune évolution des paramètre hépatiques mesurés dans le sang pour 4 humains exposés 7,5h à 500 ppm de CV définissant alors ce niveau comme la NOAEL.
    Suite à la découverte de cancers hépatiques (1974) et des résultats obtenus par Viala et Al (1971), et compte tenu de la faible représentativité des résultats de Baretta (que 4 humains), l’OSHA a alors choisi de prendre un facteur de sécurité assez important pour sauvegarder la santé des travailleurs.

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  • Cette diminution a vu le jour pour permettre aux ouvriers de disposer d’une protection suffisante.
    L’ancienne norme a été établie arbitrairement sans étude préalable.

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  • L’ancienne norme n’as pas été établie pour des effets chroniques mais plutôt pour les effets aigu. Des données n’étaient pas peut-être disponible à l’époque pour réaliser des études épidémilogiques. Ce n’est qu’après avoir receuillies des données suffisantes qu’on a pu élaborer la nouvelle norme. La nouvelle norme se penche sur l’effet à faible dose, ce qui explique une telle diminution.

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  • L’ancienne norme n’a pas été établie pour des effets chroniques mais plutôt pour les effets aigus sur des essais réalisés sur l’animal. Des données sur la caractérisation de l’exposition n’étaient pas peut-être disponibles à l’époque pour réaliser des études épidémiologiques. Ce n’est qu’après avoir recueillies des données suffisantes qu’on a pu élaborer la nouvelle norme. La nouvelle norme se penche sur l’effet à faible dose, ce qui explique une telle diminution.

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  • Le seuil de l’ancienne norme devait être établi sans recherche sérieux ou une prise de conscience sur les doses-effets du chlorure de vinyle par les industriels pensant qu’à la production et la distribution de ce produit chimique pour la fabrication de plastique.
    Suite aux preuves dés 1959 du toxicologue de la firme Dow chemical du seuil de 500 ppm à effet à risque, la posologie de respirer par le chorure de vinyle à long terme donnerait des séquelles sévères et donc l’ impossibilité de ce toxicologue de divulguer ses résultats de recherches. Cela montre l’obsession des responsables industriels de cette firme à continuer à faire leurs chiffres d’affaire (deuxième fabricant mondiale), prendre en otage les emplois et ne pas prendre en considération à réduire la norme d’exposition pour leurs employés pour améliorer leurs conditions de travail et diminuer le risque de cancers hépatiques.
    Grâce à l’OHSA, la norme à 1 ppm a pu être respecter par les industriels.

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  • Les données expérimentales ayant permis de fixer l’ancienne norme ont été obtenues sur des modèles animaux, dans des conditions d’exposition aiguë et donc assez différentes des conditions d’exposition chroniques auxquelles sont soumises les ouvriers exposés (formes rares de cancers hépatiques découvertes par Pier Luigi Viola). L’OSHA a donc piblé une note afin de
    réduire les expositions sur les postes de travail de 500ppm à 1ppm pour que les ouvriers disposent d’une protection suffisante.

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  • Cette diminution est peut-être en lien avec l’apparition et la reconnaissance dans les années 60 de la notion d’effet sans seuil pour les cancérogènes. Le nouveau seuil proposé par Osha prend peut être également en considération les facteurs de sécurité : un facteur 10 pour la transposition de l’animal à l’homme et un facteur 10 pour la variabilité interindividuelle (proposé pour les ADI en 1954).
    A noter également la création de l’IARC (Agence internationale de recherche sur le cancer - émanation de l’OMS) en 1965 et l’intérêt d’OSHA pour l’évaluation des risques professionnels dans les années 70.

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  • Cette diminution des normes d’exposition s’explique par la découverte de nouvelles connaissances sur l’existence de substances sans seuil ( à l’exemple des substances cancérigènes) qui peuvent provoquer des dommages même à faible dose ; « Pas de dose à risque nul », d’où l’utilisation des NOAEL et des LOAEL voir des ERU.

    L’ancienne norme serait établie en se basant sur des DL50 ou DT50

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  • La diminution s’explique par la découverte de formes rares de cancers hépatiques chez des ouvriers et par les résultats publiés par Pier Luigi Viola. L’ancienne norme a été établie en estimant la probabilité aux faibles doses sur les connaissances de l’époque et non sur la disponibilité de résultats épidémiologiques ou toxicologiques.

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  • Une telle réduction peut s’expliquer par le fait qu’aucune étude n’avait été effectué et que cette norme de 500ppm avait été décidé arbitrairement en se basant sur les taux observés sur les sites de production. Une telle mesure permettait donc aux industries de continuer leur exploitation sans avoir à se plier à des contraintes coûteuses.
    La nouvelle norme aurait, elle, été décidé suite à des études épidémiologiques.

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  • En 1975, l’OSHA a diminué d’exposition au CV de 500 ppm à 1 ppm au poste de travail. Cette diminution est issue d’une meilleure connaissance des effets du CV sur l’organisme avec notamment, ses organes cibles, son mode d’actions etc. (même si de nombreuses connaissances ne furent pas diffuser de suite). Concrètement cette baisse s’est effectuée en amélioration le confinement du CV et la surveillance des niveaux d’exposition.

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  • Une telle diminution peut s’expliquer par les résultats obtenus suite à l’utilisation des méthodes d’expérimentation plus précises et l’introduction des facteur d’ajustements (UF, MF)

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  • Une telle diminution peut s’expliquer par la multiplication des recherches et l’implication de plusieurs structures dans la recherche.

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  • Une tel diminution s’explique par les recherche sur les animaux par le médecin Pier Luigi Viola qui montre l’effet cancérigène chez l’animal. Puis des apparitions de cancer rare chez les ouvrier alerte l’administration. Avant la norme était surement fournie par les industrie celons leur besoin de rendement mais des études "EIS" ont permis de mettre en place cette norme d’exposition à 1ppm et c’est surement pour cela que l’écart est si important car avant les normes étaient fonction "des besoins de rendement".

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  • cette diminution peut s’explique par l’apparition des cas rares de cancers hépatiques après une autres étude.l’ancienne norme était établies pour leur intérêt en dissimulant les vrais résultats sur l’impact avec des données erronées

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  • Cette diminution s’explique par la connaissance de l’OSHA qu’il y a des effets de l’exposition aux produits à 250ppm alors que l’exposition limite était à 500ppm. De ce fait, par la suite de constatations de ces effets chez les animaux et par la mort même de 3 ouvriers en 1974. De même qu’ à 200ppm, le lapin a eu des lésions hépatiques alors que les ouvriers sont en exposition 7 heures
    par jour et 5 jours par semaine.

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  • Cette diminution s’explique à plusieurs aspects : premièrement la société à partir la diffusion de la bonne éducation sécuritaires et sanitaires pour les travailleurs, la sensibilisation des gens, faire des associations ; commission et aussi des syndicats des travailleurs, faire toutes des recherches et des études pour diminuer l’effet de cette exposition notamment des études toxicologiques et épidémiologique pour trouver les meilleures solutions, réaliser la bonne gestion donc la diminution d’exposition.

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  • La diminution peut s’expliquer par le fait que l’OSHA veut éviter à l’entreprise des pénalités et amandes importantes fixées par l’Etat en cas de dépassement de seuil afin de protéger les employés.
    L’ancienne norme de 50 ppm est fixé après des recherches et expériences scientifiques avec la participation des pairs pour la lecture,vérification des sources etc. C’est étude financer par l’argent public dont les résultats sont sans influences et délibérées dans l’intention d’aider l’état à fixer des normes de protections professionnels des employés dans les industries de ce genre. L’ancienne norme est bien claire et scientifiquement vérifiée, éprouvé et approuvée par tous les chercheurs et professionnels du domaine de l’intoxication en milieu professionnel.

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  • La diminution peut s’expliquer par l’amélioration des connaissances scientifiques et les conditions expérimentales semblables au milieu ou l’Homme serait exposé aux effets cancérigènes. Aussi, cela par le fait que Les données toxicologiques dont disposaient les industriels n’étaient pas rendus transparentes pour les instances de décision.
    Vu les cachoteries des industrielle sur les données toxicologique, l’ancienne norme était établie par les données toxicologique des industrielle d’une part et les expériences sur les animaux dans les conditions non optimal

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  • En 1975 les données disponibles ont conduits l’OSHA de réduire la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm. Comment peut s’expliquer une telle diminution ? Réfléchissez en particulier à la façon de laquelle était établie l’ancienne norme.
    Cette diminution peut s’expliquer soit par l’indépendance des experts, soit par l’origine des financements de la recherche des résultats qui a conduit à cette diminution, soit enfin par le type d’effet mis en exergue. En effet, l’origine des experts (que ceux-ci viennent de l’industrie ou non) et l’origine du financement conditionnent beaucoup les résultats de la recherche. Des résultats qui ramènent un seuil à un niveau 500 fois inférieur, dénotent souvent une indépendance des experts.

    Par ailleurs, pour un même type d’experts, le type d’effets (chronique ou aigue) et même la voie d’exposition sont déterminant pour la détermination des seuils. Un seuil établit pour les effets chronique est généralement plus bas.

    Cette différence peut enfin s’expliquer par l’application des facteurs de sécurité. Les normes applicables en milieu professionnel sont généralement supérieur de celles applicables dans la population.

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  • Petite rectification : Je n’avais pas accès à l’article. je viens de le télécharger et de le lire. En effet, l’ancienne comme la nouvelle norme était destiné au travailleurs. La déférence peut être du à la prise en compte de l’existence des cancers non hépatiques et à l’indépendance des experts (leur composition aussi influe) dans la publications des résultats qui ont conduis à cette réduction.

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  • Une telle diminution peut s‘expliquer par le fait que l’ancienne norme a été établie avec une connaissance limitée sur la toxicité du CV et de ces effets sur la santé e l’homme. Suite aux études menées en 1969 puis en 1974 et 1975, une prise en compte des effets du CV sur la santé des ouvriers est effectuée par l’administration américaine en charge de la sécurité et des maladies professionnelles (OSHA) qui décide de réduire la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm

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  • La diminution, une décision sagement prise par l’administration américaine avait pour objectif de réduire le risque d’exposition des ouvriers des différentes firmes industrielles opérant à base du chlorure de vinyle en leur offrant une "protection suffisante". Cette diminution ne serait possible si elle allait venir des industries car, bien que celles-ci le savaient à travers les résultats des différentes études commanditées, elles n’osèrent jamais les publier, histoire d’éviter la faillite de leur firme.

    L’ancienne norme, 500 ppm, "respiré 7 heures par jour, 5 jours par semaine, sur une longue période, provoqueront des lésions tout à fait mesurables " qui est d’abord passé de moitié (-250 ppm) restait nocif à l’endroit des travailleurs de ces firmes.

    On déduit alors que cette remarquable diminution a été possible grâce à l’action coercitive de l’administration américaine.

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  • Une telle diminution de 500ppm à 1ppm est due au faite que les industriels reconnaissaient déjà que le seuil (500ppm) est excessif et que l’exposition à ce seuil est fatale pour les ouvriers qui y travaillaient (en causant non seulement des lésions hépatiques mais aussi d’autre types de cancers sur d’autres organes). D’autre part, sachant que le public a apprit le risque mortel dû à l’exposition au CV en 1974, le CMA a du s’entendre avec l’EPA.

    L’ancienne norme étant basée sur une expériences en administrant des doses de 200ppm sur les lapins (animal) une extrapolation de 500ppm de CV sur l’homme à rendu beaucoup plus pessimiste cette norme.

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  • La norme est passée de 500ppm à 1 ppm pour teir compte de l’évolution des connaissances scientifiques. En effet, les 500ppm était fixé par rapport à la toxicologie sur le foie qui serait l’organe le plus sensible sans référence à la toxicité sur les uatres cibles ; par la suite des investogations ont apporté la preuve que même des doses de 200ppm était très élevées et on est allé jusqu’à 1 ppm.

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  • Les normes établies sont fonction des connaissances scientifiques et des résultats expérimentaux obtenus sur des modèles animaux. Avant les années 70, une norme à 500 ppm de chlorure de vinyle avait été fixée en tenant compte de la relation dose-effet connue à cette époque et des différents facteurs de correction à prendre en compte pour transposer les résultats à l’homme.
    Puis les connaissances ont évolué, notamment sur les effets à long terme comme le cancer, et la révélation de nouvelles données a fait abaisser la norme à 1 ppm.

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  • Les études expérimentales sur l’animal et l’observation de cancers hépatiques rares chez les ouvriers, sont à la base de la mise en évidence des effets chroniques du CV. Alors que l’ancienne norme correspondait vraisemblablement à une exposition aiguë, ce qui explique l’importante différence entre les deux valeurs.

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  • Cette diminution peut être justifiée par une meilleure connaissance des conséquences du CV sur la santé humaine. En 1963, des cas de troubles osseux étaient constatés chez des travailleurs américains, qui enlevaient manuellement des résidus croûteux de réacteurs.
    La norme d’exposition de 500 ppm avait peut-être été fixée sur la base de tests effectués sur des animaux. Y avait-il seulement eu des tests ? Peut-être avait-elle été retenue par rapport à la dangerosité d’une substance « similaire » ? Tout semble envisageable.
    Les tests sur le lapin et leur susceptibilité de cancer hépatique puis l’extrapolation à l’homme avec une longue exposition des travailleurs a amené à fixer une norme bien plus sérieuse que celle de 500 ppm.
    Le fait qu’aux USA les fabricants de produits chimiques fournissent eux-mêmes les données utilisées pour l’évaluation des risques, leur confère une certaine marge pour orienter la réglementation. Même si un travail avec l’EPA est ensuite réalisé, l’industriel joue un grand rôle dans l’orientation des prises de décisions finales.

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  • L’évolution de cette norme à vue le jour car de nouvelles données sont devenues disponibles sur la toxicité du chlorure de vinyle en 1975 et ont fait donc évoluer la norme... Et ceci grâce à de nouvelles études réalisées par l’OSHA, qui a ensuite jugé utile et prudent de réduire la norme de 500 à 1 ppm au vue de la dangerosité de ce produit.......

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  • une telle diminution peut s’expliquer par la nocivité de la substance

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  • La réduction de la norme d’exposition au CV de 500 ppm à 1 ppm, fait suit aux publications de Pier Luigui Viola et ses associés qui ont consisté à démontrer les effets cançérigène du CV. Il faut également noter l’apparition des formes rares de cancers hépatiques chez les ouvriers dans les années 1974-1975. L’ancienne norme ne prenait en compte que les effets aiguës, alors que la nouvelle norme prend en compte les effets chroniques.

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  • Rép .une telle diminution s’explique à travers le fait que l’ancienne norme a éte faite sur une simple base toxicologique alors que la nouvelle prend en compte non seulement les données toxicologiques mais aussi épidémiologiques et essai de prendre en compte tout facteur de risque qui peut interagir avec la pathologie étudié.

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  • Une telle diminution resulte du fait que l’on remarque qu’a partir de donnees experimentales que l’exposition prolongee au Chlorure de Vinyle faisait apparaitre de formes de cancers hepatiques chez des ouvriers.

    L’ancienne norme etait etablie par ce que tout le monde ignorait les effets cancerigene de ce produit pour l’homme. L’ancienne norme n’etait pas en faveur des ouvriers qui travaillaient dans l’usine et inhalaient 7 heures par jour pendant cinq jours ce produit cancerigene pour l’homme.

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  • c’est vrai que la diminution est vraiment importante. elle est due aux résultats des données expérimentales de PIER LUIGI VIOLA ( 1969 et 1971) et ceux de 1974 ,montrant que le CV est cancérigène chez l’homme et l’animal. cette ancienne norme avait été établie sans avoir fait des études permettant de définir la DSENO.

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  • Le CV est un gaz dangereux sous la forme monomère à cause du risque cancérogène avéré chez l’homme, l’effet délétère sur la santé est par ailleurs connu depuis longtemps, mais il faut un certain temps pour que des études (expérimentations animales, CL50) soient concluantes. D’autre part, il faut faire face aux lobbys, ce qui est un exercice souvent périlleux, même pour les grandes instances et malgré l’apparition chez certaines ouvrier de formes rares de cancers hépatiques. .

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  • La réduction de la norme d’exposition de 500 ppm à 1ppm est liée à la survenue de formes rares de cancers hépatiques au sein de la population ouvrière qui est exposée au 500ppm de CV. Cette décision qui émane de l’OSHA est un grand coup dans le secteur de l’industrie exposant leurs ouvriers de cette matière. Les divers tests et les avancés scientifiques ont permis de mettre en avant le principe de doses-effets et ainsi de réviser le taux d’exposition. Grâce à des équipes pluridisciplinaires qui « ont révisé » cette situation, cela a permis de mettre en avant des groupes scientifiques qui avaient un intérêt auprès des industriels mais aussi de montrer que leurs études n’étaient pas impartiales. Le gouvernement a été forcé de constater que le principe de doses-effets a créé des lésions importantes au niveau hépatique chez l’animal et donc chez l’homme. Dès 1974 et 1975, il a été démontré des formes rares de cancers hépatiques au sein de la population ouvrière (Creech and Johnson 1974 ; Creechand Makk 1975 ; Maltoni 1974, 1975 ; Maltoni et al. 1974). Lors de cette mise en évidence, l’OSHA prenait des mesures dès avril 1975 pour réduire le taux d’exposition de leurs ouvriers au CV et PVC à 1 ppm. Ils eurent ainsi un taux de protection suffisant par cette mesure drastique mais aussi pour éviter des risques ayant des conséquences graves.

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  • Est-ce du au fait qu’on applique plus des facteurs de protection de l’animal à l’homme et des facteurs d’exposition ? Et parce qu’il y a plus de doutes sur les pathologies qui peuvent se développer en exposition chronique

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  • Les études qui prouvent la cancerogenicicite du CV et les differentes formes de cancers qu’on observe dans la classe ouvriere ont provoque un certain souci chez les employeurs, employes et la population en general.

    La norme d’exposition de 500ppm peut etre un chiffre choisis/proposé par l’association des industries chimiques aux autorités suite à des études a controverse dont ils tire les cordons de la bourse en vue de contrôler le coût externe, soit le résultat obtenu par les autorités due a une carence en informations relatives au CV/PVC.

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  • Les études ont dans une certaine mesure prouve la cancerogenicite du CV et les differentesformes de cancers qu’’on observait dans la classe des ouvriers. En effet, ces differents cas ont inquiété la population en general, les patrons-chefs d’entreprises et les employés. Ces elements constitutifs de la societe civile ont formule des petitions aupres des autorites etatiques.

    La norme d’exposition de 500ppm peut etre soit un chiffre choisis ou proposé par l’association des industries chimiques aux autorités suite à des études controversées dont ils ont delié les cordons de la bourse en vue d’avoir le contrôle du coût externe, soit le résultat obtenu par les autorités due au manque d’information concernant le CV/PVC.

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  • Les études de Viola depuis 1969 non publiées et celles publiées en 1971 qui rapportaient les premières données expérimentales démontrant que le CV était cancérigène chez l’animal et d’autres travaux mettant en évidence les formes rares de cancers hépatiques chez des ouvriers(Creech and Johnson, Maltoni, 1974, 1975) ont nettement contribué à une prise de décision pour une réduction des expositions sur les postes de travail des ouvriers de 500 ppm à 1 ppm par l’administration américaine en charge de la sécurité et des maladies professionnelles(OSHA) en 1975.

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  • En privé, les industriels reconnaissaient que l’ancien seuil de 500 ppm était considéré comme excessif depuis longtemps, bien avant que l’OSHA publie la nouvelle norme.

    Dès 1959, des expériences menées par l’industrie, notamment celle de Markowitz et Rosner (2002), avaient en effet révélé des micro-lésions hépatiques chez le lapin exposé de façon répétée à des doses de 200 ppm de CV.

    En 1959, un toxicologue de la firme Dow Chemical, V.K. Rowe, confiait en privé à son homologue de la société B.F. Goodrich que 500 ppm, respiré 7 heures par jour, 5 jours par semaine, sur une longue période, provoqueront des lésions tout à fait mesurables. Cependant, cette opinion n’était pas encore mûre (absence d’étude épidémiologique) pour être diffusée.

    Les fabricants de CV et de PVC ont également retardé la publication des observations d’angiosarcomes hépatiques réalisées à leur demande par l’Italien Cesare Maltoni sur des rongeurs exposés au CV.

    Vers la fin de 1972, l’industrie prit connaissance du rapport de Maltoni montrant que des cancers primitifs du foie et des reins étaient provoqués par des expositions de 250 ppm, deux fois plus faibles que la limite autorisée pour les ouvriers.

    En 1979, une synthèse scientifique du Centre international de recherche sur la cancer affirme (CIRC, 1979) que le CV est un cancérogène humain. Ses organes cibles sont le foie, le cerveau , le poumon, et le système hémo-lymphatique. Or, Il n’y a pas de preuve de l’existence d’un seuil au-dessous duquel il n’y aurait pas d’augmentation du risque de cancer chez l’homme.

    Un deuxième rapport de l’IARC en 1987 confirme la première évaluation, citant des résultats plus récents selon lesquels le CV, en plus de son rôle dans les angiosarcomes du foie, cause des carcinomes hépatocellulaires, des tumeurs du cerveau, du poumon et des lymphomes et autres hémopathies (IARC 1987).

    En général, nous pouvons dire que les anciennes normes étaient formulées sans connaissance des effets et des pathologies aiguës qui peuvent être formées suite à une longue exposition massive au CV. 1975, c’est une année clé qui illustre la reconnaissance de ces effets par les pouvoirs publiques (après une série d’études citées ci-dessus), mais s’avère plus ou moins tardive.

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  • Au début l’éstimation du risque cancèrigène du CV était prit comme étant un risque cancérigène totale, touchant tant le foie que d’autres organes, de ce fait le seuil déterminé etait de 500ppm, en 1975 l’estimation s’est basé que sur les données d’angiosarcomes du foie, ce qui a induit la diminution de la norme d’exposition.

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  • le seuil de 500 ppm était considéré comme excessif et il devait être réduit pour que les ouvriers disposent d’une protection suffisante.

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  • La prise en compte des conclusions d’études mettant en cause le CV constitue pour l’industrie chimique une tentative de réduire son potentiel économique. En se sens, en l’absence d’une mesure contraignantes et urgente, il y a un risque défaillance. Une telle diminution s’explique par des mesures de confinement des matériels à base de CV, de la multiplication des études sur les effets cancérigènes du produit. Ce qui déclenche un effet du traitement par l’urgence

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  • L’OSHA a réduit la norme d’exposition de 500ppm à 1ppm parce que il y a plusieurs rapports donnent des résultats qui montrent une exposition d’une façon répétée à des doses 200ppm provoque des lésions tout à fait mesurables et cette diminution a était prise pour la protection suffisante des ouvriers.

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  • Cela correspond à la prise en compte des effets liés à une exposition chronique à des doses plus faibles, qui correspond bien à la situation des travailleurs de l’industrie chimique, par opposition aux effets aigüs produits par des doses plus élevées.

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  • Tout simplement par la mise en place d’un principe de précaution qui est lui même du à la prise de conscience des risques potentiels connu et de l’évolution des connaissances.

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  • L’ancienne norme a été, semble-t-il, établie sans la prendre en compte l’accumulation de la substance dans les organismes des travailleurs, ce qui, avec des doses régulières élevées, pourrait conduire rapidement à une maladie.

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  • Cette diminution peut s’expliquer par le fait que la norme d’exposition de 500ppm pouvait causer des au fil du temps des traumatises. l’ancienne norme était établie à partir de l’exposition chronique.

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  • la diminution s’explique par la prise en charge du probleme pose par le CV par l’EPA.

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  • la diminution s’explique par la prise en charge du probleme pose par le CV par l’EPA.

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  • la diminution s’explique par la quantite averee de personnes atteintes de cancers, d’angiosacromes et d’autres maladies liees a l’exposition au CV

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  • Dans cette étude, les risque paraissent assez évidente, mais elle fait apparaitre les risque qui peuvent survenir des pathologies graves ou aigues dans le d’une exposition systématique. Il est toujours plus difficile de trouver un risque chronique aussi tôt, autrement dit, cela prend du temps car tous les paramètres doivent être étudiés.
    Cf. P.2 A cette nouvelle, les porte-parole de l’industrie avertirent que pertes d’emplois et fermetures d’usine allaient frapper l’industrie du plastique. Néanmoins, moins de deux ans plus tard, toutes les usines des Etats-Unis avaient réussi à respecter les nouvelles normes, tout en conservant une rapide croissance de leurs ventes. Cela surtout grâce au meilleur confinement du chlorure de vinyle, et à l’amélioration de la surveillance des niveaux d’exposition (OSHA 1975).

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  • La diminuition de la norme d’exposition de 500ppm à 1ppm peut etre explique par l’augmentation de nombre d’études que consideraient 500ppm comme une seuil d’exposition trés élevé. Si d’un coté l’ancienne norme a pu etre établi à cause de la dissimulation des résultats, on regarde que pour la nouvelle norme les résultats furent publiques, sans compromis avec les grandes industries.

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  • La diminution drastique de la norme est tout d’abord le reflet du modèle toxicologique américain selon lequel la précaution intervient alors que la preuve de la toxicité a été faite.
    par ailleurs, l’ancienne norme a été proposé par des industriels reposant lors de la commercialisation intensive du produit ; Elle repose donc sur une balance intérêts économiques/risques. Elle suppose donc une certaine permissivité sécuritaire dans son établissement.
    Par ailleurs, l’expérimentation animale montre une toxicité à 200ppm. Il en résulte à l’application d’une facteur 10 de précaution une recommandation à 20ppm pour les ouvriers. A noter cependant que des cas de cancers rares sont survenus supposant un ERU très défavorable pouvant expliquer l’application d’un facteur supplémentaire. Plus encore les cas de cancers montrés à 250ppm supposent eux avec une application de précaution une norme à 2.5ppm donc très proche de ce résultat.
    Autre élément possible, l’OSHA a surement voulu agir avec fermeté suite à la temporalité entre les premiers cas de toxicité documenté en 1959 et sa réaction en 75 période immédiate après les premiers morts dans une société très judiciaire.

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  • Oui en 1975 les données disponibles ont conduits OSHA de réduire la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm. Car les études anciennes menées en 1959 par l’industrie avaient en effet révélé des micro-lésions hépatiques chez le lapin exposé de façon répétée à des doses de 200 ppm de CV ainsi une en 1972, l’industrie prit connaissance du rapport de Maltoni montrant que des cancers primitifs du foie et des reins étaient provoqués par des expositions de 250 ppm, deux fois plus faibles que la limite autorisée pour les ouvriers donc avec l’effet de cumulation respiré 7 heures par jour, 5 jours par semaine les effets pouvant être inférieur mémé au seul de 200 ppm c est pour cela qu’ils sont réduit la norme a 1 ppm pour que les ouvriers disposent d’une protection suffisante

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  • Les premiers résultats publiés établissant un lien cancérigène entre le CV et l’animal date de 1971, avant cela aucune données n’avaient été publiées, l’ancienne norme avait donc probablement été établie plus ou moins aléatoirement. Lorsque les premières données concernant les animaux puis 3 et 4 ans plus tard chez les humains ont été produites et publiées, l’OSHA a pris des mesures à hauteur des conséquences de l’exposition prolongée au CV.

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  • Cette norme imposée par l’OSHA est logique du faite que l’entreprise avait consciemment dépassé largement les normes de pollution. Même cela est reconnu par les chercheurs qui triquaient les résultats en collaboration avec les entreprises.

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  • Une telle diminution peut s’expliquer à une limitation du risque d’exposition des travailleurs due au chlorure de vinyle (CV) et au polychlorure de vinyle (PVC, polyvinyl chloride). Ce qui constitue des dispositions de protection suffisantes car les pathologies peuvent devenir graves.

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  • parce que auparavant les études n’étaient pas faites sur des particules fine. c’est nouveau.

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  • Grace aux données du rapport Maltoni soulignant la possibilité de la réduction des expositions de
    250 ppm.

    Donc partir 500 ppm, a 250, puis a 200 c’ est donc l’allure de la diminution vers 1 ppm.

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  • Les porte parole de l’industrie avertirent que pertes d’emploi et fermetures d’usine allaient frapper l’industrie du plastique. Moins de 2 ans plus trad, toutes les usines des Etats-Unis avaient réussi à respecter les nouvelles normes.

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  • L’OSHA a reduit la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm pour que les ouvriers disposent d’une protection suffisante. Si l’ancienne norme était etablie, c’était par rapport aux emplois et à la croissance économique de l’industrie, mais deux ans après toutes ls usines respectaient les nouvelles normes et les ventes ont connu une croissance rapide.

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  • L’ancienne norme a été établie sans la connaissance effective des effets du CV sur la santé. Ainsi, on peut parler de sous- estimation de l’action du CV per les données disponibles pendant l’établissement de cette première norme. Les nouvelles données qui été rendues disponibles pour l’OSHA en 957 ont révèle d’autres effets toxique du CV. C’est-a-dire ;le CV agit avec une dose beaucoup plus faible que celle préconisée par les premières études. d’où la diminution du seuil d’exposition de 500 ppm a 1 ppm. Le caractère carcinogène s’inscrit dans ce contexte et intervient à des doses beaucoup plus faibles.

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  • Les normes établies ne sont pas rigoureuses, elles n’ont vraiment pas pour objectif de sanctionner ou fait payer le pollueur. Elles sont élaborées dans la plus part des cas en amont pour des dégâts de grande ampleur. L’ampleur du risque a été reconnu tres tardivement

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  • Les normes établies ne sont pas rigoureuses, elles n’ont vraiment pas pour objectif de sanctionner ou fait payer le pollueur. Elles sont élaborées dans la plus part des cas en amont pour des dégâts de grande ampleur. L’ampleur du risque a été reconnu tres tardivement

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  • Les normes établies ne sont pas rigoureuses, elles n’ont vraiment pas pour objectif de sanctionner ou fait payer le pollueur. Elles sont élaborées dans la plus part des cas en amont pour des dégâts de grande ampleur. L’ampleur du risque a été reconnu tres tardivement

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  • Bien avant les dispositions de l’OSHA de réduire la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm, les industriels reconnaissaient assez tôt que le la norme d’exposition de 500 ppm n’était pas suffisante. En 1959, un toxicologue de la firme Dow Chemical, V. K. Rowe, en a fait la remarque à son holologue de la firme B. F. Goodrich.

    Il a fallu attendre la publication du rapport de Maltoni pour que l’industrie prenne conscience que des
    cancers primitifs du foie et des reins étaient provoqués par des expositions de 250 ppm, deux fois plus faibles que la limite autorisée pour les ouvriers.Ce qui expliquerait la reconnaissance officielle tardive du risque.

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  • Avant même les années 1960, l’industrie soucieuse de son rendement économique à ignorer et à dissimuler les effets sanitaires liés à l’exposition à 500 ppm. D’ailleurs elle avait même des preuves qu’une exposition répétée à 200ppm révélait des micro-légions hépatite chez les lapins.
    Cependant, le passage de 500ppm à 1 ppm dans les années 1975 fait suite à la découverte des effets sanitaires par la presse et le public avec le décès de trois ouvriers de l’usine B.F. Goodrich de Luisville et des animaux de Maltoni atteints d’angiosarcomes hépatiques.

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  • La réduction des normes d’exposition de 500 ppm a 1 ppm tant a dire que les industriels admettent que l exposition a 500 ppm mets en péril la sante des ses ouvriers. Le nouveau seuil fixé (1ppm) est probablement le résultat des recherches justifiant l’exposition directe au risque (CV).
    L’adoption de l’ancienne norme (500 ppm) peut être justifiée par le coût économique nécessaire à la dépollution causée par les pollueurs (autrement dit, la rentabilité Economique au profit de la sécurité/sante des ouvriers !)

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  • Pour mieux y répondre à cette interrogation et être très concis. Je pars du postulat (communément partagé par les lois républicaines françaises et religieuses aussi), que tout le monde est présumé innocent jusqu’à preuve du contraire(applicable aussi sur chlorure de vinyle). Je remonte un peu dans le temps, je suis à la fin des des années 1940, la seconde guerre mondiale est finie, la croissance mondiale augmente. Les État-Unis, de par la leur victoire vus comme les défenseurs du monde libre. Quant au domaine industriel, dans le pays, il est en pleine expansion, les besoins en chlorure de vinyle se voient flamber, en réponse à la forte demande dans plusieurs domaines(construction, emballage, industries électriques du transport, produits domestiques et revêtements, tuyauteries, vidéodisque et cartes de crédits...). Un essor dans le domaine de l’industrie, certes, mais accompagné d’effets néfastes de pollutions, notamment, dans la fabrication et concentration des produits. Les effets néfastes sur la santé humaine du chlorure de vinyle étaient connus, mais à faible risque parce-que il est faiblement susceptible d’être livré dans l’atmosphère, aux cours des traitements, des manipulations et de stockage à température ambiante au cours de la première mise en œuvre à chaud, ce qui explique la fixation de la norme à 500 ppm. jusqu’à présent, nous sommes face un consensus scientifique incomplet, qui ne traite pas l’accumulation de la substance dans l’espace-temps, c’est à dire, la non prise en compte du fait de l’exposition( plus au moins permanente) au danger. Ce qui laisse accroitre le risque à encourir. Comme d’ailleurs le précise V.K.Row à son homologue GF Goodrich, ".....c’est une opinion qui n’est pas encore mûre....". Je déduis par là, que les toxicologues savent bien que la substance est nocive, mais il en reste toujours la possession des faits réels et concrets qui la dénonce. ce qui va mûrir l’idée, dire-je, c’est le temps et l’exposition à ce danger. Dans cette situation OSHA ne pouvait pas intervenir en l’absence d’éléments factuels. En 1959 avec l’avancée des travaux l’industrie qui révèlent de micro-lésions chez des lapins exposés à des doses deux fois moins fortes que la norme 500ppm, et en l’absence de preuves tangibles qui attestent le risque engendré par la substance sur la santé humain. Un débat surgit, et une curiosité accompagnée d’un processus,consensuelle scientifique, commence à mûrir. les fabricants d’industries ne reste pas indifférents, dans ce processus et ne pouvaient laisser fondre leurs économies, et retarde ainsi la publication officielle des résultats qui prouvent la culpabilité de la substance chimique ; le cas des études sur l’angiosarcome hépatique réalisés par Cesar Maltoni. C’est en vrai, un consensus scientifique incomplet associé à des intérêts et de volontés politiques. Et puis, en 1974 et 1975, des formes de cancers hépatiques furent découvertes chez les ouvriers. Le processus expérimental démontre que les cas avérés, sont atteints de cancers, et les données y afférents (retardées de Viola) sont déjà publiée en 1971, et le public est au courant de la morts des trois cas. L’OSHA, publia une note prenant, selon laquelle les usines devaient réduire l’exposition sur les postes de travail de 500ppm à 01ppm. le chlorure de vinyle est passé, d’une substance peu nuisible à un élément chimique de très hautes dangerosité, ce qui explique l’écart type de 500ppm à 01 ppm.

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  • Les industriels reconnaissaient que l’ancien seuil était excessif depuis longtemps et provoque des lésions. les rapports précédents montrent que des cancers primitifs du étaient provoqués par des expositions de250 ppm, deux fois plus faibles que la limite autorisée pour les ouvriers.les journaux apprend le public des effets de CV. L’industrie maitrise son production et son exposition en respectant la norme, en conséquent, disposer les ouvriers d’une protection suffisante.

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  • L’ancienne norme était de 500 ppm, est sans doute dû au fait que le risque chronique n’était pas encore pris en compte et a été officialisé bien plus tard, d’où ce passage soudain a 1 ppm. Ceci s’explique par une prise de conscience des risques potentiels, peut-être à cause de l’apparition de cas de pathologies aiguës quelques années plus tard.

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  • L’évolution des normes a été fixée par rapport à des expériences menées avec des être vivants ayant un organisme qui peut réagir de la même façon que celui des hommes.

    A côté, il est mentionné que le chiffre initial dont 500 ppm est un peu exagéré selon les études ; en réalité l’exposition initiale n’a pas atteint ce seuil d’où la facilité d’alignement des industries à cette nouvelle norme.

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  • La diminution de la norme d’exposition de 500ppm à 1ppm peut s’expliquer par la reconnaissance des différents impacts de l’exposition de 500ppm. L’ancienne norme n’était pas fiable, car l’étude a été faite par des spécialistes de l’industrie ou qui sont financés par l’industrie, ce qui a permis de dissimuler ou sous estimer les risques d’exposition de 500ppm.

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  • On peut expliquer cette diminution par le fait que la reconnaissance du danger que pose l’exposition a été reconnu tardivement or auparavant les normes étaient établie en supposant l’exposition a des doses massives alors que a nos jours c’est différents et vu le caractère carcinogène présent ce qui pousse a réduire les normes.

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  • Puisque les effets toxicologiques pourraient bien être aigue ou chroniques, réversibles ou irréversibles, immédiats ou différés, cette diminution peut donc s’expliquer sur les relations dose-effet et dose-réponse. La variabilité et la sévérité des produits toxiques augmentent dans la population en fonction du niveau d’exposition. En plus, la fréquence d’une pathologie observée dans une population correspond à son niveau d’exposition à un toxique.

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  • Une telle diminution s’explique par le fait que les normes soit beaucoup plus indulgent, elles ont été établies assez tôt. De plus, ces normes montrent clairement le risque pour qu’une pathologie survient si des expositions massives se déclaraient. en effet, la survenue par exemple d’un cancers peut apparaitre dans ce tel contexte quand bien même qu’avec des doses beaucoup plus faibles.

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  • Cette diminution de la norme d’exposition de 500 ppm a 1 ppm peut être expliquer par une meilleure connaissance dans le domaine. Le fait qu’on a remarque le risque chronique, pathologie aigue et le caractère cancérigène à des fables doses..

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  • l’étude de maltoni a prouvé que les rongeurs exposés a une dose moindre 250 ppm seraient atteints des angiosarcomes,et une fois rendu publique un évènement a conforté ces travaux a savoir la mort des 3 ouvriers atteints des angiosarcomes, ce qui a poussé les autorités a réduire les doses d’expositions.
    Lest test au débuts ont étés réalisés sur les animaux , mais concernant les êtres humains les décisions sont prises suite a des observations.

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  • La diminution est du a l’utilisation des doses faible

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  • Les premiers impacts sanitaires ont eu lieu en 1974 avec des accidents mortels et ont été publié dans les journaux. Des mesures ont donc du être mis en place. Une telle diminution peut s’expliquer grâce à des connaissances plus poussées et à des problèmes sanitaires. Au moment de la norme d’exposition de 500 ppm, il y avait un manque de connaissances sur la toxicité du CV. La pression des medias et des populations a également du jouer sur cette drastique diminution.

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  • Cette diminution s’explique relativement aisément. En effet, dans les expériences menées par l’industrie, on pouvait observer dès 200ppm des micro-lésions hépatiques sur des lapins. D’autres rapport rapports, comme celui de Martoni, aboindait également dans le sens d’une norme exposant les ouvriers à des risques bien trop élevés. Partant de là, appliquer divers facteur de sécurité (passage de l’animaux à l’homme, sensibilité) permet aisément d’arriver à 1 ppm, et de diminuer sensiblement les risques d’exposition.

    On voit bien ici que la première norme de 500ppm était beaucoup trop élevée, et il peut paraître pertinent de s’interroger sur les méthodes qui ont conduites à son élaboration

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  • La diminution de la norme d’exposition de 500ppm a 1ppm est liée aux différentes études qui ont mis en évidence une relation cause/ effet entre l’exposition a une concentration de 500ppm de chlorure de vinyle et l’apparition des pathologies notamment le cancer.

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  • Les données disponibles ont conduit l’OSHA, l’administration américaine en charge de la sécurité et des maladies professionnelles, à réduire fortement la norme d’exposition, passant de 500 ppm à 1 ppm. Cela s’explique par plusieurs raisons.
    Tout d’abord, dès 1969, des études expérimentales montraient un risque cancérigène pour l’animal. Puis, fin 1972, l’industrie a eu un retour alarmant concernant les dégâts (cancers) causés par des expositions de 250 ppm, soit deux fois plus faibles que la limite autorisée pour les ouvriers. Plus tard, en 1975, des ouvriers ont aussi fait l’objet d’études permettant de faire un constat similaire et ainsi établir le lien entre le CV et des formes rares de cancers hépatiques.

    La protection de la santé étant la mission de l’OSHA, l’administration a pris des mesures afin de diminuer l’exposition sur les postes de travail passant ainsi de 500 ppm à 1 ppm. Cette nouvelle norme témoignait d’une diminution très importante, alors que, déjà bien auparavant, des preuves auraient pu encourager cette forte diminution et prouver le fait que 500 ppm était une norme bien trop peu précautionneuse. Au vu de la faiblesse de la mesure protective de la santé de l’ancienne norme, l’OSHA ne pouvait que réduire drastiquement la norme d’exposition.

    Le retard d’application d’une norme adéquate est dûe à plusieurs raisons. L’ancienne norme était établie à partir des expériences sur les animaux menées par l’industrie elle-même. Par exemple, les résultats montraient que les lapins exposés de façon répétée à des doses de 200 ppm de CV avaient des micro-lésions hépatiques. Aussi, dès 1959, certains taisaient la dangerosité de l’exposition prolongée au CV dans le cadre professionnel (toxicologue de la firme Dow Chemical) afin de pouvoir continuer à utiliser ce produit, malgré sa nocivité.

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  • l’étude de maltoni a prouvé que les rongeurs exposés a une dose moindre 250 ppm seraient atteints des angiosarcomes,et une fois rendu publique un évènement a conforté ces travaux a savoir la mort des 3 ouvriers atteints des angiosarcomes.

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  • Cela peut s’expliquer par le fait que les normes assez permissives, généralement établies assez tôt par exemple vers les années 1975, reflètent le risque de survenue de pathologies aiguës, en cas d’expositions massives. La reconnaissance officielle du risque chronique liée à cette exposition est bien plus tardive. La caractère carcinogène s’inscrit dans ce contexte et intervient à des doses beaucoup plus faibles.

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  • L’ancienne norme a été établie peut-être d’une façon générale, et approximative afin de réduire le risque d’apparition de tel maladie suite à une exposition au CV. mais la découverte des cancers chez les ouvriers après les résultats publier qui peuvent être à l’origine de cette exposition de 500 donc revienne décision de réduction de la norme d’exposition à 1 ppm.

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  • L’ancienne norme était établie sur la base d’effet à court terme à des doses relativement élevé (elle n’était pas suffisante pour le développement du cancer).

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  • La diminution ne peut s’expliquer que par les nouvelles connaissances sur la toxicité du produits et en tenant compte des différentes incertitudes réduire les expositions sur les postes de travail
    de 500 ppm à 1 ppm pour que les ouvriers disposent d’une protection suffisante (OSHA 1975)
    l’ancienne norme a certainement été fixée sur deux critère :
    les connaissances scientifiques sur le sujet était encore trop peu
    l’influence de l’industrie au niveau de la fixation de normes par rapport a leur intérêts,

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  • Une telle diminution accrue d’une norme de 500ppm à 1ppm explique que cette valeur a été établi dans un contexte d’exposition aigue au préalable (500 ppm), et la diminution jusqu’à 1 ppm implique à la fois la prise en compte d’une exposition chronique et encore plus grave d’un effet cancérigène.

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  • On peut expliquer cette diminution par la grande tolérance des normes, avec l’avancée des recherches sur les effets à faible dose qui démontrent l’apparition de pathologies aiguës ce qui va nécessairement conduire à la réduire la norme d’exposition.

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  • On peut expliquer cette diminution par la grande tolérance des normes, avec l’avancée des recherches sur les effets à faible dose qui démontrent l’apparition de pathologies aiguës ce qui va nécessairement conduire à la réduction de la norme d’exposition.

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  • Cette diminution s’explique par le fait que ; l’ancienne norme avait été établie sur la base d’exposition des sujets au rejet des polluants dans l’atmosphère. Elle se basait sur le degré de constituant dans l’atmosphère (aspect ionisant) et sur le degré d’atteinte des pathologies ou la réceptivité liée à l’hérédité.
    Cette norme ne prenait pas en compte la durée d’exposition du sujet aux polluants atmosphériques chose qui était un biais à l’exploitation des données issues des expériences.

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  • les cancers ayant un developpement long, il n’y avait pas autant de preuve avant 1975

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  • Les anciennes données étaient principalement le fait d’études sur des rongeurs, or on sait qu’il existe une différence de sensibilité interespèce aussi appelé facteur allomérique.
    De plus, comme dans le cas du saturnisme infantile, on est passé de décès du au cancer (angiosarcomes du foie) à la recherche de micro-lésions hépatiques. Abaissant logiquement la norme d’exposition, supposant même qu’il n’existe pas de seuil au-dessous duquel il n’y aurait pas une augmentation du risque de cancer chez l’homme du à l’exposition au CV.

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  • La valeur limite d’exposition de 500 ppm avait été définie uniquement par l’industrie, en 1954, bien que les scientifiques chargés de réaliser les études internes étaient conscients des dommages qui pouvaient être occasionnés notamment lors d’inhalations chroniques et prolongées. Mais ces informations ont été dissimulées, parce que l’industrie considérait que les couts de la protection des travailleurs auraient impacté leur profit de manière plus importante par rapport au fait de contaminer leurs travailleurs. On disposait donc d’un accès partiel aux données. Seulement après la publication des données expérimentales par Luigi Viola en 1971, lesquelles montrent que le CV était cancérigène chez l’animal et la decouverte de cancers hépatiques rares chez les ouvriers, l’OSHA décide d’imposer la diminution des expositions à 1 ppm. Il faut aussi se rappeler que dans la deuxième moitié des années 70, beaucoup de réglementations ont été mises en place pour assurer une meilleure protection des travailleurs suite aux luttes de ceux-ci à partir de la fin des années 60.

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  • L’ancienne norme a dû être établie au regard de la toxicité aiguë, ou de l’exposition chronique mais pour des pathologies à seuil d’exposition. Le chlorure de vinyle était à cette époque considéré comme une molécule stable. La mise en évidence d’un risque de cancer, pathologie sans seuil d’exposition, a entraîné une diminution drastique de la norme permettant de faire chuter le risque de cancer lié à une exposition au long terme.
    Le caractère carcinogène s’inscrit dans ce contexte et intervient à des doses beaucoup plus faibles.

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  • Après que Luigi Viola ait publié en 1971 des données expérimentales montrant que le CV était cancérigène chez les animaux et la découverte d’un cancer du foie rare chez un travailleur, l’OSHA a décidé de réduire les expositions à 1 ppm. Il faut aussi rappeler que de nombreuses réglementations ont été édictées à la fin des années 1970 pour mieux protéger les travailleurs après les luttes depuis la fin des années 1960

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  • Quand on parle de norme d’exposition on parle forcément de VTR(valeur toxicologique de référence) qui est un indice calculé à partir de la relation dose-effet, cependant en lisant le résumé de cette étude de l’EHP j’ai compris que le degré d’exposition était estimé à élevé, modéré et faible sur une durée d’une année. Ce qui fait qu’il faut prendre en considération le type de l’inhalation ( aiguë ou chronique) pour avoir des normes plus précises

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  • La réduction de la norme d’exposition est basée essentiellement sur la méthode ancienne établie.
    En effet, pour définir une norme et pour ajouter une valeur précise, on a recours à des études biostatistiques. les données issus issues des statistiques sont en fonction de différents facteurs.
    Avec le temps, il y a un changement au niveau des facteurs ( physiques, chimiques, échantillonnage,) et même au niveau des logiciels. De nouveaux paramètres apparaissent donc les données changent et les normes évoluent.

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  • Une telle diminution s’explique par le fait que l’ancienne norme était établie sur la base de sujets exposés au rejet de polluants dans l’atmosphère. Elle est basée sur le niveau de composition atmosphérique (aspect ionisation) et la sévérité de la maladie ou la réceptivité génétique.
    Cette norme ne tient pas compte du temps d’exposition du sujet aux polluants atmosphériques, ce qui conduit à un biais dans l’utilisation des données issues des expérimentations.

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  • La diminution 500ppm à 1ppm peut s’expliquer par l’amélioration des connaissances scientifiques et les conditions expérimentales semblables au milieu ou l’être humain serait exposé aux effets cancérigènes. cela par le fait que les données toxicologiques dont disposaient les industriels n’étaient pas rendus transparentes pour les instances de décision.Donc tout simplement cette diminution est du à la mise en place d’un principe de précaution qui est lui même du à la prise de conscience des risques potentiels connu.

    Vu les cachoteries des industrielle sur les données toxicologique, l’ancienne norme était établie par les données toxicologique des industriels d’une part et les expériences sur les animaux dans les conditions non optimal.

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  • Le risque chronique a été reconnu plus tard. Cette diminution illustre le risque de survenue de pathologies aiguës en cas d’expositions massives.

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  • on peut expliquer une telle diminution à cause de l’existence d’un risque d’exposition et la permissivité des normes appliquées tardivement.

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  • La diminution s’explique par la combinaison des résultats obtenus sur des animaux et des cas de cancer hépatiques rares observés chez des ouvriers. La transposabilité de l’animal à l’homme est relevée 3 ans plus tard dans une autre étude.

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  • La réduction de la norme d’exposition au CV de 500 ppm a 1 ppm s’explique par les études épidémiologiques qu’ont montré des liens de causalité avec le cancers hépatique.
    L’ancienne norme a été établie dans un époque ou les connaissance sur les risques de CV étaient moins avancé

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  • La réduction de la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm en 1975 par l’OSHA peut s’expliquer par une meilleure compréhension des risques pour la santé associés à l’exposition au chlorure de vinyle (CV). L’ancienne norme de 500 ppm avait été établie dans une période où les connaissances sur les effets nocifs du CV étaient limitées. Les données disponibles pendant cette époque étaient basées sur des études menées par l’industrie elle-même donc leurs crédibilités étaient très incertaines. Cependant, au fil du temps, des évidences scientifiques ont montré que l’exposition à ce composé était associé à des risques accrus de cancer et d’autres problèmes de santé. Comme résultat, l’OSHA a décidé de réévaluer la norme d’exposition et de la réduire considérablement pour protéger la santé des ouvriers qui ont été contaminés par ce composé.

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  • L’ancienne norme de 500 ppm était établie initialement en se basant sur les connaissances et les données disponibles à ce moment-là. Cependant, de nouvelles études et recherches ont révélé que des expositions prolongées à des niveaux de 500 ppm présentaient des risques graves pour la santé des travailleurs.Ainsi, lorsque ces informations sont devenues disponibles, l’OSHA a réévalué les risques et a décidé de réduire considérablement la norme d’exposition au CV pour protéger la santé des travailleurs.

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  • La décision d’une diminution d’un facteur 500 pourrait s’expliquer de plusieurs manières : les premières études toxicologiques ont été réalisées dans des conditions trop éloignées de la « réalité », avec des temps d’observation trop courts, ne tenant pas compte des risques liés à une exposition chronique (il est d’ailleurs précisé dans le texte « En 1959, un toxicologue de la firme Dow Chemical, V.K. Rowe, confiait en privé à son homologue de la société B.F. Goodrich : « Nous sommes assez certains (…) que 500 ppm, respiré 7 heures par jour, 5 jours par semaine, sur une longue période, provoqueront des lésions tout à fait mesurables. Comme vous pouvez le comprendre, cette opinion n’est pas encore mûre pour être diffusée et j’apprécierais que vous gardiez la confidentialité, tout en l’utilisant pour le mieux dans vos propres opérations. » ou encore, elles ont été définies entre personnels de l’industrie sans concertation d’autres parties prenantes, pour servir l’intérêt économique plutôt que la gestion des risques sur le lieu de travail.

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  • La réduction de la norme d’exposition au chlorure de vinyle de 500 ppm à 1 ppm en 1975 par l’OSHA s’explique par de nouvelles découvertes scientifiques montrant que le chlorure de vinyle pouvait être dangereux pour la santé, en particulier en augmentant le risque de cancers. Cette décision visait à mieux protéger les travailleurs en se basant sur des informations plus récentes et en tenant compte des préoccupations croissantes liées à la sécurité au travail.

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  • Dés le début les industriel savait que la valeur de 500 ppm était une valeur excessif, car dés 1959, des expériences par l’industrie avaient révélé des microlésions hépatiques chez le lapin exposé à des doses répété de 200 ppm, mais pour ne pas réduire la production industriel en plastique, on préférait garder le seuil de 500 ppm, jusqu’a ce que l’OSHA publia la note de réduire l’exposition de 500 à 1 ppp, une réduction assez spectaculaire, et retardée !

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  • La réduction de la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm peut être attribuée au fait que la norme précédente reposait uniquement sur des considérations toxicologiques, tandis que la nouvelle norme intègre non seulement les données toxicologiques, mais également des éléments épidémiologiques. De plus, la prise en compte des risques de pathologie chronique est tardive ( survenu d’effet tardive), ce sont les risques de pathologie aigu qui sont vite décelables, surtout dans le cas du cancer

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  • La réduction de la norme d’exposition de 500 ppm à 1 ppm par l’OSHA en 1975 peut s’expliquer par l’identification de risques pour la santé humaine à des niveaux d’exposition antérieurs considérés comme sûrs.
    L’ancienne norme de 500 ppm a probablement été établie en fonction des connaissances disponibles à l’époque, qui peuvent avoir été limitées par rapport à la compréhension actuelle des risques liés au CV. À mesure que de nouvelles études ont été menées, des informations supplémentaires sur les effets néfastes pour la santé à des niveaux d’exposition plus bas ont pu émerger, conduisant à une réévaluation de la norme.

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  • L’ancienne norme de 500 ppm était établie en se basant sur des données et des études disponibles à l’époque, mais avec l’avancée de la recherche, il est devenu évident que des niveaux d’exposition plus faibles étaient nécessaires pour protéger la santé des travailleurs.
    L’ancienne norme de 500 ppm pourrait avoir été établie en se basant sur des seuils de tolérance jugés acceptables à l’époque, sans tenir compte de certains effets à long terme sur la santé. Avec l’accumulation de nouvelles données scientifiques, il est devenu évident que des niveaux d’exposition plus faibles étaient nécessaires pour prévenir les effets nocifs sur la santé.

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  • Avant l’étude de 1969, il n’y avait pas de données sur la toxicité du CV. La norme de 500 était donc arbitraire et non fondée sur des données de toxicologie. L’étude de 1969 et l’épidémiologie concordante de cancer chez les ouvriers a mis en évidence une cancérogénicité du CV ce qui a conduit a diminué drastiquement l’exposition réglementaire par un facteur 500, mettant donc en évidence que les ouvrier étaient largement exposés à ce toxique.

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  • Avant l’étude de 1969, il n’y avait pas de données sur la toxicité du CV. La norme de 500 était donc arbitraire et non fondée sur des données de toxicologie. L’étude de 1969 et l’épidémiologie concordante de cancer chez les ouvriers a mis en évidence une cancérogénicité du CV ce qui a conduit a diminué drastiquement l’exposition réglementaire par un facteur 500, mettant donc en évidence que les ouvrier étaient largement exposés à ce toxique.

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  • Cette diminution s’explique par l’émergence de nouvelles données et preuves scientifiques sur les risques d’exposition de cette substance cancérigène, bien sur qu’elle puisse être salué comme mesure de protection des employés, cependant un retard significatif est observé, entre les premières données expérimentales démontrant la cancérogénicité du CV chez les animaux dès 1969 et la prise de décision de diminution ainsi que l’établissement initiale d’une norme assez élevée.

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